Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/noms communs/motivations

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-agne, -agnon, -igne[modifier | modifier le wikicode]

La terminaison en -igne pour le pannébulleux est notamment inspiré par l’alternance vocalique à -agne, et aiguillé par des noms épicènes tel bigne et indigne.

-ale, -al, -alium[modifier | modifier le wikicode]

Le pannébulleux s’inspire des génitifs latins generalium et principalium qui donnent entre autres générale et principale. Tous les termes alternant les terminaisons -ale et et -al ne dérivent pas pour autant du latin. Par exemple, amiral provient de l’arabe. Cela n’empêche évidemment pas l’existence de latinisations comme amiralium[1][2].

-ame, -am[modifier | modifier le wikicode]

Pour certains termes, l’usage hésite couramment entre un -am commun à l'ambigu et à l'équivoque ou à une alternance entre -ame et -am[3][4].

-ame, -om, -ab[modifier | modifier le wikicode]

Le terme dab, également graphié dabe, bien que vielli, qualifie une personne qui a du pouvoir : maître, patron, roi, dieu[5]. Or tant dame que dom proviennent du latin dominus[6][7] : maître, maître de maison, propriétaire, chef, souverain, arbitre.

-an (/an/)[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, ne concerne que Peranakan, padawan et végan.

-ancre[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, ne concerne que cancre, qui vient du latin cancer, ce dernier comptant cancrum dans ses flexions. D’où un alignement des suffixes ostantatoires calés sur les propositions déjà faites pour -um, à ceci prêt que dans ce cas l’homophonie avec -ǫme n’advient pas et cette terminaison peut donc s’employer sans ambiguïté.

-ane, -an (/ɑ̃/), -âme ou -anime[modifier | modifier le wikicode]

Provenant du latin -anus, tout comme les doublons étymologiques -aine et -ain[8], qui sert de suffixe adjectival locatif indiquant la provenance, l’origine, l’appartenance. Cependant ces doublons ne fournissent en eux-mêmes pas de forme épicène. En prenant comme point de départ la recherche d’un suffixe produisant des termes épicènes et retenant une morphologie dérivé, topant l’expression rationnale a?.*n.*e?. Une première sélection à envisagée les suffixes -aniste, -aine, -aune, -æne, -erne et -urne. Cependant, ils n’ont pas été jugés satisfaisant après une mise à l’épreuve sur à quelques termes idoines tel artisane, chambellane, charlatane, Extrémadurane, partisane, paysane, et vétérane.

Une nouvel sélection à fait ressortir le nom pusillanime, formé sur le latin pusillus : de très petite taille, et animus : âme. Ce qui paraissait particulièrement séant pour les individus qui contribuent avec âme et dévotion à leur art, leur chambre législative, leur tromperie, leur région, leur parti, leur pays ou leur armée. La simple reprise du suffixe -anime aurait certes put suffire. Cependant le souhait de fournir un suffixe tout aussi monosyllabique que -ane et -an s’étant si spontanément résolut sous les traits du morphe -âme. Il serait cependant quelque peu charlatanesque de ne pas mentionner que seul infâme emploi la terminaison -âme tout en proposant un terme épicène ; qui du reste n’est pas étymologiquement lié à animus. Il eut semblait tout de fois regrettable d’ignorer cette aubaine synchronique et de ne pas en tirer partie.

Concerne par exemple artisane, chambellane, charlatane, Extrémadurane, faisane, partisane et vétérane

-ane, -an (/an/), -oine[modifier | modifier le wikicode]

cette entrée exclue bien évidement tous les emprunts à l’anglais se terminant en -man qui constitue une majorité des noms de genre équivoque terminant en -an et prononcé /an/. D’autant que ceux-ci donnent généralement -woman à l’ambigu.

Pour garder une terminaison phonétique en /an/ qui se distingue tout de même des deux alternances -ane et -an, il semblerait que seul -oine soit envisageable. D’autant plus si la contrainte de se caler sur des épicènes existant est prise en compte, ce qui est validé pour cette proposition par exemple par Assiniboine.

-ante, -ant, -aître[modifier | modifier le wikicode]

En source d’inspiration pour le suffixe pannébuleux peuvent être cités quartier-maitre et traître, défunte et junte, ainsi que chantre. Comparer à -ente, -ent, -être qui maintien sur le pannébuleux l’homophonie déjà présente sur l’ambigu et l’équivoque.

-aide, -aid, -aidroine[modifier | modifier le wikicode]

Cette proposition s’appuie d’une part sur le couple lexical laideronne, laideron largement attesté, et la proposition de triplet déjà exposé par ailleurs -onne, on, -oine. Dans le corpus considéré, il ne semble pas exister d’autre couples faisant alternance entre -aide et -aid que laide et laid.

-aire[modifier | modifier le wikicode]

Cette terminaison n’est cependant pas toujours employé pour former des termes préablament épicène. Par exemple allocutrice, allocuteur et allocutaire. Pour ces cas d’hétérogénité dans les genres flous, se référer aux entrées associées des triplets -trice, -teur, -taire et -ielle, -iel, -éaire.

Lorsque le terme suffixé termine déjà par un -i-, la présente proposition opère l’amuïssement de cette voyelle : intermédiẽl, intermédìre.

-aphe[modifier | modifier le wikicode]

Concerne notamment les termes suffixés en :

  • -graphe qui dérive de graphein/γράφειν :écrire, égalementégraphone/ἔγραφον à l’imparfait [9][10] ;
  • -taphe qui vient grec ancien táphos/τάφος : enterrement, également toû táphou/τοῦ τᾰ́φου et toîn táphoin/τοῖν τᾰ́φοιν au génitif[11][12] ;
  • -scaphe, de skaphê/σκάφη : barque, qui compte skaphôn/σκᾰφῶν parmi ses flexions génitives[13][14].

Vraisemblablement tous les termes en -aphe proviennent également du grec ancien, la séquence -ph- translittérant la lettre phi (φ). C’est par exemple encore le cas de élaphe qui dérive de élaphos/ἔλαφος : biche ou cerf, fléchie également à l'accusatif sous élaphon/ἔλᾰφον[15][16].

Se constate donc parmi ces racines la présence de formes finales en -oïn(e), et -on(e), d’où le fait de dériver les suffixes ostentatoires en les calant sur ceux déjà proposés pour -onne, -on, -oine et -ine, -in, -ène.

-arde[modifier | modifier le wikicode]

Cette terminaison est notamment épicène pour garde et sarde, dérivant respectivement du latin warda et Sardus pour lesquels des flexions accusatives wardam, Sardăm offrent une base commune suffisante pour inspirer le suffixe générique -ardāme et de là les autres suffixes ostentatoires[17][18].

-arde, -ard, -âtre[modifier | modifier le wikicode]

Le couple suffixal -arde, -ard découle du vieux-francique -ard : dur, fort, qui a donné l’allemand hart de même sens. Il servent souvent à former des termes péjoratifs, comme bâtarde ou vicelard. Il peut être noté que certains termes comme salopard sont d’usage familier fréquent tandis que pour son pendant saloparde ne se trouvent que de très rares attestations[19][20][21][22][23][24].

Cela dit, la même terminaison connote par ailleurs quelque accointance plaisante, populaire, voire argotique, comme dans pénarde ou veinard. Elle sert aussi à indiquer l’appartenance, le lien avec une activité, un objet, une époque, un lieu, un mouvement ou une cause à laquelle on adhère comme dans montagnard ou thésarde. Il se trouve même dans des gentilés comme Heyriard, ou Houcharde. Ainsi que dans des noms d'animaux comme cocard ou épaularde, encore que comme souvent pour les noms de vivants non-humains, l’attestabilité de l’alternance est souvent rare, voir contrevient à l’usage qui propose une alternance radicale. De même, et de manière plus systématique encore lorsque la terminaison forme des désignatifs d’objets abiotiques, comme billard ou carde.

De son côté -âtre sert de suffixe formant des adjectifs, souvent subséquemment substantivé, donnant un sens d’excès dans l’insuffisance, comme nullâtre, ou dans la suffisance, comme dans opiniâtre. Il peut aussi marquer une nuance d'atténuation de la notion exprimé par le radical comme dans surdâtre, ou d’approximation affaiblissante comme fillâtre. Enfin, souvent concurremment à l'une des connotation précédente, il peut avoir une valeur de péjoration comme dans finâtre ou gentillâtre. D'origine latine, son ascendant -aster a également le sens de variété sauvage, notamment dans les noms de plante tel oleaster : olivier sauvage.

Les sémantiques préexistantes se recoupent donc de façon suffisament ample pour rendre le trio proposé cohérent sur le fond. Quand à la forme tous trois sont descriptibles par l’expression rationnelle [aâ](dr|rt)e?, c’est à dire entre composé d’une voyelle ouverte antérieur (/a/) suivi d’une consonne alvéolaire spirante (/ɹ/) autrours de laquelle gravite une consonne alvéolaire occlusive (/d/ ou /t/) suivi d'un éventuel e caduque terminal.

-aise, -ais, -us[modifier | modifier le wikicode]

Comme -ois, -ais dérive de l’ancien bas vieux-francique -isk ou du latin -ensis[25].

Parmi les épicènes pré-existant en -us se trouvent angus, Erasmus et môzus. Sur le plan de la graphie, le -s- offre un pont mnémotechnique.

Pour l'inanimé -ǫse, outre une alternance harmonieuse à l'ambigu, il s’aligne sur le choix déjà opéré pour mots grammaticaux ostentatoires et de surcroît rappel le mot chose dont la sémantique converge opportunément avec celui d'inanimé.

as[modifier | modifier le wikicode]

Le terme as dérive du latin homographe, qui vient lui-même du grec ancien eis/εἷς : un, et ses variantes en dorien ais/αἴς, et en tarentin as/ἄς.

-ate[modifier | modifier le wikicode]

Des traîne-savate aux diplomates en passant par les pirates et autres philobates, ce sont tous des primates désignés par un terme épicène en -ate.

-ate, -at, -aîstre[modifier | modifier le wikicode]

Le choix de -aîstre comme suffixe pannébuleux permet à la fois de s'approcher phonétiquement de -estre, comme dans bourgmestre, et de la terminaison graphique -aistre que l’ancien français emploi par exemple dans maistre. Ces rapprochement sont d’autant plus séant pour les métiers de l’avocature qui maintien volontiers le terme de maître comme titre honorifique donné à ses membres. L’emploi du -s- sonore permet d’éviter les dérivations malencontreuse comme magistraître, ou la présence de la séquence terminal -traîte évoquerait trop aisément l’idée de trahison, de perfidie.

[modifier | modifier le wikicode]

re des individus nommés d’après des noms d’espèce comme homininé, ou d’un groupe ethnique tels Bamiléké, et Nez-Percé, l’invariance de la terminaison lexical flou en -é se constate notamment dans des apocopes, tels indé et kiné.

-ecte[modifier | modifier le wikicode]

Ne s’applique, dans le corpus considéré qu’à architecte, stararchitecte et starchitecte, dérivant du latin architectus, lui-même du grec arkhitektôn/ἀρχιτέκτων : maitre-charpentier, et donc lié au latin tectum : toit[26][27]. Ici ce sont donc les flexions d’architectus, notamment architectī, architectō, qui inspirent celles des genres ostentatoires.

-ecte, -ect, -ectum[modifier | modifier le wikicode]

Alternance ne s’applique qu’à suspecte, tout au moins dans le corpus considéré réduit aux termes personnels. Ce terme dérive du latin suspectus, dont est tiré la flexion suspectum. De là les suffixes de genre ostentatoire, se calent sur les propositions déjà faites pour le suffixe épicène -um.

-effe ou -èfe ou -effesse ou -eftaine, -ef, -ève[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, ne s’applique qu’au radical chef-. Celui-provient de l’ancien français, qui le rend par chiés et chief respectivement au cas sujet et au cas régime, tous deux dérivant du latin caput :tête[28]. Ce dernier est donné comme dérivation de l’indo-européen commun *káput : tête, pot, qui serait entre autres aussi à l’origine de Haupt en allemand, et head en anglais, tous deux ayant le sens de tête[29].

L’alternance pannébuleuse en -ève peut s’appuyer sur l’étymologie de chève, qui correspond à plusieurs forme du verbe chever, qui pour sa part vient de l’ancien français chever : finir, achever, lui même issu du latin *capare : mettre un terme, ce dernier étant évidement lui aussi dérivé du latin caput. La terminaison -ève se retrouve dans les termes épicènes élève et Suève.

Il faut nauter que du fait de son origine métaphorique, le terme chef dans un groupe nominal de genre équivoque peut désigner des personnes quelque soit leur sexe. Cela à l’instar du mot tête, qui désigne statistiquement plus un individu mâle dans l’expression la tête de ce réseau mafieu, et statitisquement plus un individu femelle dans la tête de la promotion universitaire[30][31]. Tout un ensemble de synonymes signifiant partie la plus prévalante d’un organigramme social arborescent servent d’ailleurs de base à des métonymies analogique : cerveau, cervelle, couronne, matière grise, pointe, sommet, visage. Ceci étant, contrairement à ces derniers, en perspective synchronique les locutaires semblent souvent ignorer ou ne pas tenir compte de cette origine métaphorique, au point de favoriser l’émergence d’usages lui appliquant une alternance morphologique — voilà bien un comportement de tête de mule que chacun jugera à l’aune de ses propres lumes.

-ègue, -eg, -ège[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré cette alternance ne s’applique qu’à Touarègue, dont l'ambigu Touareg est également employé de manière épicène, parfois également donné comme invariable au pluriel. Cette unité lexicale vient de l’hassanya ṭwāreg/طوارق : oubliés de Dieu, à moins qu’il ne dérive de Targa, une région de Libye[32]. Au sein de cette communauté les personnes se désignent elle-smêmes par l’endonyme Kel-tamasheq, c’est-à-dire celles qui parlent la langue touarègue, le tamasheq[33][34].

Vis-à-vis de l’arabe, le terme Touareg transcrit la forme plurielle de Targui. Ceci expilque que l’usage fait concourir plusieurs variantes d’unités lexicales, avec ou sans flexions sur le genre et le nombre. En plus de Touarègue, les formes ambigues comprennent également Targuie et Targuia, qui au pluriel peuvent donner Targuies, Targuiat et Touarègues, encore que Targuiat soit également graphié Targuiât et employé au singulier[35][36][37][38][39]. L’équivoque pour sa part, outre Touareg, connaît également Targui, le tout étant rendu au pluriel par Targuis, Targueg ou Touaregs.

Dans l’étendue du cyberespace se trouve des occurences de Touarigue, du fait d’erreur de reconnaissance automatisé[40], ou encore comme lexie forgé volontairement en tant que nom de marque[41]. Le terme Touriane semble employé comme nom de famille, bien que sans rapport au berbère[42]. Le terme touariste semble être employé comme mot valise, formant un mixe avec touriste[43].

Pour le pannébuleux la proposition retient -ège qui rappelle la terminaison du terme épicène stratège et maintient une cohérence morphologique avec -ègue et -eg.

-eille, -eil, -aille[modifier | modifier le wikicode]

Pareille vient du latin pariculus fléchie également en parĭculum, du latin classique par, paris : égal, qui donne également le catalan parella, le portuguais parelho, l’occitan parelh et l’espagnol pareja[44][45][46][47][48][49][50][51].

De plus, le français lui-même, tout comme le gallo, à déjà fait usage de parail et paraille[52][53][54], tandis que pareuilles se trouve dans le parler du Pays de Retz[55] qui s’harmonise oralement avec des termes de diverses graphies comme accueil, feuille et œil.

-erc[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, ne concerne que clerc. Celui-ci vient le moyen et l’ancien français homonymes, vient du latin clericus, lui-même de l’adjectif en grec ancien klêrikós/κληρικός : qui est relatif à un héritage, que des institutions religieuses ont tourné en personne qui reçois le divin pour seul et unique héritage[56][57].

Le latin connaît aussi les flexions clerice, clericī, clericīs, clericō, clericōrum, clericōs, clericum, clericus[58]. Le grec ancien lui emploi klēriké/κληρῐκέ, klērikoîn/κληρῐκοῖν, klērikoîs/κληρῐκοῖς, klērikoí/κληρῐκοί, klērikôi/κληρῐκῷ, klērikón/κληρῐκόν, klērikôn/κληρῐκῶν, klērikós/κληρῐκός, klērikoús/κληρῐκούς, klērikoû/κληρῐκοῦ, et klērikṓ/κληρῐκώ[59].

Les même racines donnent l’anglais cleric et clerk, le breton komis, l'espagnol : clérigo, l’italien chierico, l’occitan clèrgue, le polonais kleryk et le portugais clérigo. En français en dérivent également clergé, clergeon, clergeonne, clergesse, clergie, clérical, cléricat et clergyman – ce dernier étant évidemment emprunté à l’anglais.

-em[modifier | modifier le wikicode]

Certains termes en -em ont été historiquement employé exclusivement au genre équivoque, mais tendent à se diversifier. C'est par exemple le cas de golem[60].

-ente, -ent, être[modifier | modifier le wikicode]

Le suffixe -ent dérive du latin -ens finale du participe présent de verbes en -ere, -ire[61][62].

À l'ambigu, parente répond déjà usuellement à parent, et corriente s’avère pannébubleux. C'est tout de fois sur ancêtre qu’est puisée l’inspiration pour le suffixe -être.

À noter également le lien sémantique préexistant entre -ent- dans entitié et -ont- dans ontologie.

-eresse, -eur, -urge[modifier | modifier le wikicode]

Les extensions ostentatoires sont ici largement calées sur les entrées pour le pronom personnel leur dans la section dédiée aux mots grammaticaux. Pour le pannébuleux, oligarque et scholarque forment des prototypes idoines.

-ète[modifier | modifier le wikicode]

L'office québécois de la langue française explicite cette terminaison de manière explicite épicène pour athlète, catéchète, poète et interprète[63]. Les trois premiers viennent respectivement du grec ancien âthlos/ἆθλος évolution de áethlos/ἄεθλος, poiêtếs/ποιητής et katēkhētḗs/κατηχητής. De son côté interprète est issue du latin interpres, interpretis dérivé de pretium, au sens de prix, valeur, qui est lui-même rattaché à l’indo-européen commun *per : trafiquer, vendre. De ce dernier serait également issus les termes latins reciprocus : réciproque, paro :vendre, acheter, pars : part et les termes grecs anciens pérnēmi/πέρνημι : vendre, pórnê/πόρνη : prostituée[64][65][66][67][68].

Le Wiktionnaire pour sa part documente près d’une trentaine d’autres termes épicènes avec cette terminaison, dont quelques uns dérivent de ceux sus-cités : acémète, Adjalète, adjupète, agapète, alphabète, anachorète, analphabète, arpète, ascète, athlotète, bépoète, biathlète, cynégète, décathlète, duathlète, esthète, évergète, exégète, non-analphabète, parathlète, photo-interprète, poliorcète, proxénète, syzétète, technoprophète, thète, triathlète, zétète.

Le français emploie généralement le suffixe -poïèse pour construire des termes relatif à un aspect créatif, et exceptionnelement -poïète dans l'adjectif acheiropoïète[69][70]. Cela suffit à insipirer le suffixe -ìète et par suite les autres suffixes ostentatoires proposés sur cette entrée.

-ette, -et, -este[modifier | modifier le wikicode]

Pour le pannébuleux, c’est les termes épicènes baleste et Céleste qui inspirent de suffixe -este, qui du reste offre une proximité morphologique à l’alternance -ette et -et suffisamment explicite.

-ette, -ot, -iche ou -ouse ou -ouze[modifier | modifier le wikicode]

Pour cette alternance de suffixes diminutifs, l’équivoque retenue, -ot, pourrait potentiellement ouvrir à d’autres ambigus comme -ote ou -otte, mais rien de tel n’a été constaté dans l’usage. Son emploi en alternance à -ette est lui bien attesté. Comme toujours, quelques nuances sémantiques peuvent être en jeu. Par exemple gendarmot[71][72][73] est résolument péjoratif, là où une gendarmette est parfois employé sans volonté manifeste de dépréciation[74][75][76]. Pour autant tant l’usage que les recommandations officielles[77] tendent à préférablement employer une gendarme voir l’emphatique une femme gendarme. Et de fait gendarmette peut pour certaines personnes être considéré comme discriminatoire et sexiste[78].

-euve, -euf, -eune[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus étudié, ne concerne que le couple veuve et veuf, tous deux issus du latin viduus[79][80]. C’est cependant sur les critères phonétiques de préservation du monosyllabisme et de la voyelle /œ/ qu’est proposé -eune, qui du reste se trouve déjà le terme épicène jeune et son dérivé djeune.

-femme-, -marie-[modifier | modifier le wikicode]

La proposition de gem est insipiré par la reconstruction indoeuropéenne éponyme dont dériveraient aussi bien le grec gaméô/γαμέω : se marier, épouser, prendre pour compagne, que le latin geminus : jumeau, double[81][82].

À noter que marital, mariage et marier dérivent du latin maritus qui désigne l’époux, que l’étymologie à longtemps unanimement rattaché à mas : garçon, mâle, théorie désormais majoritairement subrogée par celle qui le dérive de l’indo-européen commun *meri̯o- : jeune homme, jeune fille, apparenté au grec meírax/μεῖραξ :fille, garçon, au breton mercʼh : fille au sanskrit marya/मर्य : amant, étalon, garçon, au lituanien marti: belle-fille ainsi qu’à Brito-martis où l’étymologie pense décrypter jeune fille douce ou sucrée[83][84].

De son côté matrimonial serait issu du latin matrimonium : mariage. Ce dernier se compose d’une part de mater : mère, lui-même de l’indo-européen commun *méh₂tēr de même sens[85][86]. Et d'autre part, matrimonium est attaché à munus : devoir, office, emploi, fonction, tâche[87], qui, à l’instar de munia : offices, est attaché à l’indo-européen commun *mei-  :changer, échanger ; dont les dérivés se réferent aux échanges de biens et services dans une société selon les lois et les règles établies, que les étymologiste lient par exemple aux termes tels commun, monnaie, municipalité, immunité, et rémunération.

Quand à nuptial, du latin nuptialis de même sens et dérivant de nuptiae : noces, venant de nubo : se voiler, se marier, en référence au voile que la tradition fait porter à la mariée lors de la cérémonie consacrant le lien conjugal[88][89][90][91][92]. Voile qui du reste, s’il est porté uniquement par la femme dans ce cérémonial, est employé dans toutes sortes de rites religieux, tout sexe confondus, au moins dès l’antiquité[93][94][95][96].

-femme-, -homme- et divers pannébuleux[modifier | modifier le wikicode]

La mise en relation de femme et homme en alternance l’un de l’autre advient dans de multiples contextes de sémantique varié. C’est pourquoi il a été jugé ici q’un unique pannébuleux ne saurait suffire à rendre toutes ces nuances de flou convenablement. Les inspirations pour chacune des propositions sont données ci-après, elles ont toute en commun le soucis du maintien de l’emploi d’un terme monosyllabique épicène existant et désignant des humains.

Le terme brave connote aussi bien une notion initialement laudative, incorporant le courage et la serviabilité. Cependant ce sens est souvent inversé de manière ironique une personne considérée sotte qui se laisse dominer et tromper. C’est bien la même configuration sémantique qui accompagne les termes bonhomme et bonne-femme.

Le terme clerc désigne une personne qui a incorporé une assemblé religieuse[97][98][99]. Le terme est épicène, bien que l’ambigu clergesse est également attesté[100][101]. Il convient donc pour tous les désignations de personnes étant entrées dans les ordres. Le membres du clergé se dissocient des personnes extérieur à leur groupe en les qualifiant de profanes, de laïcs ou de lais.

Le terme docte désigne une personne qui possède une érudition conséquente, notamment littéraire ou historique. Il pourrait donc potentiellement être employé avec tout type d’activité qui à réputation de nécessité une vaste connaissance du domaine en plus d’une expertise pratique. Le terme dérive du latin doctus : qui a appris, instruit, savant, docte, lui-même de doceo, qui sert également de racine au grec ancien didaskō/διδάσκω : enseigner, instruire, à comparer avec dogma/δόγμα : décision juridique. D’où un emploi d’autant plus judicieux de docte pour les métiers ayant trait au droit, à la justice et à la loi.

Le terme hère est notamment employé dans la locution pauvre hère, mais avant cela il semble s’être popularisé en Haute-Normandie, ou la hère signifie alors la dame, la maîtresse[102]. Plus avant son origine est incertaine, et des théories divergentes sont proposées. Il pourrait venir de l'allemand Herr, maître, seigneur. D’autres le rapproche du latin herus : maître. D’autres encore propose un emploi substantivé de l’ancien adjectif haire : pauvre, malheureux[103]. L’emploi épicène est aisément attestable[104], et il signifie dans ce contexte personne sans mérite, sans considération ou sans fortune. Il serait donc plutôt à employer pour des termes dépréciatifs, pérojatifs ou rabaissant, ou tout au moins associé à une notion de misère, d’infortune ou de vagabondage affligeant.

Le terme ponte désigne, entre autres choses, une personne importante, influente. Cela correspond généralement assez bien à l’archétype attaché aux personnes motrices dans les milieux d’affaires.

Le terme thète vient de la classification citoyenne athénienne antique, et désigne parmi les personnes libres celles qui, disposant de peu de ressources financières, sont contraintes à travailler contre salaire pour subvenir à leurs besoins[105]. D’où la proposition d’emploi dans les professions salariés.

Les expressions femme de main et homme de main, dont le pluriel traditionnel est gens de main forme supplétive à étymologie distincte[106]. Il sert d'abord à désigner des personnes d’exécution, souvent affublées du qualificatif brave[107], chargées d’exécuter les tâches. Et par extension, il sert à désigner un tueur à gage ou une tueuse à gage, c'est à dire une personne exécutant un projet homicide décidé par des commanditaires. D’où les suggestions d’alternance suivantes :

  • gjaks, meurtrier, personne qui perpètre une vendetta en application du droit coutumier albanais, le kanun[108][109][110] ;
  • croche, qui au Canada désigne une personne malhonnête, moralement douteuse ;
  • sicaire, personne embauchée pour perpétrer un assassinat.

Ce type de sélection peut être généralisée de façon ad hoc, et pour se faire maintenant l’aspect monosyllabique il est possible de puiser dans la liste suivante de termes : 

-seuf-, -reuf-, -adeuf-[modifier | modifier le wikicode]

Le pannébulleux est proposé par calque phonétique de seuf et reuf, verlant de sœur et frère, en partant du terme adelphe.

-fille-, -garçon-, -humble-[modifier | modifier le wikicode]

Au sens, employé subalterne affecté à un service particulier.

-i[modifier | modifier le wikicode]

Le fait d’appliquer ces variations sur des mots composés comme sans-souci ou sans-abri est laissé à la libre appréciation, bien que plus controversable, car la terminaison advient sur un morphe ne renvoyant pas à une forme biotique ni même animé.

-ile[modifier | modifier le wikicode]

Concerne notamment les termes en -phile, comme cataphile, près de 200 termes dans le corpus considéré, en plus de quoi dans les désignatifs personnels se trouvent bogomile, débile, habile, imbécile, inutile, juvénile, Kablie, sans-asile et vigile.

-ile, -il, -iliane[modifier | modifier le wikicode]

Pour les cas comme civil provient du cas sujet de l’ancien français qui connaît également civilien dont dérive l’anglais civilian. L’ensemble de ces termes viennent du latin cīvīlis qui compte notament civilium parmi ses flexions[111][112][113][114][115].

-iellle, -iel, -éaire[modifier | modifier le wikicode]

Assez rare pour des désignatifs personnels, cette entrée permet néanmoins de dissoudre les collisions autrement envisageable pour les termes altérant -ielle et -iel. Par exemple sur les racines caractér- ou industr-. L’exemple donné sur offic- démontre l'intérêt d’un -é- plutôt qu’un -i- intercalaire pour le pannébuleux : il permet d’éviter une confusion possible que porterait le terme officiaire[116]. Ce faisant il ouvre cette souplesse d’alternance vocalique pour les suffixes ostentatoires. De plus il permet d’obtenir un ensemble homogène de suffixe ostentatoires tout en évitant un rapprochement du suffixe inanimé à celui rendu par -iol, à la sonorité parfois péjorative, comme dans mariole.

-ienne, -ien, -iste ou -iane[modifier | modifier le wikicode]

Pour le pannébuleux, deux formes sont généralement envisageable et parfois même employé concurremment. Le même phénomène se retrouve en anglais ou par exemple tant Wikipedian que Wikipedist est envisageable, bien qu’en pratique le premier soit favorisé car jugé plus enclin à susciter le sens d’une appartenance à un groupe, le suffixe -an étant notamment courant dans les gentilés[117]. Tout comme le sont -ienne et -ien en français, encore que l’unique Rochefourchatien pourrait servir de base pour défendre l’idée d’un rattachement au lieu lui-même plus qu’à un groupe endémique[118]. Pour les activités exercés de manière professionnelle, le français ne semble pas favoriser de façon prépondérant l’un où l’autre. Par exemple -ienne apparaît dans 88 entrées contre 123 -iste dans la liste d’appellations de personnes de l’office québécois de la langue française[63], tandis que la liste des métiers fournie par Wikipédia recense 69 termes en -iste et 42 en -ien sur plus de 600 entrées[119][N 1].

Certains noms de métiers pannébulisés en -iane trouvent déjà des emplois sur la toile : comédiane[120], grammairiane[121], informaticiane[122], technicianne[123][124].

-ique, -ic, -icatestre[modifier | modifier le wikicode]

Ici c’est notamment le cas de l’alternance entre syndique et syndic qui pose la question d’une forme supplémentaire pour le pannébuleux.

Étant donné que le terme est, au moins dans l’un de ses sens, synonyme de bourgmestre et que l’usage emploi déjà des termes comme syndicat, syndication et syndicature, celui de syndicatestre parraît une proposition plus à même de se fondre dans les usages existant[125][126].

Par ailleurs, les termes employant cette série suffixale le font par dérivation de l’indo-européen commun *-ik, suffixe adjectival qui donne le grec ancien -ikós/-ικός et le latinn -icus[127]. Par exemple scientifique vient du latin scientificus, décomposable en sciens/scientis : qualificatif d’une personne qui connaît, qui sait, qui instruit et déverbation de facio : faire, exécuter, effectuer, accomplir[128] sur le même modèle que gratificus : bienveillant et pacificus : pacifique. D’où le parallèle avec le suffixe -urge, issue de érgon/ἔργον : travail, pour former la proposition -icurge.

-maîtresse-, -maître-, -mestre- ou maître uniquement[modifier | modifier le wikicode]

L’usage semble demeurer timoré quand à l’emploi de l’affixe -maîtresse-, et semble favoriser d’avantage -maître- comme unique forme flou. Possiblement, la connotation sulfureuse du terme maîtresse rend plus réticent à son emploi dans des qualificatifs professionnels.

Le poste de maîtresse d’école paraît échapper à ce nefas[129][130][131], sans pour autant se soustraire complètement à son incidence fantasmogène[132][133][134]. D’autres termes comme contremaîtresse semblent susciter moins de réactions de rejets épidermiques ni déclencher de passions libidinales[135][136][137][138].

Certains mots composés de là sorte semblent accepté lorsqu’ils opèrent de manière circonscrite tel maîtresse-chien[139][140][141], mais sont jugés saugrenus lorsqu’ils opèrent une transformation sur l’ensemble des composants comme maîtresse-chienne[142]chienne pouvant notamment signifier femme délurée et lubrique.

D’autres termes comme maîtresse-verrier ou maîtresse-verrière n’ont semble-t-il jamais été employé dans des publications disponibles en ligne.

Ce sont les considérations dans les grades qui semblent susciter le plus de réticences, au point que les termes correspondant sont employés principalement de manière péjorative, pour en proscrire l’usage, ou railler toute forme de féminisation des titres de métier, par exemples pour quartier-maîtresse[143][144][145][146] et quatrière-maîtresse[147][148][149][150][151]. Au passage sur ce dernier il faut noter l’existence de quartier-mestre, dont l’emploi pour désigner les maréchaux des logis dans les régiments de cavalerie étrangère est tombé en désuétude[152].

-ointe[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, une terminaison en -ointe ne concerne que témointe, qui est une forme d'alternance rare à témoin, à l'instar de témoigne et témoignesse[153]. En effet témoin est généralement considéré utilisable pour désigner tant des individus femelles que mâles, tout en restant au genre équivoque :

Cette lapine, rescapée de l’élevage intensif, est un témoin oculaire de l’éternel Treblinka contenporain[154].

Toutefois, même là son emploi en ambigu est parfois préféré pour désigné des individus femelles, notamment dans le cas d'êtres humains :

La doyenne de l'humanité est une témoin privilégiée de l’histoire humaine.

À la limite accointe, désignant une personne parente par alliance, pourrait fournir une base au procès inverse pour désigner un accoint, mais rien de tel n’a été repéré dans les usages.

Les autres termes en -ointe et -oint, comme cache-pointe ou pousse-pointe, ne désignent pas en première instance des être sexués.

Pour ce qui est de témoin, il dérive du latin testimonium, d’où une proposition de terminaison en -onium pour le pannébulleux.

-on (/ɔ̃/)[modifier | modifier le wikicode]

La terminaison phonétique /ɔ̃/ peut être employée de manière épicène et graphiée -on, par exemple dans anticivilisation où le qualificatif désigne la personne à qui est imputé ce trait, dans Poisson et Scorpion où le signe astrologique est donné pour désigner la personne supposé née dans l’une des périodes calendaires correspondantes, ou encore dans souillon en tant que suffixe déverbal. C’est donc plus par la possibilité de rapprochement à un autre terme synchronique dont type lexical n’admet pas de flexion, que dans l’étymologie diachronique que s’explique cette différence de traitement épicènique.

-on (/ɔn/)[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, cette association scriptophonétique épicène ne semble s’appliquer biotiquement qu’à orpington. Ce terme désigne les individus membres d’un race de poules, race originaire du Royaume-Uni d’où la sonorité anglophone. Aucun terme s’appliquant directement à des humanoïdes n’a été repéré.

-one[modifier | modifier le wikicode]

La terminaison phonétique /ɔ̃/ peut être employée de manière épicène et graphiée -one, majoritairement pour des termes employant le suffixe -phone pour lequel le corpus compte plus de 90 entrées issues donc de phônê/φωνή : son, voix. Viennent ensuite une demi-douzaine de termes en -ctone, plus des variantes en -cthone, issues de khthṓn/χθών : terre. Enfin, outre l’exemple de cicérone déjà donné, cette terminaison est présente dans carpione – parfois d’ailleurs également graphié carpion, sans qu’aucune altération ne soit conjointement valante pour sa prononciation.

-one ou -onne, -on, oine[modifier | modifier le wikicode]

La majorité des alternances phonétiques suffixales entre /ɔn/ et /ɔ̃/ se graphient -onne et -on. Aussi ette section débute par l’analyse des cas moins fréquent où l’ambigu se graphie -one.

Pour le cas où il s’applique strictement à une personne humaine, comprends notamment l’alternance entre péone et péon. Ce couple partage le même étymon que pionne et pion, à savoir le latin pedo/pedonis : fantassin, apparenté à peón en espagnol, pedone en italien, peão en portugais et pawn en anglais, le tout pouvant être rattaché au latin pes : pied[155][156]. Voir la section décrivant -ied pour plus d’informations sur les autres rapprochement étymologiques qui en découle.

La mythologie fournie la désignation des divino-humanoïdes démone et démon que supplémente démonesse, qui via le latin daemon : esprit, génie, démon, proviennent du grec ancien daímôn/δαίμων : divinité, génie, lui même de daíomai/δαίομαι : partager, donner[157][158]. Ce dernier par ailleurs, après suffixation substantivituqe de -mos,-μος, donne dêmos/δῆμος : peuple. À noter que parmi les flexions du grec ancien se trouve daíomon/δαιμόνοιν.

Hors des sentiers humanoïdes, tout en restant dans le giron du biotique, se trouve par exemple l’alternance entre buflone et buflon.

En basculant vers les cas les plus fréquent d’alternance entre -onne et -on, allant de aiglonne à Wallonne, en passant par championne et marmitonne, se dresse le constat que tous repose sur une terminaison dérivant du latin -o, au génitif rendu par -onis, désignant des êtres vivants, parfois des choses ou des animaux ; qui a pris une valeur augmentative en bas latin[159]. En français, une valeur diminutive prévaut, surtout pour les petits des animaux et fourni souvent des désignatifs personnels pour des bases à valeur péjorative, comme dans couillonne ou pochetron.

-ogue[modifier | modifier le wikicode]

Mis à part pour -ǫ-, ici la propositions d’alterances ostentatoires se font par simple substitution du -o- par syllabe générique marquant chaque genre. Pour le permier, l’emploi de -ǫrgue- peut notamment être comparé à :

  • cyborg : pour un sujet dont le caractère organique est alétéré par des traits considérés artificiels et abiotiques ;
  • gorgue : chéneau et gargouille des toits, pour un exemple d’objet potentiellement humanoïde mais assurément abiotique ;
  • morgue : pour un concept désignant un trait de caractère, ou encore pour désignant un lieu
    • orgue : pour un objet meuble qui à défaut d’une âme ne manque pas de souffle ;
  • sorgue : pour un concept, en l’occurence celui désignant la période de la nuit.
-ote, -ot, -onte[modifier | modifier le wikicode]

Ici c’est la proximité scriptoriale qui guide la proposition de -onte. Les suffixes pannébuleux sont calés sur la proposition déjà faite pour -ante, -ant, -aître, où apparaissait déjà -ǫnte comme suffixe de l’inanimé. En l’occurrence celui-ci est remplacé par -ǫïde par analogie à -oïde. Ce dernier est souvent employé pour signifier un objet ayant une caractéristique évoquant une classe d’entités, tout en faisant défaut à quelque supposé essence ontologique.

-oute[modifier | modifier le wikicode]

En forme de terminaison finale ce suffixe épicène se trouve dans des termes hypocoristiques, argotique ou d’affiliation à un groupe. La nuance affective et caressante forme papoute, l’argot emploi rouquemoute, tandis que la notion d’appartenance est présente dans Aléoute, macoute et Iakoute – aussi graphié Yakoute. Il faut noter que ces trois derniers termes tirent leurs étymons de sources distincts, le premier et le dernier venant du russe, respectivement inspirés par Aleuty/Алеуты, via l’anglais Aleut[160] et par Iakut/Якут[161] . Le second vient du créole haïtien apparenté à l’espagnol macuto : sac, besace[162].

À noter que biloute, au sens de personne pour qui est ressentie un sentiment d’amitié, ne s’emploie guère que pour des personnes de la gent masculine, mais qu’au besoin il peut s’employer au genre ambigu sans modification morphologique[163].

En outre -oute apparaît aussi comme terminaison morphique interne dans boutefeu, où il provient de l’ancien verbe français bouter :mettre[164]. D’où une proposition calée sur celle déjà fourni pour -ant, qui sert également de désinence marquant le participe présent.

-oute, -out (/u/), -outarque[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré seul l’alternance de maraboute vers marbout semble concerné par cette association où le terme au genre équivoque garde un -t final tout en basculant vers une prononciation qui le laisse muet. Le mot en question viens du portugais maraboto, marabuto, lui-même de l’arabe murâbiTũ/مُرَابِطٌ : assidu[165]. Cela suffit à inspiré des suffixes ostentatoires -ǫte, -ûte et le reste de la série par analogie.

Or les deux termes renvoient à des dignitaires locales de quelques religions. D’où la proposition de pannébuleux -outarque, basé sur le suffixe -arque qui sert à former des noms correspondant à une notion de pouvoir, de chefferie ou de directoire.

-oute, -out (/ut/), -outiste -ou -outille ou -oude[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré les autres variantes ne concerne que l'alternance scoute, scout. Ils sont issues de l’anglais scout : éclaireur, lui-même provenant de l'ancien français escoute : sentinelle, guetteur, dérivé du verbe escouter : écouter[166].

Une des possibilité de proposition envisagé ici se base sur la terminaison -ille, comme dans le terme épicène pupille, et également présent dans écoutille, qui au sens figuré renvoie à l’oreille et par extension à l’écoute, à l’attention vigilante. Une telle piste permet donc de former le terme scoutille.

Une autre piste est de considérer la proximité phonétique entre les deux consonnes phonétiques occlusives alvéolaires -t- et -d-, pour former scoude. À comparer également au latin audiō :, ouïr, entendre et ausculto : écouter attentivement[167][168] La terminaison -oude peut se prévaloir d’un usage pannébuleux à l'instar de ce qu’elle opère dans le terme Tchoude,

Ont ici également été envisagé et récusés des dérivations basé sur des terminaisons en -tès ou -tis, tentant de s’inspirer des mécanismes de formation des noms d’agent du grec ancien[169].

-oute-, -out (/ut/), -outie[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, ne s’applique qu’à Tangout. La terminasion en -ie se calle sur d’autres désignatifs ethniques épicène tel Chérokie et Mincopie, et les suffixes pannébuleux se callent sur ce qui à déjà été proposé par ailleurs pour les termes épicènes en -ie.

-oute, -ou[modifier | modifier le wikicode]

chouchoute, filoute, voyoute

-out (/ut/)[modifier | modifier le wikicode]

Le terme épicène mahout, synonyme de cornac, est emprunté à l’anglais qui lui-même le tire de l’Hindi mahāvat/महावत, construit sur le Sanskrit mahāmātra/महामात्र : haut fonctionnaire[170].

-ownesse, -own[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, ne concerne que clown et poisson-clown. Il faut noter d’abord que clown est aussi bien employé de manière épicène qu’en alternance de clownesse.

Sur le plan étymologique, l’anglais à d’abord connu des variantes morphologique comme clowne et cloyne avant de se stabiliser sur clown[171]. Son origine antérieure reste controversée et donne possiblement :

  • d’un dialecte scandinave, par comparaison avec l’islandais klunni : camarade malhablie ou rustre, au suédois kluns : imbécile pénible, camarade malhabile, le danois klunt : bûche, bloc, qui peut être rapproché par exemple de tête de bûche ou de l’anglais blockhead : imbécile ;
  • d’un dilacte du bas allemand, par comparaison au frison klönne et au néerlandais kloen, personne malhabile ;
  • du latin colonus : colonist, paysan — cette hypothèse n’étant cependant souvent mentionné que pour mieux la désavouer.
-jointe, -joint, -jugum[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, seuls les ambigus adjointe et conjointe sont concernés. Tous deux dérivent du latin adjungō,

Le terme lexicalement proche adjudicataire, dérive du latin jūdicare, dont l’étymon jus est apparenté à jungo[172][173], et donc à adjointe et conjointe, tout comme à conjugat et adjuvat[174][175][176][177].

D’où, complémenté avec le suffixe -um, la proposition d’une alternance pannébuleuse en -jugum, sachant que le latin jugum signifie entre autres liaison, lien commun et joug, attelage, paire, couple et connaît entre autres flexions juga, jugi, jugo.

-igue[modifier | modifier le wikicode]

Seulement quelques termes réfères directement à des humains, comme papefigue que Rabellais emploie en deux genres comme synonyme d’hérétique[178], où le terme plus populaire et contemporain zigue, variante de zig, également attesté sous deux genres[179][180].

-ine, -∅ ou -in ou -os, -ène[modifier | modifier le wikicode]

Pour cette entrée, la proposition de pannébuleux s’est avéré particulièrement ardu à sélectionner parmi les idées considérés. La proposition s'est notamment faite sur les critères suivants :

  • contient la séquence -in- ou -ne possiblement infixé d’autres lettres;
  • exempt de possibilité d’expansion par -e ;
  • la terminaison est déjà employé tant pour des termes ambigus qu’équivoques, possiblement les deux ;
  • non homophone à -ine ou -in .Les autres possibilités considérés furent :
  • -agne
  • -ane
  • -aine
  • -æne
  • -enne
  • -erne
  • -eine
  • -eintre
  • -erne
  • -eune
  • -iane
  • -igne
  • -inaire
  • -iniâtre
  • -ingue
  • -iniste
  • -inistre
  • -inja
  • -ino
  • -inque
  • -ioniste
  • -ionnaire
  • -inoque
  • -innos
  • -iurne
  • -one
  • -orgne
  • -oune
  • -ouine
  • -uano

Au final, -ène est retenu car déjà largement employé dans des termes épicènes comme aborigène, Émésène, mécène, orphène, schizophrène. De plus cette terminaison reste monosyllabique et se fond adéquatement en alternance vocalique de -ine. Le terme héroène est par ailleurs usuel en Normand[181].

-ine, -in, -ing[modifier | modifier le wikicode]

Le pannébulleux -ing trouve son inspiration dans Viking, d’où une proposition suggérée pour les désignatifs de membres d’un groupe culturel ou ethnique.

-oniale, -oine, -onaste[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, effectif seulement pour les membres d’institutions monastiques.

-oise, -ois, -ense ou -isque ou -ose[modifier | modifier le wikicode]

Le suffixe -ois dérive de l’ancien bas vieux-francique -isk ou du latin -ensis[182].

En espagnol, en italien et portugais -ense permet de construire des gentilés épicènes[183].

Des attestations de villagier[184][185] en nom, ou villagière[186] en adjectif se constatent, mais n’ont pas percolé dans cette proposition.

Quand à -ose, tiré de virtuose, il permet de débuter une série d’alternance vocaliques renvoyant à -oise et sa finale en /z/, consonne fricative alvéolaire voisée.

-orte[modifier | modifier le wikicode]

Pour un terme comme porte-parole, c'est sûr le morphe porte que l’alternance doit se faire : le terme réfère à la personne portant la parole. D’où des propositions pour les genres ostentatoires calés sur ceux déjà proposés par ailleurs pour -ant, la formation du terme composé étant analogique à celle trouvé par exemple dans le mot ayant droit. Le même raisonnement est à appliquer pour porte-bannière, porte-bourse, porte-flingue, porte-panier, porte-sceptre, porte-silence, et porte-sonnette.

-orte, -ort, -ortium[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, le couple d'alternance -orte et -ort ne semble concerner que les termes morte et mort ainsi que les termes où il apparaissent comme morphe. Or ces mots dérivent du latin mors qui compte le génitif pluriel mortium parmi ses flexions. Cette dernière forme est également retenu comme terme français singulier dans quelques œuvres de science fiction contemporaines[187][188]. Les propositions ostentatoires se calent sur celles déjà faites par ailleurs pour -ée, -é, -um.

-pied[modifier | modifier le wikicode]

Sur le corpus considéré, -ied est constaté uniquement sur des mots composés, terminant par pied ou pieds, comme va-nu-pieds. Au passage il peut être noter que pour former l’adjectif pédestre et le nom piéton, l’usage n’hésite pas à largement moduler les sonorités de leur commune racine étymologique latine pes qui se fléchie également sous la forme pedĕ, pedem, pedēs, pedī, pedibus, pedis et pedum[189]. Cet étymon est rataché à l’indo-européen commun *pṓds : pied, qui donne aussi par exemple le sanscrit pád/पद् : pied, le grec ancien poús/πούς, podós/ποδός et l’anglais foot.

-roi, -reine, -regnèstre[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, l’alternance entre -eine et -oi est constaté uniquement pour le couple reine et roi et son dérivé vice-reine et vice-roi.

D'où la proposition d’un pannébuleux qui renvoie à leur étymon latin commun regno : royaume, règne, et à -estre déjà proposé par ailleurs par calque de bourgmestre[190][191][192][193][194][195].

-trice, -teur, -taire[modifier | modifier le wikicode]

Pour ce qui est du genre arrhénophène, vitric porte déjà le sens de beau-père qui connote assurément le sens de mâle-humain.

-uste[modifier | modifier le wikicode]

Dans le corpus considéré, ne concerne guère que juste. Pour ce seul cas de désignation personnel terminant par -uste, il ne s’agit pas à proprement parler d’un suffixe nominal, seulement de la séquence terminale englobant sa dernière voyelle, qui en l’occurrence est également l’unique voyelle du mot.

-yste[modifier | modifier le wikicode]

Concerne majoritairement des noms sur base du terme analyste et de ses dérivés par préfixation : cryptanalyste, psychanalyste, socioanalyste par exemples.

-whip-[modifier | modifier le wikicode]

Ce terme, qui désigne un député qui est chargé du maintien de la discipline de son parti, est emprunté à l’anglais, où en ce sens il appocope le terme whipper-in : chasseur qui empêche les chiens d'errer[196][197][198]. Aussi, bien qu’il ne soit guère attesté dans une telle forme, il serait à considérer comme alternance de whippest-in, whippin-in ou whippix-in[199].

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