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Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-ey

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Cette terminaison se révèle épicène notamment dans attorney[1], cockney[2][3], disc-jockey, jockey,

Du côté des ethnonymes se trouve musey aussi graphié moussey, avec existence d'un usage invariable en genre et en nombre[4].

Le titre ottoman de bey n'a semble-t-il jamais été porté par une femme, quel qu'est pu être leur influence effective durant le sultanat des femmes, il en va de même pour les autres termes dérivés comme beylerbey, sandjakbey et du dey vassal du bey. Le même constat est faisable du côté du Maroc d’où provient le titre de muley, également transcrit mulay ou moulay.

Si parmi les très rares attestations de pialey pour désigner la personne qui écorche les chevaux morts il n'y a semble-t-il que des cas à l'équivoque, un usage invariant à l'ambigu devrait suciter d'autant moins de surprise que son emploi est extrêment limité.

Du côté du biotique, si guernesey est épicène, les termes spécistes son majoritairement unigenré :

  • le colley, chien
  • le dishley, mouton
  • le dombey, bœuf
  • le hackney, cheval
  • le kouprey, bovidé
  • le magney ou le maguey, plante
  • le mamey, arbre
  • le mangabey, singe
  • le mickey, jeune taureau
  • le vanzey, aussi dit sébestier, arbre
  1. « Une semaine d’enfer pour Donald Trump », sur Le blogue de Richard Hétu, (consulté le 18 novembre 2023)
  2. « Dictionnaire amoureux du polar - Pierre Lemaitre », sur Babelio (consulté le 18 novembre 2023)
  3. « Témoin à charge de Billy Wilder (1957) - Analyse et critique du film - DVDClassik », sur www.dvdclassik.com (consulté le 18 novembre 2023)
  4. « Le Tchad célèbre le festival Kodoma - Artiste Tchadienne », (consulté le 19 novembre 2023)