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Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/⟨désignatifs biotiques aux phylophénies hétérolexicales⟩

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Cette section se focalise sur les termes qui désignent des êtres vivants et qui possèdent au moins une alternance de geste qui se traduit par des bases qui au moins en synchronie sont foncièrement distinctes, par opposition donc aux termes qui possèdent une base commune avec des suffixes différents ou en relation évidente d'alternance vocalique. Autrement dit, il s'agit ici d'analyser plus spécifiquement les paradigmes qui connaissent des formes supplétives plutôt que simplement allomorphiques[1].

En effet, la majorité du biotique ne connaît que des désignations haplogestes, auxquels l'adjonction d'un adjectif comme femelle ou mâle vient préciser le sexe au besoin, quand le contexte ne suffit pas déjà à déterminer cette information si tant est qu'elle soit d'un intérêt quelconque pour la situation. Moins courant donc déjà sont les termes qui marques le biotique de suffixe indiquant une sexuisemblance, et les termes qui connaissent des flexions aussi radicales que celles présentées ici se limitent à des êtres qui occupent une place toute particulière dans l'intérêt qu’y portent les locutaires[2][3][4][5][6][7]. Il peut d'ailleurs être rappelé qu'outre le génotype des créatures concernées, le lexique peut aussi spécifiquement rapporter une situation juvénile prénubile, comme la velle et le veau par rapport à la vache et au taureau, ou de stérilité induite comme le bœuf ; ou au contraire spécifiquement dévolu à la reproduction comme le matou. La diversification peut bien sûr être sans aucun lien au cycle reproductif, comme un haret pour désigner un chat devenu sauvage. Certains animaux ont des désignatifs différenciant pour les individus juvéniles mais pas pour les adultes, par exemple une cygnette et un cygne à comparer à cygne. Certains termes sont beaucoup plus fréquent pour un geste que pour l'autre, par exemple pour faonne et faon[8].

Femelle Mâle Commentaire
abeille faux-bourdon Le terme abeille est généralement considéré simultanément comme générique et comme principalement désignatif des femelles qui sont sous-classées entre ouvrière stérile et reine reproductive.

Les termes avette et mouche à miel sont synonymes de abeille. Les juvéniles au stade précoce sont des larves avant de passer au stade intermédiaire de nymphe.

brebis bélier Le terme mouton est généralement considéré comme plus générique. L'usage retient également moutonne.

Le terme ovin est un hyperonyme qui comprend notamment moutons et mouflons. Les individus juvéniles sont nommés agnelle et agneau, agnelette et agnelet, antenaise et antenais, vacive ou vassive, vassiveau, broutarde et broutard.

biche cerf Le terme cerve est synonyme de biche, bien que très rare.

Les individus juvéniles sont nommés faone et faon, hère, brocard, daguet, seconde tête.

Des termes spécifiques pour des ages plus avancés sont retenus par l'usage : dix-cors jeunement (6 ans), dix-cors (7 ans), grand dix-cors (8 ans), grand vieux cerf (9 ans).

jument étalon Le terme cheval est généralement considéré comme plus générique.

Le terme cavale et poulinière sont synonyme de jument, bien que beaucoup moins fréquents[9].

Les individus juvéniles sont nommés pouliche et poulain, antenaise et antenais, foal, yearling, poulichon, laiteron. Parmi ces derniers les formes en alternances sont plus ou moins évidentes et ont parfois fait l'objet d'alternatives en proposition ou en emploi, comme pouline[10], poulichone[11][12], poulichonne[13][14], laiteronne[15].

Un hongre est un étalon castré.

chanterelle[16] perdrix Les termes garbon et bourdon sont synonymes de perdrix, ce dernier étant généralement considéré comme plus générique.

Les individus juvéniles sont nommés perdreau, pouillard, pouilleux.

chèvre bouc Bien que beaucoup moins fréquent, bique est synonyme de chèvre[17].

Les individus juvéniles sont nommés chevrette et chevreau, cabri, biquette et biquet, bicot.

chèvre sauvage bouc sauvage
lice chien de chasse Un houret désigne un individu jugé mauvais chien de chasse.
poule coq Les individus juvéniles sont nommés poussin, cochelet, cochet, coquelet.

Quand à poussine il désigne une jeune poule seulement dans certaines régions.

Les juvéniles plus âgés sont nommés poulette et poulet.

Un chapon est un poulet castré et un chaponneau un jeune chapon.

hase lièvre Les termes bouquin et bouquet sont synonymes de lièvre.

Les individus juvéniles sont nommés et levraut ou levreau ou liévreteau ou lièvreteau.

À ne pas confondre avec les paronymes levrette et lévrier dont les juvéniles sont dits levronne et levron.

oie jars Les individus juvéniles son nommés oisonne et oison.
ramière palombe Le terme ramier est synonyme de palombe.
truie verrat Les termes cochon et porc sont également en usage, souvent avec un sens plus générique, bien que cochonne alterne avec le premier et que porque fasse au moins l'objet de suggestion[10].

Le terme coche est synonyme de truie.

laie sanglier Le terme verrat est aussi utilisé comme synonyme de sanglier.

Les individus juvéniles son nommés marcassine et marcassin.

guenon singe Les individus juvéniles son nommés guenuche et guenaud.
vache taureau Le terme taure est aussi utilisé comme synonyme de vache, bien que comparativement de fréquence extrêmement rare[18].

Le terme générique courant pour désigner à la fois une vache et un taureau est bovin. Cependant ce terme englobe tous les membres de la famille des bovidés, dont vaches taureaux (mâles), plus d'autres espèces apparentées comme les bisons et les buffles.

Les individus juvéniles son nommés velle et veau, taurillon, vachette, génisse, broutard, bourret.

Un bœuf est un taureau castré, un bouvillon est un taurillon castré.

Le taureau castré à un désignatif spécifique, bœuf, mais ça n'est pas le cas de la vache stérilisée.

Réflexions paradigmatiques
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Pour jument et étalon, ce sont les alternances moins fréquentes de cavale et caval[19] ou chevale[N 1][20][10][21][22][23][24][25][26][27] et cheval qui sont retenus comme deux bases possibles à utiliser à la discrétion des locutaires, en reprenant les formes suffixales d'isonèphe et d'ostentatoire que pour les termes en -ale, -al, -aule.

Brebis vient du latin berbis, ce qui suffit à inspirer l'arrhénophène berbìsse et par suite l'ensemble des ostentatoires sur la matrice berb*sse. Bélier vient de l'ancien français belin, qui suffit à inspirer l'isonèphe beline.

Avette vient du latin ăpis dont l’accusatif apem à donné l’ancien français ef, dont avette est l'un des diminutifs. Abeille est emprunté à l’occitan abelha, issu du latin populaire apicŭla : petite abeille, diminutif de ăpis. D'où l'inspiration de apvìsse pour l'arrhénophène, et par suite l'emploi de la matrice apv*se pour les ostentatoires — mais apvāste pour le générique qui évite le suffixe péjoratif -asse. Comparer à capvirade, pour un précédent d'emploi des deux consonnes -pv- apparaissant en séquence. Pour l'équivoque il s'inspire ici de l'alternance déjà exposée dans -ette, -eau.

Cerve et cerf viennent du latin cervus, de même sens, qu'une reconstruction indo-européenne rattache à ker- : corne. Il se rapporte donc à un attribut saillant de l'animal cornu, d’où un isonèphe en -esque qui évoque la substantivation d'une forme adjectivale. D'où une série ostentatoire basée sur une matrice en -*sque.

Le terme perdrix vient du latin perdix, perdīcis, ce qui suffit à inspirer l'arrhénophène perdicìsse, et la matrice ostentatoire perdic*sse, avec un générique en -āste pour éviter le rapprochement au sens péjoratif de -asse. D'où également l'isonèphe perdice.

Le terme chèvre vient de l’ancien français chievre, lui-même du latin capra : chèvre qui retient aussi la forme accusative caprăm, dont est également issu Capricorne. Le terme bouc vient du latin médiéval buccus, rattaché aux formes reconstruites de vieux-francique bukk, au gaulois bucco, de la racine indo-européenne bhug : bouc, bélier, qui a pour sa part supplanté le latin caper qui retient pour sa part une forme accusative en caprum. D'où des ostentatoires basés sur la matrice capr*me. Pour l'isonèphe en revanche c'est le suffixe -oine qui est retenue comme proposition, à comparer à caprin et au terme épicène Assiniboine. Et par souci de complétude il sera possible de considérer les formes capraude et capraud pour l'ambigu et l'équivoque à comparer à l'italien capro. S'ils ont l'inconvénient d'une proximité à crapaude et crapaud propre à lever des paronymies, ils ont au moins l'avantage de ne pas conduire à des homophonies contrairement à d'autres options envisageable comme capresse qui est homophone de câpresse.

Le terme lice viendrait de la forme latine reconstruite licia dérivé de lycisca : chienne-louve qui alterne lyciscus  : chien-loup. D'où un arrhénophène en licìsque et par suite une série ostentatoire et un isonèphe construient sur une matrice en lic*sque. Par souhait de complétude l'équivoque peut aussi se voir adjoindre une forme en licicte, par analogie à la forme virgicte comme alternance de vierge et virgesque.

Le terme coq est de formation onomatopéique en bas latin sous la forme coccus, qui a supplanté l’ancien français jal dérivé du latin gallus. Quand à poule il est rattaché à la reconstruction indo-européenne commune pu : petit de l’animal, petit animal, comparer par exemple à puéril en français contemporain donc sans lien diachronique non plus avec le latin gallina : poule. Ici l'inspiration donne avant tout gallinesque pour l'isonèphe, à comparer à l'adjectif gallinacé en français contemporain. Les ostentatoires retiennent par suite une même matrice en gallin*sque.

Le terme hase vient de l'allemand Hase (/ˈhaːzə/), lui même du vieux haut allemand haso que la reconstruction proto-germanique rattache à hasô avec un sens métonymique sous-jacent sur le gris en se référant à la couleur de l'animal[28]. L'allemand contemporain emploie Häsin pour la femelle de cette même espèce d'où l'idée d'un équivoque alternatif en hasot, inspiré à la fois par son étymologie et l'alternance -ine, -ot et d’où un isonèphe en hasaire. Le terme lièvre pour sa part vient du latin lĕpŏrem, accusatif de lĕpus : lièvre. Il peut être noté que le terme liévresse trouve déjà quelques emplois[29][30][31], de même que lièvresque en tant qu'adjectif[32][33][34], formes qui peuvent se poursuivre dans une série ostentatoire sur base lièvr- avec une matrice suffixale en reprenant les même suffixes ostentatoires que pour -esse, -e.

Le terme oie vient de l’ancien français oe, oue, lui-même du bas latin auca, qu'une reconstruction donne comme contraction de avica rattachée au latin avis : oiseau. D'où un équivoque alternatif en oique, suivie d'un isonèphe en oiquestre et d'une série ostentatoire construite sur la matrice oiq*se avec un ajustement de la graphie du thélyphène et l'emploi de la forme -ǫï- pour l'inanimé. Le terme jars proviendrait pour certains d'un terme reconstruit d'ancien bas-vieux-francique gard : épine, baguette par comparaison de la verge du jars avec une baguette ; tandis que d'autres le rapproche au latin garrĭo : jacasser, jaser[35][36]. Cette dernière hypothèse peut servir de support d'inspiration complétée par la coexistence des alternances -esse, -∅ et -esse, -eur et de termes comme jacasseur et jaseur pour proposer une forme ambigüe en jarsesse et une isonèphe en jarsestre et en reprenant la même série suffixale ostentatoire que pour -esse, -∅, -estre.

L'alternance entre ramière et ramier étant déjà attesté, elle permet donc de poursuivre avec les autres alternances suffixales présentées dans -ière, -ier, -iêtre ou -iurge. Le terme palombe lui provient du latin palumba/palumbes, qui connaissent les formes fléchies palumbăm, palumbem, palumbum, d'où des ostentatoires basés sur la matrice palomb*me, et un isonèphe en palomboine avec un suffixe en -oine à l’instar de caproine proposée ci-avant, et qui peut être comparé à palombin. Pour l'ambigu, c'est -onne, -e qui sert de modèle pour construire le terme palombonne.

Le terme truie à une étymologie disputée, cela étant il peut être retenu qu'il est parfois rattaché au gaélique torc : verrat et au bas-breton tourc’h de même sens, ce qui suffit tout cas à inspirer un équivoque alternatif en torc et un isonèphe en toruicesque qui conserve en place les voyelles sonoros à la fois de torc et truie, avec avec ajout du suffixe -esque. Quant à verrat, il est rattaché au latin verres, qui connaît entre autres flexions verrem et verrum, d'où une matrice ostentatoire verr*me. Pour l'ambigu la forme verrate s'induit trivialement, à comparer à verraterie, et de même pour l'isonèphe en verratesque. Les autres synonymes peuvent tous prendre une forme en -esque déjà attestés comme adjectifs : cochonnesque[37][38][39][40], porquesque[41][42][43] ; les formes ostentatoires reprenant donc le même pardigme.

Le terme laie, vient de l’ancien français lehe, emprunt au vieux-francique reconstruit en lēha, attesté sous la forme leha, voir de bas latin lefa[44], et rapproché de l’allemand désuet Liehe, du corse lofia/lôfia/lovia[45] qui pour sa part retient vautroi en plus de sengler et senglier pour équivalent à sanglier[N 2], ou encore de lœva : sinistre ou terrible[N 3][46]. D'où la suggestion d'un équivoque alternatif en lœvio (/le.vjo/), et un isonèphe en lœvesque dont la série ostentatoire dérive trivialement. Le terme sanglier a déjà fait l'objet d'une alternance avec le désuet sanglière[47], ce qui conduit trivialement à appliquer isonèphe et ostentatoires retenus pour -ière, -ier, -iêtre. En latin la femelle est désignée par apra et le mâle est désigné par aper[N 4] qui connaît entre autres flexions aprōrum, qui donnent apro en italien et en espéranto ou apru en Sarde. D'où la proposition de synonymes avec apra en ambigu, aper en équivoque apro en isonèphe et une série ostentatoire basée sur la matrice apror*me. Le mâle est aussi nommé verrat, donc faisant amalgame de par son alternance concomitante avec truie. L'inverse est également vrai dans certaines localités ou la laie est synonyme de truie[48]. Les deux bases toruic- et verrat- sont donc également fournies comme alternatives synonymiques, mais en reprenant cette fois un isonèphe -iêtre plutôt que -esque et en reprenant évidement les ostentatoires correspondant.

Le terme guenon est vraisemblablement lié au grec gunế/γυνή : femme, à l'instar de gouine, guenipe, et queen. D'où un équivoque alternatif en andraine, à comparer à androgyne, bedaine, dondon et capitaine. D'autres langues le restituent par des morphes hétéroclites : apess en anglais et apinja en suédois, à comparer à Äffin en allemand, opice en tchèque, dont est tiré la reconstruction en l’indo-européen commun apo. Le hongrois emploi majom, possiblement à rapprocher de mona en espagnol et en catalan qui viendrait de mono, lui-même haplologie de maimón issue de l’arabe maymūn/ميمون : propice, de bon augure[49]. Le catalan connaît aussi símia, proche de simiino en espéranto et ido, issus du latin simius : semblable ou camard/camus, à comparer à simiesque en français contemporain qui paratage cette racine avec singe, qui pour sa part connaît aussi la dérivation synchronique singesse. Pour l'isonèphe il suffit de reprendre simiesque et d'employer une matrice en sim*sque pour les ostentatoires.

Le terme vache est rattaché à la reconstruction d'indo-européen commun waka : vache, apparenté à vagio : vagir, ou à gvacca : petit bovin, ce qui l'apparenterait à bos/bovis via gos/govis ou gvos/gvovis. Et donc cognat au sanskrit gow/गौ : vache ou terre, au grec ancien boûs/βοῦς : bœuf, au persan gâv/گاو : vache, au letton govs : vache, au proto-slave reconstruit govędo comparé au serbo-croate govedo : bétail, au russe govjadina/говядина : bœuf, à l'écossais coo : vache, à l'anglais cow : vache, au frison septentrional ko, kø : vache, au frison occidental ko : vache, au néerlandais koe : vache, au bas allemand Koh, Koo, Kau : vache, à l'allemand Kuh : vache, au suédois ko : vache, norvégien ku : vache, islandais kýr : vache, latin bōs : bœuf, taureau, vache, arménien կով/kov : vache. Pour l'équivoque c'est cependant tout simplement vachesque qui est retenu, à l'instar de l'adjectif déjà en usage, dont découle trivialement la série ostentatoire, sauf pour l'allophène au pour éviter l'homéophonie de vachiẽsque à va-chier, c'est vachorẽsque qui est retenu, à comparer à pittoresque et moresque. Une forme équivoque en vacheau est également trivial à dériver, à comparer aux mots employant déjà l'alternance -e, -eau.

De son côté taureau vient d'un diminutif de l’ancien français tor : taureau, lui même du latin taurus : taureau qu'une reconstruction rattache à l’indo-européen commun tauro et táwros dont procéderait également le grec ancien tauros/ταῦρος, le gaulois taruos, le tchèque tur : bovin, taureau, l'allemand Stier, le tchèque tur, le russe tur/тур : auroch et l'anglo-saxon stēor, l'anglais steer. Pour l'équivoque c'est cependant tout simplement tauresque qui est retenu, à l'instar de l'adjectif déjà en usage, dont découle trivialement la série ostentatoire. Une forme ambigu en taurelle est également trivial à dériver, à comparer à taurellerie, et aux mots employant déjà l'alternance -elle, -eau.

  1. Forme généralement considérée comme hétérodoxe.
  2. vautroi prend ce sens par métaphore, comme désigne d'abord l'équipage pour la chasse du sanglier, puis la chasse au sanglier avant de référer au sanglier lui-même. Comparer au français contemporain vautre.
  3. À comparer aussi aussi à senestre synonyme de gauche, et des termes comme l'anglais left ou l'espéranto liva.
  4. Et apera pour la femelle.
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