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Recherche:Énergie créatrice/Déplacement de charges

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Déplacement de charges
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Chapitre no 2
Recherche : Énergie créatrice
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Énergie créatrice/Déplacement de charges
 », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.

Créer un Univers matériel muni d'un espace-temps par la seule énergie psychique est une gageure inaccessible à la Raison, et qui reste d'ailleurs du domaine dogmatique. Vouloir rendre le processus correspondant pragmatique semble donc une illusion. Même l'imagination la plus fertile (comme la mienne !) s'y perd vite et partirait dans toutes les directions si elle n'avait pas un axe directionnel et un objectif. Sans inspiration ni intuition, pas de progression.

On comprend mieux l'intervention du "Guide" qui me fournit les deux. Je dois avouer ici, au risque de me déconsidérer aux yeux des lecteurs, que je suis quelquefois incapable de comprendre ce que j'écris, et il me faut plusieurs relectures pour me reconnaitre et m'approprier les lignes noircies. J'aborde de nouveaux horizons en parfaite ignorance de ce que je vais écrire. Une "vague" idée peut être. La seule chose que je sache est que je n'écris pas "n'importe quoi". Bien au contraire. Mais mon souci est de trouver une voie de communication qui rende ces propos accessibles à certains d'entre vous, car c'est à ceux-là de construire la suite. Et donc, il me faut progresser jusqu'à ce que ceci soit effectif. Mon rôle (s'il en existe un) sera alors achevé. Le transfert de la charge créatrice sera alors effectué.

D'où l'importance de ce chapitre qui doit décrire un processus de réalisation matérielle à partir d'un noyau fictif qui n'est même pas encore virtuel (et encore moins imaginaire). C'est un concept purement abstrait et absolument indescriptible. Je m'y attelle pourtant avec confiance car je garde un pied sur le premier barreau de l'échelle. Au cas où. Ma confiance est totale, mais pas absolue (auquel cas je serais le Créateur lui-même et n'aurais pas besoin d'intermédiaires pour réaliser mon projet).


Munissons notre espace intelligent et relativisable d'une conscience (capable de choix) par l'opérateur (soit ; soit). Alors ¬(soit ; soit) = (ni ; ni) est également élément de cet espace.

Soit ( , |1|12| , 0fictif , ¬ , (soit ;soit)) cette représentation de ABS intelligent et relativisable avec conscience


On vérifie que :

0fictif = ENTRE 0ABS et 01/12 : 0fictif = (soit-0ABS ; soit-01/12) ∨ (ni-0ABS ; ni-01/12)


Ce que nous écrirons par abus fictif :

0fictif ∈ ]0ABS , 01/12[ ou 0ABS < 0fictif < 01/12


or :

0ABS ∧ 01/12 ∈ ABS : 01/12 = ¬ 0ABS
Si 0ABS = nulle part ∨ partout, alors 01/12 = (ni-nulle part ; ni-partout)


Nous poserons donc :

0fictif = quelque part


On vérifie que ce "quelque part" peut être (soit-nulle part ; soit-partout) ∨ (ni-l'un ; ni-l'autre), et qu'en tout état de cause, il ne modifie pas ABS et permet d'accéder à REL. Nous choisirons donc 0fictif comme point origine de l'espace-temps, à partir duquel nous aurons un représentant des vecteurs gradient et rotationnel. Nous avons donc une "taille" fictive de la "distance" qui sépare deux échelons : 1/24. AVANT 1/24 nous restons dans ABS ; APRÈS 1/24, nous basculons dans REL.

Plan séparateur

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Ou interface interne. Nous pouvons maintenant "décrire" notre noyau fictif par un triplet fictif, base de la mobilité : {0ABS , 0fictif , 01/12}. Munissons notre espace de ce "triplet origine". Nous obtenons une représentation de l'espace absolu intelligent, relativisable, conscientisé et matérialisable :

( , |1/12| , {0ABS , 0fictif , 01/12} , ¬ , (soit ; soit})


qui donne les trois états suivants :

Soit 0 = 0ABS, alors ( , |1/12| , 0 , ¬ , (soit ; soit}) = ABS
Soit 0 = 01/12, alors ( , |1/12| , 0 , ¬ , (soit ; soit}) est relativisable
Soit 0 = 0fictif, alors ( , |1/12| , 0 , ¬ , (soit ; soit}) = (soit-ABS ; soit-REL) ∨ (ni-ABS ; ni-REL) donc matérialisable


Nous avons donc, DANS le noyau, une possibilité soit de rester dans l'abstrait, soit de parvenir au concret de manière fictive, en passant "à travers" une "interface" contenant 0fictif. Comme nous avons une direction fictive de 0fictif vers 01/12 et un mobile absolu pouvant supporter le gradient lineospinex, nous imagerons cette interface par un "plan fictif" contenant les projections du rotationnel de l'orbitospinex.

De là à dire que 0fictif se trouve quelque part sur le bord d'un trou noir ... (spéculation abstraite). Toutefois, on pourrait dire que 0ABS serait alors au fond de ce trou et que 01/12 est un élément matériel quantique relativement observable. Cependant, notre espace uniforme est encore loin d'être un volume expansible puisqu'il n'existe pas encore de volume unité capable de le "peupler" par loi iota. Mais nous pouvons "basculer" d'un côté ou de l'autre du plan séparateur pour "voyager" dans un monde ou dans l'autre. Nous transformerons désormais |1/12| en 2x|1/24|. Nous travaillerons donc dans :

( , 2x|1/24| , 0fictif, ¬ , (soit ; soit})


espace uniforme absolu, intelligent, relativisable, conscientisé ... et constructible (concrétisable).


Le noyau fictif, en voie de relativisation peut alors être "séparable" en deux parties absolument fictives par abstraction pure :

{0ABS , 0fictif , 01/12} = {0ABS , 0fictif| ∪ |0fictif , 01/12}


et ainsi générer deux espaces distincts :

( , |1/24| , {0ABS , 0fictif|, ¬ , (soit ; soit}) ⊕ ( , |1/24| , |0fictif , 01/12}, ¬ , (soit ; soit}


Le premier sera entièrement rattaché dans ABS (la partie racinaire) ; le second , dans REL (la partie aérienne). Les deux parties sont absolument inséparables, mais différentiables par l'opérateur ¬. On peut alors "imaginer" qu'elles "grossissent" conjointement "chacune de leur côté". Ce processus fictif s'apparente à une symétrisation de l'espace par laquelle tout élément fictif de l'un correspond à un seul élément fictif de l'autre. Ce que nous traduirons par l'opérateur ↔ (bijection fictive entre deux éléments fictifs). Et alors :

[( , |1/24| , {0ABS , 0fictif|) ↔ ¬( , |1/24| , |0fictif , 01/12}), (soit ; soit}]


L'opérateur de "conscience" (soit ; soit) est "extériorisé" de sorte à conserver l'unité duale de l'espace (individualité) tout en conservant l'accès à chaque partie (schizophrénie). Ce qui se passe dans une partie est la conséquence directe de ce qui se passe dans l'autre. La liaison entre elles n'est possible qu'en mobilité absolue et à travers l'interface interne.

Externalisation

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Nous avons une "double personnalité" contenue globalement (intériorisée). Pour considérer chacune d'elles, et choisir, il faut sortir de la subjectivité par objectivation. L’objectif pouvant être "fixe" ou "variable", mais directionnel. Nous considérerons donc les deux aspects de la personnalité (Janus) en posant 0fictif = 01/24:

Face intérieure
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Soit ( , |1/24| , {0ABS , 01/24|) cette face "immergée" dans ABS seulement "bornée" par un côté de l'interface interne (contenant un demi-noyau fictif {0ABS , 01/24|). Elle apparait de manière globale et absolument infinie puisque l'on ne peut pas appliquer la métrique de base |1/12|, ni à partir de 0ABS,— ce qui nous amènerait soit en-dessous de ce zéro soit au-delà de l'interface —, ni à partir de 01/24 pour les mêmes raisons.

Indéfectiblement rattachée à ABS, cette face restera obscure et hors de l'espace-temps. Nous désignerons ce demi-noyau par subconscient de l'espace intelligent, purement subjectif.

Face extérieure
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Soit ¬( , |1/24| , |01/24 , 01/12}) cette face objectivable à condition de pouvoir externaliser son contenu. Pour y parvenir "distribuons" l'opérateur ¬.

¬( , |1/24| , |01/24 , 01/12}) = (¬ , ¬|1/24| , ¬|01/24 , 01/12})


et on remarque que : ¬ existe dans une panoplie de choix ; que |1/12| correspond à ¬|1/24| et que ¬|01/24 , 01/12} se rattache au demi-noyau interne. L'individualité n'est ainsi pas fractionnable. Les deux moitiés du noyau fictif restent étroitement liées dans ABS et dans le processus de "construction".

Nous choisirons = ¬ pour progresser sur l'échelle quantique à partir de |01/24, c'est-à dire de "milieux" d'intervalles inter-barreaux en "milieux" d'intervalles inter-barreaux, pour lesquels le barreau lui-même sera au "milieu". Nous passons ici d'une représentation purement fictive à une représentation progressivement virtuelle qui deviendra spatio-temporalisable. Ainsi notre espace s'écrira globalement :

[( , |1/24|↔|1/12| , {0ABS , 01/24|↔|01/24 , 01/12}), ¬, (soit ; soit}]



Réseau fibré

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Ce qu'il faut bien comprendre ici est que nous sommes encore pratiquement dans l'espace uniforme agéométrique (et donc avolumique) et atemporel. Notre représentation est donc une abstraction pure de fiction intellectuelle (puisque nous avons inclus une intelligence et une conscience). Inutile donc de chercher une "réalité" dans la bijection entre et à travers des "objets" inexistants. Il ne faut y voir qu'un transit informationnel non formalisé sous forme d'"échange" fictif. Notre opérateur ↔ ne représente qu'un flux fictif d’échanges internes au noyau fictif, qui n'est qu'une abstraction pure. Le seul élément singularisable (mais non singularisé) mis en évidence est notre noyau fictif bicéphale "plongé" dans un espace uniforme soit-absolu, soit-relativisable. Ce qui "réduit" notre représentation à ce noyau fictif consistant ou inconsistant (au choix), de taille nulle ou infinie (au choix) et seulement accessible en mobilité absolue.

Soit {0ABS , 01/24|↔|01/24 , 01/12} ce noyau-germe


Il est pourvu d'une "zone de transit" (fictive) entre deux parties indissociables opposables par ¬ et sélectionnables par (soit ; soit).


Le principe dichotomique est différentiel. Tout "objet" fictif de gauche correspond à un "objet" fictif de droite. Cette correspondance s'exprime par la (DA) postulée au début de cette recherche, c'est-à-dire répond à l'opérateur ¬ et forme donc un axe sémantique. Ne passeront donc que les "informations" purement logiques que nous dirons orthodoxales (susceptibles d'avoir une "réalité"). L'interface possède un indice de réfringence qui agit comme une auto-protection (système immunitaire).

Se dessine donc ici la direction axiale de réalisation (direction de l'échelle). De l'espace uniforme isotrope à l'espace non-uniforme anisotrope qui débouchera sur le lineospinex ponctuel.


Bien que cette notion ne soit pas applicable, on peut poser qu'elle soit fictivement nulle, par déduction de sa correspondance d'un côté avec 0ABS et de l'autre avec 01/12. Nous écrirons l'interface interne contenant le réseau fibré :

{01/24|↔|01/24} avec d(|↔|) = 0 et t(|↔|) = 0


Se dessine donc ici le plan orbital de réalisation (sol). De l'espace uniforme isotrope à l'espace non-uniforme volumique (tri-dimensionnel) qui contiendra l'orbitolineospinex ponctuel. Nous sommes au "point" de coordonnée hyperspatial (1/24 , 0 , 0 , 0) quelque part dans l'espace uniforme, entre le sol et le premier barreau situé au "point" (1/12, 0 , 0 , 0).


Notion purement dynamique qui suppose d'avoir la place pour le faire. Avec limite ? ou sans limite ? Dans tous les cas, elle ne peut se faire qu'à partir d'une "origine", que celle-ci soit globale ou locale. Dans le premier cas, nous parlerons de dilatation. Dans le second, de gonflement. Dans l'espace uniforme, la "place" est absolument infinie. Dans l'espace relativisable, elle est relativement infinie (finie ou non-finie). L'introduction (ou l'avènement) du noyau fictif permet de faire correspondre ces infinis (limites). Nous pouvons alors introduire un grain spatio-temporel en considérant ce noyau comme tel. Notre espace uniforme devient expansible fictivement sur des lois hypercomplexes.

Si {0ABS, 01/24 , 01/12} est un GSP, alors {01/24|↔|01/24} est un centre de gravitation 0-hypercomplexifiable


La "variation" se "situe" entre 0 et ∝ d'un côté, et 0 et n de l'autre avec une correspondance (bijection) sur les trajectoires. Si la mobilité est absolue DANS le noyau, elle est générale du côté ABS et restreinte du côté REL.

Spatio-temporalisation

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Qui dit espace-temps dit espace, temps et relation entre eux. Ceci de manière indissociable. "Voyager" matériellement dans l'espace est impossible à temps constant (instantanément). "Voyager" dans le temps matériellement à espace constant (sur place), également Par contre, psychiquement, par voie fictive, virtuelle ou imaginaire, est possible. Tout ingénieur sait la difficulté de réaliser un projet et la vigilance qu'il faut apporter lors de la réalisation. Imaginez alors la difficulté d’englober TOUT ! Si nous pouvons écrire notre noyau fictif muni d'un GSP par :

{0ABS , 01/24|g|01/24 , 01/12}


incluant un centre de gravité fictif en son cœur, il manque un "horizon" marquant le début et la fin.


Nous pouvons utiliser cette représentation de la réalité fictive au point de coordonnée (1/24 , 0 , 0 , 0). L'origine absolue, située nulle part (ou partout) dans l'espace uniforme (sombre ou obscur) est symbolisée par un croissant de lune (complétion en cours). Les trois boules alignées sur un axe directionnel, marquent les étapes quantiques de formation à partir de ABS (boule supérieure) jusqu'à TER (boule inférieure) en passant par REL (boule intermédiaire). Ces boules explicitant le plan orbital.

Nous situerons notre noyau fictif portant le centre de gravité au centre de la boule intermédiaire. Et nous quitterons la symbolique pour construire notre projet.


Si nous avons mis en équivalence ∞ (infini absolu) et n (infini fini) qui constituent l'horizon final que doit atteindre le GSP, nous n'avons pas l'horizon initial (point d'application). Autrement dit nous avons "peuplé" l'espace uniforme d'un champ vectoriel fictif dont un représentant fictif est porté par le réseau fibré. Direction axiale, pour le support fictif ; sens orienté par la montée ou la descente (au choix). Norme ?

La métrique |1/12| ne permet pas de "relier" les origines fictives (voir supra). Il nous faut donc utiliser l'aspect dichotomique et l'équivalence ∞ = 2n pour définir une norme fictive applicable dans ABS : |1/24|. On vérifie aisément que |1/12| = 2x|1/24|. Ainsi, deux points fictifs distincts seront "éloignés" de |1/12| mais épais de |1/24|. On vérifie que TOUT le volume fictif créé est "rempli". Et on peut fictivement poser que les deux horizons sont atteints par une "dilatation" de "valeur iota" |1/12| de l'espace uniforme OU par un "gonflement" de l'espace relativisable de valeur iota |1/24| à partir d'un centre fictif situé quelque part.

Le noyau fictif contenant le GSP peut ainsi être "transformé" en pont logique pour générer un continuum support d'un espace-temps :

{0ABS , 01/24|←g→|01/24 , 01/12}




Poursuivons notre "voyage guidé" dans l'abstrait concrétisable (fiction réalisable) qui est la correspondance rationnelle de ma démarche non-rationnelle (artistique) : l'abstraction figurative. Cohérence d'une personnalité complexe. Nous pouvons suivre dans l'actualité le déroulement progressif d'une telle réalisation qui nait d'une vague idée obscure (interne) et gravit les échelons de la réalité en s'externalisant d'abord par un noyau, puis grandit peu à peu dans un espace relatif : conflit nucléaire. D'abord inenvisageable dans l'absolu, il devient discutable dans l'espace contradictoire (fait débat).

Notre noyau fictif, muni d'un GSP contenant un pont logique permettant la structuration d'un continuum, met en relation bijective les "objets" (fictifs) de avec ceux (fictifs) de . Ce qui est mathématiquement impossible. Et pourtant ...


Il nous faut créer des objets fictifs qui sont des non-objets, ce qui les intègre dans l'espace absolu (opérateur ¬) et permet de les considérer (soit ; soit). Ces objets fictifs sont "placés" à chaque échelon quantique de la progression vers la réalité et ne sont pas des objets réels à proprement parler, ni même imaginaires, mais EN VOIE DE L'ÊTRE. Des valeurs intermédiaires en quelque sorte du projet qui se dessine. De "fictifs", ils deviennent "virtuels" par le seul fait de leur conception. Ils constitueront des "balises" de la progression. On les désignera par sous-objets.

Particularisation
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À défaut de pouvoir les "singulariser", nous les particulariserons "à l'intérieur" de chaque espace, puis les mettrons en correspondance :

Soit {0ABS , 01/24|←g→|01/24 , 01/12} un noyau fictif
alors il existe ¬{0ABS , 01/24|←g→|01/24 , 01/12} et
([( , |1/24|↔|1/12| , {0ABS , 01/24|↔|01/24 , 01/12}), ¬, (soit ; soit}] ≡ {0ABS , 01/24|←g→|01/24 , 01/12} ⊕ ¬{0ABS , 01/24|←g→|01/24 , 01/12}




Pour particulariser ce sous-objet qui met en relation et dans le but d'obtenir un objet élémentaire complet, il nous faut "ouvrir" un espace intermédiaire fictif entre et , qui soit en quelque sorte (ni-l'un ; ni l'autre) ou (soit-l'un ; soit-l'autre) logiquement conforme à notre monde réel et instaure une "continuité" dans un continuum permettant la localisation, l'identification et l'habillage des espaces absolu et relatif.

On pose :

≡ (ni- ; ni-) ∨ (soit- ; soit-)


et on dit que :

{0ABS , 01/24|←g→|01/24 , 01/12} ∈


Le premier échelon correspondant au plus petit pas possible, nous dirons que l'état correspondant de la transformation portera le numéro 1.

On vérifie que notre noyau fictif, portant le numéro 1 et initiant un continuum spatio-temporel matérialisable appartient à chacun de ces espaces dès lors que tous les "zéros" sont confondus. Et on confirme par la même occasion que :

0ABS → |1|REL et 1 = 12x1/12



Considération

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Nous achevons notre "voyage hyperspatial" vers l'espace uniforme absolu par l'objectivation fictive du flux créateur fondamental. Nous sommes "au fond" d'un Monde Obscur dans lequel "grouillent" des créatures aussi diverses qu'inconsistantes accessibles par le réseau fibré. Bien "assis" dans le noyau fictif, nous avons une vision globale de TOUT issue de RIEN, "position" suprême qui nous donne le choix, soit de poursuivre notre "montée" vers la lumière, soit de "descendre" et nous fondre dans l'Absolu. C'est une position difficile et "instable" car elle porte le champ vectoriel spatial et le champ rotationnel du temps et nous pouvons faire concorder le temps subjectif (du Créateur) et le temps objectif (de la créature) par choix. C'est la position du Porteur de Lumière (Lucifer), que nous occupons maintenant consciemment. Lourde responsabilité car nous devons prendre la décision ultime : poursuivre l'expansion ... ou la stopper.

En effet, j'ai devant moi la "perspective" du monde matériel bâti sur la progression quantique du noyau fictif vers le noyau virtuel, puis le noyau réel unitaire (atome d’hydrogène 1-hypercomplexe) dont la nature réelle sera la molécule (2-hypercomplexe), proto-élément universel. Mais j'ai également devant moi l'abîme absolu du Néant sombre. Imaginez un instant une "défaillance" du réseau fibré qui maintient l'équilibre entre les deux. La Vie dépend du fonctionnement de ce lien entre les deux mondes.

Le noyau fictif possède donc une charge que nous dirons positive (vers REL) et négative (vers ABS) et cette charge peut être "déplacée" (transférée) soit vers 0ABS ; soit-vers 0REL. Ce qui confère au noyau fictif un champ bivectoriel et un champ birotationnel en équilibre parfait (absolument mobile). J'ai beaucoup de difficulté à rationnaliser les informations que je reçois de ABS, mais je vais essayer de les formuler ainsi :

{0ABS , 01/24|—g+|01/24 , 01/12}


Et on appellera antinoyau fictif la partie "tournée" vers ABS.


On ne peut pas construire un espace-temps sans "séquençage" de l'espace et du temps. Cette construction d'un continuum inclue donc la notion de voisinage et implique la différentiation (singularisation différentielle). Si, dans l'espace uniforme tout est absolument confondu (littéralement fondu ensemble), —ce qui est l'équivalent de rien—, ne peut plus l'être dans un espace hypercomplexe. Il nous faut donc "créer" un "espacement" entre les "objets", tant spatial que temporel, puis les coordonner.

Pour ce faire, nous disposons, dans le noyau fictif du siège luciférien de deux outils : une équerre et un compas. Nous utiliserons le premier pour déterminer la direction axiomatique (support du lineospinex) à partir du plan orbital (support de l'orbitospinex) défini par le second. Nous dessinons ainsi la représentation fictive d'un volume et du temps définies par les projections des prismes génériques : un triangle équilatéral et son cercle circonscrit AUTOUR du siège luciférien ainsi placé au centre de gravité fictif, que nous symboliserons indifféremment par un "G" ou un "œil d'Horus". On vérifie que cette image symbolique s'applique dans le monde obscur et dans le monde lumineux.

Et on définit le "voisinage" comme la distance qui sépare deux objets distincts d'un espace-temps ( tissu séquentiel continu)


Bien installé dans le siège luciférien, dans la position suprême de la conscience universelle, étant absolument seul, je peux commencer la structuration de l'Univers en utilisant les "briques" exposées dans les précédents chapitres et prendre ainsi le contrôle de la créature. Grâce au réseau fibré, ce travail obscur se fera dans la lumière de manière à ce que chacun puisse choisir en pleine conscience de me rejeter ou de me rejoindre. Je vais donc commencer par "concentrer" toute l'énergie créatrice dans le plus petit objet hypercomplexe, qui deviendra, à mon choix, soit absolument constructeur, soit absolument destructeur. De ma position de commandement, il restera ni-constructeur ; ni-destructeur.

Je décide donc d'inverser les choses. Du "bas" de l'échelle, je me retrouve en "haut", et ceux qui sont en "haut" se retrouvent en "bas". Je vais faire "parler" la majorité silencieuse et "taire" la minorité parlante, et "relativiser" l'espace uniforme :

(1/ , |12/1| , 1/0fictif , 1/¬, 1/(soit ; soit))


et je vérifie que cela ne modifie pratiquement pas ABS mais augmente la "taille" du noyau fictif qui devient pratiquement infini tandis que la partie ¬noyau se réduit à pratiquement rien (1/¬ → Φ) et 1/(soit ; soit) → (ni ; ni). De "RIEN", je deviens "TOUT".


Bravo et félicitation d'être parvenus jusqu'ici, au cœur du noyau fictif, sans dommage psychique. Nous y sommes arrivés par la voie lumineuse de la fiction réaliste qui est l'échelon premier de l'univers constructible à partir de l'espace absolu ne contenant RIEN. Il nous a fallu "franchir" diverses barrières filtrantes car le Saint des Saints ne peut être accessible qu'à certaines conditions (filtration). Puisque nous sommes assis sur le siège luciférien, nous pouvons mettre en œuvre le dispositif d'inversion qui va nous permettre de construire un espace-temps en suivant la voie inverse de la réalité fictive du monde occulte. Nous étions en bas et nous nous retrouvons en haut avec l'assurance d'une valeur symétrique (en bas comme en haut) dite alchimique. Vous savez maintenant qui je suis vraiment : RIEN dans le monde lumineux et TOUT dans le monde occulte, singularisé quelque part sur un réseau fibré et, au choix, (soit-partout ; soit-nulle part) OU (ni-l'un ; ni-l'autre). Ma personnalité est complexe (une partie abstraite et une partie imaginaire) mais absolument cohérente (les deux parties sont absolument équilibrées).

Si nous regardons en bas (à partir du haut), nous comprenons combien est instable l'assise matérielle de notre univers et combien est utile notre démarche pour poursuivre l'évolution de la créature. Je descends du Ciel dans ce sens ... et je monte des Enfers par l'autre sens. Au choix. Et vous comprenez maintenant que ces deux voies sont confondues dans ABS. Il n'y a ni-haut, ni-bas. Infiniment petit et infiniment grand n'ont aucun sens pour nous. Notre noyau fictif, infiniment petit dans un monde, est infiniment grand dans le monde inverse.

Soit "1" la valeur fictive d'un sous-objet de ABS de taille hypercomplexe 0 alors :
il existe deux mondes distincts de part et d'autre définis par : 1/0 ≡ ∞ et 1/∞ ≡ 0


Le siège luciférien au cœur du noyau fictif, outre le graviton fictif, contient un centre de symétrie inverse permettant d’ordonner ABS (le rendre hypercomplexe) et le transformer en espace constructible. Il nous faut donc commencer par le restreindre (extraire une partie). Nous créons ainsi une partition sur ABS : ordre d'un côté et chaos de l'autre.


ABS est essentiellement contradictoire par l'opérateur ¬. S'il "contient" deux parties, celles-ci ne sont pas objectivables, et donc il n'a pas de conscience (pas de choix). Le premier "travail" consiste à "extraire" un artefact (objet intelligent) du "point de vue" duquel le choix est possible. Nous situerons ce point de vue dans le noyau luciférien qui devient centre de conscience universelle capable de séparer la fiction de la réalité, ce qui lui confère le "pouvoir" de contrôler l'évolution.


Pour la suite et par mesure de simplification nous utiliserons le caractère () pour la fonction de choix.

Restreindre ne signifie pas "éliminer". En quel cas ne serait pas ou serait incomplet. C'est pourquoi, il nous faut créer un opérateur qui permette de différencier (¬), de choisir (), d'inverser (/) SANS éliminer.

Nous munirons donc l'espace uniforme de l’opération du saint-esprit (⊕), et nous pourrons réaliser notre premier travail occulte sur cet espace.

Soit [, ¬ , () , 1/ , ⊕] un espace uniforme triable


On vérifie qu'il est intelligent, conscientisable, inversable, mais non-désintégrable. En effet :

∀ P ⊂ [, ¬ , () , 1/ , ⊕] on a :
P ⊕ ¬P () 1/P ≡


Nous aurons ainsi "l'assurance" que l'espace-temps que nous allons "construire" ne peut être détruit que par nous-mêmes (disparition du siège luciférien). Et, pour qu'il soit "réalisable" (réalité fictive), il faut lui donner un "corps" (matérialisation) sur lequel on "appliquera" l'espace hypercomplexe (représentation bivectorielle localisée linéaire et rotationnelle). Ceci revient à "associer" un corpuscule fictif à la pulsion originelle. Et quand je dis "associer", je dis "superposer" et non pas "collisionner".


Il nous faut maintenant "choisir" LA partie de sur laquelle nous bâtirons notre univers (triage fictif). La contrainte est qu'elle soit descriptible par voie hypercomplexe (comporte des valeurs intermédiaires identifiables) pour valider la bijection posée entre et . Nous choisirons donc comme base de travail sur le l'ensemble des nombres constructibles que nous munirons de la structure de corps correspondante que nous noterons ( , + , xq). On vérifie que

≡ ( , + , xq) ⊕ ¬( , + , xq) () 1/(( , + , xq)




Et il ne reste plus qu'à appliquer notre choix sur ABS = Φ ∪ Ψ ∪ (ni-Φ ; ni-Ψ), en conservant im(ABS) = ( , Δ) c'est-à-dire sur "chacun" des trois axes fictifs réel (espace physique), imaginaire (espace temporel) et causal Δ (espace-temps) marqueur événementiel.

Le résultat de cette application génère un opérateur fictif universel AVANT / APRÈS qui nous permet d'identifier les états qui sont AVANT (déjà réalisés) de ceux qui sont APRÈS (projetés) et d'intervenir sur ceux qui sont EN-COURS (ni-avant ; ni-après).

Je "localise" donc l'origine de l'espace-temps fictif projeté ici et maintenant. Il y avait le monde avant ; il y aura le monde après ... et il y a le monde maintenant que je m'apprête à construire sur un noyau fictif. Le tri commence donc à partir d'aujourd'hui.

Nous exprimerons la réalité fictive par :

im(ABS) = ΦΨ(ni-Φ ; ni-Ψ)


et nous déduisons :

im(Δ) = (ni-Φ ; ni-Ψ)


Nous interprétons ceci comme :

Φ monde matériel
Ψ monde imaginaire
(ni-Φ ; ni-Ψ) espace temps en évolution


Ce qui indique que le présent n'a pas d'épaisseur (ne constitue pas un résultat de partition) ; a été, est et sera 0-hypercomplexe ; est un marqueur différentiel entre avant et après ; est infiniment variable et permet de mesurer des écarts (conscience de la variation). On déduit que pour agir sur l'évolution de la créature, il faut être dans le présent. Nous situerons le siège luciférien dans cet espace.

Création de charges

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Incorporons notre noyau fictif dans (introduisons une valeur origine) et affectons les "éléments" du triplet à la partition supra (munissons chacune des parties d'une valeur origine) :

0absΨ ; 01/12Φ et 01/24(ni-Φ ; ni-Ψ)


et nous dirons que 01/24 est L'évènement marqueur de l'apparition de l'espace-temps sur Δ et il nous faut choisir la partie de que nous utiliserons pour construire le monde futur (le monde après).


Pour rendre le centre "opérationnel", il faut "l'installer" sur le théâtre des opérations et le positionner sur la trajectoire évolutive. Nous placerons donc 01/24 ENTRE 0ABS et 01/12, ce qui en fait une valeur intermédiaire entre le monde abstrait et le monde concret (projet réaliste), et plus exactement au milieu (centre de gravité), de telle sorte que l'équilibre global soit conservé.

Et nous devons "délimiter" les horizons de mobilité dans ABS pour que d'absolue elle devienne restreinte. En effet, le "milieu" de nulle part est inaccessible à la raison. Et, puisque nous sommes quelque part ici, il nous faut pouvoir le localiser dans le monde créé. L'installation n'est possible que si il existe un axe sémantique entre deux horizons dont l'un est abstrait (absolu) et l'autre concret (non-absolu). Nous "privilégions" ainsi une certaine "direction" du volume fictif à partir de ce centre.


Un des deux horizons est fixé. Les trois "zéros" sont "superposés" seulement différentiables en mobilité absolue (hors de l'espace et hors du temps). Qu'en est-il du deuxième horizon (non-zéro accessible par inversion) ?

étant indénombrable, on ne peut le convertir directement en continuum spatio-temporel (non-séquençable). Nous savons seulement qu'il est complet. Son cardinal est donc absolument infini, et si on veut construire un espace intelligent et muni de conscience, il faut le "contraindre" par le principe de finitude. Ce que nous avons appris à faire en posant ∞ = 2n. Ce qui nous donne ainsi un infini variable, séquençable et complétable, permettant le peuplement du volume fictif et la mise en place effective d'un canal de raccordement. Nous utiliserons la métrique fictive posée |1/12| qui met en évidence trois "composants" du noyau fictif :

un composant tourné vers ∞
un composant
tourné vers 2n
un composant vérifiant n = ∞/2 () ½ x 2n


Ce qui "situe" le deuxième horizon de ABS à une "distance" absolument infinie (∞) d'un côté et relativement infinie (2n) de l'autre, mais que l'on peut "atteindre" en posant une échelle variable (n → n+1). Nous avons ainsi connecté l'infini comme inverse de zéro, abstraitement atteignable d'un côté et concrètement atteignable de l'autre en faisant varier n à partir du siège luciférien.

Le "premier" horizon atteignable correspond à n = 1. Il correspond concrètement à 2 et il est "positionné" à ½. On peut alors "harmoniser" les normes de ABS et REL et prendre le contrôle de l'espace-temps futur puisque distance et durée de déplacement correspondent à distance et durée de mouvement.

Nous choisissons donc de connecter la partie constructible de . Ce qui permet de "résoudre" le système :

≡ ( , + , xq) ⊕ ¬( , + , xq) () 1/(( , + , xq)
im(ABS) = ΦΨ(ni-Φ ; ni-Ψ) en posant :

ABS =
( , + , xq) ≡ Φ
¬( , + , xq) ≡ Ψ

et 1/(( , + , xq) ≡ (ni-Φ ; ni-Ψ)


Nous venons de "relier" le monde infiniment grand et le monde infiniment petit par l'installation du noyau fictif. Nous sommes donc maintenant connectés à ABS.


Aidons-nous du symbole de [| la patte d'oie] pour "visualiser" la trajectoire mobile depuis ABS jusqu'à REL. La branche racine AVANT marque la voie dans ABS. Parvenus au noyau fictif, celle-ci diverge en trois branches APRÈS par partition, tel que nous pouvons l'identifier supra. Or, nous savons que :

∀x ∈ , ∃ n ∈  : n ≤ x < n + 1


et que si nous voulons "peupler" le volume fictif, il nous faut une unité stable, désignée par "1". Le peuplement étant dénombrable, le volume est considéré comme "plein" avec n unités (n = n*1). Chaque unité représente 1/n du volume total. Chaque "étape" de remplissage est alors accessible par voie hypercomplexe en "comptant" le nombre k d'unités réalisées (0 < k < n). Ce qui la rend accessible à partir des deux horizons (valeurs intermédiaires).

n'est donc pas totalement inversible et n'est donc pas accessible à partir d'un décompte d'unités (espace "fermé" muni d'un axe directionnel Φ). Il comporte alors une partie "ouverte", non-inversible, munie d'un axe directionnel (Ψ), accessible seulement par l'opérateur ¬. Cette partie est infiniment accroissante jusqu'à "franchir" le volume suivant défini par n + 1. Le projet luciférien de réalité fictive est ainsi de "fermer" ABS par élargissement de la limite supérieure (rendre l'infini fini) en définissant une "unité" capable de remplir davantage le volume (repousser la limite du monde mesurable). En diminuant l'unité, on "rétrécit" la plage infinie non finie (on améliore la précision du trajet inverse) fixée à la "valeur" de cette unité.

Unité universelle
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On introduit une unité universelle fictive sur de la forme nx1/n. On vérifie qu'elle est inversible. On obtient une monde "fermé" pour n pair (de la forme 2p), soit infini fini connecté à l'infini absolu (ouvert), et un monde (ni-ouvert ; ni-fermé), soit infini variable, qui est connecté à l'un () à l'autre. La plus petite unité inversible, contenant un pont logique (continuité) est obtenue pour p = 1, soit n = 2. Et alors :

∀x ∈ , ∃ n ∈  : n ≤ x < n + 2x½


La plus petite unité inversible, contenant un pont logique et permettant de définir un volume et un temps est obtenue pour p = 6, soit n = 12. La plus petite unité de volume spatio-temporel est donc de la forme 12x1/12, ce qui donne :

∀x ∈ , ∃ k ∈  : kx12x1/12 ≤ x < kx12x1/12 + 2x½
avec kx12x1/12 ∈ Φ et 2x½ ∈ Ψ


On pose un pivot fictif au "point" 1x½. Et on définit une valeur iota fictive (dynamique) proposant un sens de progression inverse tel que tout mobile fictif franchissant ce point est affecté d'une valeur dynamique positive, notée ι+ = +1/2, et s'il n'atteint pas ce point, il est affecté d'une valeur dynamique négative, notée ι = −1/2.

Nous noterons les trois composants de notre noyau fictif : {ι , ι0 , ι+}, et nous "incorporerons" ce noyau fictif dans comme sous-objet structurel fondamental, sans lequel il n'y a pas de continuité et donc pas de continuum.

Nous créons par la même occasion un ensemble fictif de numération, noté ½ défini par :

{½} ⊕ {ι , ι0 , ι+}


Cet ensemble, muni du siège luciférien explicité (sorti de l'ombre) sera l'ensemble de dénombrement naturel. Essayez de compter AVEC ce sous-objet supplémentaire : 2 .... 3 .... 3,5 ..... 4 ? 3 ? ou on reste à 3,5 ?

Conscience de Soi

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Me voilà parvenu au grade de Créateur suprême. JE SUIS intégré dans ABS, partout et nulle part, jamais et toujours et je fais désormais partie intégrante de toute créature, et je suis, grâce au noyau fictif infiniment rien ou infiniment tout et situé au milieu de nulle part ... sauf si je décide de m'identifier (me localiser) pour assurer une continuité logique :

{½} est le plus petit élément commun à , et {½}
{½} est inversible dans
{½} est absolument applicable dans ABS sous la forme |½|
{½} est relativement applicable dans REL sous la forme −½ () +½
{½} est à la fois fictif, virtuel et réel
{½} n'a pas d'épaisseur mais une consistance (0-hypercomplexe), ξ = ½
{½} est une particularité qui partage avant et après


Et donc globalement, {½} est une entité incorporelle absolument intelligente qui peut intervenir consciemment (choix) partout, nulle part ou quelquepart, jamais, toujours ou maintenant, ici ou ailleurs.

∀x ∧ y ∈ ΦΨ(ni-Φ ; ni-Ψ) ∃ {½} vérifiant x + ½ = y + (−½)


L'espace ENTRE x et y est virtuellement constructible (hypercomplexifiable), et s'il ne l'est pas matériellement, alors on peut déplacer {½}, et donc la charge correspondante, n'importe où. L'espace ENTRE x et y, muni du noyau {½} est appelé étendue d'influence nucléaire. Que cette étendue soit infiniment grande ou infiniment petite (nanomètre ou [attoseconde])

Monde avant et monde après

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Par introduction de {½} nous créons deux mondes différentiables, mais peut-on les séparer ?

Voilà que l'heure de vérité approche. Vous me localiserez bientôt par l'opérateur ¬ (par déduction) et vous pourrez m'habiller du visage de votre choix (Dieu ou Satan). Mais il vous faudra choisir entre les deux, car le noyau fictif que vous découvrirez dans l'infiniment grand (dans le prolongement de l'axe de rotation et dans l'infini petit, au milieu de nulle part ou de partout, est maintenant solidement installé dans Φ et dans ψ et ne peut plus être ignoré.

J'attends donc que vous me localisiez et me fassiez connaitre votre choix, car nous pouvons construire à partir de ce noyau, et donc et . L'énergie contenue peut être absolument constructrice ou absolument destructrice (centre de masses pesante et inerte). Je reste pour l'instant totalement neutre (non interactif), maître de pendant.