En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Mécanique 2 (PCSI) : Approche énergétique du mouvement d'un solide en rotation autour d'un axe fixe : Lois scalaires de l'énergie cinétique Mécanique 2 (PCSI)/Approche énergétique du mouvement d'un solide en rotation autour d'un axe fixe : Lois scalaires de l'énergie cinétique », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Ce chapitre est traité dans le cadre de la dynamique newtonienne avec ajout de quelques éléments de dynamique relativiste.
Puissance d’une force dans le cas où M décrit un mouvement circulaire d’axe Δ de vitesse angulaire instantanée Ω(t)
La puissance développée par la force appliquée au point en mouvement « quelconque »[1] dans le référentiel d'étude a été définie au paragraphe « puissance d'une force » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » et s'écrit, à l'instant , selon
«»[2] dans laquelle est le vecteur vitesse du point à l'instant dans le référentiel .
Cas particulier où M est en mouvement circulaire d’axe Δ et de vitesse angulaire instantanée Ω(t)
Dans le cadre de la dynamique newtonienne, partant de la définition de la puissance développée, à l'instant , par la force appliquée au point en mouvement « quelconque »[1] dans le référentiel d'étude «»[2], on remplace le vecteur vitesse du point en mouvement circulaire d'axe et de vecteur rotation instantanée par sa forme intrinsèque «» dans laquelle est un point fixe quelconque de l’axe [3] soit «» ;
Dans le cadre de la dynamique newtonienne, on réalise alors une « permutation circulaire du produit mixte » ce qui laisse ce dernier invariant[4] soit «»[5] et on reconnaît alors, dans le 2ème facteur du produit scalaire, le vecteur moment de la force par rapport soit «»[6] d’où la réécriture de la puissance développée, à l'instant , par la force appliquée au point en mouvement circulaire d'axe et de vecteur rotation instantanée selon
«»[7] dans laquelle est un point quelconque de l'axe de rotation du point ;
Dans le cadre de la dynamique newtonienne, en notant le vecteur unitaire orientant , la puissance développée par appliquée au point en mouvement circulaire d'axe et de vecteur rotation instantanée étant la vitesse angulaire instantanée du point , se réécrit selon «» soit, en reconnaissant dans le 1er terme entre accolades le moment scalaire de la force par rapport à l’axe soit «»[8] l'expression suivante
Analogie formelle entre l’expression de la puissance développée par une force à point d’application M en « mouvement quelconque » et celle à point d’application en mouvement circulaire
On constate une analogie formelle entre l’expression de la puissance développée par la force à point d’application en « mouvement quelconque »[1] «» et celle à point d’application en « mouvement circulaire de centre » «»[7] toutes deux correspondant à la forme symbolique suivante
dans le cas où le point a un mouvement « circulaire d'axe »[11], l'expression symbolique de la puissance développée par la force permettant ce mouvement circulaire peut se réécrire selon
Le point matériel décrivant un mouvement circulaire d’axe autour du centre , fixes dans le référentiel d’étude galiléen, on peut lui appliquer le théorème du moment cinétique vectoriel s'énonçant, dans le cadre de la dynamique newtonienne, selon[13] : “ la somme des vecteurs moments des forces appliquées à calculés, à l'instant , par rapport au centre du cercle décrit par dans le référentiel galiléen «», est égal au produit du moment d’inertie de relativement à son axe de rotation «» étant la masse de et le rayon du cercle décrit par et de la dérivée temporelle du vecteur rotation instantanée «» au même instant ” soit mathématiquement
«».
« Expression énergétique » du théorème du moment cinétique vectoriel appliqué à M en mouvement circulaire de centre fixe C dans le référentiel d’étude galiléen
On multiplie scalairement les deux membres de la « relation » par «» soit «» dans le but de faire apparaître, après utilisation, dans le 1er membre, de la distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle[14], la puissance instantanée développée par chaque force appliquée selon «»[15] ;
dans le cadre de la dynamique newtonienne, l’expression énergétique du théorème du moment cinétique vectoriel appliqué au point matériel en mouvement circulaire autour d’un axe fixe dans le référentiel galiléen s'écrivant sous la forme «» nous retrouvons le « théorème de la puissance cinétique appliqué à dans son mouvement circulaire »[16] lequel se réécrivant selon «» vérifie que la cause de modification de l’« énergie cinétique » grandeur cinétique énergétique est la somme des « puissances développées par les forces appliquées »
Réécriture du théorème de la puissance cinétique dans le cas où M a un mouvement circulaire de centre C fixe
Revoir le paragraphe « énoncé du théorème de la puissance cinétique » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) », le théorème étant rappelé sous sa forme newtonienne ci-dessous :
« Dans un référentiel galiléen, la puissance cinétique d’un point matériel est égale à la somme des puissances développées par les forces qui lui sont appliquées » soit mathématiquement « avec et ».
Cas particulier où M est en mouvement circulaire d’axe Δ et de vitesse angulaire instantanée Ω(t)
Quand le point matériel a un mouvement circulaire d’axe , fixe dans un référentiel galiléen, de vitesse angulaire instantanée dans ce même référentiel, le théorème de la puissance cinétique appliqué à prend la forme ci-dessous :
« Dans un référentiel galiléen , la puissance cinétique d’un point matériel en mouvement circulaire d’axe , fixe dans un référentiel et de vitesse angulaire instantanée dans ce même référentiel, est égale à la somme des puissances développées par les forces qui lui sont appliquées » soit mathématiquement « avec [17] où est le moment d'inertie de relativement à dans son mouvement circulaire de rayon [18] et »[19].
Puissance du système de forces extérieures et du système de forces intérieures appliquées à un système de matière relativement à un référentiel d'étude, cas particulier d’un solide
Cette notion est présentée en considérant un système discret fermé de points matériels « avec »[20] mais elle reste applicable à un système continu de matière d'expansion tridimensionnelle, surfacique ou linéique.
la puissance développée, à l'instant , par ce système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude comme la somme des puissances développées, à l'instant , par chaque force extérieure dans ce même référentiel soit mathématiquement
«[21],[22] soit encore [22] dans laquelle est le vecteur vitesse du point matériel à l'instant dans le référentiel d'étude ».
Dans le cas d'un « système discret fermé de points matériels avec [20] en translation »[23], tous les points matériels ont le même vecteur vitesse à l'instant égal à celui du C.D.I[24]. du système soit «», ce qui permet de factoriser « scalairement »[25] le 2nd membre de la « relation » par «», l’autre facteur étant alors la résultante dynamique « à l'instant »[26] d’où l'expression finale de la puissance développée, à l'instant , par le système des forces extérieures s'exerçant sur en translation dans le référentiel d'étude ,
«» ou encore «» ;
dans cette 2ème expression « est aussi « la puissance qui serait développée, à l'instant et dans le référentiel , par la résultante dynamique appliquée au point fictif C.D.I[24]. du système en translation dans »[27].
Cas d’un « système de matière (indéformable) en rotation »
Préliminaire : Un « système en rotation autour d'un axe » peut, a priori, se déformer[28] et ce n'est que dans le cas où il est indéformable qu'il peut être qualifié de « solide » au sens de la mécanique et il est nécessairement fermé, c'est pratiquement le seul cas envisageable.
Dans le cas d'un « système discret fermé de points matériels avec [20] en rotation autour d'un axe [29] dans le référentiel d'étude avec, à l'instant , la même vitesse angulaire instantanée « pour tous les points », la puissance de la résultante des forces extérieures s’appliquant sur , à savoir «», s'écrivant selon «»[19] avec un 2nd facteur indépendant du point , ce qui permet de factoriser par ce facteur la « relation » réécrite en remplaçant par [19] soit «» dans laquelle on constate que le 1er facteur est le moment scalaire résultant dynamique «»[30] s'exerçant sur le système en rotation soit finalement la réécriture de la puissance des forces extérieures s’exerçant sur le système en rotation selon
«»[31] c'est-à-dire le produit du moment scalaire résultant dynamique du système en rotation par rapport et de sa vitesse angulaire instantanée.
En complément, « cas d’un solide en mouvement quelconque »
On admet qu'on peut toujours considérer le mouvement d’un point quelconque d'un solide avec » dans un référentiel d'étude comme la « composition d’une translation instantanée de vecteur vitesse étant le C.D.I[24]. du solide et d’une rotation instantanée autour d’un axe passant par de vecteur rotation instantanée ces deux grandeurs cinématiques étant définies au même instant dans le référentiel »[32] soit «» ;
on en déduit alors que la puissance instantanée développée par la résultante des forces extérieures s’appliquant sur , à savoir «», s'écrit selon «» ou, après utilisation de la distributivité de la multiplication scalaire par rapport à l'addition vectorielle[14] «», le 2ème terme étant transformé par utilisation de l'invariance d'un produit mixte par permutation circulaire[4] de façon à reconnaître « dans » soit finalement «» ;
en utilisant la « relation »[22] réécrite en remplaçant par dans laquelle les deux termes ont chacun un 2ème facteur indépendant de puis, en regroupant les termes de selon «» enfin, en factorisant « scalairement »[25] le 1er terme par le 1er facteur à l'issue de la factorisation « scalaire »[25] étant alors « c'est-à-dire la résultante dynamique exercée sur le solide »[26] et le 2nd par le 1er facteur à l'issue de la factorisation « scalaire »[25] étant « c'est-à-dire le moment résultant dynamique vectoriel exercée sur le solide relativement au C.D.I[24]. de ce dernier »[33], la puissance des forces extérieures s’exerçant sur le solide en mouvement quelconque dans le référentiel d'étude se réécrit, à l'instant , selon
«» ;
en notant le vecteur unitaire orientant , le vecteur rotation instantanée se réécrit étant la vitesse angulaire instantanée du solide autour de l'axe passant par le C.D.I[24]. du solide, le 2ème terme de se réécrit selon «» soit, en reconnaissant dans le 1er terme entre accolades le moment résultant dynamique scalaire exercé sur le solide par rapport à l’axe passant par le C.D.I[24]. du solide soit «»[34], la puissance des forces extérieures s’exerçant sur le solide en mouvement quelconque dans le référentiel d'étude se réécrit, à l'instant , selon
«»[35] soit un 1er terme «» définissant la puissance développée par translation instantanée des forces extérieures et un 2ème terme «» la puissance développée par rotation instantanée des forces extérieures autour du C.D.I[24]. du solide.
Puissance (du système) des forces intérieures appliquées à un « système de matière » relativement à un référentiel d'étude
Cette notion est aussi présentée en considérant un système discret fermé de points matériels « avec »[36] mais elle reste applicable à un système continu de matière d'expansion tridimensionnelle, surfacique ou linéique.
la puissance développée, à l'instant , par ce système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude comme la somme des puissances développées, à l'instant , par chaque force intérieure dans ce même référentiel soit mathématiquement
«[37] ou encore [38] dans laquelle est le vecteur vitesse du point matériel à l'instant dans le référentiel d'étude ».
On peut associer les forces par couple dans la relation explicitant la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude , à savoir «», puis On peut utiliser la 1ère relation introduite dans le principe des actions réciproques[39] à savoir «» pour factoriser scalairement[25] le terme entre crochets par «», ce qui donne «» ou,
en évaluant dans le référentiel d'étude la grandeur vectorielle «» on obtient «» cette dernière expression résultant de l'utilisation de la relation de Chasles[40], c'est-à-dire la dérivée temporelle, dans , du « vecteur position relative de relativement à à l'instant » ou, en définissant le « référentiel lié à en translation par rapport à », la grandeur vectorielle « est encore égale à » c'est-à-dire le « vecteur vitesse relative à l'instant de dans »[41] et par suite
la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude , se réécrit selon
«».
Si on remplace la double somme discrète sur et variant dans avec la contrainte «» par une double somme discrète sur et variant dans avec la contrainte «», on compte deux fois chaque terme de la 1ère double somme[42] d'où la réécriture de la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude , selon
«»[43] ou encore «»[44] c'est-à-dire la demi-somme des puissances instantanées définies dans chaque référentiel des forces que exerce sur tous les autres points [45].
La puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude est non nulle dans le cas général soit
la raison étant que les relations «»[43] faisant intervenir les vecteurs vitesses relatives des points les uns par rapport aux autres , lesquels sont, en général, individuellement non nuls même si le système de matière est indéformable d'où « la non nullité de » sauf cas particuliers à préciser.
En repérant le point « dans le référentiel » par ses « coordonnées sphériques de pôle soit » avec « pour base sphérique liée à »[47], la « force que exerce sur » s'écrit, dans la « base sphérique de liée à » selon «» se déduit de la 2ème relation du principe des actions réciproques[39] à savoir avec «»[48] définissant « l'intensité de l’interaction entre et » et simplement notée «»[49] d’où la réécriture «», de même, le « vecteur vitesse relative de par rapport à », à savoir «», s’écrit, dans la « base sphérique de liée à » selon l'expression établie précédemment «»[50] et on en déduit l'expression, en sphérique, de la puissance développée par la force que exerce sur dans le référentiel , à savoir, «»[49], la base étant orthonormée d'où finalement
Par l'une ou l'autre relation précédente on constate que si la distance séparant deux points quelconques du système reste constante c'est-à-dire si le système « ne se déforme pas »[52], on a «»[53] et on en déduit que la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude est nulle soit
Préliminaire : Par « système de matière quelconque » il faut entendre « système fermé discret de points matériels ou continu de matière » « déformable ou non ».
Théorème de la puissance cinétique appliqué à un « système de matière quelconque »
Dans un référentiel galiléen , la puissance cinétique d’un système de matière quelconque à l'instant «» est égale à la somme de la puissance développée par les forces extérieures appliquées au système à l'instant «» et de celle développée par les forces intérieures appliquées au même système au même instant «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen ».
Fin du théorème
Remarque : Sous cette forme le théorème de la puissance cinétique appliqué à un système de matière quelconque[55] est applicable dans le cadre de la dynamique newtonienne ou relativiste.
La démonstration du théorème de la puissance cinétique appliqué à un « système de matière quelconque » est faite dans le cadre d'un système discret fermé de points matériels « avec »[20] mais elle est semblable bien qu'un peu plus lourde d'exposition dans le cadre d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle, surfacique ou linéique.
Dans le référentiel d'étude galiléen , on applique le théorème de la puissance cinétique à chaque point matériel [56], soit «»[57],[58] et Dans le référentiel d'étude galiléen Rgal, on fait la somme, membre à membre, des relations ainsi définies «»[59] ou encore «»[59]
le 1er membre «» se réécrivant «» après permutation de la dérivation temporelle et de l'addition[60] est égale à la dérivée temporelle de l’énergie cinétique du système «»[61] à l'instant c'est-à-dire à la puissance cinétique du système «» au même instant ,
le 1er terme du 2nd membre «» définit la puissance développée, à l'instant , par les forces extérieures appliquées au système «»[62] et
le 2ème terme du 2nd membre «» la puissance développée, à l'instant , par les forces intérieures appliquées au système «»[63],
d’où la démonstration du théorème de la puissance cinétique appliqué à un système discret fermé de points matériels[64].
Théorème de la puissance cinétique appliqué à un « solide » dans un référentiel d'étude galiléen
Théorème de la puissance cinétique appliqué à un « solide »
Dans un référentiel galiléen , la puissance cinétique d’un système fermé de matière[65] indéformable ou solide au sens de la mécanique à l'instant «» est égale à la puissance développée par les forces extérieures appliquées au système à l'instant «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen ».
Fin du théorème
Justification : Cela découle de la propriété établie au paragraphe « conséquences diverses (3ème conséquence » plus haut dans ce chapitre, à savoir « la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur le système indéformable dans le référentiel d'étude est nulle c'est-à-dire », utilisée dans le théorème de la puissance cinétique appliqué à un système de matière quelconque voir le paragraphe « énoncé » plus haut dans ce chapitre.
Théorème de la puissance cinétique appliqué à un « système de matière en translation » dans un référentiel d'étude galiléen
Dans un « système de matière [65] en translation »[23], tous les points ont le même vecteur vitesse à l'instant égal à celui du C.D.I[24]. du système d’où les expressions
de la puissance développée, à l'instant , par le système des forces extérieures s'exerçant sur en translation dans le référentiel d'étude , «» dans laquelle « est la résultante dynamique s'exerçant sur à l'instant »[66]voir le paragraphe « puissance développée par le système des forces extérieures dans le cas d'un système de matière en translation » plus haut dans ce chapitre et
de l'énergie cinétique[67], à l'instant , du système en translation dans le référentiel d'étude dans le cadre de la cinétique newtonienne, «»[68]voir le paragraphe « énergie cinétique dans le cas d'un système en translation » du chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » ;
Théorème de la puissance cinétique appliqué à un « système de matière en translation »
Dans un référentiel galiléen , la puissance cinétique d’un système fermé de matière[65] à l'instant en translation dans , «» est égale à la puissance développée par la résultante dynamique appliquée au système à l'instant «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen »[58] avec, en dynamique newtonienne, «» et «» étant le C.D.I[24]. de .
Fin du théorème
Remarque : Ce théorème n'est pas explicité dans le programme de physique de P.C.S.I. mais il doit bien sûr être connu selon moi ce n’est pas fait parce qu’on considère usuellement un système de matière en translation comme un point matériel le C.D.I[24]. du système sur lequel s'exerce la résultante dynamique du système et, selon ce point de vue, le théorème de la puissance cinétique appliqué à un système de matière en translation n'est rien d'autre que le théorème de la puissance cinétique appliqué à un point matériel, lequel est, quant à lui, au programme.
Théorème de la puissance cinétique appliqué à un « système de matière (indéformable) en rotation autour d'un axe Δ fixe » dans un référentiel d'étude galiléen
Préliminaire : Un « système en rotation autour d'un axe » peut, a priori, se déformer[28] mais pratiquement, seul le cas où il est indéformable et fermé, est envisageable, il peut alors être qualifié de « solide » au sens de la mécanique.
Dans un « système de matière [65] indéformable, en rotation[28] autour d'un axe , fixe dans le référentiel d'étude galiléen », tous les points ont le même vecteur rotation instantanée à l'instant , étant le vecteur unitaire orientant l'axe et la vitesse angulaire instantanée de à l'instant d’où les expressions
de la puissance développée, à l'instant , par le système des forces extérieures s'exerçant sur en rotation autour de dans le référentiel d'étude , «»[69] dans laquelle « est le moment résultant dynamique scalaire s'exerçant sur à l'instant , le moment scalaire étant évalué par rapport à » voir le paragraphe « puissance développée par le système des forces extérieures dans le cas d'un système de matière (indéformable) en rotation » plus haut dans ce chapitre et
un « système de matière en rotation autour d'un axe » étant pratiquement indéformable se comporte pratiquement comme un solide au sens de la mécanique seul cas considéré et par suite, on peut lui appliquer le « théorème de la puissance cinétique appliqué à un solide dans un référentiel galiléen » établi dans un paragraphe précédent, d'où :
Début d’un théorème
Théorème de la puissance cinétique appliqué à un « système de matière (indéformable) en rotation »
Dans un référentiel galiléen , la puissance cinétique d’un système fermé de matière[65] à l'instant en rotation autour de l'axe fixe dans , «» est égale à la puissance développée par le moment résultant dynamique scalaire relativement à l'axe de rotation appliqué au système à l'instant «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen »[58] avec, en dynamique newtonienne, «» où « est le moment d'inertie de relativement à »[70] et «», « étant la vitesse angulaire instantanée de à l'instant ».
Fin du théorème
Théorème de l'énergie cinétique d’un système de matière, cas d’un solide en rotation autour d’un axe fixe
Le « théorème de l'énergie cinétique d'un système de matière » n'est pas explicité dans le programme de physique de P.C.S.I. mais est évidemment à connaître comme forme intégrée de la forme locale « théorème de la puissance cinétique d'un système de matière » laquelle est inscrite explicitement dans le programme
Définition du travail du système des forces extérieures appliquées à un « système de matière » entre un état initial et un état final
Cette notion est présentée en considérant un système discret fermé de points matériels « avec »[20] mais elle reste applicable à un système continu de matière d'expansion tridimensionnelle, surfacique ou linéique, le système discret ou continu étant déformable ou non.
Le but étant de définir le travail des forces extérieures s’exerçant sur le système entre l'« état initial du système »[71] et l’« état final du même système »[71], on définit d’abord
le travail élémentaire des forces extérieures s’exerçant sur le système entre les instants et selon «»[72] lequel s'écrit encore «»[73] dans lequel, chaque point décrivant une trajectoire particulière entre « et », son vecteur déplacement élémentaire ainsi que son vecteur vitesse est tangent à [74] puis
le travail des forces extérieures s’exerçant sur le système entre les instants de l'« état initial »[71] et de l’« état final »[71] en « ajoutant tous les travaux élémentaires des forces extérieures pour » ce qui correspond à une intégration sur un intervalle soit «»[74].
Définition du travail du système des forces intérieures appliquées à un « système de matière » entre un état initial et un état final
Cette notion est également présentée en considérant un système discret fermé de points matériels « avec »[36] mais elle reste applicable à un système continu de matière d'expansion tridimensionnelle, surfacique ou linéique.
Le « système des forces intérieures s'exerçant sur un système de points matériels fermé » défini dans le chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » comme « l'ensemble des forces que chaque point du système de points matériels , exerce sur chaque point de » et le but étant de définir le travail des forces intérieures s’exerçant sur le système entre l'« état initial du système »[71] et l’« état final du même système »[71], on définit d’abord
le travail élémentaire des forces intérieures s’exerçant sur le système entre les instants et selon «»[72] lequel s'écrit encore «»[75] dans lequel, chaque point décrivant une trajectoire particulière entre « et », son vecteur déplacement élémentaire ainsi que son vecteur vitesse est tangent à [76] puis
le travail des forces intérieures s’exerçant sur le système entre les instants de l'« état initial »[71] et de l’« état final »[71] en « ajoutant tous les travaux élémentaires des forces intérieures pour » ce qui correspond à une intégration sur un intervalle soit «»[76].
Remarque 1 : Le travail élémentaire élémentaire des forces intérieures s’exerçant sur le système entre les instants et «» peut aussi être défini à partir de l'expression de la puissance instantanée développée par les forces intérieures s’exerçant sur le même système à l'instant «»[77] selon «»[78] ; Remarque 1 : le travail des forces intérieures s’exerçant sur le système entre les instants de l'« état initial »[71] et de l’« état final »[71] «» s'obtenant en ajoutant tous les travaux élémentaires de on en déduit son calcul à partir de la puissance des forces intérieures appliquées au système de matière selon «».
Remarque 2 : À partir des « autres expressions équivalentes de la puissance des forces intérieures appliquées à un système de matière relativement à un référentiel d'étude » établies plus haut dans ce chapitre et de la façon d'en déduire le travail élémentaire ainsi que le travail entre les instants de l'« état initial »[71] et de l’« état final »[71] rappelée en « remarque 1 », on en déduit d'autres expressions équivalentes pour ces travaux :
Remarque 2 : de «» dans lesquelles « est le référentiel lié à en translation par rapport à », on tire «», le point décrivant dans une trajectoire particulière entre « et », son vecteur déplacement élémentaire ainsi que son vecteur vitesse étant tangent à puis «» ;
Remarque 2 : de «»[43] dans laquelle « est le référentiel lié à en translation par rapport à », on tire «», le point décrivant dans une trajectoire particulière entre « et », son vecteur déplacement élémentaire ainsi que son vecteur vitesse étant tangent à [79] puis «»[79].
Remarque 3 : Ayant établi au paragraphe « conséquences diverses des expressions de la puissance des forces intérieures appliquées à un système de matière relativement à un référentiel d'étude » plus haut dans ce chapitre que cette puissance est en général non nulle mais qu'elle le devient si le système de matière [80] est indéformable[52] c'est-à-dire « pour [80] indéformable[52] » on en déduit que Remarque 3 : le travail élémentaire des forces intérieures agissant sur un système de matière [80] est en général non nul mais il le devient si le système de matière [80] est indéformable[52] c'est-à-dire « si le système [80] est indéformable[52] » et que Remarque 3 : le travail des forces intérieures agissant sur un système de matière [80] sur est en général non nul mais il le devient si le système de matière [80] est indéformable[52] c'est-à-dire « si le système [80] est indéformable[52] ».
Théorème de l’énergie cinétique appliqué à un « système de matière quelconque » dans un référentiel d'étude galiléen entre un état initial et un état final
Partant du théorème de la puissance cinétique appliqué, à l'instant , à un « système de matière quelconque »[81] dans un référentiel d'étude galiléen «»[82] dans lequel est l'énergie cinétique de à l'instant , et la puissance développée par les forces respectivement extérieures et intérieures s'exerçant sur au même instant ,
on multiplie par pour obtenir la forme élémentaire du théorème de l’énergie cinétique appliqué au « système de matière quelconque »[81] entre « et » dans le référentiel galiléen soit «» dans lequel est la variation élémentaire d'énergie cinétique de sur l'intervalle , et le travail élémentaire des forces respectivement extérieures et intérieures s'exerçant sur sur le même intervalle puis
on intègre entre et pour obtenir le théorème de l’énergie cinétique appliqué au « système de matière quelconque »[81] entre « et » dans le référentiel galiléen soit «» dans lequel est la variation d'énergie cinétique de sur l'intervalle , et le travail des forces respectivement extérieures et intérieures s'exerçant sur sur le même intervalle .
Début d’un théorème
Théorème de l'énergie cinétique appliqué à un « système de matière quelconque » sous forme élémentaire
Dans un référentiel galiléen , la variation élémentaire d'énergie cinétique d’un système de matière quelconque sur l'intervalle «» est égale à la somme du travail élémentaire des forces extérieures appliquées au système sur le même intervalle «» et de celui des forces intérieures appliquées au même système sur le même intervalle «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen ».
Fin du théorème
Début d’un théorème
Théorème de l'énergie cinétique appliqué à un « système de matière quelconque » sur une durée finie
Dans un référentiel galiléen , la variation d'énergie cinétique d’un système de matière quelconque entre les instants et «» est égale à la somme du travail des forces extérieures appliquées au système sur le même intervalle «» et de celui des forces intérieures appliquées au même système sur le même intervalle «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen ».
Fin du théorème
Remarque : Sous ces deux formes le théorème de l'énergie cinétique appliqué à un système de matière quelconque[81] sur une durée élémentaire ou finie est applicable dans le cadre de la dynamique newtonienne ou relativiste.
Théorème de l'énergie cinétique appliqué à un « solide » dans un référentiel d'étude galiléen entre un état initial et un état final
Théorème de l'énergie cinétique appliqué à un « solide » sous forme élémentaire
Dans un référentiel galiléen , la variation élémentaire d'énergie cinétique d’un système de matière indéformable [52] sur l'intervalle «» est égale au travail élémentaire des forces extérieures appliquées au système sur le même intervalle «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen ».
Fin du théorème
Début d’un théorème
Théorème de l'énergie cinétique appliqué à un « solide » sur une durée finie
Dans un référentiel galiléen , la variation d'énergie cinétique d’un système de matière indéformable [52] entre les instants et «» est égale au travail des forces extérieures appliquées au système sur le même intervalle «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen ».
Fin du théorème
Remarque : Sous cette forme le théorème de l'énergie cinétique appliqué à un système de matière indéformable[52] sur une durée élémentaire ou finie est applicable dans le cadre de la dynamique newtonienne ou relativiste.
Théorème de l'énergie cinétique appliqué à un « système de matière en translation » dans un référentiel d'étude galiléen entre un état initial et un état final
Dans un « système de matière [65] en translation »[23], tous les points ont le même vecteur vitesse à l'instant égal à celui du C.D.I[24]. du système d’où les expressions
de la variation élémentaire de l'énergie cinétique du système en translation dans le référentiel d'étude dans le cadre de la cinétique newtonienne, «» avec «»[68]voir le paragraphe « énergie cinétique dans le cas d'un système en translation » du chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » ;
Théorème de l'énergie cinétique (sous forme élémentaire) appliqué à un « système de matière en translation »
Dans un référentiel galiléen , la variation élémentaire d'énergie cinétique d’un système fermé de matière[65] en translation dans sur , «» est égale au travail élémentaire effectué par la résultante dynamique appliquée au système sur le même intervalle «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen »[58] avec, en dynamique newtonienne, «» et «» étant le C.D.I[24]. de .
Fin du théorème
Le théorème de l'énergie cinétique sur une durée finie s'obtient en intégrant les deux membres du théorème de l'énergie cinétique sous forme élémentaire sur la durée d'où :
Début d’un théorème
Théorème de l'énergie cinétique (sur une durée finie) appliqué à un « système de matière en translation »
Dans un référentiel galiléen , la variation d'énergie cinétique d’un système fermé de matière[65] en translation dans sur l'intervalle , «» est égale au travail effectué par la résultante dynamique appliquée au système sur le même intervalle «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen »[58] avec, en dynamique newtonienne, «» et «» étant le C.D.I[24]. de .
Fin du théorème
Remarque : Ce théorème sous forme élémentaire ou sur durée finie n'est pas explicité dans le programme de physique de P.C.S.I. mais il doit bien sûr être connu selon moi ce n’est pas fait parce qu’on considère usuellement un système de matière en translation comme un point matériel le C.D.I[24]. du système sur lequel s'exerce la résultante dynamique du système et, selon ce point de vue, le théorème de l'énergie cinétique sous forme élémentaire ou sur durée finie appliqué à un système de matière en translation n'est rien d'autre que le théorème de l'énergie cinétique sous forme élémentaire ou sur durée finie appliqué à un point matériel, lequel est, quant à lui, au programme.
Théorème de l'énergie cinétique appliqué à un « système (indéformable) en rotation autour d'un axe Δ fixe » dans un référentiel d'étude galiléen entre un état initial et un état final
Préliminaire : Un « système en rotation autour d'un axe » peut, a priori, se déformer[28] mais pratiquement, seul le cas où il est indéformable et fermé, est envisageable, il peut alors être qualifié de « solide » au sens de la mécanique.
Dans un « système de matière [65] indéformable, en rotation[28] autour d'un axe , fixe dans le référentiel d'étude galiléen », tous les points ont le même vecteur rotation instantanée à l'instant , étant le vecteur unitaire orientant l'axe et la vitesse angulaire instantanée de à l'instant d’où les expressions
du travail élémentaire effectué par le système des forces extérieures s'exerçant sur en rotation autour de dans le référentiel d'étude , «»[69] dans laquelle « est le moment résultant dynamique scalaire par rapport à s'exerçant sur à l'instant » voir le paragraphe « puissance développée par le système des forces extérieures dans le cas d'un système de matière (indéformable) en rotation » plus haut dans ce chapitre ou encore, en introduisant « l'abscisse angulaire repérant dans sa rotation autour de à l'instant », «»[69] et
un « système de matière en rotation autour d'un axe » étant pratiquement indéformable se comporte pratiquement comme un solide au sens de la mécanique seul cas considéré et par suite, on peut lui appliquer le « théorème de l'énergie cinétique appliqué à un solide dans un référentiel galiléen sous forme élémentaire » établi dans un paragraphe précédent, d'où :
Début d’un théorème
Théorème de l'énergie cinétique (sous forme élémentaire) appliqué à un « système de matière (indéformable) en rotation »
Dans un référentiel galiléen , la variation élémentaire d'énergie cinétique d’un système fermé de matière[65] à l'instant en rotation autour de l'axe fixe dans sur , «» est égale au travail élémentaire effectué par le moment résultant dynamique scalaire relativement à l'axe de rotation appliqué au système sur l'intervalle «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen »[58] avec, en dynamique newtonienne, «» où « est le moment d'inertie de relativement à »[70] et «», « étant l'abscisse angulaire instantanée de dans sa rotation à l'instant ».
Fin du théorème
Le théorème de l'énergie cinétique sur une durée finie s'obtient en intégrant les deux membres du théorème de l'énergie cinétique sous forme élémentaire sur la durée d'où :
Début d’un théorème
Théorème de l'énergie cinétique (sur une durée finie) appliqué à un « système de matière (indéformable) en rotation »
Dans un référentiel galiléen , la variation d'énergie cinétique d’un système fermé de matière[65] en rotation autour de l'axe fixe dans sur l'intervalle , «» est égale au travail effectué par le moment résultant dynamique scalaire relativement à l'axe de rotation appliqué au système sur le même intervalle «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen »[58] avec, en dynamique newtonienne, «» où « est le moment d'inertie de relativement à »[70] et «» étant l'abscisse angulaire repérant à l'instant .
Fin du théorème
Établissement de l’équation différentielle du mouvement du pendule de torsion par application du théorème de la puissance cinétique
L’équation différentielle en élongation angulaire du pendule de torsion photographié ci-contre a été établie par application du théorème du moment cinétique scalaire au paragraphe « mise en équation différentielle du mouvement du pendule de torsion (non amorti) » du chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » ; on se propose ici de retrouver l’équation différentielle par utilisation du théorème de la puissance cinétique.
Ci-contre le pendule de torsion étudié non amorti avec deux fils de torsion identiques de même constante de torsion «» et positionnement de masselottes apparemment identiques sauf pour la couleur de part et d'autre du point [84]point d’attache des deux fils de torsion sur la tige ;
le solide défini par l'ensemble constitué de « la tige et des masselottes » adopte, après quelques oscillations,
une position d’équilibre repérée par l'angle «»
en effet, si on oriente les deux fils de torsion du bas vers le haut, pour cette position, le fil de torsion supérieur étant tordu suivant une hélice droite[85] d'un angle «»[86] par rapport à l'extrémité , exerce un couple de torsion sur le solide de vecteur moment
«» et
en effet, si on oriente les deux fils de torsion du bas vers le haut, pour cette position, le fil de torsion inférieur étant également tordu suivant une hélice droite[85] d’un angle «»[86] par rapport à l’extrémité , exerce un couple de torsion sur le solide de vecteur moment
«»,
en effet, la somme des vecteurs moments des actions extérieures non nuls s'exerçant sur le solide vérifiant «» le solide est effectivement en équilibre dans cette position
Considérant le solide défini par l'ensemble constitué de « la tige et des masselottes » en rotation autour de l'axe support des fils de torsion fixe dans le référentiel d'étude galiléen, le solide étant, à l'instant , d'abscisse angulaire repérée par rapport à la position de l'extrémité inférieure du fil de torsion inférieur, on rappelle ci-dessous le bilan des actions extérieures s'exerçant sur le solide dont le moment scalaire par rapport à est non nul en explicitant la puissance développée par ces actions à l'instant , le solide étant, à cet instant, de vitesse angulaire instantanée :
l'action que le fil de torsion supérieur exerce sur le solide modélisée par un couple de torsion de moment scalaire par rapport à l'axe «»[87], la puissance instantanée développée à l'instant par le couple de torsion du fil supérieur étant «» et
celle que le fil de torsion inférieur exerce sur le solide modélisée par un couple de torsion de moment scalaire par rapport à l'axe «»[88], la puissance instantanée développée à l'instant par le couple de torsion du fil inférieur étant «» ;
Vue de dessus d'un pendule de torsion amorti par substitution d'ailettes planes aux masselottes fixées sur la tige (les fils de torsion supérieur et inférieur perpendiculaires au plan de la figure ne peuvent y être représentés)
Remarque : On peut également, par utilisation du théorème de la puissance cinétique, retrouver l’équation différentielle en élongation angulaire du pendule de torsion amorti voir vue de dessus partielle représentée ci-contre établie par utilisation du théorème du moment cinétique scalaire dans le paragraphe « mise en équation différentielle du pendule de torsion amorti » du chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » ;
Remarque : aux deux couples de torsion des fils supérieur et inférieur s'exerçant sur le solide « tige + ailettes » il faut ajouter le « couple de frottement fluide linéaire agissant sur le pendule par l'intermédiaire des ailettes » dont le moment scalaire relativement à l'axe «» a été établi au chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » étant une constante positive exprimée en «» dépendant de la nature du matériau des ailettes, de la disposition de celles-ci par rapport à l'axe et du fluide sur lequel frottent les ailettes, la puissance du couple de frottement fluide s'exprimant, à l'instant , selon «» ;
Établissement de l’équation différentielle du mouvement du pendule pesant (à un degré de liberté) par application du théorème de la puissance cinétique
Ci-contre le schéma de face du pendule pesant étudié non amorti en considérant une liaison pivot idéale[89] du solide en rotation autour de l’axe horizontal [90] ;
le P.P.N.A[91]. à un degré de liberté ayant un mouvement de rotation tel que son C.D.I[24]. a une trajectoire circulaire de centre , d'axe orienté par le vecteur unitaire «» et de rayon «», étant repéré, à l'instant , par son abscisse angulaire «» noté «» par la suite en absence d'ambiguïté, la détermination de l'équation différentielle en «» du P.P.N.A[91]. nécessite de rappeler les actions extérieures s'exerçant sur lui ainsi que la puissance développée par chacune d'elles dans le but d'utiliser le théorème de la puissance cinétique, ce sont :
son poids «» de moment scalaire par rapport à «»[92], la puissance instantanée développée à l'instant par le poids étant «» et
la réaction de l'axe de la liaison pivot sur le pendule lancé avec n'importe quelles C.I[93]. compatibles avec la liaison, «»[94] de moment scalaire «»[95] auquel s'ajoute le couple de réaction du pivot de moment vectoriel «»[94],[96] et par suite de moment scalaire relativement à «», la puissance instantanée développée à l'instant par la réaction du pivot et de son couple de réaction étant «» ;
Schéma d'un pendule pesant amorti à un degré de liberté, repérage polaire de son C.D.I[24]. et représentation des forces extérieures, étant le point où la résultante des forces de frottement fluide peut être appliquée
Remarque : On peut également, par utilisation du théorème de la puissance cinétique, retrouver l’équation différentielle en élongation angulaire du pendule pesant amorti voir coupe partielle représentée ci-contre établie par utilisation du théorème du moment cinétique scalaire dans le paragraphe « établissement de l'équation différentielle du mouvement du P.P.A. à un degré de liberté » du chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » ;
Remarque : au poids du solide, seule action extérieure à moment scalaire par rapport à l'axe non nul dans un P.P.N.A[91]. il faut, dans un P.P.A[98]., ajouter les forces de frottement fluide linéaire dont le moment résultant scalaire relativement à l'axe «» a été établi au chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » dans le paragraphe précité étant une constante positive exprimée en «» dépendant de la nature du matériau du pendule, de la forme de ce dernier par rapport à l'axe et du fluide sur lequel il frotte, la puissance des forces de frottement fluide s'exprimant, à l'instant , selon «» ;
Remarque : ou, en simplifiant par non identiquement nulle, l'équation différentielle soit, en normalisant, l'équation différentielle en du P.P.A[98]. suivante
«».
Remarque : L'équation différentielle n'ayant pas de solution analytique[97], il est nécessaire de procéder à une résolution numérique, revoir le paragraphe « absence de solution analytique dans le cas général d'amplitudes initiales non petites » du chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » une solution analytique[97] approchée existant dans le cas d'amplitudes initiales petites.
« En complément », caractère conservatif du couple de torsion, énergie potentielle de torsion et conservation de l’énergie mécanique du pendule de torsion (non amorti) dans le champ de torsion du fil
Le caractère « conservatif » du couple de torsion ainsi que l’expression de l’énergie potentielle « dont il dérive » ne sont pas explicités dans le programme de physique de P.C.S.I. mais il me semble souhaitable de le retenir et bien sûr d’être capable de le retrouver.
Le travail élémentaire d’un couple de torsion s’exerçant sur un solide, de vecteur moment «»[99] lors d’une torsion élémentaire «» dans lequel est la direction du fil de torsion orienté par le vecteur unitaire et «» l'angle de torsion algébrisé, défini au niveau de la liaison au solide dans le plan à et orienté par étant défini selon «»[100], étant la vitesse angulaire instantanée du solide à 'linstant liée à l'angle de torsion algébrisé par «» et par suite «»[101] ;
le travail élémentaire d’un couple de torsion étant une différentielle de fonction[102], on en déduit le caractère conservatif du couple de torsion.
Énergie potentielle de torsion du solide relié au fil de torsion
L’énergie potentielle de torsion du solide relié au fil de torsion dont « dérive » le couple de torsion de vecteur moment est définie par «»[103] c'est-à-dire «» ou «» soit, en intégrant «» ;
choisissant la référence de l’énergie potentielle de torsion [104] quand le fil n’est pas tordu c'est-à-dire on en déduit d'où l'énergie potentielle de torsion du solide relié au fil de torsion
Schéma d'un pendule de torsion représenté sans masselottes additives et avec fil inférieur sans torsion avec ajout des actions exercées sur la tige à l'instant
l'énergie mécanique du pendule de torsion non amorti à l'instant selon «» ;
or le couple de torsion étant la seule action extérieure travaillant en absence de frottement et le théorème de l’énergie cinétique appliqué au pendule de torsion dans le référentiel d'étude galiléen[105] s’écrivant «» avec «» soit «» ou encore «» s'exprimant finalement selon «» c'est-à-dire la conservation de l’énergie mécanique du pendule de torsion (non amorti).
le couple de torsion du fil supérieur de moment scalaire par rapport à l'axe «»[87] dont le travail élémentaire, lors d'une rotation élémentaire du solide d'angle , s'écrivant «» c'est-à-dire une différentielle de fonction prouve le caractère conservatif du couple de torsion du fil supérieur, lequel « dérive » de l'énergie potentielle «» du solide « tige + masselottes » dans le champ de torsion du fil supérieur définie, à une constante additive près, par soit soit, en prenant pour référence de [104] « la position du solide à l'équilibre » c'est-à-dire [106], l'énergie potentielle du solide « tige + masselottes » dans le champ de torsion du fil supérieur «»[107],[108] et
le couple de torsion du fil inférieur de moment scalaire par rapport à l'axe «»[88] dont le travail élémentaire, lors d'une rotation élémentaire du solide d'angle , s'écrivant «» c'est-à-dire une différentielle de fonction prouve le caractère conservatif du couple de torsion du fil inférieur, lequel « dérive » de l'énergie potentielle «» du solide « tige + masselottes » dans le champ de torsion du fil inférieur définie, à une constante additive près, par soit soit, en prenant pour référence de [104] « la position du solide à l'équilibre » c'est-à-dire [106], l'énergie potentielle du solide « tige + masselottes » dans le champ de torsion du fil inférieur «»[109],[108] ;
finalement l'énergie potentielle globale du solide « tige + masselottes » dans le champ de torsion des deux fils s'écrit
«» avec référence[104] : position d'équilibre du solide [106] ;
l'énergie cinétique du solide « tige + masselottes » à l'instant étant «» dans laquelle « est le moment d'inertie du solide « tige + masselottes » par rapport à »[70], on en déduit l'expression, à l'instant , de l'énergie mécanique du solide « tige + masselottes » dans le champ de torsion des deux fils «» ;
les couples de torsion étant les seules actions extérieures travaillant en absence de frottement, le théorème de l’énergie cinétique appliqué au pendule de torsion c'est-à-dire le solide « tige + masselottes » dans le champ de torsion des fils dans le référentiel d'étude galiléen[105] s’écrivant «» dans lequel «» soit «» ou encore «» s'exprimant finalement selon «» c'est-à-dire la conservation de l’énergie mécanique du pendule de torsion (non amorti) ;
finalement on peut écrire l'intégrale 1èreénergétique du mouvement de ce pendule de torsion non amorti selon «» avec
Constatant que le diagramme d’énergie potentielle en fonction du paramètre de position angulaire dans le 1er exemple de pendule de torsion du paragraphe précédent ou Constatantque celui en fonction du paramètre de position angulaire du 2ème exemple de pendule de torsion du même paragraphe est parabolique, nous retrouvons la 2ème définition d’un oscillateur harmoniquede rotationvoir le paragraphe « définition (équivalente) énergétique d'un oscillateur harmonique » du chap. de la leçon « Signaux physiques (PCSI) ».
Dans le cas d'un P.P.N.A[91]. dont le schéma est présenté dans le paragraphe « établissement de l'équation différentielle du mouvement du pendule pesant (à un degré de liberté) par application du théorème de la puissance cinétique » plus haut dans ce chapitre, la seule action extérieure travaillant étant le poids du solide et ce dernier étant conservatif, on définit une énergie potentielle de pesanteur «» du solide constituant le pendule pesant telle que le travail élémentaire du poids lors d'une rotation élémentaire d'angle autour de l'axe soit «»[103] avec «» d’où «» soit finalement, en choisissant comme référence de l'énergie potentielle[104] de pesanteur du P.P.N.A[91]. « la position d'équilibre stable de ce dernier[110]», l'énergie potentielle de pesanteur du P.P.N.A[91]. selon
«»[111]référence[104] : la position d'équilibre stable[110].
Énergie mécanique du pendule pesant et sa conservation en absence de frottement
L'énergie cinétique du solide constituant le P.P.N.A[91]. à l'instant étant «» dans laquelle « est le moment d'inertie du solide par rapport à »[70], on en déduit l'expression, à l'instant , de l'énergie mécanique du solide constituant le P.P.N.A[91]. dans le champ de pesanteur «» ;
le poids du solide constituant le pendule pesant étant la seule action extérieure travaillant en absence de frottement, le théorème de l’énergie cinétique appliqué au P.P.N.A[91]. dans le référentiel d'étude galiléen[105] s’écrivant «» dans lequel «» soit «» ou encore «» s'exprimant finalement selon «» c'est-à-dire la conservation de l’énergie mécanique du pendule pesant (non amorti) ;
finalement on peut écrire l'intégrale 1èreénergétique du mouvement de ce pendule pesant non amorti selon «» avec
Constatant que le diagramme d’énergie potentielle du P.P.N.A[91]. en fonction du paramètre de position angulaire n'est pas parabolique mais sinusoïdal, nous pouvons affirmer que le P.P.N.A[91]. n'est pas un oscillateur harmoniquequand il est en situation d'oscillervoir le paragraphe « définition (équivalente) énergétique d'un oscillateur harmonique » du chap. de la leçon « Signaux physiques (PCSI) » ;
une étude par diagrammes d’énergies mécanique et potentielle permet d’établir que la nature du P.P.N.A[91]. est « oscillatoire quand est à » et « révolutive quand quand est à » puis une étude par diagrammes d’énergies mécanique et potentielle permet de démontrer, avec utilisation simultanée de l'intégrale 1ère énergétique, la nature « périodique oscillatoire ou révolutive» ainsi que une étude par diagrammes d’énergies mécanique et potentielle permet d’établir l’expression de la période sous forme intégrale voir le paragraphe « étude du mouvement du P.P.(N.A.) dans le cas général des élongations angulaires non petites par diagramme énergétique » du chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) »
pour , le mouvement du P.P.N.A[91]. est pendulaire[112], son portrait de phase est fermé, décrit dans le « sens horaire »[113], avec le point «» comme « centre de symétrie »[114] lequel correspond à la position d’équilibre stable[110] du P.P.N.A[91]. ; pour , le mouvement du P.P.N.A[91]. est révolutif, son portrait de phase est ouvert, constitué de la répétition du motif de l'intervalle, répété « vers les en restant dans le domaine des si » ou « vers les en restant dans le domaine des si », le portrait de phase avec C.I[93]. «» étant l’antisymétrique de celui avec C.I[93]. «», les maxima de valeur absolue de vitesse angulaire «» étant obtenus pour les positions d’équilibre stable[110] «»[115] et les minimade valeur absolue de vitesse angulaire étant obtenus pour les positions d’équilibre instable[116] «»[117].
« Généralisation » à tout « solide » : « théorème de la variation de l’énergie mécanique » et la forme locale associée « le théorème de la puissance mécanique », application au cas d’un solide amorti
Le théorème de l’énergie cinétique appliqué à un « solide » dans un référentiel d'étude galiléen[118] sur une durée finie s’écrivant «»[119], on distingue alors, parmi les forces extérieures appliquées,
celles qui sont conservatives lesquelles « dérivent » d’une énergie potentielle dont le travail pendant cette durée finie est noté «» et
celles qui sont non conservatives[120] dont le travail pendant cette même durée finie est noté «»
d'où «» ou, en introduisant l’énergie potentielle «» dont dérivent les forces conservatives définie, à une constante additive près, selon «» dont on déduit «» d’où la réécriture du théorème de l’énergie cinétique appliqué au « solide » dans le référentiel d'étude galiléen sur la durée finie «» ou, en basculant «» dans le membre de gauche et en définissant l’énergie mécanique du « solide », à l'instant , dans le champ des forces conservatives par «», le lien entre la variation de l'énergie mécanique du « solide » sur la durée finie soit «» et le travail des forces extérieures non conservatives[120] sur cette même durée finie soit «» à savoir
«» applicable à un solide dans le référentiel d’étude galiléen
d'où l'énoncé du théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à un « solide » sur une durée finie dans un référentiel galiléen ce théorème n'est pas explicité dans le programme de physique de P.C.S.I. sous la forme où il existe des forces extérieures non conservatives dissipatives mais, comme le cas où toutes les forces extérieures travaillant sont conservatives est clairement explicité sous la forme de la conservation de l’énergie mécanique du solide, le cas où il existe des forces extérieures travaillant et non conservatives comme des forces de frottement s’appliquant à un solide peut difficilement être ignoré d'où l'ajout du théorème sous sa forme la plus générale :
Début d’un théorème
Théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à un « solide » sur une durée finie
Dans un référentiel galiléen , la variation d'énergie mécanique d’un solide dans le champ des forces extérieures conservatives dérivant de l'énergie potentielle «», étant l'énergie cinétique du solide entre les instants et «» est égale au travail des forces extérieures non conservatives[120] appliquées au solide sur le même intervalle «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen ».
Fin du théorème
La forme du théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à un « solide » sur une durée élémentaire dans un référentiel galiléen se déduit aisément de sa forme sur une durée finie soit
Début d’un théorème
Théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à un « solide » sur une durée élémentaire
Dans un référentiel galiléen , la variation élémentaire d'énergie mécanique d’un solide dans le champ des forces extérieures conservatives dérivant de l'énergie potentielle «», étant l'énergie cinétique du solide entre les instants et «» est égale au travail élémentaire des forces extérieures non conservatives[120] appliquées au solide sur le même intervalle «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen ».
Fin du théorème
Remarque : Sous cette forme le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à un système de matière indéformable[52] sur une durée élémentaire ou finie est applicable dans le cadre de la dynamique newtonienne ou relativiste.
Cas particulier : En absence de forces extérieures non conservatives travaillant par exemple absence de frottements solide ou fluide, le théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à un solide sur une durée finie ou élémentaire se réduit à « la conservation de l’énergie mécanique d'un solide dans le champ des forces extérieures toutes conservatives ou ne travaillant pas».
Théorème de la puissance mécanique appliqué à un « solide »
Le théorème de la puissance mécanique appliqué à un « solide » est la forme locale associée à la forme intégrée “ théorème de la variation de l'énergie mécanique appliqué à un « solide » sur une durée finie ou élémentaire ” ;
pour obtenir cette forme locale on écrit le théorème de la variation de l’énergie mécanique d’un solide dans le champ des forces extérieures conservatives entre les instants et c'est-à-dire la forme élémentaire du théorème de la variation de l’énergie mécanique appliqué à un solide, ce qui donne, dans un référentiel galiléen «» puis, pour obtenir cette forme locale on divise les deux membres par soit «» ; le 1er membre étant la puissance mécanique du solide dans le champ des forces extérieures conservatives définie comme la dérivée temporelle de l’énergie mécanique notée, à l'instant «» et le 2ème membre étant la puissance instantanée développée, à l'instant , par les forces extérieures non conservatives «» nous obtenons «» applicable à un solide dans un référentiel d'étude galiléen d'où l'énoncé du théorème de la puissance mécanique appliqué à un solide dans un référentiel d'étude galiléen :
Début d’un théorème
Théorème de la puissance mécanique appliqué à un « solide »
Dans un référentiel galiléen , la puissance mécanique d’un solide dans le champ des forces extérieures conservatives dérivant de l'énergie potentielle d'où la définition de l'énergie mécanique «», étant l'énergie cinétique du solide, notée, à l'instant , «» est égale à la puissance instantanée développée par les forces extérieures non conservatives[120] appliquées au solide au même instant «» soit, mathématiquement,
« dans le référentiel galiléen ».
Fin du théorème
Remarque : Sous cette forme le théorème de la puissance mécanique appliqué à un système de matière indéformable[52] est applicable dans le cadre de la dynamique newtonienne ou relativiste.
Cas particulier : En absence de forces extérieures non conservatives travaillant par exemple absence de frottements solide ou fluide, le théorème de la puissance mécanique appliqué à un solide à un instant quelconque se réduit à « la nullité, pour tout , de la puissance mécanique d'un solide dans le champ des forces extérieures toutes conservatives ou ne travaillant pas» ceci donnant, après intégration, « la conservation de l’énergie mécanique du solide précédemment défini ».
Parmi les forces extérieures non conservatives[120] appliquées à un solide et travaillant, « les plus fréquentes sont dissipatives »[121] comme les forces de frottement fluide ou solide ;
en supposant que les seules forces extérieures non conservatives[120] travaillant soient les forces de frottement, le théorème de la puissance mécanique appliqué à un solide amorti dans le champ des forces extérieures conservatives[122] s’écrivant «» dans un référentiel d'étude galiléen, nous en déduisons que l'énergie mécanique du solide amorti « au sens strict » au cours du temps dans ce référentiel d'étude.
Cas particulier du pendule de torsion amorti par frottement fluide linéaire
aux deux couples extérieurs de torsion conservatifs s'exerçant sur le solide « tige + ailettes » et « dérivant » de l'énergie potentielle de ce dernier dans le champ de torsion des deux fils, à savoir «» avec référence[104] : position d'équilibre du solide [106][123], il convient d'ajouter
le « couple de frottement fluide linéaire agissant sur le pendule par l'intermédiaire des ailettes » dont le moment scalaire relativement à l'axe «» établi au chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » étant une constante positive exprimée en «» dépendant de la nature du matériau des ailettes, de la disposition de celles-ci par rapport à l'axe et du fluide sur lequel frottent les ailettes montre qu'il est non conservatif[124], la puissance du couple de frottement fluide s'exprimant, à l'instant , selon «» ;
l'énergie mécanique du solide « tige + ailettes » étant «»[125] à l'instant dans le référentiel d'étude , étant le moment d'inertie du solide « tige + ailettes » relativement à l'axe commun des deux fils[70] on en déduit aisément, dans et à l'instant , la puissance mécanique du solide « tige + ailettes » dans le champ de torsion des fils en formant puis
l’application du théorème de la puissance mécanique au pendule de torsion amorti[122] nous conduit à «» ou «» «» soit encore,
en explicitant la dérivée temporelle de l’énergie mécanique puis en divisant par «», l’équation différentielle en élongation angulaire du pendule de torsion amorti trouvée au paragraphe « mise en équation différentielle du pendule de torsion amorti » du chap. de la leçon «Mécanique 2 (PCSI)» à savoir
«».
Cas particulier du pendule pesant à un degré de liberté amorti par frottement fluide linéaire
à la force extérieure «», conservative, s'exerçant sur le P.P.A[98]. et « dérivant » de l'énergie potentielle de pesanteur de ce dernier, à savoir «» avec référence[104] : position d'équilibre stable du solide [110][126], il convient d'ajouter
les forces de frottement fluide linéaire dont le moment scalaire relativement à l'axe «» a été établi au paragraphe « établissement de l'équation différentielle du mouvement du P.P.A. à un degré de liberté » du chap. de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » étant une constante positive exprimée en «» dépendant de la nature du matériau du pendule, de la forme de ce dernier par rapport à l'axe et du fluide sur lequel il frotte montre que ces forces de frottement est un système non conservatif[124], la puissance de ces forces de frottement fluide s'exprimant, à l'instant , selon «» ;
l'énergie mécanique du P.P.A[98]. étant «»[127] à l'instant dans le référentiel d'étude , étant le moment d'inertie du P.P.A[98]. relativement à son axe de rotation[70] on en déduit aisément, dans et à l'instant , la puissance mécanique du P.P.A[98]. en formant puis
l’application du théorème de la puissance mécanique au P.P.A[98].,[122] nous conduit à «» ou «» «» soit encore,
↑ Forme nettement plus utilisée que la précédente «».
↑ La cause de modification de la grandeur cinématique étant la force quand est de mouvement quelconque incluant aussi le cas d'un mouvement circulaire, étant la grandeur cinématique linéaire, sa cause de modification est donc et La cause de modifi celle de la grandeur cinématique étant le moment vectoriel de la force par rapport à quand est de mouvement circulaire.
↑ Donc à un degré de liberté pouvant être caractérisé par des grandeurs scalaires.
↑ La cause de modification de la grandeur cinématique scalaire étant le moment scalaire de la force relativement à l'axe soit «» étant la grandeur cinématique linéaire, sa cause de modification est donc .
↑ 14,0 et 14,1 Voir le paragraphe « autres propriétés de la multiplication scalaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
↑ Ce qui n’est pas une surprise puisque ce théorème est valable quel que soit le mouvement voir le paragraphe « énoncé du théorème de la puissance cinétique » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
↑ En effet, définissant vecteur unitaire orientant , on en déduit «» d'où « se réécrit ».
↑ 20,020,120,220,3 et 20,4 A priori pourrait être égal à mais ce ne serait plus un système de points matériels mais un simple point matériel.
↑ En notant la résultante des forces extérieures s'exerçant sur le même point matériel soit «».
↑ 22,022,1 et 22,2 Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale volumique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des puissances développées, au même instant , par la résultante des forces extérieures s'exerçant sur chaque pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume «» soit «» ou, en définissant la densité volumique de résultante des forces extérieures s'exerçant en selon «», «» dans laquelle «» est la puissance volumique développée, à l'instant , par le système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude au point soit «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale surfacique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des puissances développées, au même instant , par la résultante des forces extérieures s'exerçant sur chaque pseudo-point de l'expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire «» soit «» ou, en définissant la densité surfacique de résultante des forces extérieures s'exerçant en selon «», «» dans laquelle «» est la puissance surfacique développée, à l'instant , par le système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude au point soit «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale curviligne voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des puissances développées, au même instant , par la résultante des forces extérieures s'exerçant sur chaque pseudo-point de l'expansion linéique , à savoir un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur «» soit «» ou, en définissant la densité linéique de résultante des forces extérieures s'exerçant en selon «», «» dans laquelle «» est la puissance linéique développée, à l'instant , par le système
de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude au point soit «».
↑ 23,023,1 et 23,2 Un « système de matière en translation » ne se déformant pas peut aussi être qualifié de « solide » au sens de la mécanique.
↑ 25,025,125,225,3 et 25,4 Utilisation de la distributivité de la multiplication scalaire par rapport à l’addition vectorielle « en sens inverse » voir le paragraphe « autres propriétés (de la multiplication scalaire) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
↑ 26,0 et 26,1 Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , la résultante dynamique exercée, à l'instant , sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale volumique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des résultantes des forces extérieures s'exerçant, à l'instant , sur chaque pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume «» soit, mathématiquement, l'expression suivante «» ou, en définissant la densité volumique de résultante des forces extérieures s'exerçant en selon «», «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , la résultante dynamique exercée, à l'instant , sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale surfacique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des résultantes des forces extérieures s'exerçant, à l'instant , sur chaque pseudo-point de l'expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire «» soit, mathématiquement, l'expression suivante «» ou, en définissant la densité surfacique de résultante des forces extérieures s'exerçant en selon «», «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , la résultante dynamique exercée, à l'instant , sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale curviligne voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des résultantes des forces extérieures s'exerçant, à l'instant , sur chaque pseudo-point de l'expansion linéique , à savoir un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur «» soit, mathématiquement, l'expression suivante «» ou, en définissant la densité linéique de résultante des forces extérieures s'exerçant en selon «», «».
↑ Ceci est en accord avec le fait que le mouvement d'un système en translation est déterminé par le mouvement du point fictif « C.D.I. », ce dernier s'obtenant par application du théorème du mouvement du C.D.I. voir le paragraphe « énoncé du théorème (dynamique newtonienne) du mouvement du C.D.I. d'un système » du chap. de la leçon Mécanique 1 (PCSI) correspondant aussi à l'application de la r.f.d.n. relation fondamentale de la dynamique newtonienne au point fictif « C.D.I. » sur lequel s'exercerait la résultante dynamique.
↑ 28,028,128,228,3 et 28,4 Par exemple, en se dilatant, c'est-à-dire que chaque point du système, en plus de sa rotation autour d'un axe, s'éloigne radialement de cet axe la vitesse d'éloignement pouvant être différente d'un point à un autre mais dans ce cas il ne s'agit pas d'une rotation « pure » Pour maintenir une même vitesse angulaire à un instant pour tous les points d'un « système déformable », il faut que le mouvement orthoradial de chacun des points soit corrélé au mouvement radial correspondant avec absence de mouvement axial, c'est-à-dire que, pour deux points tels que la droite recoupe l'axe perpendiculairement en , les points ayant donc même abscisse angulaire on ait donc indépendant de pour tout instant et pour tout couple dont les éléments ont même abscisse angulaire, ces conditions étant très contraignantes sont quasiment jamais réalisées naturellement
↑ Indéformable dans la pratique se comporte, dans ce cas le seul que nous envisageons dans la suite, comme un solide au sens de la mécanique relire la note « 28 », plus haut dans ce chapitre, commentant la difficulté pratique d'avoir un système déformable restant simultanément en rotation
↑ Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , le moment résultant dynamique scalaire relativement à un axe exercé, à l'instant , sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale volumique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des moments résultants scalaires relativement à des forces extérieures s'exerçant, à l'instant , sur chaque pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume «» soit, mathématiquement, l'expression suivante «» ou, en définissant la densité volumique de moment résultant scalaire relativement à des forces extérieures s'exerçant en selon «» dans laquelle , est le vecteur unitaire orientant et est la densité volumique de résultante des forces extérieures s'exerçant en , «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , le moment résultant dynamique scalaire relativement à un axe exercé, à l'instant , sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale surfacique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des moments résultants scalaires relativement à des forces extérieures s'exerçant, à l'instant , sur chaque pseudo-point de l'expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire «» soit, mathématiquement, l'expression suivante «» ou, en définissant la densité surfacique de moment résultant scalaire relativement à des forces extérieures s'exerçant en selon «» dans laquelle , est le vecteur unitaire orientant et est la densité surfacique de résultante des forces extérieures s'exerçant en , «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , le moment résultant dynamique scalaire relativement à un axe exercé, à l'instant , sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale curviligne voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des moments résultants scalaires relativement à des forces extérieures s'exerçant, à l'instant , sur chaque pseudo-point de l'expansion linéique , à savoir un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur «» soit, mathématiquement, l'expression suivante «» ou, en définissant la densité linéique de moment résultant scalaire relativement à des forces extérieures s'exerçant en selon «» dans laquelle , est le vecteur unitaire orientant et est la densité linéique de résultante des forces extérieures s'exerçant en , «».
↑ Forme particulière applicable dans le cas d’une rotation autour d’un axe quelconque axe mobile ou immobile dans le référentiel galiléen ou non, la nécessité d’être fixe ainsi que celle du caractère galiléen de , n’apparaissant que dans l’application du théorème du moment cinétique scalaire ou d’un théorème s’en déduisant.
↑ Cette composition devenant fausse pour un système déformable car ni la translation ni la rotation ne peuvent créer de déformation du système !
↑ Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , le moment résultant dynamique vectoriel relativement au C.D.I. de , exercé, à l'instant , sur ce dernier dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale volumique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des moments résultants vectoriels relativement à des forces extérieures s'exerçant, à l'instant , sur chaque pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume «» soit, mathématiquement, l'expression suivante «» ou, en définissant la densité volumique de moment résultant vectoriel relativement à des forces extérieures s'exerçant en selon «» dans laquelle est la densité volumique de résultante des forces extérieures s'exerçant en , le moment résultant dynamique vectoriel relativement au C.D.I. de se réécrit selon «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , le moment résultant dynamique vectoriel relativement au C.D.I. de , exercé, à l'instant , sur ce dernier dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale surfacique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des moments résultants vectoriels relativement à des forces extérieures s'exerçant, à l'instant , sur chaque pseudo-point de l'expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire «» soit, mathématiquement, l'expression suivante «» ou, en définissant la densité surfacique de moment résultant vectoriel relativement à des forces extérieures s'exerçant en selon «» dans laquelle est la densité surfacique de résultante des forces extérieures s'exerçant en , le moment résultant dynamique vectoriel relativement au C.D.I. de se réécrit selon «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , le moment résultant dynamique vectoriel relativement au C.D.I. de , exercé, à l'instant , sur ce dernier dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale curviligne voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des moments résultants vectoriels relativement à
des forces extérieures s'exerçant, à l'instant , sur chaque pseudo-point de l'expansion linéique un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur «» soit, mathématiquement, l'expression suivante «» ou, en définissant la densité linéique de moment résultant vectoriel relativement à des forces extérieures s'exerçant en selon «» dans laquelle est la densité linéique de résultante des forces extérieures s'exerçant en , le moment résultant dynamique vectoriel relativement au C.D.I. de se réécrit selon «».
↑ Forme légèrement plus utilisée que la précédente «».
↑ 36,0 et 36,1 Pour l'existence de forces intérieures appliquées à un système, doit être évidemment à .
↑ Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale volumique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des puissances développées, au même instant , par les forces intérieures que chaque pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle exerce sur chaque pseudo-point de cette même expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume «» soit «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale surfacique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des puissances développées, à l'instant , par les forces intérieures que chaque pseudo-point de l'expansion surfacique exerce sur chaque pseudo-point de cette même expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire «» soit «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude est la somme continue correspondant à une intégrale curviligne voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des puissances développées, au même instant , par les forces intérieures que chaque pseudo-point de l'expansion linéique exerce sur chaque pseudo-point de cette même expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur «» soit «».
↑ Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude définie selon «» voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle exerce sur le pseudo-point de cette même expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume se réécrit, en explicitant la puissance d'une force en fonction d'elle et du vecteur vitesse de son point d'application, selon «» ou encore, en définissant la densité bivolumique de résultante des forces intérieures que exerce sur par «», selon «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude définie selon «» voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion surfacique exerce sur le pseudo-point de cette même expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire se réécrit, en explicitant la puissance d'une force en fonction d'elle et du vecteur vitesse de son point d'application, selon «» ou encore, en définissant la densité bisurfacique de résultante des forces intérieures que exerce sur par «», selon «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude définie selon «» voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion linéique exerce sur le pseudo-point de cette même expansion linéique un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur se réécrit, en explicitant la puissance d'une force en fonction de cette dernière et du vecteur vitesse de son point d'application, selon «» ou encore, en définissant la densité bilinéique de résultante des forces intérieures que exerce sur par «», selon «».
↑Michel Chasles (1793 - 1880) mathématicien français à qui on doit d'importants travaux en géométrie projective ainsi qu'en analyse harmonique ; la relation dite de Chasles, connue depuis très longtemps, porte son nom pour lui rendre hommage.
↑ En effet la dérivée temporelle d'une grandeur vectorielle ne dépend pas du référentiel dans lequel elle est effectuée pourvu que les référentiels considérés soient en translation les uns par rapport aux autres voir le paragraphe énoncé de la formule de Bour du chap. de la leçon Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ; Jacques Edmond Émile Bour (1832 -1866) est un mécanicien et mathématicien français à qui on doit, entre autres, un travail sur la déformation des surfaces résolu en formant les équations différentielles de toutes les surfaces déformées à partir d'une surface donnée, ainsi que sur la relativité des mouvements dont la formule portant son nom ; il mourût à l'âge de ans.
↑ En effet le terme générique « avec » de la 1ère double somme aussi terme générique de la 2ème double somme sous condition étant égal au terme générique de la 2ème double somme sous condition à savoir « avec » car d'une part et d'autre part, chaque terme de la 1ère double somme se retrouve tel quel dans la 2ème double somme avec mais aussi sous une forme résultant de la permutation du terme précédent conduisant à d'où la 2ème double somme égale à deux fois la 1ère double somme
↑ 43,043,1 et 43,2 Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , l'expression de la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude peut s'obtenir à partir de celle établie pour un système discret fermé de points matériels «» en remplaçant la double somme discrète par une double intégrale volumique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» doit être substitué par «» c'est-à-dire la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle exerce sur le pseudo-point de cette même expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume et en introduisant le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , soit «» ou, en définissant la densité bivolumique de résultante des forces intérieures que exerce sur par «», selon «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , l'expression de la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude peut s'obtenir à partir de celle établie pour un système discret fermé de points matériels «» en remplaçant la double somme discrète par une double intégrale surfacique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» doit être substitué par «» force intérieure que le pseudo-point de l'expansion surfacique exerce sur le pseudo-point de cette même expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire et en introduisant le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , soit «» ou, en définissant la densité bisurfacique de résultante des forces intérieures que exerce sur par «», selon «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , l'expression de la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude peut s'obtenir à partir de celle établie pour un système discret fermé de points matériels «» en remplaçant la double somme discrète par une double intégrale curviligne voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» doit être substitué par «» force intérieure que le pseudo-point de l'expansion linéique exerce sur le pseudo-point de cette même expansion linéique un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur et en introduisant le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , soit «» ou, en définissant la densité bilinéique de résultante des forces intérieures que exerce sur par «», selon «».
↑ Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude ayant été établie dans la note « 43 » plus haut dans ce chapitre sous la forme «» correspondant à deux intégrales volumiques emboîtées, voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité bivolumique de résultante des forces intérieures que exerce sur , «» étant la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle exerce sur le pseudo-point de cette même expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume et le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , peut se réécrire selon «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude ayant été établie dans la note « 43 » plus haut dans ce chapitre sous la forme «» correspondant à deux intégrales surfaciques emboîtées, voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité bisurfacique de résultante des forces intérieures que exerce sur , «» étant la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion surfacique exerce sur le pseudo-point de cette même expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire et le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , peut se réécrire selon «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude ayant été établie dans la note « 43
» plus haut dans ce chapitre sous la forme «» correspondant à deux intégrales curvilignes emboîtées, voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité bilinéique de résultante des forces intérieures que exerce sur , «» étant la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion linéique exerce sur le pseudo-point de cette même expansion linéique un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur et le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , peut se réécrire selon «».
↑ Ou, dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , surfacique ou linéique , la demi-somme des puissances instantanées définies dans chaque référentiel , ou des forces bivolumiques, bisurfaciques ou bilinéiques que exerce sur tous les autres points «, ou ».
↑ Contrairement à la résultante et au moment résultant par rapport à n’importe quel point origine du système des forces intérieures qui sont toujours nuls, quel que soit le système de matière discret ou continu, indéformable ou déformable ; la puissance développée par la résultante des forces intérieures étant nulle par nullité de la résultante et celle développée par le moment résultant vectoriel étant également nulle par nullité du moment vectoriel, le fait que la puissance développée par le système de forces intérieures dont les éléments de réduction en n'importe quel point origine sont nuls puisse ne pas être nulle montre que la résultante et le moment résultant par rapport à n’importe quel point origine ne sont pas suffisants pour décrire le système de forces intérieures, ni l'une, ni l'autre ne permettant de décrire la déformation du système ; ce qui vient d'être affirmer peut être généralisé au système global de forces extérieures et intérieures appliqué à un système de matière discret ou continu, indéformable ou déformable, la résultante dynamique et le moment résultant dynamique par rapport à n’importe quel point origine ne sont pas suffisants pour décrire le système global des forces extérieures et intérieures, la 1ère permettant la détermination du mouvement de translation du C.D.I. du système déformable ou non dans un référentiel galiléen, le 2nd celle du mouvement de rotation autour de dans le même référentiel galiléen mais ni l'une, ni l'autre, ne permettent de décrire la déformation du système d’où « on ne peut pas substituer un système de forces par ses éléments de réduction pour décrire complètement l'évolution du système le subissantceci ne devenant possible que si le système ne se déforme pas».
↑ Cette grandeur garde la même expression si on permute « auteur et receveur » en effet «» s’écrit encore «» car «» et comme, par définition, «», ceci établit que «» c'est-à-dire une même expression par permutation de et (C.Q.F.D.) Ce Qu’il Fallait Démontrer.
↑ 49,049,1 et 49,2 Pour simplifier on pose «», l'intensité de l'interaction entre et dépendant, a priori, des trois composantes sphériques de «» à savoir .
↑ Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude ayant été établie dans la note « 43 » plus haut dans ce chapitre sous la forme «» correspondant à deux intégrales volumiques emboîtées, voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité bivolumique de résultante des forces intérieures que exerce sur , «» étant la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle exerce sur le pseudo-point de cette même expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume et le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , peut se réécrire, en utilisant le repérage sphérique de pôle du référentiel , la base sphérique étant liée à selon «» pour simplifier on a posé ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude ayant été établie dans la note « 43 » plus haut dans ce chapitre sous la forme «» correspondant à deux intégrales surfaciques emboîtées, voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité bisurfacique de résultante des forces intérieures que exerce sur , «» étant la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion surfacique exerce sur le pseudo-point de cette même expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire et le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , peut se réécrire, en utilisant le repérage sphérique de pôle du référentiel , la base sphérique étant liée à selon «» pour simplifier on a posé ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude ayant été établie dans la note « 43 » plus haut dans ce chapitre sous la forme «» correspondant à deux intégrales curvilignes emboîtées, voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité bilinéique de résultante des forces intérieures que exerce sur , «» étant la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion linéique exerce sur le pseudo-point de cette même expansion linéique un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur et le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , peut se réécrire, en utilisant le repérage sphérique de pôle du référentiel , la base sphérique étant liée à selon «» pour simplifier on a posé .
↑ Pour à un système continu de matière d'expansion tridimensionnelle , surfacique ou linéique , le théorème de la puissance cinétique appliqué à dans le référentiel s'écrit :
«» pour voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité volumique de résultante des forces extérieures s'exerçant en et «» la densité bivolumique de résultante des forces intérieures que exerce sur un pseudo-point «» d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume ou
«» pour voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité surfacique de résultante des forces extérieures s'exerçant en et «» la densité bisurfacique de résultante des forces intérieures que exerce sur un pseudo-point «» d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire ou
«» pour voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité linéique de résultante des forces extérieures s'exerçant en et «» la densité bilinéique de résultante des forces intérieures que exerce sur un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique «» est un élément de matière, centré en , de longueur .
↑ 58,058,158,258,358,458,5 et 58,6 Applicable sous cette forme dans le cadre de la dynamique newtonienne ou relativiste.
↑ Ou permutation de la dérivation temporelle et de l'intégration spatiale volumique, surfacique ou curviligne, dans le cas d'un système continu de matière.
↑ Dans le cas d'un système continu de matière d'expansion tridimensionnelle , surfacique ou linéique , l'énergie cinétique du système s'écrit :
«» pour une expansion linéique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique «» est un élément de matière, centré en , de longueur .
↑ Dans le cas d'un système continu de matière d'expansion tridimensionnelle , surfacique ou linéique , voir la note « 22 » plus haut dans ce chapitre.
↑ Dans le cas d'un système continu de matière d'expansion tridimensionnelle , surfacique ou linéique , voir la note « 37 » plus haut dans ce chapitre.
↑ Démonstration analogue pour un système continu de matière utilisant les notes « 57 », « 59 », « 61 », « 62 » et « 63 » présentées plus haut dans ce chapitre.
↑ Dans cette 2ème expression « est aussi « la puissance qui serait développée, à l'instant et dans le référentiel , par la résultante dynamique appliquée au point fictif C.D.I. du système en translation dans » ceci est en accord avec le fait que le mouvement d'un système en translation est déterminé par le mouvement du point fictif « C.D.I. », ce dernier s'obtenant par application du théorème du mouvement du C.D.I. voir le paragraphe « énoncé du théorème (dynamique newtonienne) du mouvement du C.D.I. d'un système » du chap. de la leçon Mécanique 1 (PCSI) correspondant aussi à l'application de la r.f.d.n. relation fondamentale de la dynamique newtonienne au point fictif « C.D.I. » sur lequel s'exercerait la résultante dynamique.
↑ 67,0 et 67,1 Et donc de la puissance cinétique qui est la dérivée temporelle de l'énergie cinétique.
↑ 68,0 et 68,1 Dans cette 2ème expression «» est aussi « l'énergie cinétique newtonienne du point fictif C.D.I. du système en translation dans »ceci est en accord avec le fait que le mouvement d'un système en translation est déterminé par le mouvement du point fictif « C.D.I. », tous les points du système en translation ayant même vitesse que le C.D.I. .
↑ 69,069,1 et 69,2 Expression ne nécessitant pas que l'axe soit fixe, la fixité de l'axe dans un référentiel galiléen intervenant quand on utilise l'un des théorèmes fondamentaux de la dynamique de rotation des systèmes c'est-à-dire par exemple le théorème de la puissance cinétique établi dans ce paragraphe mais la puissance développée, à l'instant , par le système des forces extérieures s'exerçant sur en rotation autour de dans le référentiel d'étude , «» ne nécessite pas que soit fixe.
↑ 74,0 et 74,1 Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , le travail élémentaire du système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude sur l'intervalle est la somme continue correspondant à une intégrale volumique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des travaux élémentaires des résultantes des forces extérieures s'exerçant sur chaque pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume «» soit «» dans lequel, chaque point décrivant une trajectoire particulière entre « et », son vecteur déplacement élémentaire ainsi que son vecteur vitesse est tangent à ou, en définissant la densité volumique de résultante des forces extérieures s'exerçant en selon «», «» dans laquelle la grandeur scalaire «» est la puissance volumique développée, à l'instant , par le système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel en ; le travail des forces extérieures s’exerçant sur le système entre les instants de l'« état initial » et de l’« état final » se calcule par «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , le travail élémentaire du système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude sur l'intervalle est la somme continue correspondant à une intégrale surfacique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des travaux élémentaires des résultantes des forces extérieures s'exerçant sur chaque pseudo-point de l'expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire «» soit «» dans lequel, chaque point décrivant une trajectoire particulière entre « et », son vecteur déplacement élémentaire ainsi que son vecteur vitesse est tangent à ou, en définissant la densité surfacique de résultante des forces extérieures s'exerçant en selon «», «» dans laquelle la grandeur scalaire «» est la puissance surfacique développée, à l'instant , par le système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel en ; le travail des forces extérieures s’exerçant sur le système entre les instants de l'« état initial » et de l’« état final » se calcule par «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , le travail élémentaire du système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude sur l'intervalle est la somme continue correspondant à une intégrale curviligne voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des travaux élémentaires des résultantes des forces extérieures s'exerçant sur chaque pseudo-point de l'expansion linéique un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur «» soit «» dans lequel, chaque point décrivant une trajectoire particulière entre « et », son vecteur déplacement élémentaire ainsi que son vecteur vitesse est tangent à ou, en définissant la densité linéique de résultante des forces extérieures s'exerçant en selon «», «» dans laquelle «» est la puissance linéique développée, à l'instant , par le système de forces extérieures s'exerçant sur dans le référentiel en ; le travail des forces extérieures s’exerçant sur le système entre les instants de l'« état initial » et de l’« état final » se calcule par «».
↑ 76,0 et 76,1 Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , le travail élémentaire du système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude sur l'intervalle est la somme continue correspondant à une intégrale volumique voir le paragraphe « sles deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des travaux élémentaires des forces intérieures que chaque pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle exerce sur chaque pseudo-point de cette même expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume «» soit «» que l'on peut encore écrire selon «» dans lequel, chaque point décrivant une trajectoire particulière entre « et », son vecteur déplacement élémentaire ainsi que son vecteur vitesse est tangent à ou, en définissant la densité bivolumique de résultante des forces intérieures que exerce sur par «», «» ; le travail des forces intérieures s’exerçant sur le système entre les instants de l'« état initial » et de l’« état final » se calcule par «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , le travail élémentaire du système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude sur l'intervalle est la somme continue correspondant à une intégrale surfacique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des travaux élémentaires des forces intérieures que chaque pseudo-point de l'expansion surfacique exerce sur chaque pseudo-point de cette même expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire «» soit «» que l'on peut encore écrire selon «» dans lequel, chaque point
décrivant une trajectoire particulière entre « et », son vecteur déplacement élémentaire ainsi que son vecteur vitesse est tangent à ou, en définissant la densité bisurfacique de résultante des forces intérieures que exerce sur par «», «» ; le travail des forces intérieures s’exerçant sur le système entre les instants de l'« état initial » et de l’« état final » se calcule par «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion linéique , le travail élémentaire du système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude sur l'intervalle est la somme continue correspondant à une intégrale curviligne voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » des travaux élémentaires des forces intérieures que chaque pseudo-point de l'expansion linéique exerce sur chaque pseudo-point de cette même expansion linéique un pseudo-point d'une expansion linéique de masse linéique est un élément de matière, centré en , de longueur «» soit «» que l'on peut encore écrire selon «» dans lequel, chaque point décrivant une trajectoire particulière entre « et », son vecteur déplacement élémentaire ainsi que son vecteur vitesse est tangent à ou, en définissant la densité bilinéique de résultante des forces intérieures que exerce sur par «», «» ; le travail des forces intérieures s’exerçant sur le système entre les instants de l'« état initial » et de l’« état final » se calcule par «».
↑ Voir le paragraphe « définition (de la puissance des forces intérieures appliquées à un système de matière relativement à un référentiel d'étude) » plus haut dans ce chapitre.
↑ 79,0 et 79,1
Dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion tridimensionnelle , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude ayant été établie dans la note « 43 » plus haut dans ce chapitre sous la forme «» correspondant à deux intégrales volumiques emboîtées, voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité bivolumique de résultante des forces intérieures que exerce sur , «» étant la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion tridimensionnelle exerce sur le pseudo-point de cette même expansion tridimensionnelle un pseudo-point d'une expansion tridimensionnelle de masse volumique est un élément de matière, centré en , de volume et le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , le vecteur vitesse relative de dans «» étant tangent à la trajectoire particulière de dans , on en tire le travail élémentaire des forces intérieures agissant sur «» et le travail de ces forces sur l'intervalle «» ; dans le cas d'un système continu fermé de matière d'expansion surfacique , la puissance développée, à l'instant , par le système de forces intérieures s'exerçant sur dans le référentiel d'étude ayant été établie dans la note « 43 » plus haut dans ce chapitre sous «» correspondant à deux intégrales surfaciques emboîtées, voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle «» est la densité bisurfacique de résultante des forces intérieures que exerce sur , «» étant la force intérieure que le pseudo-point de l'expansion surfacique exerce sur le pseudo-point de cette même expansion surfacique un pseudo-point d'une expansion surfacique de masse surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire et le référentiel lié au point générique de en translation par rapport au référentiel d'étude , le vecteur vitesse relative de dans «