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Outils mathématiques pour la physique (PCSI)/Barycentre d'un système de points

Leçons de niveau 14
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     On va se limiter au cadre de la géométrie élémentaire pour introduire la notion de barycentre d'un système de points avec son utilisation pratique en physique.

Barycentre de deux points

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     Cette notion peut être introduite dès lors qu'on associe à chaque point une grandeur additive, non nulle caractérisant le point,
     Cette notion peut être introduite dès lors qu'on dit alors que les points sont « pondérés » par cette grandeur, celle-ci définissant le cœfficient affecté au point [1].

Définition du barycentre d'un système de deux points pondérés

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     Soit le système de deux points pondérés , les cœfficients affectés aux points étant tous deux , on appelle
     Soit le barycentre de ce système de deux points pondérés le point tel que «».

     Condition d'existence et d'unicité : Supposons l'existence du barycentre du système et
     Condition d'existence et d'unicité : appliquons la relation de Chasles [2] que l'on reporte dans la définition de soit
     Condition d'existence et d'unicité : d'où l'équation suivante  ;
     Condition d'existence et d'unicité : on en déduit une C.N. [3] d'existence du barycentre du système qui est «» et
     Condition d'existence et d'unicité : on en déduit sous cette condition on obtient une solution unique «».
     Condition d'existence et d'unicité : Conclusion : le barycentre du système n'existe et est unique que si «».

     Remarque : On peut prolonger la définition du barycentre du système au cas où à condition d'admettre que le barycentre puisse être un point à l'infini sur une direction, ainsi
     Remarque : de on déduit que « le barycentre du système avec est le point à l'infini de la direction » [4].

Vecteur position du barycentre du système de deux points pondérés

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      étant un point quelconque de l'espace, on utilise la relation de Chasles [2] pour réécrire que l'on reporte dans la définition du barycentre «» [5]
      étant un point quelconque de l'espace, «» [6] soit,
      étant un point quelconque de l'espace, dans le cas d'un barycentre restant à distance finie c.-à-d. «», «».

Méthode de construction du barycentre du système de deux points pondérés

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Exposé de la méthode de construction du barycentre du système par utilisation du théorème de Thalès [7]

     Le point étant un point quelconque peut être choisi en un des points par exemple
     la formule précisant le vecteur position du barycentre se réécrit selon
     la formule précisant le vecteur position du barycentre établissant que le point se trouve sur la droite plus précisément

  • si et sont tous deux , se trouve sur le segment
    si et sont tous deux , situé, à partir de à la fraction de la longueur du segment ,
    si et sont tous deux , les points , et sont alignés dans l'ordre  ;
  • si est et de valeur absolue , se trouve au-delà du segment
    si est et de valeur absolue , situé, à partir de à la fraction de la longueur du segment ,
    si est et de valeur absolue , les points , et sont alignés dans l'ordre  ;
  • si est et de valeur absolue , se trouve en-deçà du segment
    si est et de valeur absolue , situé, à partir de à la fraction de la longueur du segment ,
    si est et de valeur absolue , les points , et sont alignés dans l'ordre .

     Exemple de construction : Soit à construire le barycentre du système
     Exemple de construction : d'après ce qui précède on en déduit c.-à-d. que
     Exemple de construction : d'après ce qui précède se trouve sur le segment au de la longueur du segment à partir de
     Exemple de construction : voir construction ci-dessus utilisant le théorème de Thalès [7].

Propriété d'homogénéité

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     Si est le barycentre du système avec , « pour tout réel , le barycentre du système est encore ».

     Démonstration : la définition du barycentre du système étant [5], multipliant cette dernière par et
        Démonstration : la définition du barycentre du système étant , utilisant la distributivité de la multiplication par un scalaire relativement à l'addition vectorielle
     Démonstration : la définition du barycentre du système étant c.-à-d. la définition du barycentre du système .

Cas particulier : isobarycentre d'un système de deux points

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     On parle d'« isobarycentre d'un système de deux points » quand les cœfficients qui leur sont affectés sont égaux ou si tous les cœfficients sont égaux à  ;

     propriété : l'isobarycentre d'un système de deux points est le milieu du segment joignant les deux points.

Barycentre de trois points

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     On généralise aisément la notion de barycentre à un système de trois points pondérés

Définition du barycentre d'un système de trois points pondérés

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     Soit le système de trois points pondérés , les cœfficients affectés aux points étant tous trois , on appelle
     Soit le barycentre de ce système de trois points pondérés le point tel que «».

     Condition d'existence et d'unicité : Supposons l'existence du barycentre du système et
     Condition d'existence et d'unicité : appliquons les relations de Chasles [2] que l'on reporte dans la définition de soit
     Condition d'existence et d'unicité : d'où l'équation suivante  ;
     Condition d'existence et d'unicité : on en déduit une C.N. [3] d'existence du barycentre du système qui est «» et
     Condition d'existence et d'unicité : on en déduit sous cette condition on obtient une solution unique «».
     Condition d'existence et d'unicité : Conclusion : le barycentre du système n'existe et est unique que si «».

     Remarque : On peut prolonger la définition du barycentre du système au cas où si on admet que le barycentre puisse être le point à l'infini d'une direction, ainsi
     Remarque : de on déduit que « le barycentre du système des trois points avec
     Remarque : de on déduit que « le barycentre du système des trois points est le point à l'infini de la direction de » [4].

Vecteur position du barycentre du système de trois points pondérés

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      étant un point quelconque de l'espace, on utilise les relations de Chasles [2] pour que l'on reporte dans la définition du barycentre «» [8]
      étant un point quelconque de l'espace, [9] soit,
      étant un point quelconque de l'espace, dans le cas d'un barycentre restant à distance finie c.-à-d. «», «».

Propriétés de commutativité et d'associativité de la prise de barycentre, notion de barycentre partiel

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     La définition du barycentre d'un système de deux ou trois points pondérés ne précisant pas l'ordre des points, la prise de barycentre est évidemment commutative ;

     la prise de barycentre du système des trois points pondérés avec
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative si , cela se traduisant alors, avec point quelconque pris pour origine, selon
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position du barycentre du système des trois points pondérés
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position peut se réécrire en réduisant l'une quelconque des sommes vectorielles selon
     la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position peut se réécrire en réduisant où les éléments du triplet
     la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position sont respectivement les « barycentres partiels » du système des deux points
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position pondérés , et  ; ainsi
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position la somme vectorielle peut se réécrire selon
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position la somme vectorielle d'où
     la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative trois façons de réécrire le vecteur position du barycentre du système des trois points pondérés
     la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative trois façons de réécrire en utilisant l'un des trois barycentres partiels
     la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative trois façons de réécrire «».

Méthode de construction du barycentre du système de trois points pondérés

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     La méthode la plus simple consiste à définir le barycentre partiel entre deux points judicieusement choisis par exemple entre et , le barycentre partiel étant puis
     La méthode la plus simple consiste à déterminer le barycentre du système des deux points pondérés lequel
     La méthode la plus simple consiste à déterminer le barycentre s'identifie au barycentre du système des trois points pondérés  :

Disposition des trois atomes d'une molécule d'eau dans le but de déterminer leur barycentre, chaque atome étant affecté de son nombre de masse [10]

     Exemple de construction du barycentre du système des trois atomes d'une molécule d'eau, chaque atome étant affecté de son nombre de masse [10] :
     Exemple de construction une molécule d'eau est constitué de deux atomes d'hydrogène, notés et pour les distinguer [11]
     Exemple de construction une molécule d'eau est constitué de deux atomes d'hydrogène, liés à un atome d'oxygène, noté ,
     Exemple de construction une molécule d'eau est constitué l'angle entre les liaisons étant et
     Exemple de construction une molécule d'eau est constitué la longueur de chaque liaison étant la même égale à [12],
     Exemple de construction une molécule d'eau est constitué le nombre de masse d'un atome d'hydrogène étant et celui d'un atome d'oxygène  ;
     Exemple de construction on cherche donc le barycentre du système des trois atomes pondérés et pour cela
     Exemple de construction on détermine d'abord l'isobarycentre des deux atomes d'hydrogène et qui est
     Exemple de construction on détermine d'abord l'isobarycentre au milieu du segment joignant ces derniers [13], il est donc
     Exemple de construction on détermine d'abord l'isobarycentre sur la bissectrice de l'angle situé
     Exemple de construction on détermine d'abord l'isobarycentre à la distance de l’atome d'oxygène, soit numériquement,
     Exemple de construction on détermine d'abord l'isobarycentre à la distance en ou , puis
     Exemple de construction on détermine le barycentre des deux points pondérés , étant sur la bissectrice de l'angle
     Exemple de construction on détermine le barycentre des deux points pondérés , étant tel que [14],
     Exemple de construction on détermine le barycentre des deux points pondérés , étant à la distance en soit .

Isobarycentre d'un système de trois points non alignés, conséquence sur la propriété des médianes d'un triangle quelconque

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     On parle d'« isobarycentre d'un système de trois points » quand les cœfficients qui leur sont affectés sont égaux ou si tous les cœfficients sont égaux à .

Schéma d'un triangle quelconque avec tracé des trois médianes issue de , issue de et issue de , propriété de concours de ces trois médianes en appelé centre de gravité du triangle

     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points peut se déterminer en faisant intervenir l'un des trois isobarycentres partiels
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points dans ce qui suit les trois points sont non alignés de façon à former un triangle :
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points utiliser l'isobarycentre partiel du système qui est milieu du segment [13] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points en déduire comme barycentre du système des deux points donc
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points en déduire tel que établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points en déduire se trouve sur la médiane au de la longueur de la médiane à partir de ou
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points utiliser l'isobarycentre partiel du système qui est milieu du segment [13] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points en déduire comme barycentre du système des deux points donc
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points en déduire tel que établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points en déduire se trouve sur la médiane au de la longueur de la médiane à partir de ou enfin
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points utiliser l'isobarycentre partiel du système qui est milieu du segment [13] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points en déduire comme barycentre du système des deux points donc
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points en déduire tel que établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points en déduire se trouve sur la médiane au de la longueur de la médiane à partir de  ;

     Propriété : on en déduit que les trois médianes d'un triangle quelconque sont concourantes, le point de concours , appelé « centre de gravité du triangle »,
     Propriété : on en déduit que les trois médianes d'un triangle quelconque sont concourantes, le point de concours , étant, sur chaque médiane, au de sa longueur à partir du sommet ;

     Propriété : le centre de gravité du triangle est donc défini par «»,
     Propriété : le centre de gravité son vecteur position relativement à un point quelconque étant «» [15].

Barycentre de n points

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     On généralise la notion de barycentre à un système de n points pondérés, [16]

Définition du barycentre d'un système de n points pondérés

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     Soit le système de points pondérés , les cœfficients affectés aux points étant tous , on appelle
     Soit le barycentre de ce système de n points pondérés le point tel que «».

     Condition d'existence et d'unicité : On admet qu'une C.N. [3] d'existence du barycentre du système est «» et
     Condition d'existence et d'unicité : On admet que sous cette condition on obtient une solution unique.

Notion d'espace affine de direction l'espace vectoriel associé

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     Étant donné un espace vectoriel sur le corps des réels on appelle
     Étant donné un espace affine de direction l'ensemble non vide muni d'une application qui, à chaque bipoint de associe un élément de noté
     Étant donné un espace affine de direction l'ensemble non vide muni d'une application vérifiant les deux propriétés suivantes :
     Étant donné un espace affine de direction l'ensemble non vide muni d'une application vérifiant «, la relation de Chasles [2]
          Étant donné un espace affine de direction l'ensemble non vide muni d'une application vérifiant «, la relation de Chasles s'applique dans » et
     Étant donné un espace affine de direction l'ensemble non vide muni d'une application vérifiant «, , il existe un translaté unique de par » c.-à-d.
     Étant donné un espace affine de direction l'ensemble non vide muni d'une application vérifiant «, , « tel que » [17].

     On définit la dimension de l'espace affine par celle de l'espace vectoriel qui lui est associé ;

     exemples : espace affine de dimension encore appelé « droite affine » dont la direction est l'espace vectoriel généré par un vecteur  ;

     exemples : espace affine de dimension encore appelé « plan affine » dont la direction est l'espace vectoriel généré par deux vecteurs non colinéaires ;

     exemples : espace affine de dimension [18] dont la direction est l'espace vectoriel généré par trois vecteurs non coplanaires ;

     exemples : espace affine de dimension dont la direction est l'espace vectoriel généré par , formant une famille libre [19],
     exemples : espace affine de dimension non concevable par notre cerveau dont l'imaginaire ne peut représenter que trois dimensions au maximum [20].

     Propriété : si on fixe un point origine dans l'espace affine , il existe une application de dans sa direction
     Propriété : si on fixe un point origine dans l'espace affine , il existe une application qui, à tout point de associe le vecteur  ; cette application est alors bijective [21].

Isobarycentre d'un système de quatre points non coplanaires, conséquence sur la propriété des médianes d'un tétraèdre quelconque

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     On parle d'« isobarycentre d'un système de quatre points » quand les cœfficients qui leur sont affectés sont égaux ou si tous les cœfficients sont égaux à .

Schéma d'un tétraèdre quelconque avec tracé de trois des quatre médianes issue de , issue de , issue de issue de n'ayant pas été tracée pour ne pas surcharger, propriété de concours de ces quatre médianes en appelé centre de gravité du tétraèdre

     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points peut se déterminer en faisant intervenir l'un des quatre isobarycentres partiels
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points dans ce qui suit les quatre points sont non coplanaires [22] de façon à former un tétraèdre :
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points utiliser l'isobarycentre partiel du système ,
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points étant le centre de gravité de la face [23] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire comme barycentre du système donc
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire tel que établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire se trouve sur la médiane [24]
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire se trouve au de la longueur de la médiane à partir de ou
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points utiliser l'isobarycentre partiel du système ,
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points étant le centre de gravité de la face [23] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire comme barycentre du système donc
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire tel que établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire se trouve sur la médiane [24]
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire se trouve au de la longueur de la médiane à partir de ou
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points utiliser l'isobarycentre partiel du système ,
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points étant le centre de gravité de la face [23] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire comme barycentre du système donc tel que établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire se trouve sur la médiane [24] au de la longueur de la médiane à partir de ou enfin
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points utiliser l'isobarycentre partiel du système , étant le centre de gravité de la face [23] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire comme barycentre du système donc tel que établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points en déduire se trouve sur la médiane [24] au de la longueur de la médiane à partir de  ;

     Propriété : on en déduit que les quatre médianes d'un tétraèdre quelconque sont concourantes, le point de concours , appelé « centre de gravité du tétraèdre »,
     Propriété : on en déduit que les quatre médianes d'un tétraèdre quelconque sont concourantes, le point de concours , étant, sur chaque médiane, au de sa longueur à partir du sommet ;

     Propriété : le centre de gravité du tétraèdre est donc défini selon la relation «»,
     Propriété : le centre de gravité son vecteur position relativement à un point quelconque étant «» [25].

Notion de fonction vectorielle de Leibniz

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     On se place dans un espace affine de direction l'espace vectoriel tous deux de dimension  ;

     soient une famille de points de et une famille de scalaires réels, on appelle

fonction vectorielle de Leibniz [26] associée au système de points pondérés de l'espace affine ,
« l'application de dans qui, au point associe le vecteur ».

     Propriétés : si , la fonction vectorielle de Leibniz [26] associée au système de points pondérés de l'espace affine
           Propriétés : si , la fonction vectorielle de Leibniz s'annule pour un unique point définissant le barycentre du système des points pondérés  ;

en conclusion « si », « tel que » ;

     Propriétés : « si », la fonction vectorielle de Leibniz [26] associée au système de points pondérés de l'espace affine
           Propriétés : « si », la fonction vectorielle de Leibniz peut être simplifiée en utilisant le barycentre du système des points pondérés
           Propriétés : « si », la fonction vectorielle de Leibniz peut être simplifiée selon «» ;

     Propriétés : « si », avec choisi comme origine du vecteur position du barycentre du système des points pondérés , on obtient

«».

     Remarque : « si », on démontre que la fonction vectorielle de Leibniz [26] associée au système de points pondérés de l'espace affine à savoir
           Remarque : « si », on démontre que la fonction vectorielle de Leibniz est constante ;
     Remarque : « si », « avec » la constante s'écrit « avec le barycentre du système des points pondérés autres que »,
Remarque : « si », en effet si , « la somme se réécrit » « l'existence et l'unicité du barycentre des points pondérés
Remarque : « si », en effet si , « la somme se réécrit » « l'existence et l'unicité du barycentre des » soit
Remarque : « si », en effet si , « la somme se réécrit » «» ou encore
Remarque : « si », en effet si , « la somme se réécrit » «» que l'on reporte dans la définition de
Remarque : « si », en effet si , « la somme se réécrit » «» la fonction vectorielle de Leibniz [26]
     Remarque : « si », « avec » la constante s'écrit «» soit, par utilisation de la relation de Chasles [2]
     Remarque : « si », « avec » la constante s'écrit «» C.Q.F.D. [27].

Utilisation de la notion de barycentre à la détermination de lieu de points défini par une relation scalaire particulière

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Lieu des points M tel que le rapport des distances à deux points distincts d'un espace affine euclidien à trois dimensions soit égal à un réel positif différent de un

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     Espace vectoriel euclidien : un espace vectoriel est dit « euclidien » si on définit sur lui un produit scalaire de deux vecteurs [28].

     Espace affine euclidien : un espace affine est dit « euclidien » si l'espace vectoriel direction de l'espace affine est « euclidien »,
     Espace affine euclidien : un espace affine est dit « euclidien » la conséquence étant la possibilité de mesurer distances et angles dans l'espace affine « euclidien » ;

     Espace affine euclidien : la distance entre deux points de l'espace affine « euclidien » de direction l'espace vectoriel est l'application de dans défini par

«» ;

     Espace affine euclidien : l'angle entre deux bipoints de l'espace affine « euclidien » de direction l'espace vectoriel est l'application de dans [29] défini par

«» [30].

     Problème posé : Trouver le lieu des points de l'espace affine « euclidien » de dimension tel que, étant deux points distincts de cet espace,
     Problème posé : Trouver le lieu des points de l'espace affine « euclidien » de dimension tel que, le rapport des distances séparant de chacun des points est un réel , , ou
     Problème posé : Trouver le lieu des points de l'espace affine « euclidien » de dimension tel que «» [31].

     Solution : La relation de définition de étant « avec », et ,
     Solution : La relation de définition de peut se réécrire «» ou encore «» soit finalement
     Solution : La relation de définition de peut se réécrire «» [32] ;

     Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectorielles «» en utilisant respectivement les barycentres du système des deux points pondérés ,
        Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectorielles «» en utilisant respectivement chaque barycentre existant et étant unique car
        Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectorielles «» en utilisant respectivement la somme des cœfficients affectant les points de chacun des systèmes est non nulle [33]
Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectoriellessoit «»
        Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectorielles ce qui permet de réécrire la relation de définition du lieu cherché des points selon «» ou,
        Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectorielles ce qui permet de réécrire avec , «» soit enfin

« le lieu des points tel que est la sphère de diamètre » où
« est le barycentre du système » et « celui du système ».

Notion de fonction scalaire de Leibniz

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     On se place dans un espace affine euclidien de direction l'espace vectoriel euclidien tous deux de dimension  ;

     soient une famille de points de et une famille de scalaires réels, on appelle

fonction scalaire de Leibniz [26] associée au système de points pondérés de l'espace affine euclidien ,
« l'application de dans qui, au point associe le scalaire ».

     Propriétés : « si », la fonction scalaire de Leibniz [26] associée au système de points pondérés de l'espace affine euclidien
           Propriétés : « si », la fonction scalaire de Leibniz peut être réduite, en utilisant le barycentre du système des n points pondérés , selon
           Propriétés : « si », la fonction scalaire de Leibniz peut être réduite, «» [34] ;

     Propriétés : « si », en effet, par relation de Chasles [2], soit,
          Propriétés : « si », en effet, en reportant dans la relation de définition de la fonction scalaire de Leibniz [26] et
          Propriétés : « si », en effet, en factorisant dans les produits de scalaires et les produits scalaires de vecteurs [35]
          Propriétés : « si », en effet, «» ou,
          Propriétés : « si », en effet, par définition « du barycentre du système des points pondérés » [36],
          Propriétés : « si », en effet, la fonction scalaire de Leibniz [26] se réécrit «» ;

     Propriétés : « si », avec choisi comme origine du vecteur position du barycentre du système des points pondérés , on obtient

«».

     Remarque : « si », ayant admis que la fonction vectorielle de Leibniz [26] associée au système de points pondérés de l'espace affine euclidien à savoir
                     Remarque : « si », ayant admis que la fonction vectorielle de Leibniz associée à est constante s'écrivant, « si » [37],
                Remarque : « si », ayant admis que la fonction vectorielle de Leibniz « avec le barycentre du système des points pondérés autres que » [38] soit
          Remarque : « si », la réduction de la fonction scalaire de Leibniz [26] selon «» avec point arbitrairement fixé ;

          Remarque : « si », en effet « si avec », l'existence et l'unicité du barycentre des points pondérés autres que  ;

          Remarque : « si », en effet « si étant un point de choisi arbitrairement, l'utilisation de la relation de Chasles [2] conduisant à donne,
          Remarque : « si », en effet « si en reportant dans la définition de la fonction scalaire de Leibniz [26] avec
          Remarque : « si », en effet « si «» obtenue
          Remarque : « si », en effet « si en factorisant dans les produits de scalaires et les produits scalaires de vecteurs [35] et en utilisant la nullité de la somme des cœfficients, ou encore,
          Remarque : « si », en effet « si «» où «[39] dans la mesure où » C.Q.F.D. [27].

Prolongement de la notion de barycentre à un système continu de points pondérés

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     On considère maintenant un système continu de points en chacun desquels est affectée une densité de cœfficient continue par morceaux,
   On considère maintenant un système continu ces points décrivant une courbe, une surface ou une expansion tridimensionnelle continues dans un espace affine euclidien à trois dimensions
   On considère maintenant un système continu ces points décrivant une courbe, une surface ou une expansion tridimensionnelle continues dans un espace affine dans lequel est définie l'intégrabilité.

Barycentre d'un système continu de points décrivant une courbe continue en chacun desquels est affectée une densité linéique de cœfficient continue par morceaux

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     Soit une courbe continue de point générique affecté d'une densité linéique de cœfficient continue par morceaux, on y définit
     Soit le barycentre de ce système de points par «» [40] est l'abscisse curviligne du point générique sur [41] ;

     on établit [42] que la condition d'existence et d'unicité du barycentre du système de points est «» [40] ;

     on démontre aussi [42] que le vecteur position du barycentre du système de points avec point quelconque de l'espace affine euclidien à trois dimensions
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre du système de points avec point quelconque de l'espace affine dans lequel est définie la courbe
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre du système de points s'écrit «» [40].

Barycentre d'un système continu de points décrivant une surface continue en chacun desquels est affectée une densité surfacique de cœfficient continue par morceaux

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     Soit une surface continue de point générique affecté d'une densité surfacique de cœfficient continue par morceaux, on y définit
     Soit le barycentre de ce système de points par «» [43] est l'aire élémentaire définie au point générique sur [44] ;

     on établit [42] que la condition d'existence et d'unicité du barycentre du système de points est «» [43] ;

     on démontre aussi [42] que le vecteur position du barycentre du système de points avec point quelconque de l'espace affine euclidien à trois dimensions
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre du système de points avec point quelconque de l'espace affine dans lequel est définie la surface
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre du système de points s'écrit «» [43].

Barycentre d'un système continu de points décrivant une expansion tridimensionnelle continue en chacun desquels est affectée une densité volumique de cœfficient continue par morceaux

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     Soit une expansion tridimensionnelle continue de point générique affecté d'une densité volumique de cœfficient continue par morceaux, on y définit
     Soit le barycentre de ce système de points par «» [45] est le volume élémentaire défini au point générique dans [46] ;

     on établit [42] que la condition d'existence et d'unicité du barycentre du système de points est «» [45] ;

     on démontre aussi [42] que le vecteur position du barycentre du système de points avec point quelconque de l'espace affine euclidien à trois dimensions
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre du système de points avec point quelconque de l'espace affine dans lequel est définie l'expansion
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre du système de points s'écrit «» [45].

Notes et références

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  1. Si les points sont étudiés dans le cadre gravitationnel à une échelle où les atomes sont considérés comme insécables, la grandeur en question va être la masse du point effectivement additive ce qui cesserait d'être le cas à l'intérieur d'un atome à cause de la conversion masse énergie ;
       si les points sont étudiés dans le cadre électrostatique, la grandeur en question va être la charge du point effectivement additive
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 et 2,7 Michel Chasles (1793 - 1880) mathématicien français à qui on doit d'importants travaux en géométrie projective ainsi qu'en analyse harmonique ; la relation dite de Chasles, connue depuis très longtemps, porte son nom pour lui rendre hommage.
  3. 3,0 3,1 et 3,2 Condition Nécessaire.
  4. 4,0 et 4,1 Ceci est une extension de la définition du barycentre qu'a priori nous n'utiliserons pas.
  5. 5,0 et 5,1 Voir le paragraphe « définition du barycentre d'un système de deux points pondérés » plus haut dans ce chapitre.
  6. Cette propriété est encore connue sous le nom de « réduction de somme vectorielle » : pour tout point de l'espace la somme se réduit à l'aide du barycentre du système en .
  7. 7,0 et 7,1 Thalès de Milet (vers -625, -547) philosophe et savant grec n'ayant apparemment rien écrit mais qui fut néanmoins l'auteur de nombreuses recherches en mathématiques dont le théorème portant son nom.
  8. Voir le paragraphe « définition du barycentre d'un système de trois points pondérés » plus haut dans ce chapitre.
  9. Cette propriété est encore connue sous le nom de « réduction de somme vectorielle » : pour tout point de l'espace la somme se réduit à l'aide du barycentre du système en .
  10. 10,0 et 10,1 Nombre de masse d'un atome : nombre de nucléons que contient ce dernier.
  11. Mais ils sont bien entendu identiques.
  12. Un angström étant un sous-multiple de l'unité de longueur du S.I. bien adapté aux distances atomiques Anders Jonas Ångström (1814 - 1874) astronome et physicien suédois qui fut l'un des fondateurs de la spectroscopie et l'un des pionniers dans l'étude des spectres, il découvrit la présence d'hydrogène dans le spectre solaire en , pour lui rendre hommage on donna son nom à une unité de longueur précisant l'ordre de grandeur dans les distances atomiques.
  13. 13,0 13,1 13,2 et 13,3 Voir le paragraphe « isobarycentre d'un système de deux points » plus haut dans ce chapitre.
  14. Voir le paragraphe « vecteur position du barycentre du système de deux points pondérés » plus haut dans ce chapitre.
  15. Si on particularise par exemple en on en déduit en accord avec la réduction de la somme vectorielle traduisant que est l'isobarycentre partiel de .
  16. C.-à-d. au moins .
  17. L'application qui, à un point de l'espace affine , associe son translaté par un vecteur est appelé « translation de vecteur ».
  18. Représentant l'« espace affine de la physique newtonienne à trois degrés de liberté ».
  19. On rappelle qu'un ensemble de vecteurs forme une famille libre si .
  20. La seule façon de concevoir un espace affine de dimension est d'imaginer les quatre sous espaces affines de dimension de direction l'un des quatre sous espaces vectoriels de dimension généré par ou ou ou .
  21. On rappelle qu'une application est bijective ssi tout élément de son ensemble d'arrivée a un et un seul antécédent.
  22. Le caractère « non coplanaire » des quatre points implique que l'espace affine dans lequel baignent ces quatre points est de dimension , on dit, dans ces conditions, que cet espace affine de dimension est généré par les quatre points non coplanaires, ceci se justifiant par le fait que l'ensemble de tous les barycentres de ces quatre points affectés de cœfficient quelconque génère l'espace affine ;
       dans le cas où les quatre points seraient coplanaires sans être alignés, ils généreraient un espace affine de dimension , ceci se justifiant par le fait que l'ensemble de tous les barycentres de ces quatre points coplanaires mais non alignés affectés de cœfficient quelconque constitue l'espace affine de dimension  ;
       dans le cas où les quatre points seraient alignés, ils généreraient un espace affine de dimension , ceci se justifiant par le fait que l'ensemble de tous les barycentres de ces quatre points alignés affectés de cœfficient quelconque constitue l'espace affine de dimension .
  23. 23,0 23,1 23,2 et 23,3 Voir le paragraphe « isobarycentre d'un système de trois points non alignés, conséquence sur la propriété des médianes d'un triangle quelconque » plus haut dans ce chapitre.
  24. 24,0 24,1 24,2 et 24,3 On appelle « médiane d'un tétraèdre » tout segment joignant un sommet quelconque au centre de gravité de la face opposée à ce sommet ; il y a donc quatre médianes dans un tétraèdre quelconque.
  25. Si on particularise par exemple en on en déduit en accord avec la réduction de la somme vectorielle traduisant que est l'isobarycentre partiel de .
  26. 26,00 26,01 26,02 26,03 26,04 26,05 26,06 26,07 26,08 26,09 26,10 et 26,11 Gottfried Wilhelm Leibniz (1646 - 1716) entre autres philosophe, scientifique, mathématicien allemand dont la contribution principale, dans le domaine mathématique, est l'invention du calcul infinitésimal calcul différentiel et calcul intégral dont la paternité doit être partagée avec Isaac Newton (1643 - 1727) philosophe, mathématicien, physicien et astronome britannique, surtout connu pour avoir fondé la mécanique classique et avoir développé le calcul infinitésimal, les deux mathématiciens l'ayant en fait développé plus ou moins indépendamment.
  27. 27,0 et 27,1 Ce Qu'il Fallait Démontrer.
  28. Voir le paragraphe « définition intrinsèque du produit scalaire de deux vecteurs » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  29. L'angle introduit étant non algébrisé.
  30. Voir le paragraphe « fonction inverse de la fonction cosinus : fonction arccosinus » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  31. Le cas est exclu car la méthode de résolution qui va être envisagée nécessite d'une part et d'autre part le lieu des points tel que est connu, c'est, par définition, le plan médiateur du segment .
  32. On étend l'identité définie dans muni de la multiplication scalaire à l'espace vectoriel « euclidien » donc muni de la multiplication scalaire entre vecteurs car « euclidien » selon pour tout .
  33. étant et , .
  34. Dans le cas où , cette réduction est à comparer à celle de la fonction vectorielle de Leibniz de même forme à l'exception du fait que la fonction vectorielle de Leibniz au point y est nulle par définition du barycentre du système de points pondérés.
  35. 35,0 et 35,1 La factorisation dans une somme de produits scalaires de vecteurs est l'opération inverse de la distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle, voir le paragraphe « autres propriétés (2ème propriété de la multiplication scalaire) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  36. Voir le paragraphe « définition du barycentre d'un système de n points pondérés » plus haut dans ce chapitre.
  37. Si le cœfficient non nul était il suffirait de remplacer l'indice par l'indice .
  38. Voir le paragraphe « notion de fonction vectorielle dans le cas où » plus haut dans le chapitre.
  39. Voir le paragraphe « notion de fonction vectorielle de Leibniz (remarque) » plus haut dans ce chapitre.
  40. 40,0 40,1 et 40,2 Voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  41. Voir le paragraphe « abscisse curviligne d'un point sur une courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  42. 42,0 42,1 42,2 42,3 42,4 et 42,5 Mais nous ne le ferons pas.
  43. 43,0 43,1 et 43,2 Voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  44. Voir le paragraphe « pratique courante définissant l'aire élémentaire en un point d'une surface » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  45. 45,0 45,1 et 45,2 Voir le paragraphe « les deus types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  46. Voir le paragraphe « pratique courante définissant le volume élémentaire en un point d'une expansion tridimensionnelle » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».