Utilisateur:Ambre Troizat/La Révolution française en 1790

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D'où viennent les idées Révolutionnaire de Saint-Georges[modifier | modifier le wikicode]

Joseph Bologne de Saint-George

De sa formation chez Laboessiere[modifier | modifier le wikicode]

Ses compétences en musique le font choisir pour les orchestres financées par des Francs-maçons[modifier | modifier le wikicode]

L'Union des trois ordres ou, réconciliation de l'Église, de la Noblesse et du Tiers État devant l'entrée d'un temple maçonnique, circa 1789.

De ses études personnelles et de son cercle d'amis[modifier | modifier le wikicode]

Saint-George vit dans une époque particulièrement dynamique en recherche scientifique :
* découverte de l'oxygène et de son action sur le vivant.
* Exploration du corps humain * Observations de L'albinisme que l'on sait aujourd'hui dû au déficit de production de mélanine

La Réunion des Etats Généraux et ses métamorphoses, 5 mai 1789 - 20 juin 1789[modifier | modifier le wikicode]

A partir de la réunion inaugurale du 5 mai 1789, les Etats Généraux subissent quatre métamorphoses dont les étapes sont confondues dans l'article Wikipédia Assemblée nationale constituante (1789). La Chronologie est la suivante :

* 5 mai 1789 : Réunion des Etats Généraux de 1789
* L'Assemblée des communes ou Tiers-Etat, séparée du Clergé et de la Noblesse, négocient avant de se constituer en Assemblée Nationale
* 17 juin 1789 : Assemblée Nationale, rédige la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 "discutée et votée du 20 au 26 août 1789 et consacrait l’état de fait républicain de la période", Florence Gauthier.
* 20 juin 1789 : L'Assemblée nationale se constitue en Assemblée Nationale Constituante (ANC). Elle donnera la Constitution de 1791. "L’acte 1 de la Révolution venait d’ôter au roi la souveraineté et le pouvoir législatif et les restituait au peuple et à ses mandataires", Florence Gauthier.  Quatorze Juillet : l’histoire parle au présent ![1]
* 1790 (1 août 1790) - Société des Amis des Noirs et des colonies, Jérôme Pétion de Villeneuve et Jacques Pierre Brissot, Réflexions sur le code noir, et dénonciation d'un crime affreux, commis à Saint-Domingue : adressées à l'Assemblée nationale par la Société des amis des noirs (notice BnF no FRBNF36400217, lire sur Wikisource)Voir et modifier les données sur Wikidata Voir liste des publications des "Code noir", libellés mis à jour ce dimanche 8 janvier 2023. 

La nuit du 4 août 1789[modifier | modifier le wikicode]

« Le même jour dans la séance du soir il était décidé que le droit exclusif de fuies et colombiers était aboli que les pigeons seraient renfermés aux époques fixées par les communautés, que durant ce temps ils seraient regardés comme gibier et que chacun pourrait les tuer sur son terrain.
Lorsque à l'époque de Luther la forêt Noire s'ébranla et que sous la conduite de l'hôtelier Metzler les paysans de la Thuringe, de la Franconie, de la Souabe commencèrent leur grande révolte ils publièrent un programme composé de douze articles dont le quatrième était ainsi conçu : A tous les oiseaux dans les airs et les poissons dans les fleuves et les bêtes dans les forêts car à tous dans la personne du premier homme le Seigneur a donné droit sur les animaux. Or pour reconquérir ce droit sur les animaux usurpé par quelques uns les paysans se résolurent à une guerre d'extermination un anabaptiste fut leur chef, une croix blanche leur étendard, l'incendie marqua leur itinéraire ils tuèrent ils moururent : l'Allemagne fut inondée de sang; C'était donc une question formidable que celle de la suppression du droit exclusif de chasse soumise le 7 août 1789 aux délibérations de l'Assemblée nationale. »
— Jean Joseph Louis Blanc.- Histoire de la Révolution française[2][3],

La rente apanagère n'est pas un salaire[modifier | modifier le wikicode]

« Cambon propose de supprimer les rentes apanagères accordées à trois des ci-devant. Ces rentes coûtent à l’État trois millions par année. Aujourd'hui dit-il que nous n'avons plus de Roi ni de Princes nous ne devons plus salarier de Famille Royale l'Assemblée adopte la proposition de Cambon Il étoit juste & conséquent aux loix faites contre les Émigres de supprimer les apanages des Princes rebelles. Il étoit juste aussi & conséquent à l'abolition de la Royauté de réduire considérablement la rente apanagère de Louis Philippe Joseph Égalité mais pouvoit on la supprimer toute entière ? La rente apanagère n'est pas un salaire comme l'a cru Cambon, c'est essentiellement une pension héréditaire accordée ci-devant aux Fils puînés des Rois attendu que les Rois ne pouvant avoir le propriété individuelle ni héréditaire ne pouvoient rien laisser à leurs enfans qui par là se trouvoient seuls dans l'Empire dans l'impossibilité d'avoir un patrimoine. Cambon peut avoir eu raison de demander la suppression mais le motif qu'il a donné de la proposition ne paroît pas juste »
— Convention nationale, Séance du Lundi 24 septembre 10 heures du matin[4]

Etudes sur la propriété : XIXe siècle - XXe siècle[modifier | modifier le wikicode]

* Débats sur la propriété privée à l'époque de Louis XVI
** Etudes sur la propriété : XIXe siècle - XXe siècle

Saint-George est un homme de couleur libre[modifier | modifier le wikicode]

Saint-George jouit de plusieurs formes de liberté :
liberté de penser
Liberté de créer
Liberté de circuler en France et en Europe

Noir, mélanine, Mélanoderme[modifier | modifier le wikicode]

« J'ai des problèmes avec la définition de noir (Q817393).

Je propose : être humain dont le taux de mélanine dans l'épiderme est élevé. De plus, les mélanodermes sont aujourd'hui répartis sur toute la Planète même si leur densité est plus importante dans les régions intertropicales. L'image Pigmented melanoma - cytology.jpg est très explicite. L'objectif est d'éviter toute dérive raciste. Le wikitionnaire évite le biais raciste : À la peau de couleur foncée. Mais, la définition fait encore appel à la perception de chacun. L'article "Utilisation anthropologique des groupes sériques à définition immuno-électrophorétique de J. Ruffié H. Vergnes, J. F. de Boissezon utilise se rapproche de "mélanoderme" dans le Cntrl. Utilisé conjointement avec "Race". Ce qui est dommage.

L'article "Black is powerful" : la mélanine, une bénédiction divine apporte beaucoup d'éléments scientifique et permet d'avancer vers une définition biologique et scientifique. Malheureusement, il n'évite pas le piège raciste. »
— noir (Q817393) sur Wikidata bistrot[5].

Liberté des gens de couleur vers l'abolition de l'esclavage[modifier | modifier le wikicode]

« Il importe de bien s'entendre sur le sens des mots gens de couleur et mulâtres. Il convient de les prendre dans le sens qu'on leur donnait aux îles. Un mulâtre est fils d'un blanc et d'une négresse — ou d'un noir et d'une blanche. Un quarteron est issu d'un blanc et d'une mulâtresse. Mulâtres et quarterons sont dits gens de couleur. »
Gabriel Debien, Gens de couleur libres et colons de Saint-Domingue devant la Constituante (1789 - mars 1790), première partie, Montréal (ISSN 0035-2357 et 1492-1383, DOI 10.7202/801635AR, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata

Florence Gauthier.- Chronologie France - Saint-Domingue 1789-1791[modifier | modifier le wikicode]

* Florence Gauthier, Chronologie France - Saint-Domingue 1789-1791 (DOI 10.4000/BOOKS.EDITIONSCNRS.6289, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata 

Liste des textes concernant les Gens de couleur[modifier | modifier le wikicode]

*  Mai 1791 - Assemblée nationale constituante, Décret de l’Assemblée Nationale, du 15 Mai 1791, suivi de l'exposé des motifsVoir et modifier les données sur Wikidata 
* Septembre 1791 - Jean-Daniel Piquet, Un discours inédit de l’abbé Grégoire sur le décret du 15 mai 1791 (ISSN 0003-4436 et 1952-403X, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata 
* Octobre 1791 - Louis XVI, Loi portant que tout homme eſt libre en France, & que, quelleque ſoit ſa couleur, il y jouit de tous les droits de Citoyen, s’il a les qualités preſcrites par la ConſtitutionVoir et modifier les données sur Wikidata 

2007 - Florence Gauthier.- L'aristocratie de l'épiderme, 1789-1791[modifier | modifier le wikicode]

Florence Gauthier, historienne
Florence Gauthier, fr.Wikipédia
Œuvre & ouvrage
* 2007 - Florence Gauthier, L’aristocratie de l’épiderme : Le combat de la Société des Citoyens de Couleur, 1789-1791 Florence Gauthier, œuvre écrite 
* 2007 - Florence Gauthier, L'aristocratie de l'épiderme : Le combat de la Société des citoyens de couleur, 1789-1791, Paris, CNRS Éditions, 446  p. (ISBN 978-2-271-06576-6, OCLC 930972212, notice BnF no FRBNF41111507)Voir et modifier les données sur Wikidata Florence Gauthier, ouvrage OpenEditionBook 
Sommaire
** 2007 - Florence Gauthier, L'aristocratie de l'épiderme : Troisième partie, Chapitre 5. La Pétition nouvelle des Citoyens de Couleur et la campagne de la Société des Amis de la Constitution, mars-avril 1791, CNRS Éditions et OpenEdition.org (DOI 10.4000/BOOKS.EDITIONSCNRS.6257, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata Florence Gauthier, La Pétition nouvelle des Citoyens de Couleur et la campagne de la Société des Amis de la Constitution, mars-avril 1791, Troisième partie, chapitre 5 -->

Articles scientifiques[modifier | modifier le wikicode]

* 2009 - Jean Bart et Florence Gauthier, Florence Gauthier, L’aristocratie de l’épiderme. Le combat de la Société des citoyens de couleur 1789-1791. Compte rendu de lecture (ISSN 0003-4436 et 1952-403X, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata Article scientifique  

Articles de presse[modifier | modifier le wikicode]

* 2008 - Christophe Ventura et Florence Gauthier, Florence Gauthier.- L’aristocratie de l’épiderme. Le combat de la Société des citoyens de couleur, 1789-1791 (ISSN 0026-9395, 1950-6260 et 2491-5866, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata Article de presse 
* 2009 - Jérôme Gautheret et Florence Gauthier, Florence Gauthier : le poison du préjugé de couleur (ISSN 0395-2037, 1284-1250 et 2262-4694, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata Article de presse 

Le préjugé de race[modifier | modifier le wikicode]

  • 2021 - Dominique Chathuant, Nous qui ne cultivons pas le préjugé de race : histoire(s) d'un siècle de doute sur le racisme en France, Paris, Éditions du Félin, 500  p. (ISBN 978-2-86645-961-1, notice BnF no FRBNF46922716)Voir et modifier les données sur Wikidata

La Révolution française en 1790[modifier | modifier le wikicode]

En 1790, un chevalier n'est pas l'aîné de la famille, (notice BnF no FRBNF38793022k)
* La Révolution française en 1790
* Le travail après la révolution française de 1789 : théories & pratiques
* Le retour de l'esclavage dans l'espace politique français
* Documents utilisés pour l'Exposition 10 mai 94120 2013

Révolution française des Etats Généraux à la Convention nationale[modifier | modifier le wikicode]

France, Assemblée constituante de 1789-1791[modifier | modifier le wikicode]

Assemblée constituante de 1789-1791. Les États généraux s'institue en Assemblée nationale le 17 juin 1789. L’Assemblée comptait près de 1 200 députés. Elle siégea du 9 juillet 1789 au 30 septembre 1791 et devint constituante en proposant à la signature du roi les premiers articles de la Constitution française du 3 septembre 1791 et la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Convention est le nom donné à l'Assemblée constituante qui siégeat en France du au après les États généraux qui inaugurèrent la Révolution française avec l'Union des trois ordres, le 20 juin 1789[6].

* États-Généraux. Versailles, du 2 mai au 3 juillet 1789, Numéros 1 à 36

De France. États Généraux. [1789.]

Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]

Transformation de la monarchie en république[modifier | modifier le wikicode]

Ou comment la souveraineté et le pouvoir législatif passent du roi à la nation

Pour respecter la chronologie et les étapes de la Révolution française, j'ai créé

  1. Quatorze Juillet : l’histoire parle au présent ! (Q113110275) : source secondaire
  2. Etats-généraux, ou Récit de ce qui s'est passé aux Etats généraux, depuis le 5 mai 1789, jusqu'au 17 juin suivant, époque à laquelle les communes se sont constituées en assemblée nationale (Q113110498) : archive primaire, histoire événementielle du processus révolutionnairequi transforme les Etats Généraux
  3. Royaume de France. Assemblée nationale constituante (1789-1791) (Q113110544) : Institution responsable de l'archive primaire ci-dessus.

La Chronologie est la suivante :

  1. 5 mai 1789 : Réunion des Etats Généraux de 1789
  2. L'Assemblée des communes ou Tiers-Etat, séparée du Clergé et de la Noblesse, négocient avant de se constituer en Assemblée Nationale
  3. 17 juin 1789 : Assemblée Nationale, rédige la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 "discutée et votée du 20 au 26 août 1789 et consacrait l’état de fait républicain de la période", Florence Gauthier.
  4. 20 juin 1789 : Assemblée Nationale Constituante (ANC), donnera la Constitution de 1791. "L’acte 1 de la Révolution venait d’ôter au roi la souveraineté et le pouvoir législatif et les restituait au peuple et à ses mandataires", Florence Gauthier.

Ces 4 étapes sont confondues dans l'article Wikipédia Assemblée nationale constituante (1789).

Merci de m'aider à mettre ces items en cohérence avec les précédents items concernant la période. Ce qui permettra de rendre plus compréhensible l'article de Wikipédia.

L'Assemblée nationale devient Assemblée Nationale Constituante (ANC), 20 juin 1789 - 1er octobre 1791[modifier | modifier le wikicode]

L'Assemblée Nationale Constituante (ANC), 20 juin 1789 - 1er octobre 1791, donnera la Constitution de 1791.

« L’acte 1 de la Révolution venait d’ôter au roi la souveraineté et le pouvoir législatif et les restituait au peuple et à ses mandataires", Florence Gauthier. Quatorze Juillet : l’histoire parle au présent ![7] »

1790 - Nous sommes donc trois ou le provincial à Paris[modifier | modifier le wikicode]

* 1790 - Joseph Bologne de Saint-George, Nous sommes donc trois ? ou le Provincial à Paris : Signé : Saint-Georges, soldat citoyen de la ville de***, 1790, Paris (OCLC 458867481, notice BnF no FRBNF36303655, lire sur Wikisource)Voir et modifier les données sur Wikidata Historique de la recherche
 * 1790 - collectif, Joseph-Étienne Lavillette (dir.) et Jacques-Philippe Jacob-Sion (dir.), Annonces de bibliographie moderne, ou catalogue raisonné et analytique des livres nouveaux, Volumes 1-3, Chez Lavillette (notice BnF no FRBNF32695230)Voir et modifier les données sur Wikidata 
 * 1790 - Nous sommes donc trois, ou le provincial à Paris. Notice bibliographiqueVoir et modifier les données sur Wikidata 
  • 1790 The British Mercury, The British Mercury : Or Annals of History, Politics, Manners, Literature, Arts Etc. of the British Empire, vol. Volume 13, Numéros 14 à 26, Hoffmann, avril 1790, 14e éd. [lire en ligne], p. 28, Numéro 14, April 3, 1790. Club des Arts. An entertainment, with the above name, commenced on Saturday evening, under the direction of the Chevalier St. George, in Albemarle-street. The plan, we understand, is to comprehend a general display of the fine arts, including the art of self -defence. The entertamment of Saturday was entirely devoted to music, and a most charming Concert was performed, in which Janovick took the lead, with Salomon as his second. M. St. George himself was prevented from attending by indisposition, of course the company were deprived of the pleasure of hearing his violin. 

« in 1790, Giornovichi (Janovick) was accompanied by the "Creole" violinist, composer, and swordsman Joseph Boulogne, chevalier de Saint-Georges, whose mother was a black woman from Guadeloupe, and who gave … »
— Peter Fryer.- Staying Power: The History of Black People in Britain, 1984[8].

Pourquoi Saint-George se dit "Provincial"[modifier | modifier le wikicode]

Pourquoi Saint-George se dit "Provincial" et que fait-il donc à Paris malgré le coût du voyage ? Nous trouvons une première réponse dans le texte ci-contre par lequel Saint-George accepte le commandement de la Légion qui portera son nom, publié dans les "Archives des maîtres-d'armes de Paris" par Henri Daressy en 1788 :

Les députés de la Ville de Paris discutent de la contribution personnelle, sur la contribution personnelle et sur la manière de repartir et d'asseoir cette contribution. S'il a des biens dans Paris, ces débats devraient le concerner[9].

Notons que L'académie d'armes de Paris est dissoute en 1789 malgré les efforts de plusieurs des membres de l'Assemblée national

Les hommes de couleur à l'Assemblée nationale[modifier | modifier le wikicode]

Cournand Antoine - Requête présentée à nosseigneurs, Sept.-Oct. 1789
* Illustration de Paul et Virginie, première édition en 1789, (notice BnF no FRBNF38498318v)
* 1950 - Gabriel Debien, Gens de couleur libres et colons de Saint-Domingue devant la Constituante (1789 - mars 1790), première partie, Montréal (ISSN 0035-2357 et 1492-1383, DOI 10.7202/801635AR, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata 
* 1950 - Gabriel Debien, Gens de couleur libres et colons de Saint-Domingue devant la Constituante (1789 - mars 1790), Deuxième partie (ISSN 0035-2357 et 1492-1383, DOI 10.7202/801655AR, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata 
* 2008 - Charles Frostin, Les révoltes blanches à Saint-Domingue aux XVIIe et XVIIIe siècles, Rennes, Presses universitaires de Rennes (ISSN 1255-2364, notice BnF no FRBNF41217767, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata 
* 1771 - Lettre au nom de Louis XV qui établi la différence de nature entre les Blancs et les Noirs, 1771 : Casimir Dugoujon, Lettres sur l'esclavage dans les colonies françaises, Paris, Pagnerre éditeur, 120  p. (notice BnF no FRBNF30369592)Voir et modifier les données sur Wikidata Lettre onzième, 20 octobre 1840, Sainte-Anne (Guadeloupe). page 58-60 
* Bibliographie :  Constitutions de la France & des colonies, 1791[10]

« Septembre-octobre (1789) : Cournand publie Requête présentée à Nosseigneurs de l’AN, en faveur des gens de couleur de l’île de St-Domingue, et le distribue aux députés. »
— 1789 - Antoine de Cournand, Requête présentée à nosseigneurs de l'Assemblée nationale en faveur des gens de couleur de l'île de Saint-Domingue, 11  p. (notice BnF no FRBNF30280419, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
— 2007 - Florence Gauthier, Chronologie France - Saint-Domingue 1789-1791 (DOI 10.4000/BOOKS.EDITIONSCNRS.6289, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata

Archives parlementaires, 12 mai - 5 juin 1791[modifier | modifier le wikicode]

* MM. Mavidal, Laurent, Claveau, Pionnier, Lataste et Barbier.- Archives parlementaires de 1787 à 1860. Recueil complet des débats législatifs et politiques des chambres françaises. Avec renvoi vers Internet Archives ou Google Livres.

Julien Raimond (Raymond) commissaire des citoyens de couleur[modifier | modifier le wikicode]

Julien Raimond
Julien Raimond
* Archives parlementaires de 1787 a 1860, 12 mai - 5 juin 1791, Première série (1787-1799), tome XXVI, Paris : Librairie administrative de Paul Dupont, 1787. 
* Page 793 Raymond commissaire des citoyens de couleur. De- mande à être entendu à la barre (t. XXVI. p. 3 et suiv.;) — renouvelle sa demande (p. 63). — Son dis- cours, au nom de la députaiion des citoyens de cou- leur (p. 66 et suiv.). — Ecrit â l'Assemblée (p. 89). 

2 mai 1791[modifier | modifier le wikicode]

« Un de MM. les secrétaires fait lecture d'une lettre de M. Raymond, l'un des cinq commissaires des citoyens de couleur.
Cette lettre est ainsi conçue :
Monsieur le Président,
Assistant hier à la séance de l'Assemblée na, où les droits des hommes de couleur furent discutés, je m'aperçus avec peine qu'on égarait perpétuellement l'Assemblée sur les localités des îles. Par exemple, un membre a avancé qu'il n'y avait que cinq à six mille hommes de couleur dans les colonies, tandis que si l'Assemblée veut se faire donner des renseignements au bureau des colonies, elle y verra que Saint-Domingue seulement fournit une population de 30,000 personnes de couleur, et que cette population est au moins égale à celle des blancs, si elle ne la surpasse. Je suis en état de donner sur ce fait-là et sur d'autres des renseignements authentiques qui rassureront l'Assemblée ; et je la supplie encore une fois, au nom de mes frères, qu'elle veuille bien décréter que nous serons personnellement entendus à la barre.
J'ai l'honneur d'être, avec respect, etc[11]. »
— Signé : RAYMOND.
Pour les cinq commissaires des citoyens de couleur[12].

Discussion sur les hommes de couleur, Paris, ca 1791[modifier | modifier le wikicode]

* Discussion sur les hommes de couleur, Paris, ca 1791

Assemblée nationale législative, 1er octobre 1791-20 septembre 1792[modifier | modifier le wikicode]

Assemblée nationale législative (Révolution française)

1789 - Assemblée nationale législative (Révolution française). Elue entre le 29 août et le 5 septembre 1791, se réunit dans la salle du Manège le 1er octobre 1791 après la révision puis la promulgation de la première Constitution dite "Constitution de 1791" qui fait de la France une monarchie constitutionnelle jusqu'au 20 septembre 1792. Le 21 septembre 1792, la Convention nationale proclame l'abolition de la royauté. 

Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]

1790 - Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France[modifier | modifier le wikicode]

* 1790 - Volume 7 : Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France, 1790
* 1790 - Volume 10 : Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France, 1790
* Volume 11 : [ Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France]
* Volume 12 : [ Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France]
* 1790 - Volume 13 : Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France, 1790
* 1790 - Volume 14 : Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France, 1790
* 1790 - Volume 15 : Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France
* 1790 - Volume 18 : Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France, Suite du procès verbal Du samedi 22 juin 1790 au matin, sous la présidence de M. de Bonnay, 1790
  • 1790 - Ville de Paris, Extrait du registre des délibérations du conseil général de la commune de Paris du mardi 30 novembre 1790Voir et modifier les données sur Wikidata
  • 1790 - Bavouz, Philippe d'Orléans traité comme il le mérite, Paris, Jeanne Nérat, 14  p. (notice BnF no FRBNF30069521)Voir et modifier les données sur Wikidata

1791[modifier | modifier le wikicode]

* 1791 -  Volume 16 : [ Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France], 1791
* 1791 -  Volume 17 : Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France, 1791
* 1791 -  Volume 17bis : Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France, 1791
* 1791 -  Volume 16 : [Recueil des pièces authentiques approuvées par l’Assemblée nationale de la France], 1791

1792[modifier | modifier le wikicode]

* 1792-1947 - Étienne de Joly et Jacques Godechot (dir.), Mémoires inédits de E.-L.-H. Dejoly sur la journée du 10 août 1792. Edition critique avec une introduction et des notes par Jacques Godechot, Paris, Presses universitaires de France, 94  p. (notice BnF no FRBNF32006419, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata 

Discussion sur les hommes de couleur sous la Monarchie constitutionnelle[modifier | modifier le wikicode]

Convention nationale, 21 septembre 1792 - 26 octobre 1795[modifier | modifier le wikicode]

« La Convention nationale est à la fois le régime politique français et le Parlement qui gouverne la France du 21 septembre 1792 au 26 octobre 1795 lors de la Révolution française. Elle succède à l'Assemblée législative et fonde la Première République (France). Elle est élue, pour la première fois en France, au suffrage universel masculin afin de donner une nouvelle constitution à la France, rendue nécessaire par la déchéance de Louis XVI lors de la journée du 10 août 1792. »
Wikipedia, Convention nationale

La Convention nationale .- Procès-verbal de la proclamation de l’abolition de la royauté, 21 septembre 1792 dans "Archives parlementaires de 1787 à 1860" (1897)

Constitution du peuple français[modifier | modifier le wikicode]

Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]

Voir prochaine partie
Saint-George à l'Armée du Rhin

Nous sommes donc trois ? ou le Provincial à Paris[modifier | modifier le wikicode]

A faut espérer q'eu'jeu la finira bentot[13]

Introduction : la révolution avant la Révolution[modifier | modifier le wikicode]

 * 1877 - Louis Guibert, Une page de l'histoire du clergé français au XVIIIe siècle. Destruction de l'Ordre et de l'abbaye de Grandmont, Paris, Honoré Champion, 1 023  p. (notice BnF no FRBNF34051691)Voir et modifier les données sur Wikidata , Voire les sujets dans l'item. 
** 1877 - Camille Rivain et Louis Guibert, Une page de l'histoire du clergé français au XVIIIe siècle. Destruction de l'ordre et de l'abbaye de Grandmont, par Louis Guibert, compte-rendu de lecture (ISSN 0373-6237 et 1953-8138)Voir et modifier les données sur Wikidata 
* Réforme protestante (Q12562) : La La Réforme protestante (la Réforme) est le mouvement de transformation du christianisme occidental initié par Martin Luther en 1517 et qui dure jusqu'en 1648.
* Constitution civile du clergé (Q206979) : La Constitution civile du clergé est le décret adopté en France par l'Assemblée nationale constituante le 12 juillet 1790.
* Constitution civile du clergé.
* Muséeprotestant (France), « Jean-Paul Rabaut Saint-Étienne (1743-1793). Défenseur de la liberté religieuse. L'émancipation des protestants (1786-1789). Membre de l’Assemblée Nationale et de la Convention », sur museeprotestant.org,  (consulté le 28 février 2022)

A faut espérer q'eu'jeu la finira bentot[modifier | modifier le wikicode]

Ouverture du Club de la Révolution
Jacques-Louis David - Rabaut Saint-Étienne, Dom Gerle, Abbé Grégoire dans le Serment du Jeu de Paume, 1790
Nous sommes donc trois ? ou le Provincial à Paris est une oeuvre écrite de Saint-George qui se distingue de ses œuvres musicales[14] 
Texte établi par Saint-Georges, soldat citoyen de la ville de***, Inconnue, 1790 (p. 3-12).

Les Pères de la patrie & les trois partis[modifier | modifier le wikicode]

Mixelle Jean Marie.- A Louis XVI, Père des Français et Roi d'un Peuple libre, 1790.png

« Quant aux membres de l'Assemblée on bénissait leur patriotisme on les nommait selon le langage de l'ancienne Rome républicaine les pères de la patrie. »
Louis Blanc, La propriété devant la Révolution, Chapitre 1 dans Histoire de la Révolution française, 1872[15]

Le premier parti[modifier | modifier le wikicode]

* J’ai vu, et je ne crois pas m’être trompé, que parmi les pères de la patrie, il y a trois partis bien formés, bien aisés à distinguer. 
La métamorphose, Silene voyageant monté sur Mirabeau Tonneau, 1791
Abbé Maury
André Boniface Louis Riquetti de Mirabeau (1754-1792) & Louis V Joseph de Bourbon-Condé (1740-1818), 1791
1. A la tête, des traîneurs obstinés des deux soi-disant ordres renversés'', conduisent "ceux qui ne valent pas la peine d’être nommés. Le plus grand nombre est aristocrate. Ont juré, le 4 février, de respecter les décrets de l’Assemblée. Les ont attaqués par une protestation publique. "Nous avons bien senti qu’ils ne vouloient que notre bien, et nous nous sommes tenus tranquilles, en méprisant leurs efforts" :
1.1. abbé Maury (Jean-Sifrein Maury)[16]
1.2. Cazalès (Jacques Antoine Marie de Cazalès)
1.3. André Boniface Louis Riquetti, vicomte de Mirabeau, 1754 - 1792, neveu de Jean-Antoine Riqueti de Mirabeau (1717-1794), ancien gouverneur de la Guadeloupe entre 1753 et 1757
1.4. Foucault, Denis-Nicolas Foucault, fonctionnaire colonial ?
1.5. François-Henri de Virieu (1754-1793)

« C’est ainsi que les membres de cette ligue, saisissant l’occurrence d’une motion imprudente[17], se sont tout-à-coup enflammés d’un amour furieux pour une religion dont, au fond, ils se soucient fort peu. »
Page:Nous sommes donc trois.djvu/7.

André Boniface Louis Riquetti, vicomte de Mirabeau, 1754 - 1792[modifier | modifier le wikicode]

1790 - Constitution civile du clergé[modifier | modifier le wikicode]

Constitution civile du clergé

Assemblée nationale constituante, 9 juillet 1789-30 septembre 1791, soit 2 ans, 2 mois et 21 jours

Constitution civile du clergé, sur Wikidata

1790 - Ah ! ça ira, dictum populaire sur l'air du carillon national[modifier | modifier le wikicode]

1790 - Ah ça ira sur l'air du Carillon national de Jean-Antoine Bécourt[18]
Parade devant un théâtre des boulevards, le théâtre des Associés, boulevard du Temple (?), en 1788
La monarchie et la République française : Ça n’ira pas, ça ira.
Gravure britannique publiée à Londres quatre jours après l'exécution de Louis XVI, le {{date-|21 janvier 1793}}, montrant des démons dans le ciel qui chantent Ça ira au moment où tombe le couperet de la guillotine.
Jean-Antoine Bécourt, Louis Michel Ladré.- Ah ! ça ira, musique des fêtes et cérémonies de la Révolution française, 1899

« Ça ira — Rien ne parait plus frivole qu'un refrain de chanson mais celui-ci a eu dans la révolution de 1789 des résultats si puissants qu'on ne peut le passer sous silence. On ne peut avoir aucune idée précise de la véritable chanson originale s'il y en eut une et la seule que l'on trouve imprimée dans les recueils des rues et gravée par les marchands de musique est une assez mauvaise chanson composée par un chanteur ambulant nommé Ladré. L'air de contredanse sur lequel on a ajusté les paroles était d'un M. Bécourt[19] Cette contredanse s'appelait le Carillon national et, en effet, la musique du refrain imite un carillon. Une particularité qui n'est pas indifférente c'est que la reine Marie Antoinette avait pris cet air en affection et qu'elle le jouait souvent sur son clavecin. Il est vrai que la musique en est originale, vive et gaie. L'infortunée reine ne se doutait pas que cet air devenu populaire serait un jour son chant de mort et qu'il retentirait à son oreille sur le chemin de l'échafaud. La course du carillon national était à la mode en 1790 et son rhythme vif et gai était fredonné par tout le monde lorsque les travaux du Champ de Mars pour les préparatifs de la fédération y attirèrent tous les Parisiens qui y prirent la pioche et la pelle et y roulèrent la brouette. La gaiete la plus expansive animait les travailleurs tout le monde chantait et comme il n'y avait point de paroles sur l'air du carillon national quelqu'un des travailleurs improvisa "Ah ça ira ça ira ça ira". On ne sait si le reste du refrain qui contient de sinistres paroles a été la suite de cette première improvisation mais, ce qu'il y a de certain c'est que, dans les rues et les promenades, le peuple chantait :

"Ah ça ira ça ira ça ira
Les aristocrates à la lanterne
Ah ça ira ça ira ça ira
Les aristocrates on les pendra
La liberté s établira
Malgré les tyrans tout réussira
Ah ça ira, etc."

Le chanteur des rues Ladré[20] qui fit la chanson imprimée l'intitula Ah ça ira dictum populaire. Son refrain est plus pacifique et plus humain : il dit seulement :

"Ah ça ira etc.
Le peuple en ce jour sans cesse répète
Ah ça ira etc.
Malgré les mutins tout réussira"

Et il y a dans la petite feuille imprimée :

"Par le prudent La Fayette."

Il y eut beaucoup de variantes on en trouve dans la chanson imprimée en petites feuilles et celle gravée pour le clavecin. C'est ainsi que dans la chanson gravée, il y a :

"Par la force des baïonnettes
Tout trouble s'apaisera
Par le prudent la Fayette"

Dans un autre couplet la chanson gravée porte "La liberté dit vienne qui voudra". Et l'on trouve dans la feuille imprimée "Lafayette" au lieu de "la Liberté". Mercier dans son Nouveau Paris[21] prétend que ce fameux Ça ira a été répété d'après Franklin[22] dont c'était l'expression favorite dans le fort de la révolution d'Amérique. Du reste cette chanson, la première de celles qui furent en faveur pendant la révolution et qui précéda la Carmagnole et la Marseillaise fut mise en marche militaire et conduisit nos soldats à la victoire. On joua au théâtre des Associés, boulevard du Temple, en 1790, une petite pièce de Dorvigny[23] intitulée "Ça ira". »
Ça ira, article de Dumersan dans l'Encyclopédie catholique[24].

Bibliographie : Constitution civile du clergé[modifier | modifier le wikicode]

* 1789 - Jean-Paul Rabaut Saint-Étienne, Opinion de M. Rabaut de Saint-Étienne sur quelques points de la constitution, François-Jean Baudouin (notice BnF no FRBNF31167173)Voir et modifier les données sur Wikidata 
* 1790 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau et Assemblée nationale constituante, Discours sur l'Exposition des principes de la Constitution civile du clergé, par les évêques députés à l'Assemblée nationale, prononcé à la séance du soir, 26 novembre 1790Voir et modifier les données sur Wikidata 
* 1791 - Club des jacobins, Discours patriotique sur la constitution civile du clergé, prononcé le 29 avril de l'an second de la liberté 1791 dans la Société des amis de la constitution.Voir et modifier les données sur Wikidata, 29 avril 1791 
* 1884 - Décret sur la constitution civile du clergé en annexe de la séance du lundi 12 juillet 1790Voir et modifier les données sur Wikidata publié dans Archives Parlementaires de la Révolution Française 
* 1872-1887 - Ludovic Sciout.- Histoire de la Constitution civile du clergé (1790-1801)
* 1872 - Ludovic Sciout, Histoire de la Constitution civile du clergé (1790-1801), œuvre littéraire 
** 1872 - Ludovic Sciout et Carlo Nocella, Histoire de la Constitution civile du clergé (1790-1801), volume I, Paris, Firmin-Didot (notice BnF no FRBNF31338537)Voir et modifier les données sur Wikidata 
** 1872 - Ludovic Sciout et Carlo Nocella, Histoire de la Constitution civile du clergé (1790-1801). Volume 2, Paris, Firmin-Didot (notice BnF no FRBNF31338537)Voir et modifier les données sur Wikidata 
** 1881 - Ludovic Sciout et Carlo Nocella, Histoire de la Constitution civile du clergé (1790-1801). Volume 3, Paris, Firmin-Didot (notice BnF no FRBNF31338537)Voir et modifier les données sur Wikidata 
** 1881 - Ludovic Sciout et Carlo Nocella, Histoire de la Constitution civile du clergé (1790-1801). Volume 4, Paris, Firmin-Didot (notice BnF no FRBNF31338537)Voir et modifier les données sur Wikidata 
** 1887 - Ludovic Sciout, Histoire de la constitution civile du clergé et de la persécution révolutionnaire (1790-1801), Abrégé, Paris, Firmin-Didot (notice BnF no FRBNF34044480)Voir et modifier les données sur Wikidata 
* 1889 - Bertrand Robidou, Histoire du clergé pendant la Révolution française, Paris, Calmann-Lévy (notice BnF no FRBNF31227446, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata 
* 1946 - André Dupont, Rabaut Saint-Etienne, 1743-1793, Strasbourg, Oberlin, 147  p. (notice BnF no FRBNF35041698)Voir et modifier les données sur Wikidata 

1986 - Religion, Revolution and regional culture in eighteenth-century France : the ecclesiastical oath of 1791[modifier | modifier le wikicode]

* 1986 - Timothy Tackett, Religion, Revolution and regional culture in eighteenth-century France : the ecclesiastical oath of 1791 , Œuvre littéraire 
* 1986 - (en) Timothy Tackett, Religion, Revolution and regional culture in eighteenth-century France : the ecclesiastical oath of 1791, Princeton University PressVoir et modifier les données sur Wikidata, Original décrit ici 
* 1986 - Timothy Tackett, La Révolution, l'Église, la France : le serment de 1791 (notice BnF no FRBNF34877986)Voir et modifier les données sur Wikidata 

Louis XVI.- L’ Édit de tolérance du 29 novembre 1787[modifier | modifier le wikicode]

Jean-Paul Rabaut de Saint-Étienne

« C'est tout un livre qu il faudrait consacrer à la mémoire de Rabaut Saint Etienne. Ce bon citoyen, cet écrivain de talent, ce pasteur à l'esprit large et nullement sectaire mériterait mieux que l'insuffisant article de la France protestante de Haag et même que la notice émue placée par Boissy d'Anglas en tête du recueil de ses discours. Comment se fait-il que la biographie de l'auteur du Vieux Cévenol, cette histoire dramatique des misères des réformés au XVIIIe siècle n'ait pas sollicité la plume de quelqu'un de ces pasteurs érudits de la ville de Nîmes où Rabaut et ses deux frères ont été si célèbres, où leur père, l'héroïque Paul Rabaut a laissé des souvenirs encore vivants. »
Alphonse Aulard, Les orateurs de l'Assemblée constituante : l'éloquence parlementaire pendant la Révolution française, Paris, Hachette, 569  p. (ISBN 978-2-01-968117-3, notice BnF no FRBNF34213701)Voir et modifier les données sur Wikidata, Chapitre VIII, Les Ecclésiastiques (suite), Rabaut Saint Etienne, Gallica, pp. 429-435

1811-1903 - Percy Bysshe Shelley.- La nécessité de l'Athéisme, Réfutation du déisme & Déclaration des Droits[modifier | modifier le wikicode]

Hercule libère Prométhée ; Shelley, F. T. Merrill (ill.).- Prometheus Unbound, 1904.
* The complete works of Percy Bysshe Shelley
The Prose Works of Author:Percy Bysshe Shelley
Traductions par Albert Savine
  • 1903 - Percy Bysshe Shelley (trad. Albert Savine), Oeuvres en prose : pamphlets politiques, réfutation du déisme, fragments de romans, critique littéraire et critique d'art, philosophie, Percy Bysshe Shelley, traduites par Albert Savine, Deuxième édition, Paris, Pierre-Victor Stock, 398  p. (notice BnF no FRBNF35227264)Voir et modifier les données sur Wikidata. Comprend :

Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]

  • 1787 - Muséeprotestant (France), « L’ Édit de tolérance, 29 novembre 1787 », sur museeprotestant.org, (consulté le 28 février 2022)
  • 1788 - Arthur Richard Dillon et Louis XVI, Discours au Roi, prononcé à Versailles par M. l'archevêque de Narbonne (A.-R. Dillon) à la clôture de l'assemblée du clergé, le dimanche 27 juillet 1788, suivi de la réponse du Roi (notice BnF no FRBNF32395723)Voir et modifier les données sur Wikidata Arthur Richard Dillon
  • 1946 - André Dupont, Rabaut Saint-Etienne, 1743-1793, Strasbourg, Oberlin, 147  p. (notice BnF no FRBNF35041698)Voir et modifier les données sur Wikidata

La Fête de l'être suprème, particulièrement en 1794[modifier | modifier le wikicode]

Vue du jardin national et des décorations, le jour de la fête célébrée en l’honneur de l’être suprême, an I de la République
La fête de l'Être Suprême, au Champ-de-Mars, circa 1794

Culte de l'Être suprême

Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]

Le deuxième parti ou parti démocrate[modifier | modifier le wikicode]

Rossiter and Mignot.- Washington and Lafayette at Mount Vernon en 1784, 1859.
Serment de La Fayette à la fête de la Fédération, 14 juillet 1790
Jean-Baptiste Vérité.- Louis-Alexandre duc de La Rochefoucauld, 1743-1792.
Pierre-Paul Prud'hon.- Charles Maurice de Talleyrand-Périgord

Gilbert du Motier de La Fayette[modifier | modifier le wikicode]

L’autre parti, à la tête duquel on voit un la Fayette, un la Rochefoucaud, marche droit au but, et tend sincèrement au vrai bien. 
Tous deux brillent à l’Assemblée par leur sagesse et leur prudence ; et si le parti, qu’on appelle démocrate, n’était composé que de pareils hommes, ou que tous eussent des vues aussi droites, le bonheur de la France s’avanceroit à pas de géant.

«  2.1. Gilbert du Motier, marquis de La Fayette, 1757-1834 (La Fayette)
Celui-là, avec son nez au vent, comme l’ont dit certains plaisants, l’oreille au guet, l’œil toujours ouvert, évente tout, entend tout, voit tout. L’intrigue le rencontre par-tout sur ses pas, et se voit dérouter dans ses projets. Dès qu’un complot se trame, il est à la piste : il vous suit les travailleurs, et les prenant sur le fait, les arrête tout court. »
— Nous sommes donc trois


« Si l'on est étonné ce n'est pas de voir que le bandeau soit tombé de dessus les yeux des Parisiens au sujet de Lafayette mais de ce qu'ils ont pu être aveuglés si long temps sur son compte. Je demande aujourd'hui que chacun reconnoît avec chagrin avoir été la dupe de cet homme, je demande dis-je, ce qu'il avoit fait pour mériter tant de confiance.
Est-ce pour avoir donné ordre au sieur Lasalle d'enlever, pendant la nuit du 5 au 6 août 1789, dix milliers de poudre de l'arsenal sur quatorze milliers que nous avions pour toute provision sous prétexte
1.0. de les reporter à Essonne pour les remettre au moulin les disant éventées
2.b. Les disant poudres pour la traite des nègres mais qui n'en furent pas moins rentrées à l'arsenal et consmmées par nous étant de très bonne qualité »
— 1791 - Crimes de Lafayette en France, seulement depuis la Révolution et depuis sa nomination au grade de général, Paris (notice BnF no FRBNF30598211)Voir et modifier les données sur Wikidata, page 1 & 2.


Gilbert du Motier de La Fayette en Guyane[modifier | modifier le wikicode]

  • 1783 - États-Unis, Treize colonies et Philippe-Denis Pierres (dir.) (trad. Louis Alexandre de La Rochefoucauld d'Enville et Benjamin Franklin), Constitutions des treize États-Unis de l'Amérique, Philadelphie et Paris, Pissot, père & fils, 540  p. (notice BnF no FRBNF36126028)Voir et modifier les données sur Wikidata
  • 1824 - Memoires du general J.-D. Freytag,... contenant des details sur les deportes du 18 fructidor à la Guyane, la relation des principaux événemens qui se sont passés dans cette colonie pendant la Révolution, et un précis de la retraite effectuee par l'arrière-garde de l'armée francaise en Russie, ses voyages dans diverses parties de l'Amérique. Tome 1 / ,... accompagnes de notes... par M. C. de B. [Couvray de Beauregard
  • 1880 - Crevaux, Jules (1847-1883). Auteur de lettres.- Lettre sur ses travaux en Guyane et au Venezuela, "à bord du "Lafayette"", 25 août 1880, (notice BnF no FRBNF387940533)
  • 2000 - Sophie Aulagnier.- L'expérience philanthropique de La Fayette en Guyane française dans le processus d'abolition de l'esclavage (1783-1803) : la tentative d'émancipation graduelle des noirs
  • 2014 - Etienne Taillemite.- La Fayette. Signature d'un traité entre Indiens et Américains en présence de LaFayette. Automne 1784. Suitedu voyage triomphal deLaFayette: ... Négociations pour l'acquisition par La Fayette de deux habitationsen Guyane : La Gabrielle et Saint-Régis.

La traite des esclaves[modifier | modifier le wikicode]

  • Polony, Claude-Vincent (1756-1828).- Mémoires d'un officier de marine négrier [Texte imprimé] : histoire des services à la mer et dans les ports de Claude-Vincent Polony, 1756-1828 / sous la direction d'Albert-Michel Luc et Louis-Gilles Pairault ; [ouvrage publié par les] Archives départementales de la Charente-Maritime [et l'] Association des amis des Archives de la Charente-Maritime, La Crèche : la Geste, DL 2019, (notice BnF no FRBNF45736188z)

Bibliographie Lafayette[modifier | modifier le wikicode]

Louis-Alexandre de La Rochefoucauld[modifier | modifier le wikicode]

«  2.2. Louis-Alexandre de La Rochefoucauld 6e duc de La Rochefoucauld, (La Rochefoucaud), 1743-1792, économiste physiocrate, assassiné à Gisors, assassiné sur la route de Rouen en Normandie, victime des massacres de septembre 1792.
L’autre, quoi qu’économiste, est plein d’un grand sens. Une raison forte, un jugement assuré, un coup-d’œil juste, une logique serrée, sont les armes avec lesquelles il attaque nos ennemis, et toujours il est vainqueur.  »
— Saint-George.- Nous sommes donc trois

L'Adresse à Messieurs les impartiaux, ou les amis de la paix, rédigée chez le duc de la Rochefoucauld, a pour objet l'analyse et la critique des Articles de constitution de 1789. Ce texte institue en France une monarchie constitutionnelle et nous donne la couleur de ce premier parti dont parle Saint-George[25].

Ce parti comprend-il Brissot ?[modifier | modifier le wikicode]

Jacques Pierre Brissot, ou Brissot de Warville, 1754-1793, son rôle dans le déclenchement de la guerre contre l'Autriche. Présenté comme le chef de file des Girondins. Edite un journal, Le Patriote français, émanation des idées du "parti brissotin". 
* 1792 - Jacques Pierre Brissot et Convention nationale (dir.), Discours du citoyen Brissot, à la Convention nationale, concernant la république de Genève, extrait du "Moniteur" du 22 novembre 1792, Genève et Paris, Monard (notice BnF no FRBNF36352187)Voir et modifier les données sur Wikidata 
* 1793 - Camille Desmoulins, Histoire des Brissotins, ou Fragment de l'histoire secrète de la Révolution et des six premiers mois de la République, Paris, Imprimerie patriotique et républicaine, 80  p. (notice BnF no FRBNF30333317)Voir et modifier les données sur Wikidata 
* 2013 - Pierre Serna, Le pari politique de Brissot ou lorsque le Patriote Français, l’Abolitionniste Anglais et le Citoyen Américain sont unis en une seule figure de la liberté républicaine (DOI 10.4000/LRF.1021, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata 
Bibliographie
* 2007 -  Daniel Vaugelade, Le salon physiocratique des La Rochefoucauld : animé par Louise Élisabeth de La Rochefoucauld, duchesse d'Enville, Paris, Publibook (ISBN 2-7483-1464-6, OCLC 49678865, notice BnF no FRBNF41070269)Voir et modifier les données sur Wikidata 

Le troisième parti[modifier | modifier le wikicode]

Duel de Charles Lameth et du marquis de Castries, 1790
3. Mais il est un troisième parti : 
3.1. Lameth
3.2. Antoine Barnave, 1761-1793 (Barnave)
3.3. Maximilien de Robespierre (Robespierre)
3.4. Simon-Nicolas-Henri Linguet (Linguet)
3.5. Jean-Paul Marat (Marat)

Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]

  • 1790 - Joseph Bologne de Saint-George, Nous sommes donc trois ? ou le Provincial à Paris : Signé : Saint-Georges, soldat citoyen de la ville de***, 1790, Paris (OCLC 458867481, notice BnF no FRBNF36303655, lire sur Wikisource)Voir et modifier les données sur Wikidata
    • 1790 - Ville de Paris, Extrait du registre des délibérations du conseil général de la commune de Paris du mardi 30 novembre 1790Voir et modifier les données sur Wikidata
Louis Philippe Joseph d'Orléans

Voir "Sujet sur Discussion utilisateur:Hsarrazin" Philippe d'Orléans traité comme il le mérite (Q111364853).. Insérer ce sujet dans la méthodologie.

  • 1796 - Galart de Montjoie, Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans : premier prince du sang, duc d'Orléans, de Chartres, de Nemours, de Montpensier et d'Etampes, comte de Beaujolais, de Vermandois et de Soissons, surnommé Egalité, Paris, inconnu (notice BnF no FRBNF30972415)Voir et modifier les données sur Wikidata
    • 1796 - Galart de Montjoie, Histoire de la conjuration de Louis Philippe Joseph d'Orléans : Premier prince du sang, duc d'Orléans, de Chartres, de Nemours,de Montpensier et d'Étampes, comte de Beaujolais, de Vermandois et de Soissons, surnommé Egalité, par l'auteur de l'Histoire de la conjuration de Maximilien Robespierre, Paris, inconnuVoir et modifier les données sur Wikidata
Sur Google Livres
  1. Galart de Montjoie.- Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans ... surnommé Égalité, Volume 2, 1796
  2. Galart de Montjoie.- Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans ... surnommé Égalité, Volume 3, 1796

Saint-George accepte le commandement de la Légion des Amériquains[modifier | modifier le wikicode]

Lettre de Saint-George acceptant le commandement de la Légion homonyme

Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]

  • 1790 - Assemblée nationale constituante, France et Charles-Léon de Bouthillier-Chavigny (dir.), Rapport du Comité militaire, sur les adjudants-généraux et les aides-de-camp, fait à l'Assemblée nationale, le 5 septembre 1790, Paris, 12  p. (notice BnF no FRBNF30149710)Voir et modifier les données sur Wikidata

1896 - Gerhard Anton Halem et Arthur Chuquet (dir.) (trad. Arthur Chuquet), Paris en 1790, Voyage de Halem, Traduction, introduction et notes par Arthur Chuquet, Paris, Léon Chailley (notice BnF no FRBNF30569770)Voir et modifier les données sur Wikidata

Joseph Bologne de Saint-George, l'homme armée[modifier | modifier le wikicode]

Texte de loi Portant que tout homme est libre en France, et que, quelle que soit sa couleur, il y jouit de tous les droits de Citoyen, s'il a les qualités prescrites par la Constitution. Décret de l'Assemblée nationale du 28 septembre 1791. Signée par Louis XVI, Paris, le 16 octobre 1791.
Le Nègre armé, 1794. Image de la Révolution à la Guadeloupe. Le texte du placard sur le mur est : Décret de la Convention qui rend la liberté aux hommes de couleur, Musée d'Aquitaine, Bordeaux. Voir également une version cnmhe.fr

« La mort sur les champs de bataille s’est progressivement affranchie de la religion. Même si mourir pour son roi avait quelque sens dans l’éthique nobiliaire, le mépris des soldats d’Ancien régime se reflétait dans le sort réservé aux corps, abandonnés là, sans sépulture. L’invasion de la France révolutionnaire redonna vite un sens supérieur à la guerre. L’invasion par l’armée prussienne du duc de Brunswick menaçait la population parisienne d’un massacre. Le chant de guerre de l’Armée du Rhin, devenu la Marseillaise, résuma le sens pris par la patrie, désignant ici le territoire d’un État sans doute, mais aussi les maisons, les terres agricoles, les épouses et les enfants. En 1792, la menace était réelle. La patrie concrète était celle de la nation, de la province — appelée souvent la « petite patrie » —, de la ville ou du village, de la propriété et des familles, et cette patrie qu’on pourrait dire charnelle donnait une légitimation multiple et absolue au sacrifice patriotique. »
— Alain Garrigou.- D’Athènes à Kiev, mourir pour la patrie, 16 mars 2022[26].

XVIIIe siècle - XXe siècle : Esclavage & servage éliminés de la propriété personnelle & collective[modifier | modifier le wikicode]

  • Abolition de l'esclavage
  • Emancipation de la personne :
    • émancipation sociopolitique & économique
    • émancipation ou levée d'une tutelle
  • 2014 - collectif, Frédéric Régent (dir.), Jean-François Niort (dir.) et Pierre Serna (dir.), Les colonies, la Révolution française, la loi. Actes du colloque international, Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, 23-24 septembre 2011, Rennes, Presses universitaires de Rennes (notice BnF no FRBNF43807863)Voir et modifier les données sur Wikidata, Quid du statut des territoires coloniaux ?

Les précurseurs jusqu'en 1799[modifier | modifier le wikicode]

  1. 1623-1662 - Les œuvres de Blaise Pascal sous l'angle de l’esclavage
  2. (notice BnF no FRBNF301537932), An address to the people called Methodists ; concerning the criminality of encouraging slavery. By Samuel Bradburn, minister of the Gospel. Appartient à : Recueils de pièces imprimées concernant les colonies [Bibliothèque de Moreau de Saint-Méry]. 1ere série,
    Voir aussi Recherche sur BNF : Esclavage et traités
  3. (notice BnF no FRBNF30484609f), Agénor Étienne de GASPARIN (Count.), Esclavage et Traité, 1838

Les Hommes de couleur sous la Monarchie de Juillet[modifier | modifier le wikicode]

1836-1837 - Délégation à Londres de gens de couleur dans la Colonie du Cap[modifier | modifier le wikicode]

Richard Woodman after Henry Room.- Engraving (1844) of the 1835 Parliamentary delegation from South Africa, led by John Philip.

1836-1837 - Le peintre Henry Room & Richard Woodman, graveur réalisent le portrait de groupe de Jan Dyani Tzatzoe (Tshatshu), Andries Stoffles, James Read Sr, James Read Jr, John Philip, à l'occasion de leur séjour commun à Londres pour plaider la cause des gens de couleur dans la colonie du Cap[27].

Notes & Références[modifier | modifier le wikicode]

  1. Florence Gauthier, Quatorze Juillet : l’histoire parle au présent ! (lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
  2. Jean Joseph Louis Blanc.- Histoire de la Révolution française, La propriété devant la Révolution, Volume 1, Livre deuxième, chapitre 1, 1868.
  3. Voir également : Jean Joseph Louis Blanc.- Dix ans de l’histoire d'Angleterre, Le droit de chasse en Angleterre, 3 août 1862
  4. Journal de Paris - Volume 0 - Page 9.
  5. noir (Q817393)
    Voir également sur ma page de discusssion
  6. Georges Lefebvre, Anne Terroine.- Recueil de documents relatifs aux seances des Etats generaux, mai - juin 1789: Les Preliminaires. 1. La Seance du 5 mai. 2. La seance du 23 juin, 1962.
  7. Florence Gauthier, Quatorze Juillet : l’histoire parle au présent ! (lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
  8. Peter Fryer.- Staying Power: The History of Black People in Britain, 1984, page 429
  9. conseil de Paris, Observation des députés de la Ville de Paris sur la contribution personnelle et sur la manière de repartir et d'asseoir cette contribution, en annexe de la séance du 9 décembre 1790 au matin (Compte-rendu), Paris, Paul Dupont (lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
  10. C'est le moment de critiquer l'item "gens de couleur de Wikidata.
  11. M. le secrétaire fait ensuite lecture d'une adresse de la Société des amis de la Constitution, séant à Uzes, relative au même objet.
  12. Assemblée nationale, ARCHIVES PARLEMENTAIRES, 2 mai 1791
  13. Les Trois Ordres de la France Pré-révolutionnaire.
  14. Joseph Boulogne Saint-Georges (chevalier de, 1739?-1799) - Toutes ses œuvres sur BnF/Gallica
  15. 1872 - Louis Blanc (ill. Hippolyte de la Charlerie), Histoire de la révolution française, Volume 1, 1872 : Ornée de 600 gravures exécutées par l'élite des artistes sur les dessins de M. H. de la Charlerie. Avec un jugement par G. Sand (Ps. d' A.A.L. Dupin, baronne Dudevant), Librairie du Progrès et Typographie Lahure, 716 et 775  p. (OCLC 942888753, notice BnF no FRBNF34019628, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata page 184
  16. Dialogue entre M. L'évèque d'Autun Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, et M. L'abbé Maury. About the situation of members of the clergy in France, La constitution civile du clergé, (notice BnF no FRBNF387588225), dialogueentremle00unse, IA
  17. Constitution civile du clergé, Nationalisation des biens du clergé, 12 juillet 1790 - Constitution civile du clergé, ,
  18. * 1786-1790 - Ladré & Ah ! ça ira, dictum populaire, air du carillon national : Danse sur laquelle sont chantés les couplets du texte révolutionnaire "Ça ira". Paroles par Ladré, Louis Michel (notice BnF no FRBNF13926217)Voir et modifier les données sur Wikidata sur l'air du carillon national par Jean-Antoine Bécourt, Carillon nationalVoir et modifier les données sur Wikidata, 1786. Cf. Imslp Carillon national (Bécourt).
  19. Jean-Antoine Bécourt, violoniste au théâtre des Beaujolais
  20. Louis Michel Ladré
  21. Louis-Sébastien Mercier, Le Nouveau Paris (notice BnF no FRBNF32441962, lire sur Wikisource)Voir et modifier les données sur Wikidata
  22. Franklin fut ambassadeur à Versailles . En 1778, il devient membre de la loge maçonnique des Neuf Sœurs. Il en sera élu vénérable l'année suivante, puis réélu en 1780.
  23. Louis-François Archambault dit Dorvigny
  24. Encyclopédie catholique Ça ira par Dumersan.
    Voir une version du début du XXe siècle : ici : Vieille chanson, anonyme, Texte anonyme (≤1912)N Dans le sens de "Qui vivra verra". Ce proverbe est répertorié dès le XVe siècle. Ce qui signifierait : "Les pronostiques sur l’avenir sont toujours vains. La seule manière de savoir ce qui se passera dans quelques années, c’est d’être alors encore en vie.", selon le site linternaute.fr.
    Écouter : Claude Balbastre, 1724-1799.- La Marche des Marseillois et lair a ira.
  25. 1790 - Antoine de Rivarol, Louis Alexandre de La Rochefoucauld d'Enville, Adresse à Messieurs les impartiaux, ou les Amis de la paix, réunis chez M. le duc de La Rochefoucauld, signé "Salomon"., , Analyse de la constitution de 1790
  26. Alain Garrigou.- D’Athènes à Kiev, mourir pour la patrie, 16 mars 2022
  27. 1836 - Richard Woodman, Henry Room, Jan or Dyani Tzatzoe (Tshatshu) ; Andries Stoffles ; James Read Sr ; James Read Jr ; John Philip, James Fisher & Sons,