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Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-eintre

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Dans le corpus considéré, ne concerne que peintre.

Réflexion paradigmatique
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Celui-ci vient du latin pictor, devenu, en latin populaire pinctor. Le premier est formé par déverbal de pingo, dérivé de pictum, avec le suffixe -tor, issu de l’indo-européen commun *peik : tacher, colorer. Ce dernier donne le grec ancien poikílos/ποικίλος : tacheté, brodé, le protoslave püstrý puis pestrý : vif, coloré en tchèque, parfois rapproché de pikros/πικρός : piquant, aigu et de la la racine *pisat : écrire qui donne psát en tchèque. Aussi pingo peut être directement comparé à pango piquer, duquel il ne diffère que par l’alternance vocalique du radical.

Pour les alternances ostentoires, elles se calent donc sur le motif -p[āẽìǫú]c?[ņx]tre. Le terme púņctre serait envisageable, notamment dans la volonté de repousser autant que possible toute proximité lexical à pute. À comparer en l’occurrence à punctum : point géométrique, supin de pungo piquer. Cependant ici l'homogénéité de la série ostentatoire à été favorisée.