En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Mécanique 1 (PCSI) : Loi de la quantité de mouvement : Mouvement dans le champ de pesanteur uniforme Mécanique 1 (PCSI)/Loi de la quantité de mouvement : Mouvement dans le champ de pesanteur uniforme », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Dans tout ce chapitre on se place dans le cadre de la dynamique newtonienne.
Définition et condition de réalisation de la chute libre d'un système fermé de points matériels dans un champ de pesanteur uniforme
Un système fermé de points matériels au voisinage de la Terre est « en chute libre » si la seule force extérieure s'appliquant sur lui est « son poids» étant le champ de pesanteur terrestre au lieu considéré[1].
Préliminaire : On rappelle que la verticale en un lieu de la surface terrestre ne passe pas rigoureusement par le centre de la Terre sauf aux pôles et à l'équateur [2], le poids dont la direction définit la verticale en un lieu [3] ne s'identifiant pas rigoureusement à la force de gravitation terrestre de direction passant par le centre de la Terre ;
Préliminaire : le poids «» est en fait la somme de
Préliminaire : de la force de gravitation terrestre «» dans laquelle est la distance séparant le C.D.I. [4] du système fermé de points matériels du centre de la Terre et le 1er vecteur de base sphérique liée à , de pôle et d'axe « l'axe pôle Sud - pôle Nord de rotation propre de la Terre » et
Préliminaire : de la « pseudo force d'inertie d'entraînement » de rotation de la Terre relativement au référentiel géocentrique définie au lieu considéré «» [5] dans laquelle « est la vitesse angulaire de rotation de la Terre autour de son axe égale à », « la distance séparant le point de l'axe de rotation pôle Sud – pôle Nord » avec « la latitude du lieu », « le 1er vecteur de base cylindro-polaire liée à d'axe pôle Sud – pôle Nord » se décomposant, dans la base sphérique de pôle lié à selon «» avec le 2ème vecteur de base sphérique liée à , de pôle et d'axe « l'axe pôle Sud - pôle Nord de rotation propre de la Terre » ;
Préliminaire : on en déduit la « composante de sur égale à », composante qui est à l'origine de l'écart de la direction de la verticale par rapport à la direction de c.-à-d. de la direction passant par le centre de la Terre, écart non nul sauf aux pôles et à l'équateur pour lesquels ;
Préliminaire : toutefois nous ne tiendrons pas compte de la différence entre le poids et la force de gravitation terrestre car Préliminaire : toutefois le terme correctif sur à savoir «» ne représente, à Paris et au niveau du sol, que en norme et Préliminaire : toutefois l'écart de d'angle au même endroit entre la verticale et la direction passant par le centre de la Terre ne représente que en direction [6], Préliminaire : aussi considérons nous, dans ce paragraphe, que
«».
Condition d'expansion tridimensionnelle pour que le champ de pesanteur terrestre soit quasi uniforme : du préliminaire précédent on déduit la variation du champ de pesanteur terrestre avec la position considérée au voisinage de la Terre soit
«»
dans laquelle « étant le 1er vecteur de base sphérique liée à , de pôle et d'axe “ l'axe pôle Sud - pôle Nord de rotation propre de la Terre ” », est aussi, localement, « le vecteur unitaire vertical ascendant noté en la position considérée » et « la 1ère coordonnée sphérique de , encore égale à » dans laquelle est le rayon de la Terre et l'altitude locale de , les deux autres coordonnées sphériques de étant « avec sa latitude » et « avec sa longitude » ;
Condition d'expansion tridimensionnelle pour que le champ de pesanteur terrestre soit quasi uniforme : « pour que soit uniforme à près », il faut donc que sa norme dépendant de l'altitude ainsi que sa direction dépendant de la latitude et de la longitude [7] varient de moins de , ce qui donne les conditions suivantes :
« quand est déplacé verticalement », « reste constant à près » si « le déplacement vertical est inférieur à » tel que «» ou, avec «» permettant de réécrire «» [8] soit encore, en considérant « comme un infiniment petit d'ordre un » [9] et en faisant un D.L. [10] d'ordre un de [11] d'où, comme «», on en déduit le déplacement vertical maximal toléré pour que la variation de la norme du champ de pesanteur terrestre soit inférieure à , soit ou
« quand est déplacé horizontalement », « la direction de reste la même à près » si « le point décrit moins de de grand cercle de circonférence » c.-à-d. si « le déplacement horizontal [13] est » soit
«» ;
Condition d'expansion tridimensionnelle pour que le champ de pesanteur terrestre soit quasi uniforme : en conclusion le champ de pesanteur terrestre pourra être considéré « uniforme » à près « dans un parallélépipède rectangle haut de et dont la base est un carré de de côté ».
Condition de réalisation du caractère libre de la chute
Pour qu'un objet puisse être considéré « en chute libre » il faut que « chaque force autres que le poids de l'objet réellement appliquée soit de norme négligeable devant celle du poids de l'objet » c.-à-d., en travaillant à près, que « leur norme soit » [14], en particulier, si l'objet se déplace dans l'air, les deux forces de contact de l'objet avec l'air doivent pouvoir être négligées à savoir :
« la poussée d'Archimède » [15],[16], « considérée comme négligeable si la masse volumique de l'air est » où est la masse volumique moyenne de l'objet [17] soit, avec «[18] dans des conditions usuelles de température et de pression », « la nécessité d'utiliser un objet de masse volumique moyenne [19] ou de densité moyenne » [20],[21] et
« la résistance de l'air » [22], dépendant de la forme plus ou moins aérodynamique de l'objet ceci n'étant pas réellement un obstacle si on sélectionne une forme aérodynamique « pointue en amont et convexe en aval » ou même un peu moins aérodynamique comme une « boule » et « la résistance de l'air », dépendant de la vitesse de ce dernier, le caractère négligeable de la résistance de l'air dépendant surtout de la limitation de la vitesse, on pourra être amené à envisager uniquement un début de chute sans vitesse initiale pour pouvoir considérer la chute comme « libre » mais, même avec cette restriction, cela constituera toujours une mauvaise approximation
Remarque : La seule façon d'obtenir une bonne approximation est de réaliser une chute dans le vide, par exemple en utilisant un tube à vide de Newton[23].
Application du théorème du mouvement du C.D.I. dans le référentiel terrestre galiléen
Conditions de « lancement » du système fermé (indéformable) de points matériels et choix du repère cartésien associé au référentiel terrestre supposé galiléen
Le système fermé de points matériels [24], de C.D.I. [4], est lancé « à un instant choisi comme origine des temps », « d'un endroit fixe du référentiel terrestre le C.D.I. [4] de étant en la position fixe de notée avec un vecteur vitesse initiale du C.D.I. [4] de égal à [25] ».
Choix du repère cartésien associé au référentiel terrestre : on choisit l'origine du repère confondu avec , l'axe vertical étant choisi ascendant, est le plan horizontal passant par et les axes horizontaux et y sont choisis de façon que le trièdre soit orthogonal direct [26], d'une part et d'autre part selon la règle suivante :
« si n'est pas vertical », l'axe horizontal est choisi dans le plan vertical de lancement initial c.-à-d. le plan vertical passant par et contenant tel que « soit » et on notera «», « les angles du plan étant orientés par » [27], angle de valeur absolue aigüe voir schéma ci-contre ;
« si est vertical », les axes horizontaux et sont choisis quelconques [28].
Équations différentielles (scalaires) du mouvement du C.D.I. du système fermé (indéformable) de points matériels
Le référentiel terrestre étant supposé galiléen, l'application du théorème du mouvement du C.D.I. [4] nous conduit à «» soit finalement, la masse inerte étant identifiée à la masse grave [29] d'après le principe d'équivalence[30], «» dont nous pouvons déduire que le mouvement du C.D.I. [4] du systèmelors de sa chute libre est un mouvement à vecteur accélération constant[31] ;
compte-tenu de «» d'une part et «» d'autre part, nous pouvons
trouver les équations vectorielles horaires de vitesse et de position de par deux intégrations successives puis projeter ces équations vectorielles horaires sur les trois axes pour en déduire les trois équations scalaires horaires de vitesse ainsi que les trois de position de [32] ou
projeter cette équation différentielle vectorielle en sur les trois axes pour en déduire les trois équations différentielles scalaires en , et puis, par deux intégrations successives chacune, déterminer les trois équations scalaires horaires de vitesse ainsi que les trois de position de [33] ;
projetons l'équation différentielle vectorielle «» sur les trois axes pour obtenir les trois équations différentielles scalaires du mouvement de soit «» [34].
Cas particulier de mouvement à vecteur accélération constant, lois horaires de vitesse et de position du C.D.I. du système fermé (indéformable) de points matériels
Le mouvement du C.D.I. [4] du système fermé de points matériels étant un cas particulier de mouvement à vecteur accélération constant, nous pouvons dès à présent affirmer la nature planeourectiligne du mouvement de , la « trajectoire de ce dernier, dans le cas d'un mouvement plan, étant une parabole » [35].
Lois horaires de vitesse du C.D.I. du système fermé (indéformable) de points matériels
Intégrant les équations différentielles «» par rapport à , on trouve «», les constantes se déterminant à l'aide de la « C.I. [36]», d'où les lois horaires de vitesse de
«».
Lois horaires de position du C.D.I. du système fermé (indéformable) de points matériels
Les équations scalaires horaires de position du C.D.I. [4] du système sont donc «», lesquelles représentant aussi les équations paramétriques scalaires de la trajectoire de , nous obtenons aisément les deux équations scalaires cartésiennes de la trajectoire de par élimination évidente du paramètre , ce qui donne «» c.-à-d. l'« équation de la droite » correspondant à
une « trajectoire suivie par verticale passant par » ;
« dans le cas d'un lancement vers le haut c.-à-d. », l'équation horaire de position de sur sa trajectoire étant «» et celle de vitesse «» on observe
une 1ère phase de mouvement retardé vers le haut l'accélération est et la vitesse en restant pour tout puis
une 2ème phase de mouvement accéléré vers le bas l'accélération est et la vitesse devenue pour tout est en valeur absolue ;
« dans le cas d'un lancement vers le bas c.-à-d. », l'équation horaire de position de sur sa trajectoire étant «» et celle de vitesse «» on n'observe qu'une seule phase de mouvement accéléré vers le bas l'accélération est et la vitesse est aussi pour tout en étant en valeur absolue.
Cas particulier de chute libre sans vitesse initiale : « la trajectoire de est verticale passant par », les équations horaires de position et de vitesse de sur sa trajectoire étant «» et «», on n'observe qu'une seule phase de mouvement accéléré vers le bas
Les équations scalaires horaires de position du C.D.I. [4] du système sont donc «», lesquelles représentant aussi les équations paramétriques scalaires de la trajectoire de , nous obtenons aisément que
la « trajectoire de est plane[37], dans le planverticalde lancement d'équation » ;
le mouvement de sur sa trajectoire résulte alors de la « composition de deux mouvements rectilignes »
« celui de , projeté de sur , uniforme le long de » et
« celui de , projeté de sur , uniformément varié le long de ».
Les équations paramétriques de la trajectoire étant «» et l'une des équations scalaires cartésiennes étant «», on détermine l'autre en « éliminant le paramètre entre les autres équations paramétriques » c.-à-d. «» reporté dans l'équation paramétrique non utilisée soit «» donnant finalement
«» c.-à-d. l'« équation cartésienne d'un cylindre parabolique de génératrices à » ;
les deux équations cartésiennes de la trajectoire de étant «», celle-ci est l'intersection d'un cylindre parabolique de génératrices à avec le plan aux génératrices c.-à-d. que
la « trajectoire de est une parabole du plan , d'axe à et de concavité vers les » voir schéma ci-dessus à droite.
Le « sommet de la trajectoire » peut être déterminé comme le « point d'altitude maximale atteint à l'instant tel que » ou donnant finalement «» ;
« si le lancement oblique est dirigé vers le haut c.-à-d. si est », l'instant est et « le sommet est atteint car d'instant postérieur à celui du lancement » d'où ou ou encore
« si le lancement oblique est dirigé vers le bas c.-à-d. si est », l'instant est et « le sommet n'est pas accessible car d'instant antérieur à celui du lancement »
La « portée est la distance horizontale séparant les points de lancement et de retombée à la même altitude du C.D.I. [4] du système » c.-à-d. la « distance où est le point de la trajectoire de de cote et d'abscisse » ;
de on déduit l'équation algébrique « avec » soit, après simplification par , la nouvelle équation algébrique «» d'où «» et finalement une portée
On cherche donc le vecteur vitesse au point de retombée à la même altitude que le point de lancement et pour cela il suffit
d'« évaluer les composantes cartésiennes du vecteur vitesse de à l'instant » soit «» avec d'« évaluer les composantes cartésiennes du vecteur vitesse de à l'instant » soit ««» d'où
«» ou
d'« utiliser le fait que étant le symétrique de sur la trajectoire parabolique de », « la pente de la tangente à la trajectoire en est opposée à celle de la tangente à la trajectoire en » c.-à-d. que «» et comme on en déduit «» établissant ainsi «» soit finalement
«» c.-à-d. « antisymétrique [41] de relativement à l'axe de symétrie de la trajectoire parabolique ».
Hodographe de pôle O du mouvement du C.D.I. du système fermé (indéformable) de points matériels
Ainsi l'« hodographe de pôle [43] du mouvement du C.D.I. [4] du système fermé de points matériels dans le référentiel terrestre » est l'« ensemble des positions [44] dans tel que [45],[46] ».
Équations paramétriques de l'hodographe de pôle O du mouvement du C.D.I. du système fermé (indéformable) de points matériels
De la définition de l'hodographe de pôle [43] du mouvement du C.D.I. [4] du système fermé de points matériels dans le référentiel terrestre , nous en déduisons les équations paramétriques de l'hodographe du mouvement de de pôle
La nature de pouvant être obtenue en précisant les deux équations cartésiennes le définissant, équations nécessitant d'éliminer le paramètre et La nature de observant que, parmi les trois équations paramétriques, deux ne dépendent pas du paramètre nous en déduisons « les deux équations cartésiennes de » et
nous concluons que l'« hodographe est une droite intersection du plan d'équation et nous concluons que l'« hodographe est une droite intersection du plan à d'équation » ;
il s'agit donc d'« une droite contenue dans le plan et à l'axe d'abscisse » voir graphe ci-contre dans le cas d'un lancement oblique vers le haut.
Description de l'hodographe du mouvement de G de pôle O
à «, est en de cote » symétrique de relativement à l'axe .
La partie ascendante de la trajectoire correspond à de l'hodographe et la partie descendante de la trajectoire correspond à la partie de l'hodographe située au dessous de .
Sur l'hodographe de pôle du mouvement de on peut en déduire
« la variation de la vitesse de en suivant celle de » et
« la variation de l'angle que fait le vecteur vitesse de avec la direction horizontale du plan de lancement en suivant celle de »
↑ Pour que « le poids s'écrive », avec «» où est le centre de gravité du système lequel s'identifie au centre d'inertie, les masses grave et inerte étant mesurées par le même nombre d'après le principe d'équivalence, il est nécessaire de supposer que, sur toute l'expansion tridimensionnelle du système fermé de points matériels, le champ de pesanteur est quasi uniforme «».
↑ Par exemple à Paris l'écart entre les deux directions est de d'angle, ce qui revient à dire que la verticale à Paris passe à du centre de la Terre.
↑ On rappelle que la verticale en un lieu est la direction d'un « fil à plomb » en équilibre, c.-à-d. la direction du fil soutenant le solide en équilibre, lequel n'étant soumis qu'à son poids et la tension du fil , est en équilibre si .
↑ La notion de « pseudo force d'inertie » n'est pas au programme de physique de P.C.S.I. mais elle a été introduite en complément dans le paragraphe intitulé « cas où le référentiel d'entraînement est en rotation uniforme autour d'un axe fixe du référentiel galiléen » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » ; dans le cas du référentiel géocentrique quasi galiléen, le référentiel terrestre étant en rotation uniforme de vecteur rotation instantanée autour de l'axe « pôle Sud - pôle Nord » dans le référentiel géocentrique, la « pseudo force d'inertie d'entraînement » de rotation de la Terre relativement au référentiel géocentrique définie au point s'écrit «» dans laquelle est le projeté orthogonal de sur l'axe « pôle Sud - pôle Nord ».
↑Archimède de Syracuse (vers 287 avant J.C. - 212 avant J.C.) physicien, mathématicien et ingénieur grec de SicileGrande-Grèce, considéré comme l'un des principaux scientifiques de l'Antiquité classique ; on lui doit, dans le domaine de la physique, des résultats en hydrostatique, en statique des solides et l'explication du principe du levier ; en tant qu'ingénieur, il est crédité de plusieurs outils innovants comme la vis d'Archimède ; il est considéré comme le plus grand mathématicien de l'Antiquité et comme l'un des plus grands de tous les temps, on lui doit l'emploi de la méthode d'exhaustion pour calculer l'aire sous un arc de parabole, un encadrement de avec une remarquable précision, l'introduction de la spirale qui porte son nom, des formules évaluant les volumes d'expansions tridimensionnelles limitées par des surfaces de révolution
↑ La densité d'un objet solide ou liquide est définie relativement à l'eau liquide selon où est la masse volumique de l'eau liquide, celle-ci étant prise dans les mêmes conditions de température et de pression que l'objet solide ou liquide
↑Isaac Newton (1643 - 1727) philosophe, mathématicien, physicien, astronome, alchimiste et théologien anglais, connu essentiellement de nos jours pour avoir fondé la mécanique classique, pour sa théorie de la gravitation et aussi pour la création du calcul infinitésimal ; en optique il a développé une théorie de la couleur et a aussi inventé un télescope composé d'un miroir primaire concave et d'un miroir secondaire plan, télescope connu de nos jours sous le nom de télescope de Newton.
↑ Bien que, dans la pratique, le système soit indéformable, ce caractère n'est pas nécessaire quand il s'agit de déterminer le mouvement de son centre d'inertie
↑ Lequel étant quelconque dans la limite d'utilisation de la dynamique newtonienne peut aussi être nul.
↑ Attention, comme on a choisi la base cartésienne directe dans l'espace physique orienté à droite voir la note « 26 » plus haut dans ce chapitre et qu'on définit un angle orienté du plan , la convention usuelle consisterait à ce que les angles de ce plan soient orientés par le vecteur correspondant à un angle positif de vers c.-à-d. dans le sens rétrograde ; pour éviter cela et obtenir des angles orientés positifs dans le sens direct, on oriente les angles du plan par le vecteur
↑ Avec toutefois le trièdre orthogonal direct de l'espace physique orienté à droite voir la note « 26 » plus haut dans ce chapitre
↑ Sans identification de ces grandeurs « masse inerte » et « masse grave », le théorème du mouvement du C.D.I. centre d'inertie se serait écrit «».
↑ C'est cette façon que nous adopterons pour que les deux méthodes soient, au final, exposées dans la leçon même si l'intégration vectorielle avant projection me semble plus rapide.
↑ La grandeur étant appelé « intensité de la pesanteur terrestre » au lieu considéré.
↑ Dans le plan , « le point étant le symétrique du point sur la trajectoire parabolique dont l'axe de symétrie a pour équation », les abscisses des deux points et sont reliées par ou soit encore «».
↑ On remarque que est égal à établissant que la durée de la montée du point de lancement jusqu'au sommet est égale à la durée de la descente du sommet jusqu'au point de retombée à la même altitude que le point de lancement.
↑ Deux vecteurs coplanaires sont symétriques relativement à un axe du plan s'ils ont même composante le long de l'axe et des composantes opposées perpendiculairement à l'axe et Deux vecteurs coplanaires sont antisymétriques relativement à un axe du plan s'ils ont même composante perpendiculairement à l'axe et des composantes opposées le long de l'axe on peut aussi dire qu'un vecteur est l'antisymétrique d'un autre s'il est opposé au symétrique de cet autre, voir le paragraphe « antisymétrie axiale agissant sur un champ scalaire ou vectoriel d'un espace à deux dimensions plan » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
↑ La notion d'hodographe de pôle du mouvement d'un point n'est pas explicite dans le programme de physique de P.C.S.I., elle est à considérer comme un complément.
↑ 43,0 et 43,1 Point fixe du référentiel qui n'est pas nécessairement l'origine du vecteur position du point repéré, nous adoptons la même notation pour simplifier l'exposé.
↑ Usuellement on utilise mais ici étant réservé pour définir la position de retombée à la même altitude que la position de lancement
↑ Le symbole signifiant « est représenté par » ou « représentant » suivant contexte, nécessitant de préciser l'échelle de représentation ici des vitesses en cas d'utilisation pratique
↑ 46,0 et 46,1 Par abus d'écriture on écrira au lieu de sans oublier que ceci n'a de sens qu'avec le choix d'une échelle des vitesses.
↑ On note les coordonnées de en majuscule pour souligner que ce ne sont pas des grandeurs exprimées avec la même unité que les coordonnées ordinaires repérant .