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Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) : Les torseurs
Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI)/Les torseurs », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Un espace tridimensionnel est dit affine si on peut y définir le parallélisme ainsi que la notion de barycentre [1] et
Un espace tridimensionnel est dit euclidien si la « direction de l'espace affine » [2] est un espace vectoriel [3] dans lequel on définit
Un espace tridimensionnel est dit euclidien un produit scalaire [4] permettant de déterminer la distance entre deux points de l'espace affine [5] et
Un espace tridimensionnel est dit euclidien un produit scalaire permettant de déterminer l'angle entre deux bipoints [6].
Un champ de vecteurs d'un espace affine euclidien tridimensionnel a été introduit dans le paragraphe « définition intrinsèque d'un champ (ou d'une fonction) vectoriel(le) de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », sa définition est rappelée ci-dessous :
Champ de vecteurs d'un espace affine euclidien tridimensionnel
On définit un champ de vecteurs
en
point de l'
espace affine euclidien tridimensionnel
[7] selon :
[7], où
est l'espace
vectoriel de dimension trois, « direction de l'
espace affine »
[2] euclidien .
Équiprojectivité d'un champ de vecteur d'un espace affine euclidien tridimensionnel
Un champ de vecteurs
défini en
[7] est «
équiprojectif » si
.
On démontre alors qu'il existe un
endomorphisme [8] antisymétrique [9] tel que
.
Les torseurs sont essentiellement utilisés en mécanique et plus particulièrement en mécanique du solide, ils servent à modéliser des champs de vecteurs possédant des propriétés particulières comme
- le champ de vitesses d'un solide [10] défini en chacun des points de ce dernier les propriétés particulières traduisant le fait que la distance entre deux points quelconques du solide reste constante ou
- le champ de moments de forces de même source [11] appliquées en chacun des points d'un solide [10] ici encore les propriétés particulières traduisent le fait que les points d'application des forces restent à une distance constante les uns des autres ou
Définition d'un torseur
Un
torseur est un
champ de vecteurs équiprojectif [12] défini sur un
espace affine euclidien [7] tridimensionnel soit plus précisément
Un torseur est une application
de
[7] dans
direction
[2] de
telle que
[7], vérifiant [7], [13].
Appellation : où est appelé « moment du torseur au point », c'est donc un élément de direction [2] de ,
Appellation : où est appelé « moment du torseur au point », le torseur étant une application de [7] dans direction [2] de .
Début d’un théorème
Relation de Varignon (ou règle de transport des moments)
La
relation de Varignon [14] admise
s'énonce sous une forme directe et une forme réciproque :
Forme directe : Soit un
torseur sur
, il existe un unique vecteur
de
direction
[2] de
vérifiant
[15], étant « la résultante du torseur ».
Forme réciproque : Si est une application de sur direction [2] de et
Forme réciproque : s'il existe un couple tel que
Forme réciproque : alors est un torseur sur et en est « la résultante ».
Fin du théorème
Remarque : D'après la relation de Varignon [14], on constate que d'une part et d'autre part ne se comportent pas de la même façon lors d'un changement d'orientation de [16],
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs suivant le comportement comparé de et de , par construction, ne dépendant pas de l'orientation de l'espace
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs suivant le comportement comparé de et de , est nécessairement un vecteur polaire ou vrai vecteur[17] :
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 1er type de torseur correspondant à ne dépendant pas de l'orientation de l'espace affine est un vecteur polaire
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 1er type de torseur correspondant à ne dépendant pas de l'orientation de l'espace affine ou vrai vecteur[17],
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 1er type de torseur étant des vecteurs polaires ou vrais vecteurs[17],
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 1er type de torseur étant des vecteurs c.-à-d. indépendants de l'orientation de l'espace affine
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 1er type de torseur est un vecteur axial [18] ou pseudo-vecteur[19] car la multiplication vectorielle
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 1er type de torseur est un vecteur axial dépend de l'orientation de l'espace affine et
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 1er type de torseur comme sont des vecteurs axiaux ou pseudo-vecteurs[19] car
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 1er type de torseur comme sont dépendants de l'orientation de l'espace affine,
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 2ème type de torseur correspondant à dépendant de l'orientation de l'espace affine est un vecteur axial
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 2ème type de torseur correspondant à dépendant de l'orientation de l'espace affine ou pseudo-vecteur[19] et
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 2ème type de torseur comme est un vecteur polaire ou vrai vecteur[17] on en déduit que,
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 2ème type de torseur comme est un vecteur polaire [20] ou vrai vecteur[17] car la multiplication
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 2ème type de torseur comme est vectorielle dépend de l'orientation de l'espace affine, en résumé :
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 2ème type de torseur comme et sont des vecteurs polaires
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 2ème type de torseur comme et sont des ou vrais vecteurs[17] car
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 2ème type de torseur comme et indépendants de l'orientation de l'espace et
Remarque : D'après la relation de Varignon, il y a deux types de torseurs le 2ème type de torseur est un vecteur axial ou pseudo-vecteur[19], dépendant de l'orientation de l'espace affine.
Réduction d'un torseur en un point quelconque de l'espace affine euclidien tridimensionnel sur lequel il est défini
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Un torseur défini sur l'espace affine euclidien tridimensionnel [7] est déterminé par un couple de deux vecteurs chacun à direction [2] de ;
on distingue deux types de torseurs suivant que sa résultante est un vecteur polaire ou vrai vecteur[17] ou
on distingue deux types de torseurs suivant que sa résultante est un vecteur axial ou pseudo-vecteur[19] :
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur polaireou vrai vecteur[17] : le torseur défini sur l'espace affine euclidien tridimensionnel [7]
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur polaireou vrai vecteur : le torseur étant déterminé par un couple de deux vecteurs étant la direction [2] de ,
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur polaireou vrai vecteur : on distingue chacun d'eux suivant leur dépendance à l'orientation de l'espace de la façon suivante :
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur polaireou vrai vecteur : on distingue un 1er vrai vecteur ou vecteur polaire[17] indépendant du point en lequel est appliqué et
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur polaireou vrai vecteur : on distingue un 2nd pseudo-vecteur ou vecteur axial[19] [21] dépendant a priori du point où est appliqué ;
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur polaireou vrai vecteur : ce couple d'un vrai vecteur [17] et d'un pseudo-vecteur [19] [22]
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur polaireou vrai vecteur : ce couple d'un vrai vecteur et d'un pseudo-vecteur constitue « la réduction du torseurau point[7] »,
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur polaireou vrai vecteur : ce couple le 1er vecteur « polaire » [17] étant la résultante du torseur et
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur polaireou vrai vecteur : ce couple le 2nd vecteur « axial » [19] le moment du torseur au point,
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur polaireou vrai vecteur : cette réduction du torseur en [7] s'écrivant symboliquement [23], [24].
Remarques : D'après la note « 24 », l'ensemble des torseurs formant un espace vectoriel de dimension six,
Remarques : D'après la note « 24 », il est possible de décrire un torseur, après avoir choisi une base orthonormée [25] de cet espace vectoriel de dimension six,
Remarques : D'après la note « 24 », il est possible de décrire un torseur, par les six composantes de sa réduction en un point quelconque de [7],
Remarques : D'après la note « 24 », il est possible de décrire un torseur, par ces six composantes constituant les coordonnées plückeriennes [26] de la réduction du torseur au point[7] soit,
Remarques : D'après la note « 24 », il est possible de décrire avec [27], [28], il est possible de réécrire la réduction du torseur au point [7] par
Remarques : D'après la note « 24 », il est possible de décrire un torseur, par ces six composantes constituant ses coordonnées plückeriennes .
Remarques : D'après la relation de Varignon [14], la connaissance de « la réduction du torseur en un point quelconque [7] » permet de déduire le torseur en n'importe quel point [7] selon
Remarques : D'après la relation de Varignon, la connaissance de « la réduction du torseur en un point quelconque » permet de déduire le torseur [29], [30].
Exemples : les torseurs statiques, voir le paragraphe « torseur statique » plus loin dans ce chapitre, la résultante étant appelée résultante dynamique notée [31] et
Exemples : les torseurs statiques, voir le paragraphe « torseur statique » plus loin dans ce chapitre, le moment résultant en appelé moment résultant dynamique en , noté [32] ;
Exemples : les torseurs cinétiques des systèmes fermés définis dans un référentiel fixé, voir le paragraphe « torseur cinématique » plus loin dans ce chapitre,
Exemples : les torseurs cinétiques des systèmes fermés définis dans un référentiel fixé, la résultante étant appelée résultante cinétique, notée [33] et
Exemples : les torseurs cinétiques des systèmes fermés définis dans un référentiel fixé, le moment résultant en appelé moment cinétique résultant en , noté [34],
Exemples : les torseurs cinétiques des systèmes fermés définis dans un référentiel fixé, la relation de Varignon [14] s'écrivant en selon [35] ;
Exemples : les torseurs dynamiques des systèmes fermés définis dans un référentiel fixé, voir le paragraphe « torseur dynamique » plus loin dans ce chapitre,
Exemples : les torseurs dynamiques des systèmes fermés définis dans un référentiel fixé, la résultante étant appelée, par certains, quantité d'accélération [36], [37], notée [38] et
Exemples : les torseurs dynamiques des systèmes fermés définis dans un référentiel fixé, le moment résultant en fixe dans , appelé moment résultant du torseur dynamique en ,
Exemples : les torseurs dynamiques des systèmes fermés définis dans un référentiel fixé, le moment résultant en fixe dans , noté [38], [39],
Exemples : les torseurs dynamiques des systèmes fermés définis dans un référentiel fixé, la relation de Varignon [14] s'écrivant en fixe dans , étant aussi fixe dans , selon
Exemples : les torseurs dynamiques des systèmes fermés définis dans un référentiel fixé, la relation de Varignon s'écrivant [40].
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur axialou pseudo-vecteur[19] : le torseur défini sur l'espace affine euclidien tridimensionnel [7]
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur axialou pseudo-vecteur : le torseur étant déterminé par un couple de deux vecteurs étant la direction [2] de ,
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur axialou pseudo-vecteur : on distingue chacun d'eux suivant leur dépendance à l'orientation de l'espace de la façon suivante :
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur axialou pseudo-vecteur : on distingue un 1er pseudo-vecteur ou vecteur axial[19] indépendant du point en lequel est appliqué et
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur axialou pseudo-vecteur : on distingue un 2nd vrai vecteur ou vecteur polaire[17] [21] dépendant a priori du point où est appliqué ;
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur axialou pseudo-vecteur : ce couple d'un pseudo-vecteur [19] et d'un vrai vecteur [17] [22]
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur axialou pseudo-vecteur : ce couple d'un pseudo-vecteur et d'un vrai vecteur constitue « la réduction du torseurau point[7] »,
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur axialou pseudo-vecteur : ce couple le 1er vecteur « axial » [19] étant la résultante du torseur et
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur axialou pseudo-vecteur : ce couple le 2nd vecteur « polaire » [17] le moment du torseur au point,
Cas d'un torseur dont la résultante est un vecteur axialou pseudo-vecteur : cette réduction du torseur en [7] s'écrivant symboliquement [23], [41].
Remarques : D'après la note « 24 », l'ensemble des torseurs formant un espace vectoriel de dimension six,
Remarques : D'après la note « 24 », il est possible de décrire un torseur, après avoir choisi une base orthonormée [42] de cet espace vectoriel de dimension six,
Remarques : D'après la note « 24 », il est possible de décrire un torseur, par les six composantes de sa réduction en un point quelconque de [7],
Remarques : D'après la note « 24 », il est possible de décrire un torseur, par ces six composantes constituant les coordonnées plückeriennes [26] de la réduction du torseur au point[7] soit,
Remarques : D'après la note « 24 », il est possible de décrire avec [43], [44], il est possible de réécrire la réduction du torseur au point [7] par
Remarques : D'après la note « 24 », il est possible de décrire un torseur, par ces six composantes constituant ses coordonnées plückeriennes .
Remarques : D'après la relation de Varignon [14], la connaissance de « la réduction du torseur en un point quelconque [7] » permet de déduire le torseur en n'importe quel point [7] selon
Remarques : D'après la relation de Varignon, la connaissance de « la réduction du torseur en un point quelconque » permet de déduire le torseur [29], [45].
Exemple : les torseurs cinématiques des solides définis dans un référentiel fixé, voir le paragraphe « torseur cinématique » plus loin dans ce chapitre,
Exemple : les torseurs cinématiques des solides définis dans un référentiel fixé, la résultante étant appelée vecteur rotation instantanée notée [46],
Exemple : les torseurs cinématiques des solides définis dans un référentiel fixé, le moment résultant en un point du solide étant appelé vecteur vitesse de dans le référentiel ,
Exemple : les torseurs cinématiques des solides définis dans un référentiel fixé, le moment résultant en un point du solide étant noté [47],
Exemple : les torseurs cinématiques des solides définis dans un référentiel fixé, la relation de Varignon [14] s'écrivant en , point du solide, selon [48]
Deux torseurs et sont égaux ssi leurs éléments de réduction au même point sont égaux soit « ».
La somme de deux torseurs et est le torseur dont les éléments de réduction en un point sont la somme des éléments de réduction de chacun des torseurs au même point soit
« ».
Soit un torseur quelconque, , le torseur est le torseur dont les éléments de réduction en un point sont fois les éléments de réduction du torseur au même point soit
« ».
Un torseur est nul ssi ses éléments de réduction en un point sont tous deux nuls soit « » [49].
Ce sont : la résultante du torseur ,
Ce sont : la projection du moment du torseur sur sa résultante soit «» appelée « invariant scalaire du torseur »
Ce sont : la projection du moment du torseur sur sa résultante se démontre d'après la relation de Varignon [14] :
Ce sont : la projection du moment du torseur sur sa résultante [50] et
Ce sont : la relation d'équiprojectivité «» contenu dans la définition d'un torseur [51].
Définition
Un point
en lequel le
moment du torseur a même direction que la
résultante de ce dernier
[52] est dit «
central »
[53] c.-à-d.
est un point central [53] du torseur ssi [54] .
Définition
L'ensemble
des points centraux du
torseur définit «
l'axe central » du
torseur c.-à-d.
est l'axe central du torseur [55].
Si la résultante du torseur est , son axe central est une droite de vecteur directeur et dans la mesure où on admet l'existence d'un point central [56]
Si la résultante du torseur est , son axe central c'est la droite de vecteur directeur issue de en effet,
Si la résultante du torseur est , son axe central d'après la relation de Varignon [14] on peut écrire dont on déduit
Si la résultante du torseur est , son axe central ou, en utilisant une formule du double produit vectoriel [57]
Si la résultante du torseur est , son axe central et par suite, , d'où
Si la résultante du torseur est , son axe central avec établissant la propriété directe
Si la résultante du torseur est , son axe central « si , alors ils sont sur une droite de vecteur directeur » ou encore
Si la résultante du torseur est , son axe central l'« ensemble des points centraux [56] du torseur est dans la droite de vecteur directeur passant par »,
Si la résultante du torseur est , son axe central réciproquement, si avec point central [56] dont l'existence est admise,
Si la résultante du torseur est , son axe central réciproquement, la relation de Varignon [14] donne [58] et par suite,
Si la résultante du torseur est , son axe central réciproquement, point central [56] de c.-à-d. est un point central [56] de ,
Si la résultante du torseur est , son axe central réciproquement, d'où l'« ensemble des points de la droite de vecteur directeur passant par est dans l'axe central »,
Si la résultante du torseur est , son axe central finalement « la droite de vecteur directeur issue du point central [56] existence admise est l'axe central du torseur » ;
Si la résultante du torseur est , le moment du torseurest le même en tout point de l'axe central en effet, étant une droite de vecteur directeur
Si la résultante du torseur est , le moment du torseurest le même en tout point de l'axe central en effet, dans la mesure où on admet l'existence d'un point central [56],
Si la résultante du torseur est , le moment du torseurest le même la relation de Varignon [14] nous donne C.Q.F.D. [59] ;
Si la résultante du torseur est , la norme du moment du torseurest minimale sur son axe central en effet, étant une droite de vecteur directeur
Si la résultante du torseur est , la norme du moment du torseurest minimale sur son axe central en effet, dans la mesure où on admet l'existence d'un point central [56],
Si la résultante du torseur est , la norme du moment du torseurest minimale la relation de Varignon [14] nous donne avec , ,
Si la résultante du torseur est , la norme du moment du torseurest minimale la relation de Varignon nous donne où est à et à donc à
Si la résultante du torseur est , la norme du moment du torseurest minimale la relation de Varignon nous donne [60] d'où
Si la résultante du torseur est , la norme du moment du torseurest minimale la relation de Varignon nous donne car pour ,
Si la résultante du torseur est , la norme du moment du torseurest minimale la relation de Varignon nous donne vrai , le moment du torseur
Si la résultante du torseur est , la norme du moment du torseurest minimale la relation de Varignon nous donne vrai , étant constant sur son axe central d'où
Si la résultante du torseur est , la norme du moment du torseurest minimale la relation de Varignon nous donne C.Q.F.D. [59].
Le torseur nul est le torseur dont les éléments de réduction en un point quelconque sont nuls soit [61].
Un torseur couple