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Discussion:L'écoumène numérique/Que faut-il entendre par numérique ?

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Dernier commentaire : il y a 6 mois par Lionel Scheepmans dans le sujet Court commentaire

Note sur le chapitre

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Ce chapitre apporte des informations pertinentes concernant la différence entre le numérique et l'analogique. Il prend également soin de mentionner certaines nuances, telles que l'erreur de parler de mondes virtuels lorsque nous souhaitons faire référence à des réseaux sociaux et autres, suscitant une réflexion concernant ce qui est réel ou fictionnel. Kassandra Parvais (discuter) 13 février 2024 à 22:29 (UTC)Répondre

Salut @Kassandra Parvais merci pour ce petit résumé. Quand je vous invite à laisser des messages sur les pages de discussion des chapitres du cours, c'est d'en l'idée d'y apporter une critique, un point de vue, ou une question, un complément d'information ou d'explication. Enfin, tout ce qui peut aider à améliorer le chapitre, l'enrichir ou alimenter les débats que celui-ci pourrait susciter. N'hésite pas d'ailleurs à prendre part à ceux qui naitront dans les autres sujets de discussion. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 22 février 2024 à 22:32 (UTC)Répondre

Notion essentiel à comprendre

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Une note qui donne des rappels essentiels. Dès qu'on étudie ces domaines, il est primordial de comprendre comment cela fonctionne, avant de partir sur tout travail. Et je suis parfaitement d'accord avec cette différenciation entre virtuel et numérique. Le jeu, l'objet, le code, l'impulsion électrique générée par un clic, tout cela est réel. Par contre, le scénario, l'univers imaginé, c'est ce qui constitue la fiction et le virtuel. Il faut me dire si je me trompe, mais Wikiversité me parait en cela bien plus réel que Le tour du monde en 80 jours. Même si j'ai adoré ce dernier. Rémi Maillo (discuter) 13 février 2024 à 23:38 (UTC)Répondre

Effectivement @Rémi Maillo. Le débat continue dans le post ouvert ci-dessous. N'hésite pas à prendre part au débat ! Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 22 février 2024 à 22:24 (UTC)Répondre

Espaces numériques et fictionnels

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Parallèlement à cela, il est aussi peu correct de parler de mondes virtuels, lorsque l'on fait référence à des espaces de jeux développés, ou tout autres environnements développés au sein de l'espace numérique. Les systèmes informatiques sur lesquels reposent ces jeux, ces réseaux sociaux ou autres, n'ont en effet rien de virtuel ni de fictionnel, pas plus que les interactions des usagers, ni toute l'infrastructure informatique qui rend la chose possible. Tout cela est bien réel et actuel et donc ni fictionnel, ni virtuel.

Je ne suis pas sûr d'être d'accord avec ce paragraphe. Des espaces développé au sein de l'espace numérique peuvent selon moi se voir qualifier de fictionnel (et éventuellement de virtuel). Le medium rendant l'espace fictionnel accessible se doit d'être non-fictionnel et matériel (qu'il soit analogue ou numérique) mais la nature de cette porte d'accès ne déconstruit cependant pas la nature même de l'espace fictionnel. Ce type d'espace, par nature, dépeint une réalité possédant un degrés de similitude variable qui diverge avec la nôtre. En plus de cela, Il possède également une fonction narrative exerçant un but de transmission. En ce sens un espace développé au sein de l'espace numérique peut être fictionnel. Et ce bien que nos interactions et ce qui en émerge ainsi que son support d'existance, eux, appartiennent au 'réel'. ExK0y (discuter) 21 février 2024 à 13:46 (UTC)Répondre

Merci @ExK0y ! Un avis contradictoire. C'est là que les échanges deviennent les plus intéressantes. Comme expliquer dans la Note d'introduction concernant les sciences humaines et sociales, pour bien débattre, il faut d'abord bien s'entendre sur les termes utiliser pour s'assurer que l'on partage tous la même définition. Le mot fiction est lié au mot fictif qui est son l'adjectif : « Qui n'existe que par imagination, qui est irréel. ». C'est donc l'aspect irréel qui me gêne quand on qualifie l'espace numérique de virtuel. Car on est bien d'accord que ce qui se passe dans l'espace numérique est à la fois bien réel et actuelle. Ça se passe concrètement et maintenant n'est-ce pas ?
Ta remarque m'incite à revoir le paragraphe. Car il est vrai qu'il ne faut pas faire l'amalgame entre contenu et contenant (Le médium). Ensuite, ça me mène à faire une analogie avec une pièce de théâtre ou un jeu de rôle grandeur nature. Est-ce que faire semblant est de l'ordre de la fiction ou du virtuel ? Et comment faire la part des choses entre le semblant et le sincère ? C'est parfois compliqué de s'en sortir avec les mots... Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 22 février 2024 à 22:22 (UTC)Répondre
Ta remarque @ExK0y est très intéressante, mais j'ai l'impression qu'il faut vraiment faire la distinction entre virtuel et fictif. Je prends l'exemple des jeux de rôle développés sur Discord. La partie fictionnelle tient à l'histoire construite, à l'imaginaire développé (je n'ai encore jamais pris de réel coup d'épée et pourtant mon personnage si). Mais cette fiction se développe dans un espace virtuel qui est malgré tout réel, il me semble (j'ai même l'impression que régulièrement le virtuel rend concret le fictif). J'ai l'impression qu'une des différences entre le fictif et le virtuel, et que le virtuel fait partie du réel. C'est une impression bien sûr, mais le réel se résume-t-il aux interactions et au matériel ? Rémi Maillo (discuter) 26 février 2024 à 09:49 (UTC)Répondre
Je viens de réécrire le chapitre en espérant être à la fois plus clair et plus précis dans mes explications. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 4 mars 2024 à 21:03 (UTC)Répondre

Notes sur les principes de l'antropo numérique

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Les six principe de l'anthropologie numérique nous offres un cadre intéressent pour examiner l'impact global du numérique sur notre monde . Ils mettents en lumière des aspects tels que la relation entre la nature et la culture, l'évolution de la société avant le numérique, ainsi que les implications politiques et sociales du numérique. Le chapitre nous donne une perspective importante sur le rôle omniprésent et de l'évolution constante du numérique dans nos société moderne. Ferrie Bachir (discuter) 17 avril 2024 à 09:24 (UTC)Répondre

Bonjour @Ferrie Bachir, je vois que tu n'as pas encore assimilé l'utilité de ces pages de discussion. Elle ne servent pas à faire un résumé de ce qui est dit dans le chapitre du cours, mais bien à apporter un commentaire ou une question qui permet d'améliorer son contenu ou d'approfondir la discussion surle sujet abordé. Est-ce que tu comprends ? Je te demande donc de répondre à ce message en apportant une réflexion personnelle ou une question. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 17 avril 2024 à 14:25 (UTC)Répondre
Bonjour, bien-sur enfaite je n'avais pas grand chose a dire. je reviendrais dessus des que j'aurais un commentaire pertinent ou une question a posai. Ferrie Bachir (discuter) 17 avril 2024 à 16:10 (UTC)Répondre
Parfait. Et pas de stress hein. Tu sais bien ! Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 17 avril 2024 à 16:11 (UTC)Répondre

Sur les 6 points que nous apporte l'anthropologie du numérique

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Bonjour, Je suis curieux de comprendre ce qu'il a été voulu par le mot "Relativisme culturel", et comment est-ce que l'anthropologie du numérique le renforce ? Par ailleurs, comment est-ce que l'anthropologie du numérique nous aide à comprendre le monde pré-numérique ? Et enfin, l'épistémologie des singularités adoptée par Singelton et le le laap rentre en tension avec le numérique et la notion du réel. En effet si l'on est nominaliste, la notion du réel que l'on perçois est une fabrication propre à chacun de nous. Percevoir est de facto fabrication, et donc un virtuel ? Quelle sont les implications épistémologiques de la naissance du numérique sur la philosophie nominaliste ? Younessf01 (discuter) 18 avril 2024 à 15:19 (UTC)Répondre

@Younessf01, quelle maitrise du jargon ! Et puis c'est chouette d'avoir du répondant.
Relativisme culturel... Je ne me souviens pas trop du contenu du livre, mais tu peux y retrouver quelques passages dans lesquels le sujet est abordé. Ça t'aidera peut-être. Ceci dit, cette affirmation a tout son sens à mes yeux. Il est en effet difficile de considérer ce qui se passe dans l'écoumène numérique avec la même logique, les mêmes repères, voir les mêmes attentes, que celles que l'on peut avoir dans l'écoumène terrestre.
Le numérique aide à comprendre le pré-numérique, exemple : dans cette section d'un cours d'anthropologie prospective en préparation, je tente d'expliquer voir de démontré, que les groupes humains qui se sont formés dans l'écoumène numérique à ses débuts, on eut des comportements similaires à ce que l'on connait des chasseurs-cueilleurs. Il serait donc possible qu'en analysant l'évolution des groupes humains au sein de l'espace numérique, on puisse établir certains apprentissages, par analogie ou autre, sur ce qui s'est passé dans l'écoumène terrestre. Un peu à la manière des anthropologues qui apporte une aide aux archéologues comme décrit précédemment.
« l'épistémologie des singularités adoptée par Singelton et le le laap », tu peux être plus explicite s'il te plait ?
Concernant le nominalisme, ma façon de le comprendre semble différente de la tienne, puisque si l'on prend l'article de Wikipédia comme référence, cette doctrine choisi précisément de placer l'ontologie dans le signifié et non dans le signifiant, en plaçant la nature dans l'objet et non dans les mots ou les symboles humains qui le signifient. Du coup, je ne vois pas où tu veux en venir en disant « la notion du réel que l'on perçois est une fabrication propre à chacun de nous ». Pour moi, le réel réside dans la chose, tandi que notre perception n'est qu'un image du réel que l'on se forge à l'esprit. Un peu comme dans le mythe de la caverne que tu dois connaitre certainement.
Ensuite, je me demande si tu ne confonds pas le virtuel, du terme vertu, avec le fictionnel, du terme fiction. L'usage du terme virtuel pour décrire le numérique apparait pour moi comme une dérive sémantique, puisque originellement, le terme virtuel désigne un manque d'effet actuel. Ce qui n'est pas le cas de ce qui se passe dans l'espace numérique. En revanche, on est bien d'accord que le numérique est à 100 % le produit de l'imagination humaine. Pour jargonner un peu, c'est dire que l'espace numérique est artéfact par excellence. Ce qui nous renvoie d'autant plus à l'importance de l'imaginaire dans l'espèce humaine. Cette espèce fabulatrice... Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 18 avril 2024 à 16:51 (UTC)Répondre
Ton paragraphe sur les chasseurs-cueilleurs met de nouveau ces sociétés au début de l'évolution humaine. Rien ne prouve que les sociétés de chasseurs cueilleurs présentes maintenant sont représentatives des sociétés préhistoriques. Par ailleurs, si cela était le cas, pourquoi s'intéresser aux débuts des sociétés numériques pour voir ce que les sociétés préhistoriques faisaient ? Deuxième question, penses-tu que les sociétés modernes sont moins représentatives des sociétés préhistoriques que les sociétés de chasseurs-cueilleurs actuelles? Si oui, pourquoi ?
"Le nominalisme est une doctrine philosophique qui considère que les concepts et les noms qui s'y rapportent ne sont que constructions de l'esprit et conventions de langage. Les choses et les idées ne sont pas intrinsèquement porteuses des concepts par lesquels nous les appréhendons. Par exemple, le terme « homme » ne signifie pas une quelconque essence de l'homme en général." Le nominalisme donc porte l'ontologie dans le signifiant et non le signifié. La chose n'existe que si on lui donne un nom. La nature de l'objet ne lui est donc pas intrinsèque mais réside dans les mots qu'on utilise et notre "fabrication" de cet objet. Une table est pour nous une table mais pour un pygmée c'est une maison très mal faite.
Par ailleurs, oui le mot fiction est meilleur. Younessf01 (discuter) 18 avril 2024 à 18:29 (UTC)Répondre
@Younessf01, Pas toujours facile de bien comprendre l'autre dans un débat par écrit... Je suppose que quand tu parles de « Ton paragraphe » tu fais références à la section de chapitre vers laquelle de t'ai orientée dans mon message précédent ?
Il ne me semble pas que je dis, ni dans cette section, ni dans ce chapitre de la leçon dont on est en train de discuter, que les chasseurs-cueilleurs d'aujourd'hui sont représentatifs des sociétés préhistoriques. Si c'est le cas, je t'invite alors à corriger la phrase qui le dit, où la reprendre ici entre guillemets.
Ce que je mets en évidence par contre, c'est qu'il y a des similitudes entre d'une part les chasseurs-cueilleurs qui ont été observés, notamment, par les anthropologues depuis que cette discipline existe, et la manière dont les archéologues et paléontologues représentent la vie des homos Sapiens au départ des artéfacts de l'époque et des restes humains qu'ils ont à leur disposition, et ce, en fonction de leur datation.
Ensuite, l'idée n'est pas de s'intéresser aux groupes numériques premiers « pour voir ce que les sociétés préhistoriques faisaient ». Cela n'a évidemment aucun sens. Mais bien de comparer ce que l'on sait, ou croit savoir des sociétés préhistoriques, ce que l'on a appris des observations contemporaines faites par des sociétés de chasseurs-cueilleur, et ce que l'on peut observer dans les archives du web, pour tenter de dégager des comportements similaires, et non pas représentatifs.
Si ces similarités existent, on peut alors voir s'il est possible d'en dégager des théories, plus ou moins foireuses, comme toutes les théories, sur des tendances ou des variations comportementales ou organisationnelles possibles et récurrentes et intemporelles chez les êtres humains, lorsque qu'une communauté humaine impliquée dans un projet de vie en commun, grossissent en taille. C'est là une théorie que je voudrais développer.
Peux-tu me dire si tu comprends mes explications, sans te sentir pour autant inviter à adopter mon point de vue ou ma démarche théorique.
Comme ta deuxième question et la suite du débat ne touche plus au domaine du numérique et au chapitre pour lequel cette page de discussion se destine, je vais y répondre sur ta page de discussion personnelle.
Je te signale enfin que j'ai rectifié la page Que faut-il entendre par numérique ? pour qu'elle puise à présent être modifiable à l'aide de l'éditeur visuel. Comme tu sembles avoir de bonnes aptitudes rédactionnelles, n'hésite surtout pas :) Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 18 avril 2024 à 21:03 (UTC)Répondre
Et donc @Younessf01, suite à ce message déposé sur ta page de discussion, et pour répondre à ta question : « Quelle sont les implications épistémologiques de la naissance du numérique sur la philosophie nominaliste ? ». Je peux te dire que je n'en sais rien du tout, car je ne suis pas familier avec la doctrine nominaliste, que l'article Wikipédia ne m'aide pas à comprendre. Donc, si toi, tu as une réponse à la question que tu poses, je serais très intéressé de la lire. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 18 avril 2024 à 23:42 (UTC)Répondre

Commentaire

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Salut @Lionel Scheepmans,

Voici ce que tu as écris :

Lorsque l'on parle enfin d'anthropologie numérique, une autre confusion peut apparaitre quant à savoir s'il s'agit de pratiquer l'anthropologie avec l'aide de l'informatique, ou de faire de l'anthropologie au sein des espaces numériques, là où se développe de plus en plus d'interactions humaines. Tout en gardant à l'esprit que de la pratique de l'anthropologie dans les espaces numériques, demande forcément l'utilisation d'outils informatiques.

Je trouve la formulation de la seconde phrase pas adéquate, car je n'ai pas compris ce que tu voulais dire à la prem!ère lecture. Personnellement je changerai juste certains mots de sorte que :

Lorsque l'on parle enfin d'anthropologie numérique, une autre confusion peut apparaitre quant à savoir s'il s'agit de pratiquer l'anthropologie avec l'aide de l'informatique, ou de faire de l'anthropologie au sein des espaces numériques, là où se développe de plus en plus d'interactions humaines. Il s'agit en réalité, via cet angle numérique de cette science sociale, de parler de l'exercice d'une anthropologie prenant place dans le milieu des espaces numériques, incluant cependant forcément de par sa nature, l'utilisation d'outils informatiques. Master UCL (discuter) 19 avril 2024 à 13:01 (UTC)Répondre

Je suis pas très bon en écriture @Master UCL. .Ça me demande tellement d'effort... Quand je vois la facilité de certains, je me demande comment j'en suis arrivé où j'en suis. Et comme je ne suis pas convaincu par ta reformulation, je vais attendre de voir d'autres propositions. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 19 avril 2024 à 20:04 (UTC)Répondre
Ton cours sur l'écoumène numérique est très bien écrit et tes connaissances dans ce sujet ont l'air pointues et assez complète !
J'ai eu du mal à trouver une formulation, mais c'est vrai que ma proposition est trop complexe et le résultat n'est pas clair.
Lorsque l'on parle enfin d'anthropologie numérique, une autre confusion peut apparaitre quant à savoir s'il s'agit de faire de l'anthropologie au sein des espaces numériques, là où se développe de plus en plus d'interactions humaines ou de pratiquer l'anthropologie avec l'aide de l'informatique. En réalité, l'une fait partie intégrante de l'autre. Afin d'en donner une explication plus précise, lors d'une recherche en anthropologie ayant comme terrain les espaces numériques, l'utilisation de l'informatique se voit être indispensable.
Je me devais de t'envoyer une seconde proposition plus clair, mais je suis tout à fait d'accord d'attendre d'autres propositions ! Master UCL (discuter) 19 avril 2024 à 20:26 (UTC)Répondre
je propose, sous incitation :
Le terme anthropologie numérique peu prêter à confusion. En effet, cela peut faire allusion à une anthropologie faites par des moyens numériques, en d'autre terme utiliser une tablette ou un ordinateur pour stocker les données, à travers des blogs ou des pages web et les traiter à travers des logicels de traitement de texte. Bien que ceci soit possible, le terme désigne plutôt l'étude des organisations sociales qui se fondent au sein de l'espace numérique. Il est clair que les interactions devenues possibles grâce au Web et à d'autres outils comme les réseaux sociaux ou les jeux donnent lieux à de nouvelles formes du social qui méritent d'être étudier. Cette orientation n'exclut pas l'utilisation d'outil numérique afin d'accomplir cette tâche. Au contraire, la méthodologie préconisée par la discipline anthropologique étant l'observation participante, il est nécessaire d'user des outils et des médias de nos interlocuteurs et d'interagir dans le milieu d'étude pour produire une ethnographie du numérique. Younessf01 (discuter) 19 avril 2024 à 20:29 (UTC)Répondre
Ils existent d'autre expression moins ambiguë comme Anthropologie des espaces numériques ou anthropologie des mondes numériques. Mais l'ambiguïté de l'expression anthropologie numérique est intéressante dans le cadre de ce cours puisqu'elle qualifie à la fois le terrain et les outils.
Dans le cadre de cette leçon axée sur l'espace numérique uniquement, l'expression est moins heureuse. Bon, je fais une tentative de réécriture du paragraphe et puis je dors. Mon fils est avec moi et on se lève tôt demain... Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 19 avril 2024 à 20:59 (UTC)Répondre

Numérique, analogiques ou virtuel ?

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Bonjour @Lionel Scheepmans,

Très intéressante lecture pour moi, car je savais que l'analogique était opposé du numérique, mais je ne pouvais définir plus en détail. C'est maintenant plus clair. Et en effet, trop souvent le monde numérique et le monde virtuel sont considérés comme des synonymes, ce qui rend confuses les lectures ou l'auteur mélange et confond les deux termes. M. Ledoyen (discuter) 5 mai 2024 à 23:18 (UTC)Répondre

Heureux de voir que tes lectures sont éclairantes @M. Ledoyen Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 6 mai 2024 à 16:52 (UTC)Répondre

un langage plus précise

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je trouve que l'analyse des termes "numérique" et "virtuel" est particulièrement intéressante parce que elle souligne la distinction entre la représentation des données et la virtualité. je trouve aussie que les notions d'"éco-numérique" et d'"écoumène numérique" ouvre de nouvelles perspectives sur la façon dont ces deux sphères s'influencent mutuellement. Ferrie Bachir (discuter) 14 mai 2024 à 16:16 (UTC)Répondre

Content d'apprendre que le texte t'éclaire sur certaines choses @Ferrie Bachir Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 14 mai 2024 à 19:26 (UTC)Répondre

Note sur le sujet

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Salut @Lionel Scheepmans

Je n'avais pas encore lu cette partie, et je la trouve super bien construite. Je trouve qu'elle complète vachement bien ce que j'ai vu cette année en sociologie du numérique, notamment sur le codage binaire.

Ainsi que de nous expliquer ou nous rappeler l'erreur que l'on fait, la confusion, quand on parler de mondes virtuels pour parler du numérique .. C'est vrai que je faisais moi même l'erreur. Margrd (discuter) 14 mai 2024 à 17:28 (UTC)Répondre

Merci @Margrd. Si d'autres profs racontent la même chose que moi, c'est rassurant =). C'est bien de ce cours là dont tu parles ? Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 14 mai 2024 à 19:30 (UTC)Répondre

Court commentaire

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Cela me fascinera toujours comment nos vies numériques, qui maintenant soyons bien certains renferment en grande partie la plupart de notre vie réelle, se résument à une suite de deux chiffres : 1 et 0. Mathleg18 (discuter) 14 mai 2024 à 19:25 (UTC)Répondre

Et oui @Mathleg18. Mais tu sais, le code génétique qui détermine l'architecture de tout ce qui est vivant repose quant à lui sur des suites de quatre « lettres » qui correspondent à des bases nucléiques. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 14 mai 2024 à 19:34 (UTC)Répondre