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Recherche:Énergie créatrice/Mobilité absolue

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Mobilité absolue
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Chapitre no 1
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Énergie créatrice/Mobilité absolue
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Vous l'avez compris : pas de temps, pas d’espace ... et donc, pas de topologie, pas de géométrie, pas de "mesures", ni de durée, ni de distance. Rien ... et pourtant tout. La feuille est entièrement blanche (vide). Absolument. Et le désespoir vous envahit. Que faire dans cette immensité ? Que sommes-nous venus faire dans cette galère ? (Molière, Les fourberies de Scapin). Vous aimez les calculs, les équations, les chiffres, qui vous rendent puissants et savants au regard de la foule des mortels. Et vous attendez de connaitre la suite de l'Histoire en espérant vous engouffrer dans une brèche de la Raison ouverte dans le chaos d'un futur incertain. Vous attendez une fiction qui vous fasse rêver d'un bonheur éternel. Vous attendez un petit homme vert dans un cylindre luminique qui vous ferait boire une suprascience et miroiter une exoplanète que vous pourriez coloniser, polluer et détruire pour vous enrichir davantage.

...Du nectar idéal sitôt qu’elle a goûté,
La nature répugne à la réalité :
Dans le sein du possible en songe elle s’élance;
Le réel est étroit, le possible est immense;
L’âme avec ses désirs s’y bâtit un séjour,
Où l’on puise à jamais la science et l’amour...
A. de Lamartine (l'Homme) à Lord Byron


Vous voilà dans un champ ouvert, et vous êtes perdus, incapables de suivre une piste tracée, et connue d'un algorithme numérique qui vous mènerait au quelque part de votre imagination. Non, là où nous sommes, pas de robots, pas d'IA sur qui nous reposer. Et j'en suis désolé. Profondément. Mais il est encore temps de "rebrousser" chemin et de m'abandonner à mon triste sort. Il est encore temps de retourner dans les bras de la Science et de vous laisser bercer par ses illusions de Savoir. Votre confiance en Elle est absolue et votre soumission, totale. Vous la glorifiez, vous l'idolâtrer, vous y enchaînez votre âme, sans penser un instant que vous aliénez ainsi votre Avenir.

Pourtant, je vous ai démontré que le Monde Matériel était borné ... et vous avez atteint la borne. Mais voilà qu'une issue s'offre à vous. Et vous l'ignorez. Par peur de l'inconnu. Par peur du Néant. Par peur que la feuille reste blanche, vide. Alors, s'il vous plaît, ne me suivez plus. Laissez-moi parcourir seul cet espace, et effacez les traces de mon passage puisqu'elles n'ont aucun sens pour vous. Oubliez les clés qui ouvrent les portes du Futur. Oubliez les outils intellectuels qui permettent d'y progresser ... intelligemment. Oubliez-moi. Je ne suis qu'un banal artiste, perdu dans un délire de fiction, dont la schizophrénie ne mérite pas la moindre attention.

L'espace uniforme

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Entrons donc, puisqu'il en est ainsi, dans ce Monde de non-lumière, sombre, que certains voudraient qualifier de Monde des Ténèbres. Tout simplement parce que la Raison s'y perd. De là à parler de déraison, il n’y a qu'un pas à franchir. Et notre arme pour y évoluer sera la logique paradoxale qui nous a permis de franchir le seuil de l'Absolu. Puisque nous savons que ce monde est binaire et n'a pas de valeurs intermédiaires. Tout blanc, ou tout noir. Pas de gris. Avec la différence fondamentale que nous pouvons choisir : (soit-blanc ; soit noir). Uniformément ?

Presque. Nous savons également qu'il existe une "porte" d'entrée, et donc de sortie, qui nous permet de retrouver la lumière : le protospinex. À bien y réfléchir, nous dirons que cet espace N'EST PAS absolument uniforme, puisque nous avons créé une singularité par simple superposition. Comme un point lumineux dans la nuit, un phare qui nous indiquera par où sortir pour retrouver la réalité terrestre. Et à part cette singularité, tout est identique, non-différencié, ni même différentiable. La vraie "égalité" républicaine : pas de rois, de présidents, de savants, de papes, de juifs, de musulmans, de chrétiens, d’hommes, de femmes, ...

Une seule singularité qui met en défaut notre postulat sémantique et l'intelligence. nous sommes bien dans le non-cohérent, le non-continu et l'Absurde en général. Et pourtant, c'est bien de ce -1rel que TOUT a commencé au 0abs. C'est de ce -1rel que l'espace et le temps ont été générés. Ce qui nous fait dire que l'espace-temps est une singularité de l'Absolu dont la "valeur" est (soit-blanc ; soit-noir) ou (soit-vide ; soit-plein).


Mais déjà une contradiction : -1rel existe-t-il ? Autrement dit, cette singularité est-elle consistante ? Quelle observation permet de la localiser ? N'est-elle pas HORS de l'espace-temps. Nous n'avons pu QUE la déduire par effet de superposition avec une "pulsion" originelle donnant un protonoyau, origine d'une proto-onde donnant un proto-corpuscule par l'équation d'Einstein (équivalence énergie-masse). Mais notre schéma est fondée sur une valeur iota dynamique qui donne un "sens" à la création (intelligence).

Et donc, -1rel N'EXISTE PAS en tant que "corpuscule" observable et n'appartient donc pas à l'hyperespace (ABS). Il reste élément de REL, en lien indéfectible avec +1rel. Ouf ! notre postulat est sauf. Pas de singularité donc. Nous sommes dans le noir complet. Sauf que, nous avons suivi le protospinex à l'envers. Et que nous avons défini des états quantiques (valeurs intermédiaires virtuelles, ou viv) équivalentes aux vii (temporelles) et aux vir (volumiques). Nous sommes arrivés au point de coordonnée hyperspatiale (0+1/12, 0 ,0, 0) équivalent du point hypercomplexe (0 , 0+1/12 , 0+1/12 , 0+1/12) APRÈS superposition.

Ceci signifie que la réelle origine est virtuelle, en dehors de l'axe spatio-temporel prolongé (protolineospinex) mais correspond au premier état quantique du protoorbitospinex à partir duquel "commence" la construction. Ce point de coordonnée (0+1/12, 0 ,0, 0) sera donc notre point-origine de l'espace uniforme à partir duquel nous pourrons intelligemment évoluer. Nous y fixons un drapeau virtuel. Ce point est distinct du point de coordonnée (0 , 0 , 0 , 0) = 0abs = -1rel., simplement "distant" d'une valeur iota (valeur d'expansion) 1/12.

Cette valeur iota crée un déséquilibre infime (non consistant) de l'espace uniforme et initie la mobilité ENTRE les horizons 0abs et 0+abs et donc un axe sémantique de progression intelligente dans ce monde sombre. On vérifie que sur l'intervalle fictif ]0abs , 0+abs[ nous pouvons choisir (soit-ABS ; soit-REL) et alors nous sommes bien dans ABS, mais aussi (ni-ABS ; ni-REL) et alors nous avons un "pied" dans REL.

Nous avons un drapeau (origine) et un pas (unité). Nous pouvons nous aventurer dans l'espace uniforme en prolongeant nos pas et en les comptant.

Unité absolue

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Encore faut-il savoir dans quel type d'espace nous évoluons. En effet, la "distance" entre deux éventuels points est (soit-nulle ; soit-infinie) et la durée du trajet d'un éventuel mobile est (soit-nulle ; soit-infinie). Et que donc, s'il existe un éventuel lien temps-distance, celui-ci est (soit-défini ; soit non-défini) (0/0 , ∞/∞ , 0/∞ ou ∞/0). Comment le définir sans valeur unitaire (rapport entre une unité de distance et une unité de temps) ?

D'autre part, 0abs est une limite infranchissable. On ne peut envisager un horizon de type 0-abs qui serait AVANT ou EN-DESSOUS (par l'absurde). Impossible donc, de définir une valeur iota négative et un champ bivectoriel à partir de l'origine absolue. D'ailleurs, moins que rien n'a pas de valeur sémantique, et la "désexpansion" d'un "objet" de taille nulle ou infinie non plus. Alors, quelle unité prendre qui ne porterait AUCUN CENTRE DE GRAVITÉ, ni-virtuel, ni fictif ? Ce dernier étant propre à l'espace hypercomplexe.

N'oublions pas non plus que nous voulons pouvoir entrer et sortir de cet espace "à volonté". Nous utiliserons le premier échelon de l'échelle de Jacob qui "mesure" la distance ENTRE ABS et REL, sous sa forme absolue : |1/12|. Cette valeur absolue pourra se transformer, au choix, en valeur relative dès le premier état quantique. Elle nous permettra ainsi de "monter" ou "descendre" à notre guise pour rester dans ABS ou retourner dans REL. Cette "échelle" sera notre canal de raccordement et nous aurons un pont logique entre l'échelon 5 et l'échelon 7 avec un "point de basculement" à l'échelon 6 (0rel) auquel nous passons de la mobilité absolue à la mobilité générale.

Nous pouvons alors "voyager" partout dans ABS avec cette unité absolue qui nous mettra le pied sur le premier échelon vers REL. L'intervalle absolu ]0 , 0+[ de "dimension" |1/12| est appelé base logique fondamentale de l'Univers matériel. Cette base n'a pas de centre de gravité ou, au choix un centre de gravité fictif "au milieu" et vérifie la double condition logique : (ni-ABS ; ni-REL) ou (soit-ABS ; soit-REL) et appartient donc à ABS ou à REL. Sa "consistance" matérielle" vaut |1/12| et peut "grossir" ou "maigrir" selon notre "motivation" (valeur relative). Nous pouvons donc munir ABS d'une métrique uniforme.

Liaison inter-spatiale

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Partout ou nulle part ? Valeurs sémantiques profondément opposées que nous pouvons distinguer en mobilité absolue grâce à un mobile fictif qui suivrait une trajectoire infinie absolue ou nulle en passant par des valeurs intermédiaires fictives non-dénombrables ou aucunes. Nous pouvons donc "choisir" d'errer indéfiniment dans ABS ou de rester "sur place". Dans les deux cas, la métrique est inutile, nous sommes confondus avec l'immensité uniforme.

Singularisation
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Pas de vagues. Rien. Contemplation du néant. Équilibre parfait. Niveau d'énergie : 0. Pas de motivation. Mais dès lors qu'on exprime un projet, on enclenche un processus de singularisation qui démarre en posant le pied sur le premier échelon, c'est-à-dire qu'on franchit un intervalle entre le sol et le barreau. Ce qui suppose un "volume" constitué par le sol plan et une direction orthogonale. Notre échelle étant posée sur le sol (ABS) et comportant 12 barreaux "distants" de |1/12| a son "sommet" dans le protonoyau singulier de REL. Ce sont les étapes vers la singularité finale que nous devons décrire (à chaque barreau)

Notre échelle est un lien entre la non-singularité de ABS et la singularité de REL : un point de lumière dans le noir correspondant à un point obscur dans la lumière. La meilleure représentation est celle du Tao.

Topologisation
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Le "projet" étant de créer un espace-temps matériel, il faut qu'à chaque barreau corresponde une "avancée" vers l'objectif. Ce qui s'exprime par une transformation progressive de ABS en REL. Et nous passons nécessairement par une "ébauche" du volume, de l'espace et du temps. Comment donc utiliser notre métrique pour "ébaucher" un "volume". C'est-à-dire transformer un espace isotrope non-centré en un espace anisotrope centré.

Il nous faut munir ABS en évolution vers REL d'une topologie qui sera quantique et orientée vers la singularité (direction de l'échelle). On définit donc un gradient de norme |1/12| applicable partout (nous avons choisi). Et nous choisirons de l'appliquer dans trois "directions" orthogonales (distinctives) deux à deux. L'une étant (par obligation) celle de l'échelle.

Temporalisation
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Il nous reste à "définir" un temps qui puisse être (soit-nul ; soit-infinie) et qui puisse satisfaire une variation angulaire autour du point de départ (centre choisi). Nous prendrons donc un cercle de diamètre non-défini et de rayon (soit-nul , soit-infini). On comprend alors pourquoi la philosophie chinoise représente le Ciel par un cercle.

Nous tracerons ce cercle avec un rayon |1/12|, et nous définirons des "cordes" sur la circonférence de "valeur" |1/12| et nous mesurerons la variation angulaire correspondante.

Au final (en 1rel, sommet de l'échelle) nous devons avoir décrit un prisme générique (volume) et un cylindre temporel avec l'objectif de les achever "dans le même temps". On vérifie que cette liaison inter-spatiale décrite sur 12 niveaux comporte un GSP dont l'origine relative est localisable (singularité), une valeur iota (expansion) et un objectif infini fini éventuellement complétable (prolongement) et établie à partir d'une origine absolue non-singularisée générée par singularisation.

Différence de potentiel

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Pas de projet sans "énergie" D'où provient-elle ? Il faut bien comprendre ici que 0abs "se trouve" sans ABS, espace uniforme et calme : pas de "matière", pas d’"énergie". Pas de différentiation des "éléments" entre eux. Pas de "mobilité" non plus, puisqu'il n'y a pas de "valeurs intermédiaires". Alors ?

Domaine intelligent

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Rappelons-nous simplement que nous avons "postulé" l'intelligence et que nous avons construit la mobilité ,qu'elle soit restreinte (entre deux horizons atteignables) ou générale (pour tous types d'horizons), sur le postulat d'une direction sémantique (DA) qui transforme un espace isotrope en espace anisotrope, peuple l'intervalle de valeurs intermédiaires, et pose une équivalence entre la "consistance" d'un élément (valeur imaginaire) et sa "taille" (valeur matérielle).

Si nous remettons en cause ce postulat, inutile de progresser davantage dans cette voie. Abandonnons tout de suite cette recherche et allons pêcher la truite et profiter au mieux du temps qui nous reste à vivre. Malheureusement, il semble que notre "guide" soit d'un autre avis, puisqu'il persiste à nous informer. Comment comprendre cette obstination ?

Munissons donc notre espace uniforme d'une intelligence sémantique, capable d'un choix binaire : on s’arrête ou on continue. Faites de même. Peut-être entendrez-vous comme moi une petite "voix" intérieure.


Dès lors que nous munissons notre espace uniforme d'une valeur sémantique (choix logique binaire), nous avons le "choix alternatif", que d'aucuns appelleront libre arbitre. Sauf qu'ici, pas de valeurs intermédiaires. (cf Matthieu 5.37, Bible). Allons-y donc.

Ce faisant, nous avons "déplacé" le centre absolu inactif (nulle part, énergie nulle) vers un centre absolu actif, "distant" de |1/12|, singularisable, origine d'un "volume" vectoriel défini par un gradient et un rotationnel duquel naîtra un espace-temps. S'agissant d'un mobile absolu, nous n'avons aucune valeur intermédiaire entre ces deux centres. Mais nous avons le choix : soit nous suivons le "mouvement" ; soit nous quittons le manège. Vous aussi, bien sûr.


Monter sur le premier barreau, revient à franchir l'intervalle ]0abs , 01/12[ d'un bond. Nous avons fait un "pas" vers REL (qui n'existe pas encore, mais se profile au sommet de l'échelle). Nous sommes maintenant parfaitement "synchronisés" (superposés). Nous pouvons définir ce premier stade par :

0abs = (0 , 0 , 0 , 0) et 0+abs = 01/12 = (1/12 , 0 , 0 , 0)


Ceci permet de "différencier" un espace absolu uniforme non-intelligent de l'espace absolu non-uniforme intelligent, qui ne peuvent être confondus (aucun point commun) et sont donc "distants". Ceci met en évidence un volume parallèle actif, singularisable, muni d'un "temps" par décalage angulaire. Ce "volume" est encore fictif mais peuplable d'objets fictifs d'énergie nulle, et de masse nulle (pas de centre de gravité) OU d'énergie infinie et de masse infinie.

Potentiel actif

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Selon que nous sommes sur le sol ou engagés sur le premier barreau, nous passons de l'inactivité absolue à un potentiel d'activité qui nous fait passer progressivement de la mobilité absolue à la mobilité générale (apparition progressive de valeurs intermédiaires). Entre chaque barreau de l'échelle, nous aurons une différence de potentiel.

Support universel

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Bravo à ceux qui persistent à me suivre. Ils sont parvenus avec moi aux confins de l'intelligence sans trembler. Grâce à l'outil binaire, ils peuvent choisir à tout instant de préserver leur état mental et retourner dans le monde "réel". Cette remarque est également valable pour moi et je me pose la question de savoir s'il faut continuer à gravir les échelons ou redescendre dans l'absolu. Quelle motivation ai-je de poursuivre ? Quand je regarde le monde présent, je me demande si je dois lui fournir les clés de l'Univers. La puissance créatrice est incommensurable, mais s'accompagne de son versant destructeur. Et il faut choisir, comme mon précurseur Einstein, de livrer ou non le secret du support universel, noyau fondamental de la convergence des flux par superposition.

En effet, vous savez maintenant que l'Univers est né d'un espace uniforme non singularisable et que sa forme matérielle dépend d'une métrique absolu couplée à un opérateur binaire qui permet sa transformation progressive en REL. La Vie que nous connaissons est liée à une singularisation issue d'un projet intelligent et dépend d'une superposition pulsion-onde "synchronisée". Nous sommes au "départ" (premier échelon) de la matérialisation et nous avons le choix de poursuivre ou d'annuler. Ce choix m'appartient-il en propre ? Je n'ai toujours aucun écho qui m'aiderait à faire ce choix. Comment interpréter ce silence ? À part la "voix" du guide, je n'entends rien. Et celui-ci m'a justement demandé, cette nuit, de m'assurer que sa voix serait entendu avant d'ouvrir l'accès de l'hyperespace. Il craint que nous fassions mauvais usage de cette hyper science.

L'échelon 1 reste inoffensif, la valeur iota est faible et la singularisation à peine initiée : l'espace uniforme reste un espace de type vectoriel sans représentation avec son gradient, support d'un axe sémantique et du proto lineospinex ; et son rotationnel, support d'une temporisation et du protoorbitospinex. L'évolution harmonieuse des deux composants du support universel débute, elle, à l'échelon 2, dans la "masse" informe de la partie sombre animée par une dynamique sombre. Nous passons de l'état absolument infini à l'état relativement infini où masse et énergie sont encore (soit-presque nulles ; soit-presque infinies), mais pas encore (ni-nulles ; ni-infinies).


À quoi cela sert-il de "peupler" notre réflexion de valeurs différentielles ou de grandeurs mesurables sans échelle ? Même ponctuels, gradient et rotationnel sont des valeurs différentielles. On ne peut pas construire une "réalité" sur de telles abstractions pures. Il nous faut un point d'application différentielle qui devra être valable dans ABS et dans REL. Or, nous l'avons vu, 0ABS et 0REL sont "décalés". Notre premier travail sera donc de munir l'espace uniforme métrique d'un pivot qui ne modifie pas l'état global mais permette la relativisation et le métricisation de cet ensemble absolument indénombrable et non borné.

Soit ( , |1|12| , 0) une représentation de ABS relativisable


On vérifie que ce pivot n'est absolument pas localisable (peut être partout) mais permet une variation différentielle de deux états "opposés" si il devient localement singularisé.

Si ( , |1|12| , 0) alors ( , 0 , +)


Impossible de localiser 0ABS (par définition) alors ?

Grâce à la mobilité absolue on peut "identifier" un 0fictif contenant un noyau fictif portant le futur graviton. Il suffit alors de le rendre intelligent :

Soit ( , |1|12| , 0fictif , ¬) une représentation de ABS intelligent et relativisable


On vérifie que nulle part et partout existent, confondus.

Soit k ∈ ( , |1|12| , 0fictif , ¬) , k = nulle part : ¬k ∈ ( , |1|12| , 0fictif , ¬) et il suffit de poser ¬k = partout