Utilisateur:Ambre Troizat/Saint-George : trajectoires en France & en Europe

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Saint-George en France[modifier | modifier le wikicode]

Nanon, mère de Saint-George[modifier | modifier le wikicode]

La Belle esclave more, Gallica, pp. 165.

Enseignement des mathématiques à l'époque de Saint-George : "Même les mathématiciens doivent

Stefan Zweig, Le Joueur d’échecs, Flammarion

Saint-George à Paris[modifier | modifier le wikicode]

A Paris, Saint-George est connu comme un escrimeur pratiquant l'art du Fleuret avec autant de virtuosité que celui du violon. D'où le titre de l'exposition des Archives départementales de la Guadeloupe consacré au Chevalier de Saint-George : Le fleuret et l'archet : le chevalier de Saint-George (1739?-1799), créole dans le siècle des Lumières[1]. Aujourd'hui, la musique de Saint-George est mieux connue du grand public que son art de l'escrime.

Saint-George, directeur musical à Paris[modifier | modifier le wikicode]

« Like most of his compatriots, Saint-Georges shunned the new romance movement of the 1770s except in the last posthumous opus, which may be a much later work; and his slow movements seem a bit old-fashioned compared to his first ... »
— Chappell White, 1992[2]

Influences de Vivaldi

« Ex. 16.7 Vivaldi, "Summer" from The Seasons Ex. 16.9 Saint-Georges, Concerto Op.V, No. »
— Gabriel Banat, 2006[3]

Bibliographie (Saint-George, directeur musical à Paris)[modifier | modifier le wikicode]

Saint-George, directeur musical à Paris[modifier | modifier le wikicode]

Présence des Africains dans l'espace méditerranéen[modifier | modifier le wikicode]

Domenico Gabbiani, (Florence, 13 février 1652 – 22 novembre 1726).- Portrait de trois musiciens à la cour des Médicis, avec un serviteur Africain & un perroquet, vers 1687[4], péninsule italienne, vers 1687.

The new romance movement of the 1770s[modifier | modifier le wikicode]

« Like most of his compatriots, Saint-Georges shunned the new romance movement of the 1770s except in the last posthumous opus, which may be a much later work; and his slow movements seem a bit old-fashioned compared to his first ... »
— Chappell White, 1992[5]

Influences de Vivaldi[modifier | modifier le wikicode]

« Ex. 16.7 Vivaldi, "Summer" from The Seasons Ex. 16.9 Saint-Georges, Concerto Op.V, No. »
— Gabriel Banat, 2006[6]

Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]

Deux airs de Saint-George[modifier | modifier le wikicode]

Ma douce vie, Paroles de M. Poujouls, musique de M. le Chevalier de Saint-George in Jean Baudrais, Etrennes de polymnie, 1785-1789
Joseph Bologne de Saint-George, La résolution inutile

Ma douce vie, Paroles de M. Poujouls, musique de M. le Chevalier de Saint-George in Jean Baudrais, Etrennes de polymnie : recueil de chansons, romances, vaudevilles, 1785-1789. Reprod. de l'éd. de : Paris : chez Belin : Brunet : Le Duc [et al.], 1785-1789, in Collection Les archives de la Révolution française, 12.364, Bnf37251520z. Uploadé le 2014-08-04 20:52:03, Bnf ; Gallica

  • 1789 - Jean Baudrais, Etrennes de polymnie : recueil de chansons, romances, vaudevilles, etc., Paris, Bureau de la Petite Bibliothéque des ThéâtresVoir et modifier les données sur Wikidata

Joseph Bologne de Saint-George.- La résolution inutile, Parole de M. Evra, Musique de Joseph Bologne de Saint-George. Uploadé le 2013-04-11 01:51:52, source=Bnf Gallica


Saint-George à Lille[modifier | modifier le wikicode]

Véronèse.- Le martyre de St. George, c.1565, Musée de Lille[7]

Saint-George en Europe[modifier | modifier le wikicode]

Saint-George à Londres[modifier | modifier le wikicode]

Portraits de Saint-George réalisés à Londres[modifier | modifier le wikicode]

Saint-George & le duc d'Orléans à Londres par Talleyrand, 1790[modifier | modifier le wikicode]

Celui-ci était un créole singulièrement organisé pour la musique, la danse, l'escrime, l'équitation et de plus doux travaux[8].

Les Violonistes en Europe à l'époque de Saint-George[modifier | modifier le wikicode]

George Augustus Polgreen Bridgetower (11 October 1778 – 29 February 1860)[modifier | modifier le wikicode]

Ville de Bath, North East Somerset, Angleterre
The New Rooms at Bath, North East Somerset, England
George Bridgetower / George Augustus Polgreen Bridgetower, sur en.Wikipedia
George Bridgetower / George Augustus Polgreen Bridgetower, sur fr.Wikipedia
George Augustus Polgreen Bridgetower  (1780-1860), sur  AfriClassical.com, African Heritage in Classical Music

« 1803 — The violinist, George August Polgreen Bridgetower, a mulatto, was born in Biala, Poland, in 1779. From an Austrian passport from Vienna (July 27, 1803), his general appearance is thus given by Jahn: “ George Bridgtower: character artist … »
— Beethoven's Letters, may, 18, 1803
[9].

« 2013 — BRIDGETOWER AND THE “KREUTZER SONATA” — Praupner in Vienna confirmed me in my opinion of the ... George Augustus Polgreen Bridgetower —a bright mulatto then 24 years old, son of an African father and German or Polish mother, … »
The Life of Ludwig Van Beethoven[10].

Saint-George dans la révolution de la salle d'armes[modifier | modifier le wikicode]

« No wonder the debut of Saint-Georges, the famous fencer, in such a different yet equally important arena, was an event eagerly anticipated by le ... »
— Gabriel Banat, 2006[11]

Saint-George acteur de la Révolution française[modifier | modifier le wikicode]

1788-1799 - Saint-George & l'abolition de la propriété privé sur l'Humain[modifier | modifier le wikicode]

La Coalition des rois ou des brigands couronnés contre la République française, 1794

1788 - Duvergier - Collection complète des lois, décrets, ordonnances, &c.[modifier | modifier le wikicode]

* 1788 - Duvergier - Collection complète des lois, décrets, ordonnances, &c., Galerie des pages de titre

3 juin 1793 - Une délégation de Noirs, notamment la vieille femme Jeanne Odo reçue à l'Assemblée[modifier | modifier le wikicode]

« Le 3 juin 1793 au club des Jacobins, les députés Bourdon de l'Oise, Chabot, Robespierre, Jeanbon Saint-André, Legendre, Maure et d'autres sociétaires reçoivent avec enthousiasme une délégation de Noirs, notamment la vieille femme Jeanne Odo de 114 ans. Ils applaudissent quand Chabot jure solidarité avec les hommes de couleur[12]. Le lendemain 4, à la Convention, une source découverte récemment (une affiche du mulâtre martiniquais Julien Labuissonnière) indique que Robespierre, Jeanbon Saint André « et le reste de ces justes » ont, aux côtés de l'abbé Grégoire, tonné du sommet de la Montagne pour faire passer par pétition l'abolition de l'esclavage réclamée par Anaxagoras Chaumette et le créole antiesclavagiste Claude Milscent »
— Yves Bénot[13] ; Jean-Daniel Piquet[14].

1901 - Jean Jaurès- Les radicaux et la propriété individuelle[modifier | modifier le wikicode]

Ce texte permet de faire le lien entre Joseph Bologne de Saint-George & Gratien Candace.

« J’entends bien que l’esclavage et le servage ont été éliminés de la propriété individuelle. Mais les radicaux peuvent-ils avoir l’assurance que tout élément de servitude, d’oppression, d’injustice, en a disparu ? Et de quel droit prononcent-ils de façon générale et abstraite le mot de propriété individuelle, alors que le sens de ce mot varie avec le mouvement même de l’histoire ? De pareilles formules sont la négation même de l’évolution historique. Elles condamnent le parti qui en fait usage à ne rien comprendre et à ne rien voir. Elles le mettent en dehors de la science et de la vie.

De même que dans l’antiquité la propriété individuelle admettait l’esclavage, de même qu’au Moyen Âge elle comportait le servage, elle comporte aujourd’hui le salariat. Certes, je ne m’amuserai pas au triste paradoxe réactionnaire des quelques socialistes qui disent que l’esclave et le serf étaient plus heureux que le salarié. La condition matérielle et morale de l’ouvrier moderne est dans l’ensemble supérieure à celle de l’esclave et du serf. Mais, en ce moment, il ne s’agit point de cela. Je dis simplement qu’aujourd’hui la propriété individuelle a la forme capitaliste, qu’elle permet à une minorité d’individus privilégiés de disposer du travail, des forces, de la santé des prolétaires, et de lever sur eux un perpétuel tribut. Et je dis que lorsque les radicaux déclarent tout court qu’ils veulent maintenir la propriété individuelle, ou cela ne signifie rien, ou cela signifie qu’ils veulent maintenir la propriété capitaliste.
 »
Jean Jaurès, Les radicaux et la propriété individuelle (lire sur Wikisource)Voir et modifier les données sur Wikidata, 1901.

Histoire de la Compagnie des Indes[modifier | modifier le wikicode]

Compagnie française des Indes orientales Liquidation de la Compagnie des Indes orientales (France)

  • 1723 - Compagnie des Indes, Privilège exclusif de la vente du tabac. Règlement de la Compagnie des Indes pour la distribution du provenu des saisies et captures, Paris (notice BnF no FRBNF33751943)Voir et modifier les données sur Wikidata

* 1746 - Joseph Du Fresne de Francheville, Histoire de la Compagnie des Indes avec les titres de ses concessions et privileges, dressée sur les pièces autentiques, Paris, Chez De Bure l'aîné (OCLC 215650975, notice BnF no FRBNF30369182)Voir et modifier les données sur Wikidata ** 1769 - Le commerce de l’Inde a été rendu libre' ** 1779 - (le Roi, en 1779, en ne pouvant fournir à la Compagnie des Indes 60,000,000 liv.)

    • 1783 - décision du. 27 février 1783, par laquelle le Roi a laissé à la Compagnie des Indes l'option d'exploiter son privilège ou de s'en désister
    • 1788 Louis-Eugène Hardoin de La Reynerie et Pierre-Jean-Baptiste Gerbier, Consultation pour les actionnaires de la compagnie des Indes, Paris (notice BnF no FRBNF33324797, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata, Délibéré par nous Anciens Avocats au Parlement de Paris ce 20 février 1788 Hardoin (Louis-Eugène Hardoin de La Reynerie[15]), Gerbier de Bonnières (Pierre-Jean-Baptiste Gerbier[16]).
    • 1790 - Compagnie française des Indes orientales, Précis pour les actionnaires de la Nouvelle compagnie des Indes (le Roi, en 1779, en ne pouvant fournir à la Compagnie des Indes 60,000,000 liv.) (notice BnF no FRBNF37231516, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
    • 1790 (15 février ) - Blondel, A Messieurs les défenseurs des actionnaires et des administrateurs de la Compagnie des Indes, avec des pièces justificatives. Comprend "Copie d'une décision du. 27 février 1783, par laquelle le Roi a laissé à la Compagnie des Indes l'option d'exploiter son privilège ou de s'en désister", Paris, Pierre-François Didot (notice BnF no FRBNF36114986, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata, Cf. A Messieurs les défenseurs des actionnaires et des administrateurs de la Compagnie des Indes

Deux textes de Saint-George, auteur ou contributeur[modifier | modifier le wikicode]

Léger-Félicité Sonthonax : son rôle dans l’abolition de 1793-1794[modifier | modifier le wikicode]

Léger-Félicité Sonthonax

Léger-Félicité Sonthonax arrive au Cap le 18 septembre 1792, quatre jours avant la proclamation de la République. Mis en accusation, il quittera la colonie le le 14 juin 1794, alors que la Convention venait de prendre le décret d'abolition de l’esclavage du 4 février 1794.

  • 1793, 14 juillet - Étienne Polverel et Léger-Félicité Sonthonax, Proclamation d'Etienne Polverel & Léger-Félicité Sonthonax, Affiches américaines du dimanche 14 juillet 1793, l'an second de la République française. Numéro 4, Saint-Domingue (notice BnF no FRBNF45640833, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
  • 1997-2005 - Léger-Félicité Sonthonax, Yves Benot, Mémoire de Léger-Félicité Sonthonax et Marcel Dorigny (dir.), Léger-Félicité Sonthonax. La première abolition de l’esclavage. La Révolution française et la Révolution de Saint-Domingue, textes réunis avec la collaboration de Yves Benot, actes du colloque, Paris, Musée des arts africains et océaniens, 7-8 septembre 1990, (1ère édition, 1997), Saint-Denis, Société française d'histoire des outre-mers et Association pour l'étude de la colonisation européenne, 1750-1850 (OCLC 470479164, notice BnF no FRBNF40095235)Voir et modifier les données sur Wikidata

Le Créole patriote de Claude Milscent[modifier | modifier le wikicode]

À l’automne 1792, le club club des Jacobins devient la Société des amis de la Liberté et de l’Égalité.
  • 1792 - Claude Milscent, Le Créole patriote, Bulletin de Milscent-Créole, Paris,
  • 1792 - Claude Milscent, Le Créole patriote, Contrefaçon de : "Le Créole patriote (Paris. 1792)", suspendu entre février et juillet 1793., Imprimerie du Créole patriote, Paris,
  • 1792 - Claude Milscent, La Revue du patriote, Bulletin de Milscent-Créole, journal du soir. Devenu "Le Créole patriote : bulletin de Milscent-Créole".,
  • 1795 - Claude Milscent, Le Créole patriote, Bulletin universel, Imprimerie de J.-B. Mauvet, Paris,
  • 2016 - Giulia Bonazza, Nicholas Dion (dir.), Chantel Lavoie (dir.) et Société canadienne d'étude du dix-huitième siècle (dir.), Le Créole patriote (1792-1794) : un pont entre deux Révolutions, Québec (ISSN 1209-3696 et 1927-8284, DOI 10.7202/1035922AR)Voir et modifier les données sur Wikidata

Claude Milscent

Notes & Références[modifier | modifier le wikicode]

Notes[modifier | modifier le wikicode]

Saint-George, symboliques sociales[modifier | modifier le wikicode]

Joseph Bologne, de la servitude à la chevalerie

« Ensuite, Baert et Boulogne se séparent en octobre : « Je quittai non sans de grands regrets le 14 Boullougne à Cambridge pour aller à Yarmouth [...] ; lui retournant à Londres pour passer ensuite en Hollande ». Baert continue seul son long ... »
— Charles-Alexandre de Baert-Duholandt.- Voyage en Angleterre, en Écosse et en Irlande: (1786-1788) - Page 15, 2019

1999 - Louise Vachon et Université de Montréal (dir.), Barbe de Boullougne ou l'ascension d'une femme dans la Nouvelle-France du XVIIe siècleVoir et modifier les données sur Wikidata, (Louis D'Ailleboust, époux de Marie-Barbe de Boullougne, n'eut pas d'enfant.)

« PREMIER ACTE AU RÉGISTRE FAIT PAR MG SOUART.- Le premier en français 1657 Le troisième jour de septembre mil six cent cinquante sept a esté fait et solemnisé le de Jacques de laporte dit St georges fils de Jacques de laporte et de Marie hamelin avec nicolle duchesne fille de françois duchesne et marie nolet tous deux de cette paroisse de Montréal les trois bans ayant esté auparavant publiés sans opposition Le marriage fait en présence de Messire Paul de Chaumedey Ecuier sieur de maison neufve gouverneur de ce lieu de Dame Barbe de Bouloigne femme et épouse de Messire Louys D Aillebout cydevant Lieutenant général pour Sa Majesté en la nouvelle France De Claude Robutel dit St André de Legier Aquier dit Lafontaine de nicolas froget tous habitans de ce lieu et amys des parties La de espouse a déclaré ne savoir signer signé Jacques de Laporte Paul de Chomedy Barbe De Boullougne Claude Robutel G Souart Prestre Curé »
[17]

Boullougne+ 17 octobre 1517 + A Messieurs les Commissionaires d'Angleterre estans a Callays

Références[modifier | modifier le wikicode]

  1. archives départementales de la Guadeloupe, Vincent Podevin-Bauduin, Le fleuret et l'archet : le chevalier de Saint-George (1739?-1799), créole dans le siècle des Lumières : exposition, Bisdary-Gourbeyre, 19 janvier-30 mars 2001, Gourbeyre,
  2. 1992 - Chappell White.- From Vivaldi to Viotti: A History of the Early Classical Violin Concerto
  3. 2006 -Gabriel Banat, The Chevalier de Saint-Georges : virtuoso of the sword and the bow, New York et Hillsdale (ISBN 1-57647-109-8, OCLC 63703876)Voir et modifier les données sur Wikidata, The Chevalier de Saint-Georges: Virtuoso of the Sword and the Bow
  4. La famille de Médicis est à l'origine une dynastie de banquiers établie à Florence, en Toscane. À son apogée, la banque Medici compte jusqu'à dix filiales bancaires : à Venise, Rome|Rome, Naples|Naples, Milan|Milan, Pise|Pise, Genève|Genève, Lyon|Lyon, Avignon|Avignon, Bruges|Bruges et Londres.
  5. 1992 - Chappell White.- From Vivaldi to Viotti: A History of the Early Classical Violin Concerto
  6. 2006 -Gabriel Banat, The Chevalier de Saint-Georges : virtuoso of the sword and the bow, New York et Hillsdale (ISBN 1-57647-109-8, OCLC 63703876)Voir et modifier les données sur Wikidata, The Chevalier de Saint-Georges: Virtuoso of the Sword and the Bow
  7. * 1817 - Musée des beaux-arts de Lille, Palais des beaux-arts de Lille.- Le Martyr de Saint-George, c.1565, in Catalogue des tableaux, bas-reliefs et statues exposés dans les galeries du Musée des tableaux de la ville de Lille, Internet Archive, 16 pages ; Paul Véronèse#Le_martyre_de_St._George.2C_circa_1565, Imprimerie de L. Jacqué, Paris, 1817, dnb : 435438475 ; Oclc : 26349554
  8. Cf. "Talleyrand & l'abolition de la traite au congrès de Vienne (1814-1815)", Londres, 1790 Portrait de Saint-George.− La bague talisman et la vision mystérieuse, anecdocte de 1783 Voir page 43.
  9. Ludwig van Beethoven, ‎Alfred Christlieb Kalischer.- Beethoven's Letters, 2014, Page 73.
  10. Cf. Plus de détails & références dans Alexander Wheelock Thayer, ‎Hermann Deiters, ‎Henry Edward Krehbiel.- The Life of Ludwig Van Beethoven, 2013, Volume 2, page 9
  11. 2006 -Gabriel Banat, The Chevalier de Saint-Georges : virtuoso of the sword and the bow, New York et Hillsdale (ISBN 1-57647-109-8, OCLC 63703876)Voir et modifier les données sur Wikidata, The Chevalier de Saint-Georges: Virtuoso of the Sword and the Bow
  12. texte=Jean-Daniel Piquet (2002)|p=255-258}}.
  13. texte=Yves Bénot (1990)p=295-300
  14. texte=Jean-Daniel Piquet (2002)p=259.
  15. Bibliographie de la France, volume 12, 1824
  16. Pierre-Jean-Baptiste Gerbier in Barreau français, collection des chefs-d'oeuvre de l'éloquence judiciaire en France, Volume 6, C. L. F. Panckoucke, 1822
    Jean-François Fournel.- Histoire des avocats au Parlement et du barreau de Paris: depuis saint Louis jusqu'au 15 octobre 1790, Maradan Libraire, Volume 1, 1813
  17. https://books.google.fr/books?id=bEXPN4mhSeIC&dq=Barbe%20de%20Boullougne&hl=fr&pg=PA323#v=onepage&q=Barbe%20de%20Boullougne&f=false