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Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-âtresse, -âtre

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Dans le corpus considéré concerne gentillâtresse[1][2][3] et gentillâtre, mulâtresse et mulâtre, pâtresse et pâtre .

Réflexions paradigmatiques

Dans les deux cas, il a même sens que -âtre. Ici l'isonèphe n'est donc plus virtuel, mais les mêmes propositions peuvent être reprisent, donc un isonèphe en -âtraire, et la série ostentatoire -âtriẽre, -âtrìre, -âtrāre, -âtrǫre, -âtrúre.

  1. ↑ Eugène Le Roy, « Mademoiselle de la Ralphie (1906) », dans {{Chapitre}} : paramètre titre ouvrage manquant, F. Rieder et Cie, (lire en ligne), p. 169–190
  2. ↑ Eugène Le Roy, « Mademoiselle de la Ralphie (1906) », dans {{Chapitre}} : paramètre titre ouvrage manquant, F. Rieder et Cie, (lire en ligne), p. 7–302
  3. ↑ « Page:Eugène Le Roy - Mademoiselle de la Ralphie, 1921.djvu/192 - Wikisource », sur fr.wikisource.org (consulté le 17 mars 2024)
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