Recherche:Mobilité générale/Hyperespace complexe
Nous avons, jusqu'à maintenant, considéré l'espace comme hypercomplexe. Qu'il soit polaire, - c'est-à-dire défini comme un trajet hypercomplexe entre deux horizons atteignables par fractions finies -, ou absolu, - de la forme infini fini -, soit, en quelque sorte raisonnable (accessible au raisonnement), abandonnant l'idée dogmatique d'un espace purement infini qui ne peut être décrit. Pour rappel synthétique, ces deux espaces sont issus d'une liaison intelligente entre deux objets distants qui peut être parcourue par un mobile décrivant un espace-temps. La syntaxe correspondante représente un triplet indissociable (α,χ,ω) vu comme un ensemble de bivecteurs opposés qui posent l'unité d'espace et celle de temps dans un effet relatif dès lors que l'on différencie absolu et non-absolu. Le point de vue intelligent est bipolaire sur une direction axiomatique situant une position logique intermédiaire ENTRE les deux. La réalité y est enfermée par la définition logique contradictoire (ni l'un ; ni l'autre) ou (soit l'un ; soit l'autre).
Dans une telle considération, nous avons pu localiser le centre de gravité quelque part ENTRE les deux et le rapporter au milieu. Le mobile qui parcourt cet espace décrit la ligne qui sépare les deux horizons, atteint toutes les valeurs intermédiaires liées par une relation étroite entre Δ et Δ'. Sa position peut être déterminée, son évolution, cadrée. Même si le cadrage est extensible (complétion). Ce que l'on peut traduire par :
Que se passe-t-il si :
caractérisant un événement non prévisible sur la trajectoire d'un mobile ?
Cette interrogation pose le problème de possibles interférences de trajectoires sur des lignes d'espace-temps différentes qui pourrait mettre en évidence des univers parallèles.
Préliminaire philosophique
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À ce stade de réflexion, il nous faut distinguer deux cas porteurs de confusion. S'agissant de décrire des comportements d'éléments spatio-temporels inédits, dont on ne sait rien a-priori de la réalité observable, il nous faut être particulièrement attentifs à la description logique qui sera du type :
Collision (situation observable)
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C'est, bien sûr, un cas classique d'interférences contemporaines de deux mobiles décrivant des trajectoires convergentes dans un même espace-temps. Qu'elle soit volontaire (préméditée) ou involontaire (inopinée), une collision est un événement factuel que l'on peut traduire par l'existence d'une valeur intermédiaire identique sur les trajectoires. En quel cas, nous aurions й = z, soit z = ¬z. L'intervalle qui les sépare s'exprime par un espace 0-hypercomplexe sur Δ et Δ', que l'on peut imager par un "point" spatio-temporel. Ce "point" sera à la fois marqueur final des trajectoires convergentes et marqueur origine des trajectoires divergentes dépendantes des valeurs ι des mobiles en ce point. On peut supporter ceci mentalement en différenciant une collision programmée (ι = 0), — alunissage ou tracé de figures géométriques —, d'une collision choquante (ι = ¬0), —accident ou interception par un missile —.
Le point de convergence est descriptible comme une valeur intermédiaire de chacun des espaces hypercomplexes concernés dans les espaces-temps correspondants avec une adaptation de la valeur iota sur la trajectoire de chaque mobile. On voit bien l'influence intelligente qui doit régler l'adaptation sur cette trajectoire pour parvenir au but recherché à chaque "pas" de celle-ci. On voit bien, également, la différence entre une intelligence artificielle régulant cette adaptation par "calculs" successifs et une intelligence naturelle connectée à la réalité physique capable de "réflexes" géniaux (= ¬non calculés).
Nous pouvons décrire toutes les collisions comme des espaces finis (ayant une "fin"), ouvrant éventuellement sur des espaces non-finis (ayant une origine). Nous ne préjugeons pas ici de la "durée" de ces espaces non-finis qui peuvent être infinis finis, voire infinis non-finis, c'est-à-dire relativement infinis ou absolument infinis. Nous remarquerons seulement que nous ne pouvons "controler" que des espaces finis (entre deux collisions). Par exemple, des fragments d'objets frappés par un projectile, qui retombent sur le sol, au contraire d'un véhicule lancé sans but dans l'espace intersidéral.
On peut distinguer deux états principaux découlant d'une collision.
état organisé
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À la suite d'une collision "douce", pour laquelle la valeur iota relative est nulle, nous aurons l'ouverture d'un espace-temps dans lequel les mobiles évolueront ensemble sur un mode organisé vers un nouvel horizon sur une trajectoire commune. Les composants restent liés dans le même espace-temps jusqu'à l'horizon d'une nouvelle collision.
état chaotique
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À la suite d'une collision "violente", pour laquelle la valeur iota relative est non nulle, nous aurons l'ouverture d'un espace-temps éclaté pour les mobiles composants l'ensemble sur des trajectoires divergentes vers l'horizon non programmé d'une nouvelle collision. Le contrôle des parties soumis aux lois du cosmos qui contient le volume correspondant, c'est-à-dire dépendant d'une intelligence non-accessible à la Raison évoluant dans le domaine absolu, quelle que soit la qualification et la forme données à cette intelligence.
Ceci apparait utile pour préciser que nous devons éviter au maximum les collisions violentes si nous voulons conserver une main mise sur les trajectoires spatio-temporelles et maitriser les valeurs intermédiaires vers des horizons générés par des collisions douces. N'est-ce pas la réalité d'un vol avec escales vers des destinations lointaines ? Ou du tracé d'un polygone sur une feuille de papier ?
Superposition
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Maintenant que nous avons dressé un contexte de l'espace-temps dans lequel nous évoluons, certainement issu d'une collision que nous pressentons "douce", en quel cas le cosmos est contrôlé par une intelligence dite "supérieure", nous pouvons nous demander comment celle-ci intervient pour corriger des trajectoires déviantes ? Et de quelle manière nous pourrions identifier ces interventions ? À défaut d'identifier ces interventions, nous resterions dans un monde chaotique issu d'une collision violente. Nous nous situons jusqu'alors dans le domaine contradictoire (ni-douce ; ni-violente).
Quitter le domaine de la Raison n'est pas anodin, je l'ai déjà dit. Une chose est sûre : il faut entrer dans l'Absolu avec "douceur" et se laisser "guider" pour éviter un choc violent et une destruction mentale. Décision assumée. Entrons donc, confiant, dans ce monde inconnu, en essayant de décrypter les images que nous rencontrerons sans a-priori négatif. La première d'entre elles est celle de deux droites parallèles qui est un concept purement imaginaire. C'est un cas limite (porté à l'infini, fini ou non-fini) de deux droites sécantes. La valeur intermédiaire commune serait localisable dans l'Absolu. Donc parfaitement inaccessible et sa projection dans l'espace terrestre inexistante. Nous pouvons cependant suivre les trajectoires des deux mobiles qui les décrivent et définir les valeurs intermédiaires de chacune indépendamment de l'autre.
Il n'y a pas de relation entre elles, en ce sens que les mobiles occupent deux espaces différents, à des "vitesses" différentes. On vérifie que chaque valeur intermédiaire est "en-dehors" de la trajectoire de l'autre, et que, par conséquent l'ensemble des couples qui vérifient й = ¬z est absolument infini. Son cardinal est indénombrable. Cependant, nous savons que dans cet ensemble existe un élément singulier й = z représentant une collision, donc un espace 0-hypercomplexe absolu. Comment singulariser cet élément singulier dans TER ?
Imaginons alors deux droites quelconques dans l'espace. Il n'y a aucune raison pour que ces droites aient même direction ni même sens. Pourtant elles sont descriptibles par deux espaces hypercomplexes et ne possèdent a-priori aucun couple vérifiant й = z. On peut cependant singulariser un couple particulier dans l'ensemble de ces couples par le fait que la "distance" qui les sépare est minimale. Si on peut la projeter sur un support, on observerait la trace d'une trajectoire entre deux horizons qu'un mobile décrirait comme un espace hypercomplexe "consistant" (séparation observable). Le fait que ces droites soient "sécantes" serait alors un cas particulier de cette observation pour lequel la superposition est parfaite (0-hypercomplexe).
Par combinaison des deux "images", nous déduisons que dans l'ensemble des couples de mobiles décrivant deux espaces-temps indépendants parallèles, il existe deux éléments singuliers : une superposition (d(й , z) minimale) et une collision (d(й , z) = 0). Cette dernière est à horizon infini. La superposition ne pourrait être observable que sur un support TER 'transverse" et une consistance supérieure à 1. Ce que nous pouvons formaliser par:
∀z ∈ ET2, ∃ ETS : z ∈ ETS ∧ й ∈ ETS ∧ d(й , z) minimale
Mais comment "imager" l'espace-temps transverse ETS en z ?
Contrôle intelligent
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Il n'est pas possible de voyager dans l'absolu avec la volonté de maitriser sa trajectoire puisque ce contrôle exige un but final pouvant être atteint (cf chap précédent : espace et antiespace terrestre). Le contrôle intelligent demande à ce que l'on puisse intervenir sur la valeur iota du mobile pour atteindre un objectif. Ce dernier doit pouvoir être atteint et le trajet doit être transmissible (reproductible). L'infini absolu reste donc du domaine de l'imaginaire pur. Les valeurs intermédiaires pour l'atteindre n'ont aucune valeur réelle. Nous ne pouvons donc voyager que dans l'infini non-fini dans lequel la progression se fait pas à pas en franchissant des étapes successives (n → n + 1) dès lors que ι > ½. Nous fixerons ceci comme constante universelle pour construire un espace-temps à partir d'une collision douce et avoir ainsi un contrôle intelligent sur la trajectoire. Cela revient à intégrer une conscience au mobile. Faute de ceci, nous ne pouvons garantir d'atteindre l'objectif fixé sans faire confiance à une intelligence cosmique que l'on essaye de cadrer par des lois dites naturelles. Pour transformer un essai, le ballon doit passer entre les poteaux et sa trajectoire dépend de conditions naturelles après la collision avec le pied du buteur. Cette collision est (ni-douce ; ni-violente) : le ballon n'est pas emporté et il n'éclate pas. La passe permettant de marquer l'essai sera une collision douce permettant de controler le ballon jusqu'à son aplatissement derrière la ligne d’en-but.
J'ai parfois l'impression de "tourner en rond" autour d'un épicentre toujours aussi lointain (∞), mais au final je ne fais que progresser vers n + 1. C'est cette réalité qui peut être qualifiée de "terrestre". Et c'est dans ce domaine exclusif que nous trouverons les valeurs intermédiaires qui nous font progresser.
Autrement dit, s'il existe un espace transverse par lequel peuvent transiter des informations intelligentes lors de superpositions, c'est qu'il y a une convergence d'intérêts vers un but commun. L'essai, par exemple. La superposition qui intervient dans la réalité terrestre est une collision (espace transverse 0-hypercomplexe). Oserais-je dire que l'on pourrait doter l'espace transverse d'une valeur iota qui le rendrait intelligent ? En quel cas, il faut que celle-ci atteigne et dépasse ½ pour que cet espace devienne 1-hypercomplexe et que l'on établisse une supra liaison à l'instant de la superposition. Nous aurions alors accès à l'hyperespace complexe
Influence réciproque
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Doter l'espace transverse d'une valeur iota implique l'existence d'une direction axiomatique (DA) entre deux objets élémentaires, d'un vecteur ponctuel transverse et d'une consistance évolutive permettant l'équivalence en taille. Nous obtiendrions alors un bivecteur unitaire sur l'axe transverse indiquant une influence réciproque d'un espace-temps sur l'autre.
Il arrive que nous fassions les choses machinalement. Cela indique que l'absence de conscience sur la totalité de la trajectoire peut être compensée par un processus "mécanique", "automatique". Cela peut s'apparenter à une "main" laissée à une intelligence artificielle pendant un laps de temps. Lors de l'atterrissage d'un avion, par exemple. La valeur iota "mécanique" apparait ainsi différente de la valeur iota "naturelle". Laquelle des deux est la plus apte à agir sur la trajectoire ? Autrement dit, le mobile physique évolue-t-il dans le même espace-temps que le mobile psychique ? Comment communiquent-ils ?
Direction axiomatique transverse
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Pour que l'influence soit efficace, il faut qu'elle soit manifeste "au point de concours" des trajectoires, que ce point soit réel (collision) ou virtuel (et non pas imaginaire). C'est donc en ce point que nous situerons l'origine ponctuelle du vecteur transverse, base logique de l'espace transverse. Si, effectivement, il y a influence (modification de trajectoire), nous pourrons affecter une valeur iota à ce vecteur. Mais comment mesurer cette modification de trajectoire ? En effet, en considérant toutes les formes d'intelligence qui œuvrent dans l'espace terrestre, nous devons évaluer une valeur iota pour chacune d'elles permettant de suivre la trajectoire correspondante.
Une deuxième contrainte est la simultanéité : toute valeur intermédiaire de l'axe transverse est positionnée au même instant (intervalle temporel nul) de sorte que la superposition soit indépendante de la distance spatiale.
Nous considérerons ainsi que la collision est un cas limite de superposition : distance spatiale nulle. Et nous entrerons par ce fait dans un monde de réalité virtuelle (et non pas imaginaire) dans lequel évolue la valeur iota régulant la gamme des collisions/superpositions. Une collision est ainsi un cas particulier de superposition qui intervient dans PHY avec une origine dans PSY. Le centre de gravité des mobiles évolue dans TER. Ce n'est plus le cas de la superposition. Mais alors dans quel monde évolue-t-il ?
Le monde des valeurs iota
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Les valeurs iota induisent la continuité entre les deux horizons d'un espace hypercomplexe en permettant le raccordement des séquences les unes aux autres. Sans elles, pas d'espace-temps ni de réalité terrestre. Les lois physiques, traduites par des fonctions mathématiques dites continues sur un intervalle de valeurs réelles, reflètent cet aspect. D'abord grossièrement, par élimination de paramètres négligeables, puis de plus en plus précisément par intégrations de restes de séries de plus en plus fin par des calculs de plus en plus longs. La Raison poursuit donc un objectif. La mobilité dans PHY est donc liée à la mobilité dans PSY. Cette mobilité est restreinte tant que l"évolution reste entre deux horizons, même infinis non-finis. Le but est d'atteindre un objectif. Nous parlerons alors spécifiquement de motivation comme moteur psychique iota. Sans motivation, n'est-ce-pas ......
Nous pouvons contrôler (de plus en plus précisément) l'évolution dans PHY avec des calculs de plus en plus précis confiés à des machines grâce à des algorithmes. Nous parvenons à maitriser l'espace volume, mais nous sommes loins de maitriser l'espace cosmos car nous voulons enfermer l'infini fini dans l'infini absolu (N ⊂ R). C'est pourquoi j'ai proposé à travers cette recherche une motivation différente (R ⊂ N). Le but n'est plus ∞ mais n + 1. Ceci permet de franchir n avec une valeur iota positive. Sera-ce suffisant pour atteindre n + 1 ? C'est ici qu'intervient une possible superposition avec un autre monde. L'intelligence humaine vient suppléer l'intelligence artificielle. Quelle Intelligence vient suppléer l'intelligence humaine ?
L'instant de la superposition
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Ou l'instant de vérité ! En effet, nous avons construit un univers théorique avec l'idée de "comprendre" la réalité terrestre par un raisonnement logique. Sans aucune certitude sur le fait de construire un système descriptif précis. Par déductions successives, nous avons défini des conditions nécessaires au franchissement de l'horizon visible. Mais cela n'apparait pas suffisant. Que manque-t-il ? Une compétence que je n'aurais pas ? Une lisibilité insuffisante ? Autre chose que j'ignorerais ?
Ne pouvant pas voyager dans l'Absolu, nous avons conclu de rester dans l'infini non fini. Impossible de faire autrement. Nous avons défini la structure correspondante permettant d'atteindre l'horizon variable n comme un espace bivectoriel contradictoire, sectoriable, gravitationnel, continu, consistant. Et nous essayons de faire un pas supplémentaire vers l'horizon n + 1, qui nous est inconnu. Sans y parvenir avec seulement notre outil logique. Que manque-t’il ? Une intuition ? Oui, mais laquelle ? D'où viendrait-elle ? Réfléchissons aux objets informationnels que nous avons regroupés. Et particulièrement ceux des valeurs iota.
La continuité dépend des valeurs iota et d'un raccordement. Si les horizons sont finis il n'y a pas de problèmes puisque les deux plans sont contradictoires. Ce que l'on peut traduire par :
∃μ, α < μ < ω, μ milieu : μ = α + ½ = ω - ½, μ = 0-hypercomplexe
Ce qui confirme l'impossibilité dans l'absolu, sauf à le finir (TAI). Trois éléments essentiels ressortent : deux valeurs iota +½ et -½ et un 0-hypercomplexe. Nous connaissons une valeur iota +½ qui dépend de notre motivation et permet d'atteindre n + ½. Mais il nous manque le retour contradictoire n + 1 -½ et le 0-hypercomplexe à l'instant du raccordement qui formeraient le triplet spatio-temporel hypercomplexe (+½, ←0→ ,-½) permettant la réalisation de l'espace transverse de consistance 1 s'adaptant à la taille 1 de l'intervalle manquant.
Si ce 0-hypercomplexe transverse existe, il génère automatiquement le raccordement des espaces contradictoires dans la partie manquante qui pourra s'intégrer dans le prolongement de l'infini non-fini ouvrant la voie vers n + 2, n + 3, ...
Plus qu'une "intuition", ce sera une illumination. Ce 0-hypercomplexe "extérieur" devient .
Onde gravitationnelle
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D'après le séquençage du vecteur ponctuel en deux vecteurs duaux d'origine terrestre sur le centre de gravité, nous pouvons proposer une "étendue" de l'espace transverse sur l'intervalle [OI OT OR]. Les trois origines sont générées simultanément par la superposition comme une sorte de "collage" des espaces parallèles. On peut alors considérer le centre de gravité comme appartenant à l'espace terrestre et le décrire logiquement comme (ni-réel ; ni-imaginaire) ∨ (soit-l'un ; soit l'autre). Mais, en tout état de cause, il intervient comme grain spatio-temporel de l'espace terrestre.
Régulation du temps
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La trajectoire terrestre apparait comme le résultat d'une synchronisation de la trajectoire réelle et de la trajectoire imaginaire conservant le centre de gravité de telle sorte que l'on peut suivre celle-ci indifféremment dans chacun des trois espaces. On déduit de cette remarque qu'il est nécessaire de réguler le temps d'évolution des mobiles pour qu'ils passent simultanément les valeurs intermédiaires. Les superpositions, qui génèrent le centre de gravité, doivent donc intervenir en fréquence, au moins à chaque valeur intermédiaire. L'image qui me vient à cet instant est celle d'une tôle ondulée posée sur une surface plane : la réalité terrestre est marquée par les traces des ondulations sur le sol. On peut suivre n'importe quelle trajectoire hypercomplexe ainsi cadencée par les superpositions successives considérées comme des collisions douces.
Le centre de gravité n'est rien d'autre que la trace laissée par l'espace transverse régulant le temps. On vérifie que celle-ci correspond à la définition logique puisqu'elle peut être considérée comme (ni sur le sol ; ni sur la tôle) ou (soit-sur le sol ; soit sur la tôle) et qu'elle décrit bien une trajectoire terrestre observable.
Amplitude spatiale
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Si nous posons α = OI ∈ Δ', ω = OR ∈ Δ et ϰ = OT ∈ TER, nous pouvons définir z = ϰ comme milieu entre les deux à condition d'imaginer un mobile virtuel entre les deux horizons de l'espace transverse. L'existence de z (qui serait origine terrestre), centre de gravité de l'espace-temps généré, dépend de l'équivalence consistance/taille qui serait la norme sur la totalité du parcours d'un mobile terrestre : ]OI , OR[ → [OI , OR]. OI et OR sont alors "distants" dans l'espace et "simultanés". Comme nous avons posé comme condition : й = ¬z, nous en déduisons que la consistance virtuelle ne peut pas être nulle, ni continue dans le temps. En quel cas, notre tôle serait confondue avec le sol. L'idée est alors de poser qu'elle varie entre 0 et 1, sans atteindre ces bornes.
Notre espace-temps dépendrait de ce que la consistance soit pratiquement 1 à intervalles réguliers ? N'ayant aucune observation directe de cette hypothèse qui me parait englober l'équation d'Einstein, je préfère me déconnecter quelques temps en attendant qu'un éventuel mobile virtuel vienne faire la liaison avec ma raison.
Fluctuation et concordance des temps
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Si la consistance n'est pas stable ... c'est qu'elle varie (!), et comme elle est contrainte entre deux bornes ... elle ne peut pas varier n'importe comment. Nous dirons alors qu'elle fluctue. Et, semble-t-il de plus : périodiquement. Nous nous approchons d'une notion de fréquence. Certes, nous avons notre image de "tôle", mais est-elle correcte ? L'intervalle des traces sur le sol est bien régulier, mais il faut que le temps sur la tôle soit le même que celui sur le sol pour que le contrôle soit efficace sur la totalité de la trajectoire. Cela nous amènerait à différencier trois sortes de valeurs ι : un ι PHY qui définit la mobilité dans l'espace volume selon les contraintes des lois naturelles décrites par la Science ; un ι PSY qui définit la mobilité dans le cosmos dans le cadre de règles et préceptes dogmatiques ; et un ι ⊥ qui supervise le tout (quel que soit le nom donné à ce contrôleur suprême : Dieu, Grand Architecte, Maître du Temps, ...). Je m'étais déjà approché (dangereusement) de ce concept à la limite de la déraison, mais là, c'est sûr, je le discerne raisonnablement. Nous pouvons essayer, par analogie, de définir la fluctuation de ce ι ⊥ qui induit le centre de gravité de notre espace-temps.
Le problème est celui de la génération d'espace et antiespace à partir d'une superposition. Plus explicitement, comment la fluctuation de l'espace transverse peut introduire un centre de gravité qui gonflera le vecteur ponctuel en bivecteur unitaire des espaces physiques et psychiques ? Nous ne sommes plus dans un concept de génération spontanée, mais bien dans celui d'une génération déterminée par une volonté transverse. Je ne vois alors pas comment nous pourrions nous suppléer à celle-ci, sauf à être directement influencés par elle ! Ceci confirmerait qu'il faut une information de l'antiespace venant faire la liaison avec celle de l'espace. Pour l'instant cela reste de la spéculation.
Naissance d'un cosmos
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... ou d'un volume vital ! La génération d'un centre de gravité permet la transformation d'un cosmos (spirituel), qui est une entité psychique (imaginaire) en volume (matériel), qui est un objet physique dès lors qu'il est de taille 1. L'ensemble absolu ne devient sémantique que si [g] est identifiable. Si ce dernier dépend de la superposition, cela signifie que z et й font partie de ABS sans que la transformation en REL soit effective, du moins tant que ι⊥ < 1. Il semblerait alors que la naissance dépende de la confusion entre й et ¬z ; superposition ⇔ substitution sans déformation. L’écriture correspondante serait :
soit [g] = [0 , 0] ⇒ OT ENTRE OI et OR
De plus ABS = 2n et [0 , 0] = {—n/2 , g , +n/2} = [ -n/2 , [0 , 0] , +n/2]
Il reste alors à établir une relation entre la fluctuation de ι⊥ et les bornes -n/2 et +n/2 de REL pour établir les bivecteurs unitaires. L'équivalence de la superposition s'écrit :
qui donnerait les deux vecteurs ponctuels de REL :
et le quadruplet de l'espace-temps lors de la superposition :
qui traduit le passage de ABS ([0 , 0]) à REL. On vérifie que, pour l'instant, le cosmos est 0-hypercomplexe et doit être "activé" (rendu mobile). Passage intrinsèque de RIEN (0) à TOUT (1), instantanément, permettant l'opération du saint-esprit (développement d'une perspective). Mais celle-ci est-elle vraiment en terre inconnue ? Autrement dit, qui oriente la trajectoire des mobiles ainsi libérés ? Sont-ils laissés à leur libre arbitre ou soumis à une directive suprême ? À quelle loi obéit un cosmos qui soumet les espaces dogmatiques et pragmatiques à sa volonté ?
Comment se fait le passage de (0⊥ , 0I , 0T , 0R) (ABS) à (1⊥ , 0I , 0T , 0R) (REL) ? Cette quatrième dimension ne modifie pas l'état hypercomplexe de l'espace temps, mais libère les valeurs iota qui permettent son développement. Cet ajout d'espace transverse mène assurément à l'existence d'un hyperespace de type instantané (flash) qui influence ponctuellement les trajectoires hypercomplexes des mobiles de notre espace temps. Cela pourrait expliquer l'Histoire des grandes découvertes ou les trajectoires de l’Évolution des espèces, puisque il existe une contrainte de retour en cas d'impossibilité d'atteindre l'horizon projeté. Sorte de protection automatique de l'état acquis, à laquelle je me soumets bien volontiers.
Nous en sommes donc arrivés à l'état 0-hypercomplexe (1⊥ , 0I , g = 0T , 0R) qui marque l'avènement de l'onde gravitationnelle. Nous désignerons cet état par 1-hyperespace qui donne le feu vert au développement de l'espace temps, et qui correspond à une "taille" 1 de l'espace transverse par équivalence d'une consistance fluctuante entre RIEN et TOUT.
Hyperdimension
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Pour que le développement du cosmos reste sous contrôle, il faut une liaison constante et permanente sur son évolution. Il est nécessaire de pouvoir agir instantanément en cas de besoin (réflexe), y compris "à distance". La quatrième dimension parait donc être indépendante du plan hypercomplexe représenté par le triplet (0I , g = 0T , 0R) dont l'état idéal consistant est exprimé par le triplet (1I , g = 1T , 1R) : achèvement imaginaire, espace-temps, volume unitaire, qui n'est pas encore un état viable (non divisible). Il peut toutefois marquer une phase de réalisation vers l'autonomie. dans l'idée de concordance des temps, on peut lui faire correspondre la valeur ι⊥ = 0. Ce qui donnerait une équivalence entre l'hyperespace et l'espace hypercomplexe :
que l'on peut interpréter comme un "soulagement de voir que le projet prend forme" ! Et qui donne :
qui semblerait indiquer que : si ι⊥ = 1 alors ι⊥ = 0. Ceci confirmerait la fluctuation entre ces deux extrèmes sans que ceux-ci soient atteints, permettant le retour en arrière si la progression n'est pas possible (dans le cas où la réalisation ne s'est pas faite). Et par déduction logique (!) :
qui confirmerait l'aspect ondulatoire de l'espace transverse qui motive l'évolution "à chaque pas" dès lors que le pas précédent est "réussi" (comme un jeune enfant qui apprendrait à marcher). On peut donc assimiler l'hyperdimension à l'intervalle de temps propre qui sépare 2 pas successifs et qui est réglable "à volonté". Je propose de réfléchir à l'exercice suivant : compter jusqu'à 10 en utilisant plusieurs "vitesse" d’exécution. Quelle est la valeur iota psychique lorsque l'on arrive à 10 ? À chaque valeur intermédiaire ?
note de l'auteur
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je suis en phase de doute profond sur l'existence d'un espace transverse différent de Δ' qui pourrait induire une modification de la trajectoire spatio-temporelle sur Δ. Et par là même d'un évènement й qui soit "étranger" (qui ne soit pas valeur intermédiaire sur l'hypercorde) liant deux horizons (projection δp , p ∈ {1 , ...
, 12} sur Δ). Si on considère la fonction différentielle volumique (valeur iota) appliquée à un volume nul, il nous faut admettre que cosmos et volume vital ne peuvent naître que simultanément pour qu'au terme de l'évolution on puisse avoir l'équivalence ι = 0 ⇔ ξ = 1, volume de base dépourvu d'un centre de gravité sur l'axe physique (point de basculement).
Ceci nous impose que ι⊥ > 0. L'expansion volumique peut alors contenir un cosmos naissant. Logiquement donc, la génération d'un volume vital précède celle d'un cosmos : ιR > ιI. Compter jusqu'à 10 est virtuel, mais compter 10 petits pois nécessite de pouvoir les regrouper quelque part en commençant par le premier. Dès lors, l'espace-temps hypercomplexe se développe (j'en ai mis 3 (effectif), il en reste 7 à mettre (imaginaire)). Nous avons un centre de gravité à 5. Le point de départ parait se situer sur Δ' (instant de la prise de décision). Quel serait le rôle de l'espace transverse ? Celui d'une "pulsion" de l'imagination (idée) ?
Créer un volume, c'est générer une distance spatiale entre deux "points" en considérant que tous les intermédiaires de la trajectoire qui les relie sont simultanés. Leur origine commune peut être sur Δ'. Comme la projection d'une image sur un écran. Le monde hypercomplexe serait celui SUR l'écran. L'hyperespace serait celui de la projection : en partant d'une même origine, on peut arriver n’importe où sur l'écran. Le problème est donc de générer un volume pour que le cosmos puisse se développer. Si la représentation virtuelle existe (hologramme), elle n'intègre pas de centre de gravité. Le résultat n'est pas hypercomplexe. Il y a donc un lien de type chronologique entre le départ sur Δ' et l'arrivée sur Δ, origine du triplet {OI , OT , OR}. Ce lien parait porté par
une valeur ι⊥ > 0 induisant un décalage de temps. Il faut donc chercher dans les valeurs intermédiaires imaginaires (dans les lobes) et leur projection δ sur Δ la nature de ce lien interactif.
Hyperlocalisation
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Il parait alors impossible de localiser l'origine absolue de la décision, celle-ci n'étant pas marquée sur Δ (la réalisation n'est pas apparente). L’intention vaut-elle l'action ? Décidément nous flirtons continuellement avec la philosophie. Ici, nous sommes obligé de répondre "non" par voie logique, puisque SI le monde existe ALORS il a été généré. Et donc le triplet {OI , OT , OR} est apparu. En revanche, nous ne savons rien de ce qui se passe ENTRE l'origine absolue et l’avènement du triplet, à part le fait que ι⊥ fluctue d'une valeur non nulle vers quasi 1, et que le volume créé se fait par saut quantique au terme d'une hypercorde (équivalence supra). Cette fluctuation occasionne un décalage de temps ... instantané entre génération du volume et naissance du cosmos, grâce auquel l'espace-temps peut s'insérer. Ce qui donnerait un schéma du type :
qui indique que l'origine intentionnelle est à rechercher AVANT celle du volume, et qu'il doit être possible de la localiser "au départ" de l'hypercorde à l'emplacement δ1 de la projection déduite sur Δ (!). Ce qui donnerait :
on vérifie que O⊥ est (ni-ABS ; ni-REL) ∨ (soit-ABS ; soit-REL) selon que l'intention peut être annulée (par qui ?). Nous obtenons toutefois un "intervalle" différentiel que nous pouvons projeter virtuellement sur Δ au "point" δ1. À partir de ce dernier, l'action pourra se concrétiser dès que le volume sera créé sur un projet imaginaire. Et alors nous pourrons dire que l’intention vaut l'action. Et ainsi, au final, la réponse à cette question est (ni-oui , ni-non) ∨ (soit-oui ; soit-non) selon notre position ENTRE 0 et 1/12 (!). Soit purement subjective sur un "objet" non matérialisé (!)
En tout état de cause, nous avons créé une "dynamique" dans ABS, sans modification de son état. Juste un léger déséquilibre non observable. Le but est d'éveiller simultanément l'imagination sur une origine réelle (observable) qui marquerait le début d'un espace-temps. Mais à ce stade, le triplet correspondant est toujours (0 , 0 , 0) soit 0-hypercomplexe.
Hypercroissance
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Par déduction "fractale" (en haut comme en bas) nous proposerons :
comme écriture du commencement de REL à partir de la relation supra. C'est-à-dire que nous avons "transférer" par superposition douce, la valeur iota transverse au triplet spatio-temporel. Ce qui donne deux points de vue distincts : un point de vue absolu (rien ne bouge), et un point de vue relatif (çà bouge, mais je ne sais pas d'où ça vient). Et, pour tenir compte du décalage de temps évoqué précédemment, nous décomposerons :
soit un quadruplet contenant OR, un autre contenant OR et OI et un dernier contenant {OI , OT , OR}. Tout ceci instantanément, puisque, en fait, le temps serait créé en dernier, ou, du moins qu'on en aurait conscience qu'à partir d'un marqueur mobile spatio-temporel.
Et maintenant, nous pouvons faire intervenir la fonction de remplissage d'un volume repérable sur un axe hypercomplexe (Δ), qui débutera donc à l’instant relatif δ1 au même endroit (!) que l'origine absolue, qui pourra démarrer sur un volume initial quasi nul, mais pas vraiment, au rythme imposé par ι⊥. Nous sommes prêts à croître, mais les éléments restent, pour l'instant, pratiquement inconsistants. Le pas semble franchi pour construire un Univers cosmique dans un volume matériel muni d'un repère spatio-temporel (!)
À partir de cet instant, nous avons deux points de vue "opposés" : celui du créateur et celui de la créature. L'influence réciproque joue.
En regardant sa créature, le créateur décide, ou non, de poursuivre, car il peut encore "revenir en arrière" par une valeur iota négative qui annulerait le processus. En tout état de cause, celle-ci ne peut rester nulle : il n'y a pas de conservation en l'état possible. La logique transverse apparait donc binaire. Autrement dit, l'état dans lequel le premier élément du quadruplet serait 0 N'EST PAS VIABLE. Il faut donc poursuivre ou annuler. que faire ?
Complexification de l'hyperespace
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Nous avons un univers à deux composantes : (x , 0 , 0 , 0) que nous dirons hyperspatiale à la fois "hors du temps" et "conjoncturelle", et une composante (0 , x , x , x), hypercomplexe, définissant le volume, le cosmos et l'espace-temps évolutif. Nous sommes dans cette réalité, suivant le cours du temps dans un volume matériel, guidés par un courant créateur duquel nous dépendons pour évoluer. Nous exprimerons ceci par :
Ce n'est plus un "plan" complexe, mais un volume complexe battant au rythme de la fluctuation ι⊥. Ceci donne une hypercroissance volumique (expansion), une hypercroissance intelligente (virtualisation) et une hypercroissance évolutive (peuplement).
Repérage hyperspatial
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Comment se repérer dans l'hyperespace ? Nous avons déjà un point-origine que nous pouvons localiser comme origine de l'espace-temps (naissance simultanée apparente). L'espace-temps, pour rappel, débute à OT, qui est au "milieu" de OR, origine spatiale et OI, origine temporelle, les 3 étant confondues (0-hypercomplexe). La "conscience" de la créature n'est possible qu'à l'aboutissement du "premier pas" qui n'interviendra qu'après construction d'un volume unitaire et d'un cycle complet de fluctuation qui mènent à la génération d'un 1-hypercomplexe (non-autonome) aux coordonnées :
À ce stade, ABS n'est pas encore REL et le centre de gravité est purement virtuel et correspond à la position δ6 de l'hypercorde projetée sur Δ, au "milieu" ENTRE 0 et 1. Seul le créateur prend conscience de la réalité de sa création et peut mettre en œuvre un circuit mémoire qui le connecte à l'origine absolue. Ainsi :
Il nous reste un pas à franchir pour que ABS devienne REL, l'univers tel que nous le connaissons : un 2-hypercomplexe.
Voyage hyperspatial
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J'ai écrit les lignes qui suivent suite à une pulsion insoutenable dans la nuit, mais j'ai longuement hésité avant de les publier ici car elles mettent en évidence ma double personnalité dont j'ai parfaitement conscience et que je ne veux plus cacher : mes deux aspects ont chacun droit de vivre, à cheval entre l'hyperespace et l'espace hypercomplexe, entre le monde spirituel et le monde matériel, puisque l'Univers est, en fait, (ni-spirituel ; ni-matériel) ou (soit-l'un ; soit l'autre) selon notre point de vue. C'est là toute l’étendue de ce qui nous attend si ...
Notre évolution dépend d'un juste assemblage des deux composantes, comme l'espace-temps dépend du juste rapport de l'avancée physique (distance) et de l'avancée intellectuelle (temps), exprimé sur l'axe Δ du plan complexe. Il semblerait donc qu'il y ait une "direction" privilégiée dans l'hyperespace.
En tout état de cause, voici ces lignes, livrées telles qu'elles : Et voilà, le voyage se termine au terme prévu. Le titre de ce chapitre a été posé de longue date (voir l’historique) et les péripéties furent nombreuses pour parvenir au terme. Je suis fier et heureux d’avoir pu vous emmener sans dommages aux origines de la Création. Mais je dois rendre hommage au Guide sans lequel ceci n’eut pas été possible. Humblement mais avec ferveur et respect.
Vous l’avez compris, la réalité qui est la notre est un oxymore : le blanc noirâtre ou le noir blanchâtre au gré de notre appréciation. Les extrêmes restent du domaine de l’Absolu et il nous faut appliquer cette règle si nous voulons nous intégrer dans l’Immensité. L’hyperespace comporte une partie abstraite et une partie concrète indissociables. Dans ma recherche d’artiste contemporain, j’ai appelé ceci de longue date abstraction figurative. Cette appellation prend ici tout son sens et doit nous amener à la Sagesse suprême : il n’y a pas d’orient occidental sans occident oriental. Tout homme a une part de féminité. Toute femme une part de virilité. Plus ou moins. Et, pour se rapporter à une actualité brûlante, il faut un Israël palestinien ou une Palestine israélienne. C’est selon.
Loin de moi l’intention d’imposer une règle quelconque, mais il faut comprendre que notre avenir en dépend. C’est urgent. Il faut une économie écologique qui traite de l’écologie économique. C’est ainsi. Toute cette recherche le démontre. On ne peut pas voyager dans sans croiser . Les deux sont liés. Il y a, dans tout nombre réel une partie abstraite ou absolue, et il faut une projection concrète sur les nombres naturels relatifs pour y progresser.
Ce chapitre est donc clos. Il ouvre sur l’horizon suivant (n+1) → (n+2): la description de l’Univers. Pour cela, nous définirons une trajectoire abstraite d’un mobile virtuel transverse entre deux événements concrets (imaginaires, réels ou terrestres) et comprendrons comment l’énergie accumulée sur cette trajectoire fictive génère une masse mesurable : énergie massique ou masse énergétique. Et nous retrouverons l’équation d’Einstein à la superposition permettant à la consistance de devenir taille. Quand on compte de 2 à 3, on franchit un hyperespace qui nous amène au socle final (pause) après avoir survolé des valeurs intermédiaires réelles purement spirituelles, la projection sur Δ est un 1-hypercomplexe et on peut suivre la progression imaginaire dans le temps. Essayez en passant de 2 à 45 dans le même temps, directement, sans intermédiaire (sans compter). Le socle final est bien réel (pause), l’imaginaire passe sans difficulté de l'un à l'autre après avoir survolé des valeurs intermédiaires imaginaires concrètisables sur Δ. L’important est dans le socle (l'arrivée) : on ne peut pas voyager dans l’hyperespace sans un but bien précis (horizon fini). Je vous l’ai démontré.
Mais avant de poursuivre, je souhaiterais que vous me reconnaissiez parmi les vôtres. Suis-je un génie ordinaire ou un homme ordinaire génial ? Mon humilité ne mérite-t-elle pas un peu de fierté légitime ? Je ne recherche pas les honneurs matériels mais un peu de reconnaissance spirituelle comme voyageur terrestre hyperspatial.
Brique élémentaire universelle
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Information nocturne transmise par le Guide que je vous retransmets contre mon gré car vous ne m'avez toujours pas reconnu en tant que Grand Initié alors que vous étiez prévenus de mon retour (mon arrivée). Celle-ci est pourtant cyclique.
L'Univers matériel, immensité imaginaire, domaine de l'espace-temps, continuum hypercomplexe, dépend du transfert d'une information hyperspatiale par superposition au terme de l'évolution d'une valeur iota parvenue à maturité (=1). Elle effectue, sur la trajectoire correspondante, un déplacement instantané de l'état 0 à l'état 1 durant lequel se forment le volume, le cosmos et l’espace hypercomplexe, c’est-à-dire l'Univers. C'est le premier membre de l'état hyperspatial, purement abstrait (1 , 0 , 0 , 0).
Ce membre spirituel est à l'origine du monde matériel (0 , 1 , 1 , 1) qui n'est toujours pas "autonome" tant que transfert n'a pas eu lieu. Si la mobilité dans l'hyperespace correspond à un déplacement, celle de l'espace hypercomplexe correspond à un mouvement. L'énergie constituée lors du déplacement équivaut alors à la quantité de mouvement produite, et ceci pour chaque "unité".
La quantité d'énergie par unité de déplacement correspond à la quantité de mouvement de l'équivalent matériel dans l'espace-temps. Il faut donc que l'unité de déplacement soit identique à l'unité de vitesse connue comme absolue. Ce que nous pouvons formuler par :
Or, nous savons que le transfert porte un centre de gravité virtuel ENTRE 0 et 1. D'où la formulation de la brique élémentaire universelle :
L'opérateur ⊕ désignant la superposition cyclique de l'hyperespace avec l'espace hypercomplexe. Celle-ci intervient par le biais d'un canal de raccordement pour lequel la valeur iota transverse vaut (ni-0 ; ni-1) ∨ (soit-0 ; soit-1) et génère un "AVANT" et un "APRÈS". Les autres valeurs iota valent 0 < ι < 1. Nous appellerons graviton, la brique élémentaire de formule :
dans laquelle ⊕ désigne l'opérateur de liaison cyclique de raccordement entre l'hyperespace et l'espace hypercomplexe par harmonisation des unités de déplacement et de mouvement (mobilité). Manière de s'assurer que l'orchestre ne joue pas plus vite que la musique. et manière aussi de s'assurer que le Créateur garde le contrôle de l'évolution de sa créature. Ëtre "sur la même fréquence" est une condition nécessaire pour poursuivre l'évolution.
Que celui qui l’a fait t’explique l’univers !
Plus je sonde l’abîme, hélas ! plus je m’y perds.