Recherche:Mobilité générale/États quantiques
J’ai vu partout un Dieu sans jamais le comprendre !
J’ai vu le bien, le mal, sans choix et sans dessein...
condamnée à mourir sans connaitre la gloire,
sera dans le néant, le trait de l'infini
Nous avons terminé le chapitre précédent sur une écriture de l'hyperespace complexe qui n'est rien d'autre que la formulation du couple onde-particule qui traduit l'alliance entre le spirituel (abstrait) et le matériel (concret) duquel nait le monde hypercomplexe. Oserais-je dire, de par ma culture (qui ne veut pas exclure d'autres transmissions) que nous avons là une concrétisation de l'abstraction religieuse : père (membre 1), fils (membre 2) et saint-esprit (opération ⊕).
Le pas que nous avons franchi ne nous a pas fait enjamber un trou quantique qui est au bord d'un infini ... infiniment accroissant, mais un abîme obscur indéfinissable entre absolument RIEN (0) et absolument TOUT (1) qui n'est encore que relativement RIEN. Ce pas, est le premier élément d'un ensemble bivectoriel infini fini que l'on peut traduire par la suite : Un+1 = n + 1 = Un + 1 et l'antisuite associée : Un-1 = n — 1 = Un − 1. Tout cela pour çà ? Me direz-vous ? Et oui, vous répondrai-je, car si "1" n'existe pas, ces suites non plus. Et de quoi nait "1" si ce n'est d'une concrétisation de quelque chose qui s'oppose à RIEN, comme un TOUT complétable, identifiable, personnalisable, raccordable en une suite infinie. C'est le point d'orgue de toute cette recherche, depuis son début. Nous pouvons passer (enfin) du "0" relatif (1 − 1) au "0" absolu.
Et c'est toute la démarche (abstraite) entre RIEN et "1" (concret) que nous allons décrire ici.
Préliminaires
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Si nous pouvons décrire l'espace 1-hypercomplexe par n-fractionnement, de telle sorte que toutes les valeurs intermédiaires puissent être localisées sur la trajectoire reliant les horizons (taille 1), puisqu'il est complétable, nous ne pouvons pas faire de même avec un 0-hypercomplexe de taille nulle, donc non-fractionnable. Chaque fragment est lui-même de taille nulle. Or, notre modèle, partant du zéro absolu, n'atteint la taille 1 qu'à la superposition d'un hyperespace dont la consistance atteint 1 (équivalent énergie-masse). C'est pourquoi, il est important d'assurer l'existence de "1" qui définira l'intervalle primordial pouvant être fractionné. Jusque là, nous restons dans l'abstraction et l’intention.
La seule chose que nous savons est que, en termes de continuité des éléments raccordés, la "distance" qui sépare les centres de gravité est égale à la demi-taille de l'ensemble. Elle est par exemple de 6 sur un raccordement continu d'un 8-hypercomplexe avec un 4-hypercomplexe, ou d'une pièce entre deux pièces de puzzle. Ceci nous permet de raccorder le 1-hypercomplexe primordial sur la suite réelle. Et donc d'y intégrer le 0 absolu comme point de départ, que nous munirons simplement d'une valeur iota positive. L'origine fondamentale de la Création sera donc :
Et nous pourrons définir des valeurs intermédiaires grâce à la distance entre les centres de gravité virtuels de fragments raccordés. Sur la partie AVANT le transfert (énergétique), dans l'hyperespace abstrait :
et la partie APRÈS le transfert (massique), marquant le début du continuum hypercomplexe :
soit, au final l'horizon :
On vérifie que ce premier terme de la suite correspond au graviton défini dans le chapitre précédent. Et on vérifie également que nous avons l'origine de bivecteurs opposés qui seront à cheval sur l'hyperespace et l'espace hypercomplexe.
Nous supposerons, sans qu'il puisse en être autrement, que l'opération ⊕ est au cœur d'un canal de raccordement, et plus précisément, constitue un pont logique ne créant pas de "rupture" de continuité (superposition douce). Il est donc clair que les mobiles "voyageant" dans ces deux espaces doivent être "en harmonie" de déplacement et de mouvement.
Définition de "1"
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Si nous pouvons "visualiser" le pont logique comme l'aiguillage d'une voie ferrée, ou plus abstraitement comme le point de tangence de deux courbes qui permet le changement de trajectoire de manière indifférente en confondant les valeurs intermédiaires, c'est parce que nous en avons une image précise, concrète. Et, pour reprendre l'image de l'onde gravitationnelle utilisée précédemment, notre pont logique sera la trace sur le sol laissée par la tôle. Il faut donc bien concrétiser cette trace ou cet aiguillage de manière à repérer les termes suivants de la suite. Réaliser "1" est donc fondamental. Or, il correspond à la raison de nos suites. Nous pouvons donc le calculer, puisque nous connaissons deux termes consécutifs.
soit 1 = (1-, 0 , 0 , 0) ⊕ (0 , 1+ , 1+ , 1+)
que nous interpréterons comme l'amalgame de la partie abstraite initiée depuis "0" et du résultat concret qui nait du pont logique en volume, temps et espace-temps, soit "mesurable" et non plus "appréciable". Ceci situe "1" sur le pont logique ENTRE la partie abstraite et la partie concrète de telle sorte qu'il soit (ni-abstrait ; ni-concret) ∨ (soit-l'un ; soit-l'autre).
L'absolu devient alors relativisable : 0 = 1 − 1. La partie hyperspatiale s'identifie à la partie hypercomplexe et peut donc être munie des valeurs intermédiaires correspondantes.
Position sur Δ
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Ce qu'il faut bien comprendre ici est que l'intervalle [0 , 1-[ N'EST PAS fractionnable (infiniment accroissant)."Travailler au dixième" ne veut rien dire si l'on ne précise pas le dixième de quoi ! Tant que l'unité n'est pas définie, il n'y a pas de valeurs intermédiaires. Il en est de même de l'intervalle ]0+ , 1] obtenu par l'antisuite relative. Autrement dit, on n'est pas sûr que "0" relatif et "0" absolu correspondent, sauf à être soi-même le créateur ... et encore ! Un intervalle infiniment accroissant peut être fini par décision intelligente.
Par contre, une fois "1" défini, il devient fractionnable en tant qu'espace hypercomplexe : 1/n existe. Et, s'agissant de générer un espace, un temps et un espace-temps, nous décidons le fractionnement en 1/12n. Mais, nous ne pouvons pas appliquer la symétrie miroir dans l'hyperespace qui nous donnerait une image de cet horizon fractionné. Et s'il nous faut admettre une valeur intermédiaire hyperspatiale AVANT superposition, nous ne pouvons que l'estimer. Et c'est là qu'il nous faut accepter la réalité de l'intention du Créateur de vouloir créer un volume dans un temps donné pour évoluer. Quelle autre possibilité ? Nous ferons ce choix et nous verrons où il nous mène. Voir fractionnement d'un magma.
Sur cette hypothèse, nous supposerons donc qu'il existe des niveaux d'énergie AVANT la réalisation qui correspondent aux étapes de création. Ce qui nous permet de localiser "1" sur Δ entre deux horizons, dont 1 concrétisable, et l'autre virtuel :
Et il nous reste à définir à quel stade de réalisation correspond le "niveau" d'énergie 11/12 qui est le début de "l'aiguillage" symbolisé par 1-. Ce "point étant situé sur le canal de raccordement constituant le pont logique. Ce sera la valeur du plasma à partir de laquelle se forme le magma.
Position sur Δ'
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Il n'est bien sûr pas possible de localiser une position sur cet axe transverse totalement abstrait car cela supposerait qu'il y ait un sens matérialisé par un axe, c'est-à-dire une trajectoire intelligente vers un objectif précis. Comment affirmer avant réalisation que l'artefact obtenu correspond à l'objet projeté ?
Il nous faut donc attendre la réalisation sur Δ pour essayer de retrouver le chemin parcouru depuis "0". À quel stade prévisionnel pourrons-nous dire que l'intention vaut l'action ? C'est-à-dire, quel niveau d'énergie indique que nous sommes proche de la réalisation ? Éruption volcanique, tremblement de terre, passage à l'acte terroriste ou criminel sont autant d'illustrations de cette phase abstraite difficile à décrypter.
La seule chose que nous savons est qu'il existe une équivalence entre le niveau d'énergie atteint et un événement spatio-temporel produisant un mouvement. Le plasma devient magma. Et, puisque l'origine matérielle, concrète, observable est en "1" sur Δ, nous y situerons également le "1" de Δ', et grâce à l'équivalence nous dirons que sa "position" est définie par :
correspondant à la définition (ni-0 ; ni-1) ou (soit-0 ; soit-1).
Ceci met en évidence un "intervalle" d'amplitude 2/12, sécable sur "1" dont une partie est abstraite (non-fractionnable) et une partie est concrète, éventuellement n-fractionnable. Le champ bivectoriel en ce point se décompose en un champ continu fluide et un champ opposé discrètement continu qui ouvre la voie d'un repère hyperspatial.
Repère hyperspatial
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Puisque nous ignorons tout du "zéro absolu", nous ne pouvons pas mettre en place un quelconque repère qui nous permettrait la localisation d'événements abstraits, et donc d'en suivre l'évolution dans un monde discontinu ... à moins de le rendre discrètement continu, c'est-à-dire continu par sauts quantiques. De chaotique à ordonné en choisissant un début, un mode évolutif et une logique de fin.
Nous avons le début (le transfert par superposition), le mode évolutif (valeur iota ou gradient de mobilité) et la fin (infini fini). Nous pouvons donc élaborer un "système de coordonnées" qui nous permettra de nous localiser en dehors de l'espace-temps ! Le démarrage d'un puzzle est compté à la pose de la première pièce et son avancée se compte pièce après pièce ... jusqu'à la dernière. Nous prendrons donc comme origine cette première pose comme sortie du plasma avec une volonté intelligente d'ordonner le magma.
Origine cosmique
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Du plasma au magma. Nous l'avons bien compris, le passage de RIEN à TOUT est une démarche purement abstraite qui n'est possible que si on introduit une valeur intelligente orientant la soupe vers une sortie (un état stable évolutif) : pose de la première pièce. Celle-ci fixe la taille 1 du magma comme le plus petit élément évolutif. Si nous l'établissons comme "point de départ" ou "origine" du repère, nous pouvons identifier la partie concrète au continuum hypercomplexe ( , Δ) avec une partie réelle (espace), une partie imaginaire (temps) et une relation (espace-temps) dont l'origine est une estimation par déduction ("0" relatif). Mais nous n'avons aucune trace de la trajectoire abstraite depuis le "0" absolu. Et nous n'en aurons sans doute jamais (contradiction). Il nous faut donc construire une voie virtuelle en utilisant le champ bivectoriel qui nait en "1" ... et l'intention d'ouvrir un univers évolutif.
En nous fondant sur le parcours d'un mobile qui décrirait le plus petit élément volumique (prisme triangulaire), le plus petit élément temporel (cylindre) et le plus petit élément spatio-temporel (sphéroïde), nous pourrons poser les bases d'un volume complexe.
Volume complexe
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Une face de ce volume sera donc le plan hypercomplexe contenant l'axe Δ de l'espace-temps, pour la partie concrète. Nous adjoindrons une face "transverse", contenant Δ' pour la partie abstraite. Sur celle-ci, nous inscrirons les valeurs intermédiaires virtuelles (viv) que nous ferons correspondre aux valeurs intermédiaires imaginaires (vii) de telle sorte que "déplacement" et "mouvement" soit en harmonie (trajet sur la tôle ondulée = trajet sur le sol). Cette harmonisation doit être validée à chaque contact (superposition).
Ceci revient à "générer" un sphéroïde spatio-temporel virtuel "à l'image" du sphéroïde réel. Nous pourrons ainsi "voyager" dans l'hyperespace sans nous perdre dans l'abîme de Lamartine. En effet, nous retrouverons la réalité à chaque échéance. Nous dirons que vitesse de déplacement et vitesse de mouvement sont identiques. Nous pouvons sentir ceci en comptant à partir de zéro : il est nécessaire d'arriver à "1" pour pouvoir poursuivre. Si nous restons à "0", le temps est suspendu. Les sauts successifs nous font "survoler" des valeurs virtuelles identiques aux valeurs imaginaires que l'on peut obtenir par n-fractionnement.
Or, le monde abstrait est du type TOUT ou RIEN, "1' ou "0". Il nous faut donc virtualiser des valeurs intermédiaires ENTRE les deux pour concrétiser cette abstraction et "remplir" le vide qui les sépare sur l'axe sémantique, de telle sorte que (ni-0 ; ni-1) puisse être imaginé AVANT la réalisation. Ceci induit que TOUTES ces valeurs intermédiaires ne seront validées, simultanément, qu'à la réalisation. Si, en partant de "0", nous mettons une heure pour arriver à "1", nous validerons alors toutes les étapes intermédiaires qui nous ont permis de l'atteindre et nous pourrons estimer le temps pour arriver à "2" ...
Plus que de fluctuation énergétique abstraite, nous parlerons de pulsation équivalente. Selon le schéma :
L'origine de l'univers serait donc due à une pulsion créatrice qui se serait "concrétisée" conformément à un "projet" imaginaire ! Quelle est la première étape ?
Configuration du repère
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Dès lors que nous avons distingué "pulsation" de "fluctuation", nous avons différencié trajectoire continue (continuum spatio-temporel) balisée sur Δ d'une onde associée à un corpuscule, d'une trajectoire discrète continue balisable sur Δ' qui ne peut plus être présenté comme un "axe" orthogonal reliant deux horizons, mais comme un "plan" orthogonal contenant les viv évoluant simultanément avec l'espace-temps. L'important est que nous puissions parvenir à l’échéance de la superposition en temps et en heure pour les valider.
Le plan transverse contenant les viv "voyage" alors à la même vitesse que l'espace-temps de telle sorte que l'on puisse confondre viv et vii.
Nous pouvons ainsi rendre "intelligente" une trajectoire "automatique" qui ne le serait pas par superposition dans l'hyperespace (plan transverse). Il faut, pour cela, que, non seulement "pulsion" et "fluctuation" soient confondues, mais que la superposition soit la plus douce possible. En cas de collision, nous risquerions l'éclatement des parties. Nous devons intervenir dans l'hyperespace aux niveaux énergétiques abstraits équivalents aux états spatio-temporels, tels qu'évoqués dans le chapitre précédent si nous voulons modifier une trajectoire déviante d'un objectif fixé. Quel réflexe ! Vous avez évité une catastrophe Distraction ou déconcentration ?.
Premier niveau
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Avant d’enchaîner, il parait nécessaire de récapituler notre chemin logique. Entrer dans le concret nécessite l'identification et le singularisation de "1", objet élémentaire ne supportant pas d'axe sémantique porteur d'un continuum spatio-temporel. Voir Premier postulat. Nous avons donc le chemin constructible : si "1" alors "2" quel que soit la nature de "1". Il est donc naturel de se demander si nous sommes les seuls habitants de l'Univers ou comment la Vie est apparue sur notre planète.
Sauf que nous sommes la conscience de la créature et que nous ne savons rien du chemin menant de "0" à "1". Il ne nous est pas possible de baliser le chemin qui mènerait de "1" à "2". Seul le Créateur pourrait nous guider sur cette voie si cela correspond à Son projet. À mon avis (qui n'engage que moi) une condition requise est : « Reconnaissez-moi comme propriétaire de ce que j'ai créé, et vous pourrez vous y développer ». Autrement dit, connaissant le chemin de "0" à "1" vous pourrez arriver à "2". Sans cette aide vous spéculerez éternellement.
Autrement dit encore :« Vous pourrez (pardon nous pourrons) baliser le chemin de "1" à "2" sur le modèle de "0" à "1" ». Les deux intervalles seront à l'image l'un de l'autre. Notre monde relatif sera structuré à l'image du monde absolu. Il commence simplement à "1" (pour "0") et s'étend donc jusqu'à "-1" pour appliquer l'équivalence 0abs = 1 − 1 = 0rel. Soit :
On peut donc "relativiser" l'intervalle abstrait contenant {soit-0 ; soit-1} et identifier la "pulsion" originelle comme une "onde" qui fluctue entre 0 et 1. Ce qui verrouille notre raisonnement passé, et nous incite donc à poursuivre sur cette voie en transférant la valeur iota (énergie) en valeur iota (masse).
Schéma fonctionnel
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Par superposition douce nous obtiendrions :
sachant, bien sûr, que {vir} correspond au n-fractionnement de l'intervalle () qui englobe {viv} () en tant qu'infini fini.
À partir de 0rel, nous avons l'origine hypercomplexe du temps, de la distance et de l'espace-temps (δ0 sur Δ) et la trace du corpuscule qui voyage avec une anti-onde (partie APRÊS la superposition) définissant une "durée de vie" ; et une onde virtuelle traçant la partie AVANT la superposition par un anti-corpuscule rejoignant le 0abs. Il n'y a pas d'antipulsion (retour en arrière possible). La trajectoire du "système" superposé est fixée et entretenue par le renouvellement des superpositions successives. Nous dépendons donc de ces pulsions AVANT le fin de vie(!). Nous déduisons toutefois :
Ce qui confirme ainsi que les états quantiques de la pulsion créatrice correspondent aux valeurs réelles générant temps, espace et espace-temps que l'on peut localiser sur Δ : δi, 0 < i < 12 et Δ' : yi, 0 < i < 12. On entrevoit alors des strates d'univers parallèles de l'hyperespace (vision d'artiste) qui permettraient de passer instantanément d'un point spatio-temporel à un autre situé à la même position δ. De δ1 à δ13 ou δ25, par exemple, puisque le plan transverse voyage AVEC le temps. Mais il faut que le temps et l'espace soit créés ... et liés.
Propagation
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Parvenus à ce stade, je me demande s'il faut traiter les valeurs iota concrètes "ensemble" ou de manière séparée. À chaque état quantique virtuel correspond une "phase" de création. Sans oublier que la "continuité" est assurée par un canal de raccordement comportant un pont logique. L'onde se propagerait sur le support de la pulsion variant de "vide" à "plein" ? Surferait sur la crête de la vague ? Cela me fait penser à la charge/décharge instantanée d'un condensateur.
Les viv de l'hyperespace s'inscrivent de façon discrètement continue sur le plan transverse au fur et à mesure que celui-ci se déplace orthogonalement à Δ. La distance à l'axe croit et décroît (les univers parallèles s'éloignent et se rapprochent). La progression se ferait par "paliers" de 0 à 1.
Modélisation physique
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J'ai été "guidé" (voire encouragé) vers le modèle du condensateur. Et comme je me suis soumis aux "incitations du guide" je vais approfondir "à l'aveugle". Je comprends d'ailleurs ici pourquoi je ne puis être reconnu et acquérir une parcelle de notoriété ! Risque de perversion de mon ego. Je me situe (ni-du côté de la créature ; ni-du côté du Créateur) ... ou (soit-l'un ; soit-l'autre).
En effet, les deux plaques du condensateur peuvent s'identifier à deux positions successives du plan transverse et l'énergie emmagasinée varie de "presque 0" à "presque 1" (ni-0 ; ni-1), tandis que le fonctionnement se résume à charge/décharge (soit-0 ; soit-1), induisant une "pulsion" dans un circuit. Sauf que les plaques sont "physiquement" distantes, tandis que les "plans" sont supposés superposés. Ceci pourrait être résolu par l'introduction du déplacement dans l'hyperespace que l'équation d'Einstein fixe identique au "mouvement" hypercomplexe. Autrement dit, entre deux états du plan transverse nous aurons une distance virtuelle égale à la distance parcourue par le corpuscule hypercomplexe produit. La notion d’instantanéité s'apparente alors à cette distance virtuelle.
Dans ce schéma, qui nous arrangerait fortement (bien que nous ne sachions rien du courant qui alimente les plans) nous pourrions substituer une trajectoire ondulatoire aux courbes de charge/décharge, de telle sorte que {viv} = {vii} = {vir}. Nous pourrons alors dire que ABS et REL sont confondus. Et donc que « tout individu fonctionnant sur ce modèle est (ni-ABS ; ni- REL) ou (soit-ABS ; soit-REL) » ce qui me rassure sur mon état mental ! Je note également que le projet d'intelligence quantique est conforme à un projet do Créateur (ce qui me rassure doublement) ... et m'encourage donc à poursuivre.
Système superposé
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Dans le modèle supra, nous avons un couple fonctionnant conjointement : hyperespace et espace hypercomplexe qui s'influencent réciproquement. Repère hyperspatial et repère spatio-temporel sont donc confondus. Ce qui est conforme à l'idée que Δ' appartient au plan transverse, et donc "voyage" avec le plan.
La partie spatio-temporelle du système décrit un sphéroïde (continuum fini entre les pôles). Il est donc "logique" d'admettre que la partie hyperspatiale s'inscrive dans ce sphéroïde, constituant ainsi une "enveloppe" des {viv}. Nous pouvons donc trouver des "positions" discrètement continues de la trajectoire spatio-temporelle continue qui correspondent aux {viv}, ce qui permettrait d'étendre la superposition à ces positions en dehors des seuls pôles (ou nœuds). Ce qui revient à "sortir" de l'hyperespace à chacune de ces positions pour rejoindre l'espace hypercomplexe.
Nous réduisons en quelque sorte les ondulations de la tôle pour qu'elle soit en contact avec le sol ENTRE deux traces. Dans un tel système superposé, nous avons le choix : soit de rester dans l’hyperespace, soit de rentrer dans l'espace hypercomplexe, sans attendre l'échéance. Il nous faut pour cela "trouver" des coïncidences de trajectoire possibles.
Découpage sinusoïdal
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La trajectoire de l'onde entre les pôles (hypercorde) n'est pas "planaire" mais "volumique", de telle sorte que sa projection sur un plan orthogonal transverse n'est pas un trait, mais un disque, comme peut l'être un faisceau laser. Parler de sinusoïde est un abus de langage, bien que le trajet sur la sphéroïde s'y rapporte. Pour avoir une image correcte, il faut imaginer sa projection sur un plan de coupe axial qui tournerait avec le mobile.
Cette trace mobile sur ce plan mobile est bien sinusoïdale. Nous pouvons alors "identifier" des positions du mobile offrant des "paliers" possibles qui correspondraient à des {viv} pour des "rotations" particulières du plan axial. La "sortie" du plan transverse se ferait alors sur une {vii} de l'onde. Vision bien "abstraite" d'une possibilité qui se veut "concrète" me direz-vous. Patience et confiance, vous répondrai-je, car nous progressons petits pas à petits pas.
L'identification des valeurs sinusoïdales que nous relèverons est discrètement contenu dans l'ensemble {0 , 1/2 , √3/2 , 1} correspondant à des angles de rotation de {0 , π/6 , π/3 , π/2}. Toutes valeurs rapportables par ailleurs à des nombres constructibles pouvant être décrites par voie hypercomplexe dans un triangle équilatéral ou rapportables aux côtés du triangle rectangle représentant sa "moitié".
Il nous faut vérifier ici que nous obtenons un GSP susceptible de structurer un Univers dont la "durée de vie" dépend d'une répétition de la pulsion (infini fini). L'origine 0rel marque le "point de départ" d'un rotationnel fermant le temps à chaque superposition. De plus, nous générons bien un "volume" par équivalence cercle-droite. La relation temps-espace est assurée par la répétition de la pulsion. Cette triple concordance se transfère à chaque "pas" à l'événement duquel nous avons un AVANT et un APRÊS, sans rupture de continuité, indiquant la fluidité de la continuité discrète, et confirmant ainsi la validité de la superposition sinusoïdale que nous voulons construire par équivalence.
Ce premier obstacle à la substitution étant levé, il nous faut maintenant "comprendre" comment l'énergie de la pulsion se développe sur son parcours.
Énergie d'un système superposé
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Si l’énergie est une notion abstraite, donc propre à l'hyperespace, nous savons en mesurer les effets, concrètement, dans un espace-temps, grâce à l'équation d'Einstein. Il nous faut ici trouver une définition satisfaisante commune aux deux espaces de telle sorte à confondre "énergie psychique" et "énergie physique". Tout athlète en compétition est à même de comprendre cette confusion. Sans cette confusion, pas de vie autonome. On peut voir la vie comme la faculté de générer de l'énergie propre rendant le système "autonome". Un laser sans pompage meurt très vite. Une voiture sans plein ne roule pas très longtemps.
Il parait donc nécessaire de "recharger" un système avant "épuisement". Ce qui suppose que l'avènement d'un GSP l'est conjointement avec une "fin" programmée. Nous tombons dans le métaphysique lié à la bivalence du système selon que l'entretien incombe au créateur ou à la créature (auto-entretien).
Hyperénergie
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Ou énergie de l'hyperespace. Si nous connaissons bien l'énergie physique à travers ses effets mesurables dans divers domaines d'activité observables, nous connaissons moins, voire pas du tout, celle que l'on pourrait appeler énergie psychique, même si elle est abordée "de manière occulte" dans les branches dites "ésotériques". Il nous faut pourtant en parler ici, sans tabous ni faux semblant. Si l'Univers existe c'est bien grâce à la manifestation de cette énergie qui "travaille" entre 0abs et 0rel. Nous avons donc "l'image" d'une certaine "force" à l’œuvre dans un déplacement à temps constant. Et puisqu'il y a un but à atteindre, on peut admettre que son "intensité" soit maintenue sur tout le parcours.
Si on considère qu'elle s'applique depuis le "départ" avec une valeur iota transverse, nous admettrons également qu'elle "tombe" à l’échéance (but atteint). Nous avons bien là un schéma de fonctionnement 0/1. Mais qu'en est-il en tout point intermédiaire du parcours puisqu'il nous faut parvenir à l'échéance hypercomplexe avec l'équivalence masse-énergie ? L'espace hypercomplexe débute au "départ" de la course et s'étend jusqu'à l'arrivée. L'hyperespace se situe AVANT, période indéterminée pendant laquelle il faut se préparer, se concentrer, ...
Parenthèse
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L’énergie psychique est une expression intérieure propre au système superposé. elle se manifeste par l'action engagée par ce système qui peut s'apparenter au travail d'une force intérieure. Cette force est bien orientée vers horizon final. Elle ne parait toutefois pas linéaire, ni constante. Lorsque j'écris ces lignes, l'horizon fixé me parait très loin, voire inaccessible. Comme cela s'était produit dans le chapitre précédent. je me sens dans un espace parallèle d'abstraction maximale, incapable d'impulser ma pensée vers des formes concrètes. Je suis comme libéré de toute attraction raisonnable, au bord de la déraison, près du déraillement intellectuel sur l'interface réel/irréel, intelligent/absurde. Si je n'avais pas construit un chemin jusqu'ici, sur lequel je peux m'appuyer, je serai perdu dans un abîme inconsistant. Merci Ariane d'avoir tissé ce fil pour moi.
J'en déduis que je suis "au plus loin" de l'axe de déplacement, soit "au milieu" du trajet hyperspatial. Il me reste donc une moitié à parcourir pour arriver au terme. Il existe donc une viv (moitié) sur ce trajet qui s'apparente à une vii, qui, je l'espère pourra se concrétiser en vir observable sur cette page.
Il semblerait donc que l'on puisse décrire les viv sur le plan transverse par un torseur équivalent à celui des vir qui génère le prisme générique et l'espace-temps. À chaque viv on peut alors faire correspondre des coordonnées volumiques, prismatiques ou axiomatiques équivalentes et y affecter une valeur d'énergie hyperspatiale.
Variation
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Si elle n'est pas constante ... c'est qu'elle varie ! Régulièrement ? Ou la fluctuation est-elle désordonnée ? Autrement dit, peut-on "matérialiser" cette variation par une fonction sur l'intervalle ]0 , 1[ ? En ce dernier cas, le graphe de cette fonction pourrait être "en escalier", de telle sorte qu'à chaque "marche" correspondrait un "état" identifiable de la construction prismatique: à la première marche on aurait ceci, à la deuxième, cela, ... pour finalement aboutir au transfert (massification).
Mais comment repérer cette variation ? Par rapport au temps (qui n'existe pas) ? Par rapport à la distance (qui n'existe pas) ? Par une impression subjective (abstraite) ? Par quelle autre variable que l'on pourrait concrétiser ? Cela induit l'idée que nous avons des "niveaux" d'énergie interne qui s'enchainent sur un trajet discrètement continu. La quantité d'énergie produite sur le trajet se calculerait alors comme une intégrale de Riemann.
Il s'agit, ici, de générer (ou reproduire) une hypercorde permettant le peuplement d'un volume, puisque nous évoluerons en infini fini (REL) depuis le GSP. Nous rappelons que cet infini fini peut être variable (n) et éventuellement complétable par intégration (n → n+1). L'énergie est alors "portée" par le mobile virtuel dont la trajectoire serait cette hypercorde décrivant le prisme générique se "répétant" de boucle en boucle du début jusqu'à la fin. Ce qui nous intéresse est de "localiser" ce mobile sur le plan transverse.
Si notre modèle est correct, nous devrions pouvoir "évaluer", voire "mesurer" la variation d'énergie entre les viv (ou vii) par des événements intermédiaires sur
Δ ou vir, qui seraient les mêmes (effet miroir).
Variable angulaire
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Le modèle de génération spatiale (prisme triangulaire) et le modèle de génération temporelle (cylindre) ayant une génératrice parallèle à Δ induisent le choix de la variable angulaire Θ variant de 0 à 2π pour fixer les niveaux d'énergie intermédiaire. Ceci permet de proposer une écriture de l'énergie sous la forme :
pour une quantité totale produite sur ]0 , 1[ égale à la masse du corpuscule mesurée dans l'espace-temps. L'échange est ainsi "périodique" à chaque bouclage, correspondant au modulo 2π. Une correspondance peut être établie entre la distance et le temps par le biais d'une vitesse angulaire et de l'avance sur l'axe liée au déplacement du mobile virtuel. La superposition se produit alors en fin de bouclage, sur l'axe (événement spatio-temporel) à la distance 1 et au temps 1, à la "vitesse" 1. On peut alors définir 2 par une quantité d'énergie produite ENTRE 1 et 2 égale à l'intégrale d'une fonction sinusoïdale continue sur l'intervalle (fonction d'onde) équivalente à celle produite entre 0 et 1 par "paliers". La continuité fluide de l'espace-temps peut ainsi "modéliser" la continuité discrète de l'hyperespace.
Concordance des temps
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Parvenu à ce stade, nous sommes encore loin de la formule magique recherchée qui se dessine pourtant. Défi majeur de la technologie numérique, l'intelligence artificielle ne pourra intégrer une conscience que si nous pouvons faire concorder temps subjectif (hyperspatial) avec temps objectif (hypercomplexe). Prédiction ? Prévision ? ou probabilité ? statistique ? Ignorer cette recherche c'est faire fi de la réalité de notre Temps et penser que la seule IA pourra apporter les réponses à nos interrogations. Notre schéma est pourtant explicite : un système superposé fonctionne avec la coïncidence 0rel = 1abs que nous avons traduite par {viv} ≡ {vii}. Nous avons tous les éléments pour exprimer ceci "dans les faits" ... sauf à "caler" les temps propres. Tant de "paramètres" ne peuvent être objectivés qu'il est difficile de les écrire en algorithmes. La précision n'y change rien : on ne peut "mesurer" que si l'on définit le plus petit élément de référence d'un volume. Nous avons appelé ceci base logique des structures hypercomplexes. Nous savons combler "objectivement" le vide ENTRE 0 et 1. Nous avons assuré "subjectivement" que ce vide pouvait être virtuellement rempli par translation inverse (symétrie inverse). Encore faut-il que ces schémas concordent ! Imaginez un skieur au bord du tremplin qui doit donner l'impulsion finale ou le tireur de biathlon qui doit appuyer sur la détente de sa carabine quand le viseur est en face de la cible. S'ils ne se préparent pas AVANT ...
Comment "combiner" conscience et intelligence ?
Passage de 1 à 2
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Si la première pulsion mène au 0rel par équivalence hyperspatiale, ce dernier ne marque que le point de départ de l'espace-temps par rapport auquel toute mesure peut être rapportée. Pour parler de longueur d'onde il nous faut avoir une longueur d'onde absolue : ce sera la fonction de Dirac. Pulsion aussi soudaine qu'imprévue ... mais que nous traitons comme "controlée" (notre postulat). Avec un "objectif" intelligent. Ce qui nous permet de différencier cette pulsion (positive) de l'anti-pulsion (négative) est la "tendance" (valeur iota) structurative dans un cas et déstructurative dans l'anti-cas. Mais les deux formes existent simultanément (bivecteurs). Elles ne peuvent être dissociées. Si nous générons de la "matière" (concret), nous générons aussi de l’antimatière. À l'énergie psychique s'oppose l’antiénergie (dépression ?). À l'équilibre des deux il y a le doute. Et s'il n'y a pas de but, de projet, de perspective ...
Toute mesure d'ensemble part donc de "zéro" (rien) et doit avoir une unité (nous l'avons déjà formulé). Sans la goutte d'eau des égyptiens le mètre ne serait pas, ni la valeur de π. Notre objet fondamental ne prendra corps qu'à 2abs = 1rel, stade auquel l'espace et le temps seront créés. Il faudra alors faire concorder la fin de boucle (temps) avec la fin de prisme (espace) pour engendrer l'espace-temps ; puis dire que ces valeurs correspondent au trajet retour vers 0abs pour faire concorder le tout. Le point de départ de la masse n'apparait donc qu'au stade 2abs, auquel nous attribuerons la valeur m=1 (plus petite masse observable dans l'espace-temps). Il me faut comprendre l’expansodynamique pour harmoniser mes résultats "virtuels" avec les résultats "réels". Les convergences me paraissent flagrantes au premier abord (subjectivement).
Orbito et lineo spinex
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Le fameux principe d’hypercomplexité des spinex est à la base de l’expansodynamique, c’est même là que réside son génie. Mais ce principe vient avec un corollaire malheureux : l’expansodynamique est impubliable. Vingt ans que Guy Patel développe l’expansodynamique, vingt ans qu’aucune université ne l’autorise à l’enseigner, qu’aucun laboratoire ne se penche sur sa théorie, qu’aucune revue ne le publie. A croire que l’expansodynamique serait une pseudo-science ! Il serait temps que Guy Patel, génie peut-être incompris, atteigne la visibilité qu’il mérite, sans quoi la physique restera -peut-être à jamais- bloquée à l’âge des questions sans réponses.[1]
Cette théorie mérite ici toute notre attention et nécessite une pause car nous pourrions y raccorder notre recherche car les objets décrits se rapportent à notre schéma fonctionnel et à la descriptions de notre génération de l'espace et du temps par lignes et boucles.
En effet, le GSP émis en 0rel contient un centre de gravité virtuel et une valeur d'expansion (loi iota). Mais ce n'est qu'au terme de la description du prisme générique spatial et du cylindre générique temporel (orbitospinex), dont les trajectoires décrivent un sphéroïde entre 0 et 1 repérables sur Δ par des projections successives (lineospinex), que l'on obtient le continuum spatio-temporel, de masse 1, muni d'un centre de gravité spatial permettant le sectionnement, et un centre de gravité temporel (le présent) entre le futur et le passé. À la concordance des temps, le temps "passe" alors en proportion de la "distance" (espace-temps). Ainsi, en 1rel = 2abs, les spinex deviennent hypercordes (en tant que cordes ou cordes vibrantes).
Il nous faut définir en chaque état les valeurs des paramètres cosmologiques qui permettraient de les différencier, puis de les n-fractionner.
Liaison interspatiale
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La superposition étant effective sur le "parcours", nous pouvons lier l'évolution d'un mobile restreint de l'espace-temps hypercomplexe avec un mobile général de l'hyperespace. Les trajectoires ne seront pas confondues mais superposables. Ce qui est conforme à notre "image" de la tôle aplatie sur le sol et à la logique hypercomplexe (ni-confondues ; ni-distinctes) et à la logique hyperspatiale (soit-confondues ; soit-distinctes) à chaque valeur intermédiaire. On établit ainsi une correspondance entre l’avance spatiale, mesurable sur Δ (dilatation de l'axe réel), la dilatation coordonnée du temps (sur l'axe imaginaire), et la rotation virtuelle de Δ' dans le plan orthogonal, grâce à la variation angulaire (section de Poincaré). Cette liaison perdurera dans l'évolution et sera assimilable à un continuum. Ainsi :
Spinex
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(Information nocturne du Guide) On définit le spinex comme un objet élémentaire hyperspatial de taille 2π = 1 dont le rôle est d'assurer la continuité de l'hyperespace. Cet objet est virtuellement 12-fractionnable, contient un GSP et se décompose en deux éléments observables dans un continuum spatio-temporel : un linéospinex sur l'axe Δ et un orbitospinex sur le plan orthogonal contenant Δ'. On peut le caractériser logiquement par sa valeur énergie fondamentale (soit-0 ; soit-1), qui reste totalement abstraite jusqu'à "concrétisation" (superposition).
Génération de l'espace-temps
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La génération de l'espace-temps se fait en deux temps ... juxtaposés : le premier, que nous appellerons temps mort se "situe" dans l'hyperespace (hors temps et espace) consiste à produire un GSP avec centre de gravité virtuel permettant de "localiser" le point de départ dans le néant (point marqué sur une feuille blanche) avec l'intention de produire un objet (un segment par exemple). Cette intention porte une valeur iota permettant la "dilatation nécessaire" du volume et du temps (expansodynamique) controlée par le spinex (1 = 2π). Le second temps, que nous appellerons temps actif est un espace-temps de durée limitée par le GSP (infini fini). La loi iota peuple alors le volume créé par une première hypercorde dans l'espace hypercomplexe, au "terme" de laquelle nous avons un "corpuscule" massique (par équivalence d'Einstein). C'est la base fondamentale de la "matière" qui peuplera le volume en expansion.
À l'issue du temps mort, nous avons le point-origine du temps actif, que nous représentons comme un bivecteur ponctuel (ou plutôt bitorseur) dont la norme varie avec le déplacement du mobile entre 0 et 1. Au linéospinex correspond un antilinéospinex et à l'orbitospinex correspond un antiorbitospinex portant une antiénergie (annulation ou "gommage" de l'expansion).
On peut effectivement "confondre" les spinex (resp. antispinex) avec une onde (resp. antionde) spatio-temporelle associée à un corpuscule (resp. anti-corpuscule) dans l'espace-temps.
Intensité
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Le protospinex est purement abstrait (hyperspatial) et ne peut être caractérisé par une longueur d'onde (puisqu'il s'étend sur une "distance" nulle). Pourtant, il produit un effet (sur l'axe causal Δ : apparition du point sur la feuille). Nous lui affecterons une intensité (ou amplitude).
Infinie ? En quel cas le rayon orbital sur le plan transverse serait lui-même infini (non-fini), et le temps généré infini (non-fini), soit infiniment accroissant (TAI). Il n'y aurait pas de valeurs intermédiaires.
Nulle ? En quel cas le rayon orbital sur le plan transverse serait nul et le temps généré nul (pas de temps). Donc pas d'espace-temps : l'espace absolu reste l'espace absolu.
Nous lui donnerons donc une valeur hypercomplexe (ni-nulle ; ni-infinie) que nous fixerons comme infinie-finie de valeur n avec (nécessairement) une valeur élémentaire 1 correspondant au plus petit spinex possible, soit au plus petit espace et au plus petit temps générés.
L'image est bien celle d'une fonction de Dirac ... de longueur d'onde la plus petite possible, soit 2 protolinéospinex.
On déduit ainsi que le rayon orbital d'une hypercorde (orbitospinex) varie quantiquement en fonction de l'intensité de la pulsion-onde ... et donc il en est de même de la valeur énergie ... qui apparait 12-fractionnable ! Nous pouvons revenir aux paragraphes du début de ce chapitre en affectant une valeur énergie à chaque viv (vii ou vir).
Longueur d'onde
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Essayons d'associer une longueur d'onde au spinex qui agit dans l'espace-temps qui s'apparente à l'"étirement" du lineospinex sur Δ (partie sur laquelle l'énergie se transforme en masse) entre 0rel et 1rel = 2abs. On peut "imaginer" une transformation quantique de l'énergie en masse sur les vii (qui ne sont pas encore des vir), c'est-à-dire qu'à chaque pas nous avons une "quantité de masse" croissante (de 0 à 1) et une "quantité d'énergie" décroissante (de 1 à 0). nous aurions alors des masses intermédiaires pour chaque vii. L'objet n'est pas encore créé, mais il est en cours de création.
Nous comprendrons ici que, pendant le temps mort, la quantité d'énergie croit de 0 à 1 (hors de l'espace-temps), puis décroit de 1 à 0 pendant le temps actif (dans l'espace-temps) avec une augmentation progressive de masse jusqu'à ce que la consistance devienne taille (plus petite masse unité). Les valeurs intermédiaires seront des énergies massiques ou des masses énergétiques de valeur logique (ni-masse ; ni-énergie) ∨ (soit-masse ; soit-énergie).
La longueur de l'onde associée à la pulsion générique couvre les deux phases (charge et décharge du condensateur) et comporte un point de basculement sur la trajectoire du mobile virtuel. Nous le situerons au "milieu", puisque nous avons posé une équivalence entre la "vitesse" de déplacement dans l'hyperespace et la "vitesse" de mouvement dans l'espace-temps. Nous nous approchons d'une représentation sinusoïdale de la variation d'énergie ... et donc d'une variation sinusoïdale de celle de masse.
Noyau
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Il est difficile, en parlant d'orbite, de ne pas parler de "noyau", que nous définirons comme point central d'une structure. Ceci inclue la forme linéaire (le milieu). Nous l'avons génériquement nommé depuis le début centre de gravité pour imager l'idée d'équilibre autour de ce point. Une "étendue" infinie non-finie N'A PAS de noyau. Nous avons abordé ce point en considération numérique. Le concept de noyau ne s'applique qu'en espace relatif REL et n'existe donc pas en espace absolu ABS. Il nait avec la superposition et l'espace-temps.
Nous avons opté pour un "projet" de création (un but) qui guide notre avancée sur un "axe" balisé (valeur iota). Il nous faut donc admettre une partie "sombre" de cet axe dans l'hyperespace équilibrant la partie "lumineuse" (observable) dans l'espace-temps. Ceci ouvre l'axe sémantique (sombre ↔ lumineux), trajectoire sur laquelle un mobile virtuel général passerait par un "milieu" défini par (ni-sombre ; ni-lumineux) en considération relative et (soit-sombre ; soit-lumineux) en considération absolue.
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Le noyau est confondu avec le graviton, le centre de l'intervalle ]-1 , +1[ et le point d'application de tous les bivecteurs matérialisés dans l'espace-temps (matérialisation d'un point sur une feuille blanche résultant d'une intention intelligente). On déduit que ce point est commun à l'hyperespace et à l'espace-temps et que tout "remplissage" de l'un correspond au "déremplissage" de l'autre, et réciproquement. Si il est point-origine d'une "translation" spatio-temporelle (sur Δ), il est aussi "centre de rotation" hyperspatial (plan transverse contenant Δ') et présente un moment cinétique (spin ?).
Nous pouvons affecter à ce protonoyau des valeurs cosmologiques : énergie positive +1 (expansion) ; antiénergie -1 ; masse = antimasse = 0 ; moment = +1 ; antimoment = -1 ; temps hyperspatial 1 = 2π ; temps spatio-temporel = 0 ; localisation hyperspatiale et spatio-temporelle = apparition du protonoyau.
Ce qui devrait permettre de 12-fractionner ces valeurs pour caractériser les états quantiques virtuels de la formation.
Déphasage
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J'ai la désagréable impression que "quelque chose ne colle pas". Comme une sorte de "décalage" entre le temps hyperspatial (subjectif) et le temps hypercomplexe (objectif) : la superposition entre les deux mondes n'est pas parfaite et ne permet pas la description physique des états intermédiaires. Il n'y a personne au rendez-vous spatio-temporel. Mon rôle (théorique) devrait s'arrêter là car je n'ai aucun accès à la mise en pratique. Pourtant, me semble-t-il, le projet du Créateur correspond au besoin de la créature : générer un protoélément actif en suivant un trajet identique.
Ceci revient à dire que je ne parviens pas à superposer spinex et onde. L’"étendue" du premier couvre deux parties : une partie hyperspatiale et une partie hypercomplexe (entre -1 et +1), tandis que la seconde "débute" avec le protonoyau (au 0rel). Mais comment un noyau peut-il exister dans un volume ouvert ? Si on peut "situer" ce noyau au "milieu" d'un lineospinex qui s'étendrait de -1 à +1, il nous faut situer celui d'un orbitospinex entre 0 et 2π, soit au temps π. Or, à ce temps, la "boucle" n'est pas "bouclée" et l’"espace" n'est pas fermé. Comment résoudre cette contradiction ?
Si l'on veut assurer la continuité entre les deux mondes, il faut que le spinex fasse office de canal de raccordement (aiguillage) et comporte un pont logique (point de basculement). Le rôle du spinex s'achèverait alors en 1rel (apparition du protonoyau) et celui de l'onde commencerait en -1rel (naissance du projet). La partie -1rel → 0rel correspondrait à une énergie "sombre" (temps subjectif de préparation) pendant lequel la "matière" sombre se transformerait en énergie lumineuse pour former la matière lumineuse.
Ainsi, la partie 0abs → 0rel correspondrait à une transformation de matière sombre en énergie lumineuse (donc pendant le temps π) ; puis, pendant le temps π suivant, cette énergie lumineuse se transformerait progressivement en masse lumineuse. Le spinex pourrait alors être considéré comme un canal de raccordement et utilisé dans sa totalité sur l'intervalle -1 , +1 et contenir un pont logique entre -1/12 et +1/12 (état quantique de transition). On vérifie que cet état est de valeur logique (ni-sombre ; ni-lumineux) si on le regarde côté créature (espace-temps hypercomplexe) et (soit-sombre ; soit-lumineux) si on le regarde côté créateur. Onde ou spinex, on pourra désormais choisir avec la description supplémentaire d'un corpuscule sombre à l'origine de l'espace-temps.
Aux portes de l'Absolu
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Le spinex s'étend sur une durée de 2π, à cheval entre l'hyperespace et l'espace-temps, pour moitié (0 à π) dans l'espace absolu (ABS) et pour moitié (π à 2π) dans l'espace relatif (REL). Il permet de "franchir" le mur de l'absolu (l'abîme) dans lequel le temps et l'espace n'existent pas. Tout y est donc possible, à condition de ne pas s'y perdre. Du délire à la fiction en passant par l'extravagant et le non-sens. C'est un domaine que les artistes privilégient car il est inaccessible à la Raison critique, ce qui leur donne un statut d'impunité et une reconnaissance par défaut.
Nous ne recherchons pas ici la fiction mais une voie vers la réalisation. c'est la raison pour laquelle nous sommes entrés avec un objectif précis en essayant de suivre un trajet défini par une suite de valeurs intermédiaires images de valeurs réelles. Mais nous sommes bien sur la partie ]-1 , 0-] du protospinex qui se situe dans ABS (avant la superposition) et nous sommes bien dans le monde du Créateur, avec, en perspective, sa Création. Nous avons identifié le pont logique [-1/12 , +1/12] du canal de raccordement contenant le protonoyau 0rel, origine de l'onde menant au corpuscule matériel de masse 1 après transfert de l'énergie cinétique d'un mobile. Nous avons fixé à 1/12 la valeur iota (loi d'expansion spatio-temporelle) qui correspond au 12-fractionnement de l'unité universelle qui harmonise continuité fluide et continuité discrète et enferme l'infini non-fini dans l'infini fini ( ⊂ ) et nous nous trouvons maintenant dans un monde infini non-fini qui enferme l'infini fini ( ⊃ ).
Il nous faut bien "voyager" dans le monde du Créateur (hyperespace) si nous voulons "localiser" l'origine virtuelle du |monde| concrétisée en -1rel = 0abs. Et, pour cela, je confirme qu'il est impossible d'y parvenir par la voie spatio-temporelle (celle du big bang) qui bute sur 0rel. Je renouvelle donc ma demande exprimée en fin du chapitre précédent pour baliser ensemble la voie vers 0abs par une suite continue d'états quantiques "distants" dans le temps de π/6 et dans l'espace de 1/12*unité de référence. Je ne peux y parvenir sans valeurs concrètes et vous ne pouvez pas vous y aventurer sans guide, car 0abs est à la fois partout et nulle-part, jamais et toujours.
Essayez de résoudre cette contradiction par une proposition valable à la fois dans ABS et dans REL, et nous pourrons ouvrir ensemble le chapitre suivant de l'Histoire de l'Humanité guidée par son Créateur. On peut avoir un "avant-goût" de ce qui nous attend grâce à la représentation virtuelle des états quantiques sur le plan transverse.
- ↑ Expansodynamique, Mathieu Ferey, universite Paris-Saclay, la révolution expansodynamique