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Mécanique 2 (PCSI) : Mouvement d'un point matériel dans un champ de force central conservatif : Cas particulier du mouvement circulaire, satellites, planètes
Mécanique 2 (PCSI)/Mouvement d'un point matériel dans un champ de force central conservatif : Cas particulier du mouvement circulaire, satellites, planètes », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Ce chapitre est traité dans le cadre de la cinétique et de la dynamique newtoniennes.
Rappel de la 1ère intégrale 1ère du mouvement d'un point matériel M dans un champ à force centrale de centre O, conservation du moment cinétique vectoriel de M par rapport au centre de force O
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Introduit au paragraphe « 1ère intégrale 1ère du mouvement d'un point à force centrale : conservation de son moment cinétique vectoriel par rapport au centre de force » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » et rappelé ci-dessous :
Intégrale 1ère du mouvement d'un point à force centrale (non nécessairement conservative)
Il existe une intégrale 1
ère du mouvement d'un point matériel

à force centrale

conservative ou non
[1] correspondant à la
conservation du moment cinétique vectoriel du point matériel
par rapport au centre de force 
dans le référentiel d'étude

galiléen
c'est-à-dire « conservation de

relativement à la variation du temps

» soit, mathématiquement,
«
avec
» ou,
après simplification par
, «
».
Conséquences : introduites aux paragraphes « 1ère conséquence de la conservation du moment cinétique vectoriel du point par rapport au centre de force : nature plane (ou rectiligne) du mouvement », « 2ème conséquence de la conservation du moment cinétique vectoriel du point par rapport au centre de force : applicabilité de la loi des aires » et « aspect “ vitesse aréolaire constante ” de la loi des aires » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » et rappelées ci-dessous :
Conséquences :
Nature plane du mouvement de
« si
est
à
» et
Conséquences : rectilignedu mouvement de M« si
est
à
».
Conséquences :
Applicabilité de la loi des aires «
» avec «
» les coordonnées polaires de pôle
le centre de force
du point
dans le plan de son mouvement[2],
étant le vecteur unitaire orientant les angles du plan et «
la constante des aires »
si l'axe polaire
passe par
en étant orienté de
vers
et si l'angle que fait
avec l'axe polaire est «
», la constante des aires s'évalue par «
» avec
et
.
Conséquences :
Interprétation géométrique de la loi des aires : « vitesse aréolaire constante » plus précisément «
» avec «
la constante des aires » et «
» l'aire élémentaire balayée par le « rayon vecteur
du point matériel
» lorsque ce dernier se déplace à partir de l'instant
sur une durée élémentaire
soit, en utilisant les coordonnées polaires de pôle
le centre de force
«
» du point
dans le plan de son mouvement[2], «
».
La trajectoire décrite par le point matériel
à mouvement à force centrale étant un cercle de centre
le centre de force
et repérant
par ses coordonnées polaires «
» dans le plan de son mouvement[2], on en déduit
l'équation polaire du cercle décrit par
«
» et,
d'après la loi des aires suivie par
, la vitesse angulaire de ce dernier sur le cercle «
» avec «
la constante des aires » c'est-à-dire la « nature uniforme du mouvement circulaire de
».
Pour que le mouvement du point matériel
soumis à une force centrale soit circulaire de centre
le centre de force
, il est nécessaire que le vecteur vitesse initiale du point
«
» soit
à son vecteur position initiale «
» c'est-à-dire que l'angle
que fait le 1er avec l'axe polaire
passant par
en étant orienté de
vers
soit égal à
soit «
» dont on déduit la constante des aires «
»
avec
et
et par suite la réécriture de la vitesse angulaire de
sur le cercle à l'instant
en fonction des C.I[3]. «
»
toutefois cela démontre la constance de la vitesse angulaire sans expliciter sa valeur car, pour que le mouvement de
soit circulaire de centre
le centre de force
,
ne peut pas être quelconque relativement à
comme cela sera expliqué au paragraphe suivant « expression de la vitesse angulaire du mouvement circulaire de centre O du point M uniquement soumis à une force centrale » de ce chapitre
.
Remarque : Les mouvements circulaires d’un point soumis uniquement à une force centrale ne sont pas nécessairement de centre
le centre de force
même si ce cas est le plus fréquent
, tout dépend de la loi de force
c'est-à-dire la façon dont l’intensité de la force varie avec
et des C.I[3]. :
Remarque : contre exemple de trajectoire circulaire d’un point
uniquement soumis à une force centrale
conservative
dont le cercle passe par le centre de force
et n'est donc pas de centre
:
soumis uniquement à une force centrale attractive «
»
étant une constante
,
et
étant respectivement la coordonnée radiale et le vecteur unitaire radial du repérage polaire de
dans le plan de son mouvement
on rappelle que le mouvement de
étant à force centrale est plan ou rectiligne suivant les C.I[3]. de lancement
lancé de
avec un vecteur vitesse initiale «
à
» de norme «
»[4] ;
Remarque : contre exemple avec ces C.I[3]. et cette loi de force on peut établir
mais on ne le fera pas, bien que cela se fasse sans difficulté apparente
que la trajectoire de
est d'équation polaire «
»
et
étant respectivement l'abscisse angulaire et le vecteur unitaire orthoradial du repérage polaire de
dans le plan de son mouvement avec pour axe polaire
passant par
en étant orienté de
vers
c'est-à-dire le « cercle de diamètre
»
en effet si on multiplie l’équation polaire de part et d’autre par «
» on obtient «
» dans laquelle on reconnaît
d'où «
»
courbe passant effectivement par
«
» équation cartésienne du « cercle de centre
et de rayon
» c'est-à-dire effectivement de diamètre
ce qui représente donc un exemple de mouvement circulaire de point uniquement soumis à une force centrale mais dont « le cercle n'est pas de centre
le centre de force
»[5].
Expression de la vitesse angulaire du mouvement circulaire de centre O du point M uniquement soumis à une force centrale conservative
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Dans le cas où la force centrale que subit le point matériel
est conservative, celle-ci s'écrit, en repérant le point
par ses coordonnées polaires
de pôle
le centre de force
dans le plan du mouvement de
[2], «
»[6]
cette force étant la seule que subit le point matériel
;
Dans le cas où la force centrale que subit le point matériel M ( m ) est conservative, l'application de la r.f.d.n[7]. au point matériel
dans le référentiel d'étude
galiléen conduisant à
«
», Dans le cas où la force centrale que subit le point matériel M ( m ) est conservative, sa projection sur
, dans le cas où le mouvement de
est circulaire de centre
le centre de force
, de rayon
«
»[8] donnant «
» soit «
» quantité nécessairement
[9] nécessitant «
» c'est-à-dire
attractive[10]
«
» ou «
» avec «
».
Expression de la période du mouvement circulaire de centre O du point M uniquement soumis à une force centrale conservative
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Tout mouvement circulaire uniforme étant périodique, de période «
» liée à sa vitesse angulaire constante «
» par «
» on en déduit que
le mouvement circulaire du point matériel
de centre
le centre de la force centrale conservative «
»[6] agissant seule sur
repéré par ses coordonnées polaires
de pôle
dans le plan du mouvement de
[2],
étant le vecteur unitaire radial lié au point
étant uniforme de vitesse angulaire «
» est périodique de période
«
».
Remarque : Pour établir la nature périodique du mouvement de
sans passer par le caractère uniforme du mouvement de ce dernier, il est possible d'utiliser l'interprétation géométrique de la loi des aires c'est-à-dire « la vitesse aréolaire constante » «
» avec «
» l'aire élémentaire balayée par le « rayon vecteur
lorsque
se déplace à partir de l'instant
sur une durée élémentaire
», dont on déduit «
» l'aire balayée par «
lorsque
effectue son nème tour sur sa trajectoire circulaire » avec «
» et par suite la valeur de la durée du nème tour de
sur sa trajectoire circulaire «
» indépendante de
d'où l'établissement de la nature périodique du mouvement de
sur sa trajectoire circulaire de centre
le centre de force
sans avoir, auparavant, établi sa nature uniforme
la valeur de «
» déduite de la vitesse aréolaire associée à la valeur de la constante des aires en fonction des C.I[3]. «
» avec
et
soit «
»
«
» ou encore, avec
utilisant que la vitesse d'un point sur un cercle est orthoradiale, «
»
c'est-à-dire l'expression de la période de révolution d'un point en mouvement circulaire uniforme
mais,
Remarque : tant que l'on n'utilise pas la loi de force, il est impossible d'expliciter la valeur de la période du mouvement, laquelle dépend évidemment de la façon dont le mouvement circulaire est imposé par la force centrale conservative «
»[6],
et
étant respectivement la coordonnée radiale et le vecteur unitaire radial du repérage polaire de
dans le plan de son mouvement[2].
Les mouvements de satellite
considéré comme ponctuel
autour de la Terre ou de planète
également considérée comme ponctuelle
autour du Soleil sont des mouvements à force centrale de centre de force respectif « le centre de la Terre » ou « celui du Soleil » conservative, l'interaction entre satellite et Terre ainsi qu'entre planète et Soleil étant gravitationnelle
donc attractive
correspondant à une force newtonienne[11] ;
ces mouvements, sous C.I[3]. à préciser, sont elliptiques[12] et, parmi ceux-ci nous étudierons les cas particuliers de « mouvements circulaires » nécessitant des C.I[3]. plus restrictives.
On rappelle que le point matériel
est soumis à une force newtonienne attractive si celle-ci s'écrit «
avec
»[11],
et
étant respectivement la coordonnée radiale de
et le vecteur unitaire radial lié à
de son repérage sphérique de pôle
le centre de force
ou de son repérage polaire de pôle
le centre de force
dans le plan du mouvement de
[2] si ce dernier n'est soumis qu'à la force newtonienne attractive
; cette force attractive peut être de nature
- gravitationnelle «
vaut alors
» avec «
la constante de gravitation universelle » et «
la masse de la source
à l'origine du champ de gravitation newtonien » ou
- électrostatique «
vaut alors
» avec «
où
est la permittivité diélectrique du vide[13] », «
la charge de la source
à l'origine du champ électrostatique newtonien », charge de signe opposé à celui de la charge
du point matériel pour que la force newtonienne électrostatique soit attractive.
De même on rappelle que le mouvement du point matériel
soumis à une force centrale conservative «
»[6] est circulaire de centre
le centre de force
ssi
- les vecteurs vitesse et position initiales sont
c'est-à-dire «
» et
- leurs normes sont liées par la loi de force selon
avec
et
voir la valeur nécessaire de valeur absolue de vitesse angulaire
pour que le mouvement soit circulaire de centre
le centre de force
dans le paragraphe « expression de la vitesse angulaire du mouvement circulaire de centre O du point M uniquement soumis à une force centrale conservative » plus haut dans ce chapitre, la norme du vecteur vitesse initiale se déterminant par
soit encore «
».
En utilisant les deux rappels on conclut que le mouvement du point matériel
soumis à une force newtonienne attractive «
avec
»[11] est circulaire de centre
le centre de force
[14] ssi
- les vecteurs vitesse et position initiales sont
c'est-à-dire «
» et
- leurs normes sont liées par la loi de force selon «
» avec
et
soit encore «
», la valeur absolue de la vitesse angulaire initiale s'écrivant «
».
Dans le cas d'une force newtonienne électrostatique attractive, la norme de la vitesse initiale pour que le mouvement de
soit circulaire[14] s'écrit «
»
une période de révolution «
»
exemple : le modèle classique de l'atome d'hydrogène avec «
la charge du noyau », «
la charge de l'électron
étant la charge élémentaire
» et «
la masse de l'atome »
.
Dans le cas d'une force newtonienne gravitationnelle, la norme de la vitesse initiale pour que le mouvement de
soit circulaire[14] s'écrit «
»[15]
une période de révolution «
»
exemple : tout objet dans le champ d’attraction d’une planète ou étoile avec «
la masse de la planète ou de l'étoile », la période de révolution étant indépendante de la masse de l'objet
.
Préliminaire : On a vu dans la note « 63 » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » que la planète du Système solaire ayant la trajectoire la plus excentrique est « Mercure (☿),
», la suivante par ordre d’excentricité
étant « Mars (♂),
» et celle la moins excentrique « Vénus (♀),
», la « Terre (♁) » se situant en 6ème position du Système solaire par excentricité
avec «
», la 7ème position étant occupée par « Neptune (♆) » avec «
» ;
Préliminaire : ainsi, mis à part « Mercure (☿) », on peut, en 1ère approximation, considérer les trajectoires des planètes du Système solaire comme circulaires.
Dans l'exemple du mouvement circulaire des planètes du Système solaire le centre attractif est le centre du « Soleil (☉) », la vitesse de la planète sur son orbite supposée circulaire de rayon «
» est «
»[15] dans laquelle «
est la constante de gravitation universelle » et «
la masse du Soleil (☉) », sa période de révolution dans le référentiel de Copernic[16] «
» :
- dans le cas de la « Terre (♁) » décrivant une trajectoire quasi-circulaire de rayon «
[17] soit
», on trouve une vitesse orbitale «
» soit approximativement «
» et une période de révolution «
»[18] ou, par définition d'une « année sidérale de symbole
»[19] «
» ;
- dans le cas des
planètes telluriques dont la « Terre (♁) » est la 3ème en partant du « Soleil (☉) » on trouve respectivement
pour « Mercure (☿) »
en remplaçant sa trajectoire elliptique par une trajectoire circulaire dont le rayon serait le demi-grand axe de l'ellipse c'est-à-dire
assimilé à
dans lequel
[17] et
[17] sont respectivement les distances séparant son périhélie et son aphélie au centre du « Soleil (☉) » soit «
assimilé à
»[17]
, «
» soit approximativement «
» et une période de révolution dans l'hypothèse d'un mouvement circulaire «
»[18],[20],
pour « Vénus (♀) » décrivant une trajectoire quasi-circulaire de rayon «
»[17], «
» soit approximativement «
» et une période de révolution dans le référentiel de Copernic[16] «
»[18],
pour « Mars (♂) » décrivant une trajectoire quasi-circulaire de rayon «
»[17], «
» soit approximativement «
» et une période de révolution dans le référentiel de Copernic[16] «
»[18] ou «
»[19] ;
- dans le cas des
planètes géantes toutes situées au-delà de « Mars (♂) » on trouve respectivement
pour « Jupiter (♃) » décrivant une trajectoire quasi-circulaire de rayon «
»[17], «
» soit approximativement «
» et une période de révolution dans le référentiel de Copernic[16] «
»[18] ou «
»[19],
pour « Saturne (♄) » décrivant une trajectoire quasi-circulaire de rayon «
»[17], «
» soit approximativement «
» et une période de révolution dans le référentiel de Copernic[16] «
»[18] ou «
»[19],
pour « Uranus (♅) » décrivant une trajectoire quasi-circulaire de rayon «
»[17], «
» soit approximativement «
» et une période de révolution dans le référentiel de Copernic[16] «
»[18] ou «
»[19],
pour « Neptune (♆) » décrivant une trajectoire quasi-circulaire de rayon «
»[17], «
» soit approximativement «
» et une période de révolution dans le référentiel de Copernic[16] «
»[18] ou «
»[19].
Préliminaire : La plupart des satellites de la « Terre (♁) » ont, dans le référentiel géocentrique supposé galiléen, une trajectoire elliptique dont le centre de la « Terre (♁) » est un des foyers et dont l'excentricité est non nulle mais quelques uns d'entre eux sont lancés avec des C.I[3]. telles que leur trajectoire soit circulaire de centre de la « Terre (♁) » ;
Préliminaire : ici nous ne nous intéressons qu'aux satellites de la « Terre (♁) » ayant une trajectoire circulaire dans le référentiel géocentrique supposé galiléen.
Dans l'exemple du mouvement circulaire des satellites terrestres le centre attractif est le centre de la « Terre (♁) », la vitesse du satellite terrestre sur son orbite supposée circulaire de rayon «
» est «
»[15] dans laquelle «
est la constante de gravitation universelle » et «
la masse de la Terre (♁) »,
Dans l'exemple du mouvement circulaire des satellites terrestres le centre attractif est le centre de la « Terre (♁) », la période de révolution du satellite terrestre à trajectoire circulaire de rayon «
» dans le référentiel géocentrique est «
» :
- dans le cas du satellite naturel terrestre « la Lune (☽) », décrivant une trajectoire quasi-circulaire[21] de rayon «
[17] soit
», on trouve une vitesse orbitale «
» soit approximativement «
» et une période de révolution dans le référentiel géocentrique «
»[18] définissant le « mois sidéral lunaire » ;
- dans le cas des satellites artificiels terrestres décrivant une trajectoire circulaire, on trouve une vitesse orbitale et une période de révolution dans le référentiel géocentrique dépendant du rayon de l'orbite circulaire décrite «
» soit
avec «
»
soit à
d'altitude
, «
» soit «
» et «
»,
avec «
»
soit au ras du sol terrestre
[22], «
» soit «
» c'est-à-dire approximativement «
» et «
»,
quand l'altitude «
»[23] du satellite terrestre
on note que « sa vitesse circulaire
comme
»[23] et que « sa période de révolution
comme
»[23].
Établissement direct de la 3ème loi de Kepler dans le cas particulier d'un mouvement circulaire d'un satellite ou d'une planète
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Les mouvements de satellite
considéré comme ponctuel
autour de la Terre ou de planète
également considérée comme ponctuelle
autour du Soleil étant des mouvements à force centrale de centre de force respectif « le centre de la Terre » ou « celui du Soleil » conservative, avec une interaction entre satellite et Terre ainsi qu'entre planète et Soleil gravitationnelle
donc attractive
correspondant à une force newtonienne[11], ces mouvements, sous C.I[3]. à préciser, sont elliptiques[12] ;
on peut donc appliquer, à ces derniers, la 3ème loi de Kepler[24] établie au paragraphe « 3ème loi de Kepler » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » énonçant que « le rapport
avec
le demi-grand axe de l'ellipse décrite par le satellite ou la planète dans sa révolution autour de son centre d'attraction et
la période de révolution correspondante dans le référentiel galiléen géocentrique pour le satellite ou de Copernic[16] pour la planète
est une constante indépendante de la masse du satellite ou de la planète subissant l'attraction gravitationnelle de la Terre (♁) ou du Soleil (☉) » et
parmi les mouvements elliptiques ci-dessus, certains, avec des C.I[3]. plus restrictives conduisant à une excentricité nulle, correspondent à un « mouvement circulaire » pour lequel la 3ème loi de Kepler[24] s'applique, « le demi-grand axe
de l'ellipse devant être remplacé par le rayon
du cercle ».
Dans ce paragraphe nous nous proposons de démontrer directement la 3ème loi de Kepler[24] dans ces cas particuliers
Établissement direct de la 3ème loi de Kepler dans le cas particulier d'un mouvement circulaire d'une planète
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On applique la r.f.d.n[7]. à la planète étudiée dans le référentiel de Copernic[16] et on projette sur
vecteur unitaire radial du repérage polaire de pôle
le centre du Soleil (☉)
de la planète dans le plan de la trajectoire de cette dernière
pour déterminer la vitesse linéaire «
»
ou la vitesse angulaire «
»
en fonction du rayon de l’orbite circulaire «
»[25] soit :
«
» soit, en projetant sur
, «
»[8] ou «
» donnant finalement «
»
«
» ;
on détermine alors la période de révolution de la planète dans le référentiel de Copernic[16] par «
»[26]
ou par «
»
puis
on élève au carré soit «
»
«
» constituant la 3ème loi de Kepler[24] pour les planètes du Système solaire en mouvement circulaire.
Établissement direct de la 3ème loi de Kepler dans le cas particulier d'un mouvement circulaire d'un satellite autour de la Terre
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On applique la r.f.d.n[7]. au satellite étudié dans le référentiel géocentrique et on projette sur
vecteur unitaire radial du repérage polaire de pôle
le centre de la Terre (♁)
du satellite dans le plan de la trajectoire de ce dernier
pour déterminer la vitesse linéaire «
»
ou la vitesse angulaire «
»
en fonction du rayon de l’orbite circulaire «
»[25] soit :
«
» soit, en projetant sur
, «
»[8] ou «
» donnant finalement «
»
«
» ;
on détermine alors la période de révolution du satellite dans le référentiel géocentrique par «
»[26]
ou par «
»
puis
on élève au carré soit «
»
«
» constituant la 3ème loi de Kepler[24] pour les satellites terrestres en mouvement circulaire.
Complément[27] : Pour le satellite naturel de la « Terre (♁) », à savoir la « Lune (☽) », la 3ème loi de Kepler[24] doit être adaptée car, la masse de la Lune (☽) n'étant pas négligeable devant celle de la Terre (♁), le référentiel barycentrique du système « Terre (♁), Lune (☽) »
considérées comme ponctuelles
[28] ne s'identifie pas au référentiel géocentrique et par suite,
Complément : la période de révolution de la « Lune (☽) » dans le référentiel géocentrique
lié au « centre
de la Terre (♁) » en translation relativement au référentiel de Copernic[16] galiléen
s'identifiant à celle du « mobile réduit
» du système « Terre (♁), Lune (☽) »[29] dans le référentiel barycentrique du système, en supposant que s'applique sur le mobile réduit
la force d'attraction gravitationnelle que la Terre (♁) exerce sur la Lune (☽) «
»[30] de norme «
»
«
étant le centre de la Lune (☽) »
laquelle s'écrivant encore, en utilisant la définition du mobile réduit du système « Terre (♁), Lune (☽) »[29]
«
», «
»
avec
, s'interprète en considérant que la force à appliquer au « mobile réduit
» dans le référentiel barycentrique du système « Terre (♁), Lune (☽) » résulte d'une interaction gravitationnelle de « centre
», d'où
Complément : le mouvement barycentrique du mobile réduit étant un mouvement à force centrale conservative de centre de force
on en déduit que la période de révolution du « mobile réduit
» du système « Terre (♁), Lune (☽) » dans le référentiel barycentrique de ce dernier s'écrit «
» et par suite,
Complément : la période de révolution de la « Lune (☽) » dans le référentiel géocentrique s'obtenant par «
» on en déduit, avec la définition du mobile réduit du système « Terre (♁), Lune (☽) »[29], «
» soit
Complément : l'adaptation de la 3ème loi de Kepler[24] au mouvement géocentrique de la « Lune (☽) » «
».
La 3ème loi de Kepler[24] appliquée à un point matériel
uniquement soumis à une force newtonienne attractive conservative de centre de force
quand
décrit un mouvement elliptique a été établie au paragraphe « 3ème loi de Kepler » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) », elle énonce que « le rapport
avec
le demi-grand axe de l'ellipse décrite par
dans sa révolution autour de son centre de force
et
la période de révolution correspondante dans le référentiel d'étude galiléen
est une constante indépendante de
» ;
sa démonstration dans le cas d'un mouvement elliptique étant un complément relativement au programme de physique de PCSI
seule sa démonstration dans le cas d'un mouvement circulaire étant au programme
nous l'avons redémontré dans le cas particulier d'un mouvement circulaire de planète du Système solaire dans le référentiel de Copernic[16] ou de satellite terrestre dans le référentiel géocentrique
voir les paragraphes « établissement direct de la 3ème loi de Kepler dans le cas particulier d'un mouvement circulaire d'une planète » et « établissement direct de la 3ème loi de Kepler dans le cas particulier d'un mouvement circulaire d'un satellite autour de la Terre » plus haut dans ce chapitre
et nous nous proposons ici de généraliser, sans démonstration, ce cas particulier au cas général d'un mouvement elliptique.
On admet qu’on obtient la 3ème loi de Kepler[24] pour une planète du Système solaire décrivant une trajectoire elliptique dans le référentiel de Copernic[16] adaptée à partir de celle pour une planète à orbite circulaire dans le même référentiel en remplaçant le rayon de la trajectoire circulaire par le demi-grand axe de l’orbite elliptique sans autre modification d’où
«
».
On admet qu’on obtient la 3ème loi de Kepler[24] pour un satellite terrestre décrivant une trajectoire elliptique dans le référentiel géocentrique adaptée à partir de celle pour un satellite à orbite circulaire dans le même référentiel en remplaçant le rayon de la trajectoire circulaire par le demi-grand axe de l’orbite elliptique sans autre modification d’où
«
».
- ↑ Dans le cas où la force centrale n'est pas conservative c'est la seule intégrale 1ère du mouvement.
- ↑ 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 et 2,6 Le cas où le mouvement de
est rectiligne peut être considéré comme un cas particulier d'un mouvement plan mais dans ce cas le plan est indéterminé avec pour seule exigence que la trajectoire rectiligne de
soit dans le plan, la conséquence en étant que l'abscisse angulaire de
reste constante.
- ↑ 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 et 3,09 Conditions Initiales.
- ↑ Cette vitesse initiale correspondant à une énergie cinétique initiale «
» et la force «
» étant conservative et dérivant de l'énergie potentielle
en choisissant sa référence à l'infini, ce qui correspond à une énergie potentielle initiale «
», les conditions initiales de lancement correspondent à une énergie mécanique initiale «
», hors ces conditions le mouvement n'est pas circulaire
ceci n'étant vrai que pour la loi de force envisagée
.
- ↑ Dans cet exemple de mouvement circulaire de centre différent du centre de force
l'équation de la trajectoire étant «
»
, le mouvement n'est pas uniforme en effet, d'après la note « 4 » plus haut dans ce chapitre, la force «
» est conservative dérivant de l'énergie potentielle «
avec référence à l'infini » et
étant uniquement soumis à une force centrale conservative, son énergie mécanique est conservée soit «
»
la valeur de «
» ayant été déterminée dans la note « 4 » plus haut dans ce chapitre
d'où «
» variant comme
d'où un mouvement non uniforme.
- ↑ 6,0 6,1 6,2 et 6,3 Voir le paragraphe « condition pour que la force centrale soit conservative » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » dans lequel il convient de remplacer le repérage sphérique de
dans tout l'espace utilisé dans le paragraphe précité par le repérage polaire de
dans le plan de son mouvement.
- ↑ 7,0 7,1 et 7,2 Relation Fondamentale de la Dynamique Newtonienne.
- ↑ 8,0 8,1 et 8,2 Voir le paragraphe « composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur accélération du point repéré dans le référentiel d'étude (accélération radiale) » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) » dans lequel il convient de remplacer
par
et tenir compte du caractère constant de cette dernière
.
- ↑ La nullité de cette quantité étant à rejeter car un mouvement circulaire ne peut pas se faire avec une vitesse angulaire nulle.
- ↑ Dans le cas où la force centrale conservative subie par le point matériel
est répulsive, le mouvement de ce dernier ne peut pas être circulaire de centre
le centre de force
.
- ↑ 11,0 11,1 11,2 et 11,3 Voir le paragraphe « force newtonienne subie par le point matériel M (cas gravitationnel de la définition) » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) ».
- ↑ 12,0 et 12,1 Voir le paragraphe « cas d'une force newtonienne attractive (k < 0) (discussion sur la nature de la conique) » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) ».
- ↑ La permittivité diélectrique du vide
plus généralement d'un milieu isolant
est une constante caractérisant la réponse du vide
ou celle du milieu isolant
à l'action d'un champ électrique
plus la permittivité diélectrique du milieu est grande, moins la portée du champ électrique dans le milieu dans lequel il baigne l'est
; la permittivité diélectrique de l'air sec étant
supérieure à celle du vide, on la confond usuellement avec cette dernière.
- ↑ 14,0 14,1 et 14,2 La trajectoire d'un point matériel soumis uniquement à une force newtonienne attractive étant une conique de foyer
voir le paragraphe « nature de la trajectoire dans le cas d'une force newtonienne attractive (k < 0) » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) »
c'est-à-dire, avec des conditions initiales permettant une trajectoire bornée, une ellipse dont le centre de force
est l'un des foyers et, sous conditions initiales plus particulières où l'excentricité de l'ellipse est nulle, un cercle de centre
les deux foyers d'une ellipse d'excentricité nulle étant confondus avec son centre de symétrie
;
Aussi le mouvement circulaire d'un point matériel uniquement soumis à une force newtonienne attractive étant nécessairement de centre
le centre de force
il est inutile de le préciser
- ↑ 15,0 15,1 et 15,2 Expression à retenir et qu’il faut savoir retrouver très rapidement par « r.f.d.n. projetée sur
» tel que cela a été exposé au paragraphe « expression de la vitesse angulaire du mouvement circulaire de centre O du point uniquement soumis à une force centrale conservative » plus haut dans ce chapitre en précisant la forme de la force.
- ↑ 16,00 16,01 16,02 16,03 16,04 16,05 16,06 16,07 16,08 16,09 16,10 16,11 et 16,12 Nicolas Copernic (1473 - 1543) chanoine, médecin et astronome polonais à qui on doit essentiellement la théorie physique de l'« héliocentrisme »
consistant à considérer que c'est le Soleil et non la Terre qui est au centre du Système solaire
.
- ↑ 17,00 17,01 17,02 17,03 17,04 17,05 17,06 17,07 17,08 17,09 et 17,10 C.-à-d.
unité astronomique
unité adaptée pour exprimer les distances du Système solaire choisie égale à la distance moyenne séparant les centres du Soleil et de la Terre
soit «
».
- ↑ 18,0 18,1 18,2 18,3 18,4 18,5 18,6 18,7 et 18,8 Avec
correspondant au jour sidéral c'est-à-dire à la période de rotation propre de la Terre dans le référentiel géocentrique.
- ↑ 19,0 19,1 19,2 19,3 19,4 et 19,5 Avec «
» définissant une année sidérale c'est-à-dire l'intervalle de temps que met la Terre (♁) pour effectuer une révolution complète sur son orbite dans le référentiel de Copernic.
- ↑ En considérant la nature elliptique d'excentricité «
» de la trajectoire de « Mercure (☿) » dans le référentiel de Copernic ainsi que la valeur du demi-grand axe de cette dernière «
» on en déduit celle de son paramètre
voir les paragraphes « principales propriétés d'une ellipse (utilisant sa définition bifocale) » et « définition monofocale d'une conique » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
«
»
voir le paragraphe « établissement de la définition bifocale d'une ellipse à partir de sa définition monofocale (détermination du demi-grand axe en fonction du paramètre et de l'excentricité) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
soit «
» puis, en utilisant son expression dans le cas d'une attraction gravitationnelle newtonienne «
»
voir le paragraphe « nature de la trajectoire dans le cas d'une force newtonienne attractive (k < 0) » du chap.
de la leçon « Mécanique 2 (PCSI) »
dans laquelle
est la constante des aires du mouvement de « Mercure (☿) » dans le référentiel de Copernic d'où l'évaluation de la valeur absolue de cette dernière «
» ;
au périhélie
et à l'aphélie
de la trajectoire de « Mercure (☿) » dans le référentiel de Copernic, le vecteur vitesse étant
au rayon vecteur, leur composante radiale est nulle et leur composante orthoradiale pouvant être déterminée par application de la loi des aires sous la forme «
», de «
» on en déduit la norme des vecteurs vitesse en ces deux points
et
sachant que «
» et en utilisant «
»
«
» soit «
» et «
» alors qu'on trouvait, en remplaçant la trajectoire elliptique de « Mercure (☿) » dans le référentiel de Copernic par une trajectoire circulaire de rayon «
assimilé à
», «
» ;
on peut aussi déterminer la période de révolution de la planète « Mercure (☿) » dans le référentiel de Copernic en considérant la nature elliptique d'excentricité «
» de sa trajectoire, soit «
», par utilisation de l'aspect « vitesse aréolaire constante égale à
» de la loi des aires
«
»
aire de l'intérieur d'une ellipse, voir le paragraphe « exemples d'aire de surface classique (à retenir) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
ou, avec
voir le paragraphe « principales propriétés d'une ellipse » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » où
dans lequel
, «
» d'où «
» c'est-à-dire la même valeur de période de révolution de la planète « Mercure (☿) » dans le référentiel de Copernic que celle trouvée en supposant une trajectoire circulaire de rayon «
» soit «
».
- ↑ L'excentricité de l'orbite lunaire autour de la Terre étant «
» peut être, en 1ère approximation, considérée comme nulle d'où une trajectoire de « la Lune (☽) » quasi-circulaire dans le référentiel géocentrique.
- ↑ Ce qui n'est évidemment pas réaliste compte-tenu des obstacles possibles.
- ↑ 23,0 23,1 et 23,2 La Terre (♁) étant assimilée à une boule de rayon «
».
- ↑ 24,00 24,01 24,02 24,03 24,04 24,05 24,06 24,07 24,08 et 24,09 Johannes Kepler (1571 - 1630) est un astronome germanique célèbre pour avoir étudié l'hypothèse héliocentrique de Nicolas Copernic
hypothèse que son professeur de mathématiques Michæl Mæstlin lui enseigna
ainsi qu’à tous ses meilleurs étudiants
à l’Université de Tübingen alors que l’enseignement officiel que M. Mæstlin donnait aux autres étudiants était toujours fondé sur l’hypothèse géocentrique de Ptolémée
affirmant
avec N. Copernic
que la Terre tourne autour du Soleil et découvrant que les planètes ne tournent pas autour du Soleil en suivant des trajectoires circulaires mais des trajectoires elliptiques ;
en
, poursuivi pour ses convictions religieuses
il était ministre du culte luthérien
et ses idées coperniciennes, il se réfugie à Prague pour devenir l’assistant de l’astronome
danois
Tycho Brahe, ce dernier faisant des observations très précises des mouvements des planètes mais
d’après J. Kepler
étant incapable de les exploiter correctement
T. Brahe ne croyait pas à l’héliocentrisme de Copernic, ni d’ailleurs au géocentrisme de Ptolémée, l’hypothèse qu’il soutenait plaçait la Terre au centre du monde, le Soleil ayant un mouvement circulaire autour de cette dernière et les autres planètes un mouvement circulaire autour du Soleil
et non autour de la Terre comme dans le géocentrisme de Ptolémée
;
T. Brahe demande alors à J. Kepler de calculer l’orbite précise de Mars, travail que ce dernier commence en
et qu’il pensait réaliser en quelques semaines mais qui lui demanda près de six ans de calcul, période pendant laquelle il dégagea ses deux 1ères lois, sa 3ème loi étant découverte près de
plus tard.
Nicolas Copernic (1473 - 1543) chanoine, médecin et astronome polonais à qui on doit essentiellement la théorie physique de l'« héliocentrisme »
consistant à considérer que c'est le Soleil et non la Terre qui est au centre du Système solaire
.
Michæl Mæstlin (1550 - 1631) astronome et mathématicien allemand, connu essentiellement pour avoir été le mentor de Johannes Kepler ; on lui doit aussi le premier calcul connu de l'inverse du nombre d'or en
.
Ptolémée (né vers l'an 100 - mort vers l'an 168) astronome et astrologue grec ayant vécu à Alexandrie (Égypte), on lui doit un traité d'astronomie connu de nos jours sous le nom d'Almageste
une somme des connaissances les plus avancées pour l'époque en mathématiques et astronomie
et un traité de géographie
une synthèse des connaissances géographiques du monde gréco-romain
.
Tycho Brahe (1546 - 1601) astronome danois ayant privilégié l'observation astronomique, il recueille ainsi un nombre très important de données beaucoup plus précises que celles obtenues par ses prédécesseurs ; il observe entre autres la Supernova de 1572 ainsi que la grande comète de 1577 qui lui permettent d'affirmer que ce ne sont pas des phénomènes atmosphériques
- ↑ 25,0 et 25,1 Voir aussi le paragraphe « expression de la vitesse angulaire du mouvement circulaire de centre O du point M uniquement soumis à une force centrale conservative » plus haut dans ce chapitre.
- ↑ 26,0 et 26,1 Voir aussi le paragraphe « expression de la période du mouvement circulaire de centre O du point M uniquement soumis à une force centrale conservative » plus haut dans ce chapitre.
- ↑ Hors programme de physique de PCSI.
- ↑ Référentiel lié au centre d'inertie
C.D.I.
du système « Terre (♁), Lune (☽) »
considérées comme ponctuelles
en translation relativement au référentiel géocentrique.
- ↑ 29,0 29,1 et 29,2 Voir le paragraphe « définition du mobile réduit d'un système de deux points matériels » du chap.
de la leçon « Mécanique des systèmes de points ».
- ↑ Voir le paragraphe « recherche de la force à imposer au mobile réduit pour que son mouvement barycentrique s'identifie au mouvement relatif de M2 par rapport à M1 et conséquence » du chap.
de la leçon « Mécanique des systèmes de points ».