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« Discussion Recherche:Collaboration juive sous le nazisme » : différence entre les versions

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Dernier commentaire : il y a 10 ans par Claude PIARD dans le sujet Soucis.
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Le contre-sens est complet sur ce que dit la source, qui n'a en réalité rien à faire là{{fait}}. --[[Spécial:Contributions/109.10.254.175|109.10.254.175]] 30 janvier 2014 à 07:54 (UTC)
Le contre-sens est complet sur ce que dit la source, qui n'a en réalité rien à faire là{{fait}}. --[[Spécial:Contributions/109.10.254.175|109.10.254.175]] 30 janvier 2014 à 07:54 (UTC)


:Merci pour ces premières contributions constructives. Et n'hésite surtout pas à en faire d'autres : ce texte a certainement besoin d’être 'tempéré', affiné et complété afin de rendre bien compte de sa complexité. Mais la complexité n'est pas un motif scientifique d'exclusion : heureusement que cet espace plus serein permet d’en traiter comme il se doit. Cordialement--[[Utilisateur:Claude PIARD|Claude PIARD]] ([[Discussion utilisateur:Claude PIARD|discussion]]) 31 janvier 2014 à 12:23 (UTC)
:Merci pour ces premières contributions constructives. Et n'hésite surtout pas à en faire d'autres : ce texte a certainement besoin d’être 'tempéré', affiné et complété afin de rendre bien compte de sa complexité. Mais la complexité n’est pas un motif scientifique d'exclusion : heureusement que cet espace plus serein permet d’en traiter comme il se doit. Cordialement--[[Utilisateur:Claude PIARD|Claude PIARD]] ([[Discussion utilisateur:Claude PIARD|discussion]]) 31 janvier 2014 à 12:23 (UTC)


Statut : <span style="color: darkgreen">résolu par suppression de la référence mentionnée.--[[Spécial:Contributions/109.10.254.175|109.10.254.175]] 2 février 2014 à 10:13 (UTC) </span>
Statut : <span style="color: darkgreen">résolu par suppression de la référence mentionnée.--[[Spécial:Contributions/109.10.254.175|109.10.254.175]] 2 février 2014 à 10:13 (UTC) </span>
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Problème : présenté seulement à travers une citation rapide et sans utilisation des sources de référence, ce personnage effectivement connu pour sa complexité est également caricaturé :
Problème : présenté seulement à travers une citation rapide et sans utilisation des sources de référence, ce personnage effectivement connu pour sa complexité est également caricaturé :
* L'ouvrage journalistique mais reconnu d'Anita Kugler, ''Scherwitz, der jüdische SS-Offizier'', Köln, 2004 n'est évoqué qu’à travers une recension manifestement partiellement lue (uniquement la partie en libre accès). Or, Kugler en dresse un portait beaucoup plus nuancé et prudent, insistant en particulier sur les multiples incertitudes à son propos, y compris sur sa judéité. Certes, l'ouvrage en allemand n'a pas été traduit, mais que penser d'une recherche qui ne s'appuie que sur un accès partiel à un article sur un ouvrage et non sur la lecture de celui-ci ?
* L'ouvrage journalistique mais reconnu d'Anita Kugler, ''Scherwitz, der jüdische SS-Offizier'', Köln, 2004 n'est évoqué qu’à travers une recension manifestement partiellement lue (uniquement la partie en libre accès). Or, Kugler en dresse un portait beaucoup plus nuancé et prudent, insistant en particulier sur les multiples incertitudes à son propos, y compris sur sa judéité. Certes, l'ouvrage en allemand n'a pas été traduit, mais que penser d'une recherche qui ne s'appuie que sur un accès partiel à un article sur un ouvrage et non sur la lecture de celui-ci ?
* Surtout, un ouvrage de référence immédiat dans ce cas, Andrej Angrick, Peter Klein, ''The "final Solution" in Riga: Exploitation and Annihilation, 1941-1944'', Berghahn Books, 2009, n'est pas exploité ni mentionné, bien qu'on y trouve un chapitre de synthèse sur ce cas, lui aussi beaucoup plus nuancé et prudent. --[[Spécial:Contributions/109.10.254.175|109.10.254.175]] 2 février 2014 à 08:43 (UTC)
* Surtout, un ouvrage de référence immédiat dans ce cas, Andrej Angrick, Peter Klein, ''The "final Solution" in Riga: Exploitation and Annihilation, 1941-1944'', Berghahn Books, 2009, n’est pas exploité ni mentionné, bien qu'on y trouve un chapitre de synthèse sur ce cas, lui aussi beaucoup plus nuancé et prudent. --[[Spécial:Contributions/109.10.254.175|109.10.254.175]] 2 février 2014 à 08:43 (UTC)


== S'il te plait ==
== S'il te plait ==

Version du 18 mai 2016 à 22:05


Nota

Les liens rouges renvoient à des liens fonctionnels sous Wikipédia. Peut-on les maintenir provisoirement ? Existe-t-il une manœuvre pour les activer ? Cordialement--Claude PIARD (discussion) 6 janvier 2014 à 12:07 (UTC)Répondre

Observer ma modification. Crochet.david (discussion) 6 janvier 2014 à 12:10 (UTC)Répondre

Élargir le sujet de la recherche ?

... Collaboration juive sous le Nazisme? --Madelgarius (discussion) 6 janvier 2014 à 17:28 (UTC)Répondre

Ce n'est qu'une ébauche "méthodologique" sur un sujet apparemment tabou mis à la disposition des vrais spécialistes de la question pour débats. Si tu estimes que le sujet reste raisonnablement traitable dans un cadre géographique – et éventuellement temporel – plus large, n'hésite pas à t'approprier la page. Je ne veillerai probablement plus qu'aux mises en forme si nécessaire.--Claude PIARD (discussion) 7 janvier 2014 à 10:21 (UTC)Répondre
Suite à l’intéressante suggestion de Madelgarius et en accord avec Claude PIARD qui est l’un des principaux auteurs ayant œuvré à l’élaboration — remaniée, complétée et enrichie — de la présente version française elle-même issue d’une première traduction effectuée à partir du russe et redevable aux bons soins de Mortier.Daniel, j’ai procédé au renommage corrélatif. En espérant que cette nouvelle formulation élargie conviendra à tous. Bien cordialement ! — euphonie bréviaire 8 janvier 2014 à 13:51 (UTC)Répondre

Pourquoi dans cette discussion sur la collaboration juive avec la national socialisme allemand n'apparait rien concernant les accords de la HAAVARA? L'accord Haavara (en hébreu הסכם העברה, Heskem Haavara, littéralement « accord de transfert ») est un accord signé le 25 août 1933 après trois mois de négociations entre la Fédération sioniste d'Allemagne, la Banque anglo-palestinienne (sous les ordres de l'Agence juive, une agence exécutive officielle en terre palestinienne) et les autorités économiques du régime de l'Allemagne nazie d'Hitler.

L'accord a été conçu pour faciliter l'émigration des Juifs allemands vers la Palestine. Aidant les Juifs à émigrer, il les force à abandonner la plupart de leurs possessions à l'État allemand avant le départ. Ces actifs, selon l'accord, pouvaient être obtenus plus tard, en les transférant en Palestine comme biens d'exportation allemands. Les accords fonctionneront jusqu'en 1939. https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_Haavara

Soucis.

Cet article, issu d'un contenu refusé dans le cadre de Wikipédia et reproduit ici à l'identique puis complété, pose de très nombreux problèmes. Je tâcherai dans la mesure de mon temps de les indiquer ici, mais successivement, en essayant de les ranger par types. Pour simplifier, ce sera sans doute par ordre d'apparition dans le texte. Il se peut cela prenne un côté « correction de copie », tant l’article tient du mauvais exposé de première année.

Il n'y a pas de souci, ce segment de Wikiversité étant comme son nom l'indique destiné à recevoir des travaux en cours afin de les affiner en bonne collaboration. Merci donc de ta participation éclairée. Qu'il vaudrait cependant mieux faire sous connexion (et non sous IP variables) comme sur Wikipédia. Compte-tenu que tu sembles posséder toute l'expertise nécessaire, je ne te ferais pas l'injure de t'expliquer comment. Et n'hésite pas à compléter ou rectifier directement dans le texte ce qui te semble nécessaire : les articles appartiennent à tou(te)s et leur bon aboutissement est de la responsabilité de chacun(e). Très cordialement.--Claude PIARD (discussion) 31 janvier 2014 à 09:49 (UTC)Répondre

1. Contre-sens lors d'une traduction

Rosenblatt, 1

Texte de l’article :

L'historien russe Eugène Rosenblatt[H 15] répartit les collaborateurs juifs en deux groupes distincts :

  • les partisans d'une stratégie de survie collective
  • les personnes à la recherche d'une stratégie individualiste de survie

Problème : Rosenblatt ne parle pas dans le passage concerné de deux groupes distincts parmi les « collaborateurs juifs ». Il parle de distinguer deux situations parmi les autorités juives (Judenrat) et la police juive des ghettos Fait:

  1. Ceux qui, parmi les membres du Judenrat et de la police juive, ont eu une stratégie de survie collective, se sont identifié avec le reste de la population juive et se sont engagés dans la préservation de la Communauté ;
  2. Ceux qui, parmi les mêmes, ont eu une stratégie de survie personnelle, c'est-à-dire qui ont eu recourt à des moyens impliquant même la mort d'autres membres de la Communauté.

Ce n'est évidemment pas du tout la même chose et cela n'appuie évidemment pas du tout de la même manière l’idée du problème historiographique de cette "collaboration juive". --92.90.26.110 29 janvier 2014 à 13:00 (UTC)Répondre

Statut : résolu par correction du texte, approximativement. --109.10.254.175 2 février 2014 à 10:13 (UTC)Répondre

2. Contre-sens sur le propos d'une source

Les habits neufs...

Texte de l’article :

S'il est difficile d’en évaluer l'importance exacte, il est établi que des collaborateurs juifs ont bien pris une part active aux crimes nazis[H 16],[H 17]

Problème : la seconde référence renvoie à Sergiusz Kowalski et Magdalena Tulli, « La pologne », dans Shmuel Trigano (dir.), Les habits neufs de l'antisémitisme en Europe, Café Noir, 2004, p. 229-244. Or :

  • ces auteurs y exposent et y analysent le discours xénophobe et antisémite contemporain de différents journaux de la presse polonaise où ce thème de la supposée collaboration juive avec le nazisme est exploité fréquemment ;
  • ils ne tiennent aucun propos sur une effective « part active de collaborateurs juifs aux crimes nazis » durant la Seconde Guerre mondiale.

Le contre-sens est complet sur ce que dit la source, qui n'a en réalité rien à faire làFait. --109.10.254.175 30 janvier 2014 à 07:54 (UTC)Répondre

Merci pour ces premières contributions constructives. Et n'hésite surtout pas à en faire d'autres : ce texte a certainement besoin d’être 'tempéré', affiné et complété afin de rendre bien compte de sa complexité. Mais la complexité n’est pas un motif scientifique d'exclusion : heureusement que cet espace plus serein permet d’en traiter comme il se doit. Cordialement--Claude PIARD (discussion) 31 janvier 2014 à 12:23 (UTC)Répondre

Statut : résolu par suppression de la référence mentionnée.--109.10.254.175 2 février 2014 à 10:13 (UTC) Répondre

Magazine littéraire

Texte de l’article :

S'il est difficile d’en évaluer l'importance exacte, il est établi que des collaborateurs juifs ont bien pris une part active aux crimes nazis[H 16]

Problème : la source subsistante (plus exactement que ne l'indique l'article) est le numéro 337 du Magazine littéraire où un dossier bien connu a été consacré, sous la direction de Michelle-Irène Brudny, à « Hannah Arendt: Philosophie et politique ». L'article cité ne traite pas des « “crimes” des collaborateurs juifs », mais emploie simplement cette expression pour présenter le résumé du propos d'Arendt dans son Eichmann à Jérusalem, tel que l'avait fait un collectif d'intellectuels français dans une célèbre lettre collective intitulée « Hannah Arendt est-elle nazie ? », publiée dans le Nouvel Observateur en 1966.

Le contre-sens est à nouveau complet sur cette source qui s'occupe de tout autre chose que d’établir quoi que ce soit sur les collaborateurs juifs et leur participation aux crimes nazis. --109.10.254.175 1 février 2014 à 11:09 (UTC)Répondre

Fait L'opinion d'Hannah Arendt, professeur émérite de plusieurs universités américaines et dont l'Allemagne a choisi le nom pour une de ses éminentes institutions est parfaitement acceptable sur une discussion comme celle-ci, même si certaines institutions judaïques, en leur temps, l’on vivement critiquée. Elle ne représente certes qu'une version de l'interprétation des faits mais qui, comme les autres, a sa place ici et sa renommée scientifique internationale supporte aujourd’hui la comparaison avec n’importe quel autre chercheur spécialiste de ce domaine. Si vous souhaitez poursuivre cette collaboration, les usages font qu’il serait souhaitable de le faire avec une connexion plutôt que sous IP. Très bon dimanche--Claude PIARD (discussion) 1 février 2014 à 22:54 (UTC)Répondre

Statut : non résolu. --109.10.254.175 2 février 2014 à 10:13 (UTC)Répondre

Toujours non résolu., on reviendra dans une seconde passe, après celle sur les erreurs de sources les plus criantes, sur l'énormité de l'affirmation « Hannah Arendt[N 1] a établi que des juifs ont bien pris une part active aux exactions des nazis[H 16]. » --109.10.254.175 2 février 2014 à 15:38 (UTC)Répondre

Cette affirmation ne contient que des banalités contrôlées, même si elles ne sont pas agréables à entendre pour tout le monde. Si ce n'était pas le cas ses travaux n'auraient pas, à l'époque, provoqué un tel tollé. De surcroît c’est toi-même qui le confirme supra en recontextualisant la citation employée précédemment, dis-tu à contresens. Libre à ceux qui sont très critiques à son égard de s'exprimer en dernière partie de l'article. Mais nous en sommes là à l'exposé des faits et son témoignage y a sa place. Et si tu persistes sous IP, on ne reviendra à rien du tout. Si j'en juge à ton style d'intervention et à ta parfaite maîtrise des arcanes wikipédiennes, tu dois avoir "quelques heures de vol" et n'en serais pas à un faux-nez de plus. Or, sur cet espace où tu n'a pas encore trop sévi, ce serait peut-être l’occasion de repartir d'un bon pied. Pour moi, je considère que c'est bien résolu et cesse tout dialogue avec une IP anonyme. Bonsoir--Claude PIARD (discussion) 2 février 2014 à 16:53 (UTC)Répondre

Les Curateurs du ghetto...

Texte de l’article :

Dans un ouvrage intitulé « Les curateurs du ghetto[H 13] », Jean-Philippe Schreiber et Rudi Van Doorslaer évoquent l’existence d'« anciens membres de la Résistance, qui n'entendent pas céder sur leurs positions et continuent à parler d'une collaboration juive[H 28] ». Schreiber et Van Doorslaer citent également Marcel Liebman qui, en 1977, parlera de « l'indignation de nombreux survivants » face à la volonté d'ignorer. Ceux-ci, « après la Libération, s'étaient attendus à voir les principaux responsables du Judenrat poursuivis pour leur complaisance envers l'ennemi ou pour leur collaboration[H 29] ». Les deux auteurs précisent qu'« aucune action en justice ne fut intentée contre eux. Des dirigeants de la communauté juive découragèrent toute initiative du genre. L'un d'eux se justifia en disant qu’il ne fallait pas raviver de vieilles plaies et que les Juifs avaient assez souffert[H 29]. ». On peut également y lire que « l’on trouve certes quelques traces d'une commission d'épuration à Bruxelles, en 1945[H 29] », mais qu'« elle n'est hélas pas documentée[H 29]. ». Quelques velléités visant à traduire un certain nombre de responsables en justice semblent bel et bien avoir eu lieu puisque, « à Liège, le CDJ mit sur pied une commission d'épuration pour dénoncer les « collaborateurs juifs » à la justice. Elle mit l'AJB en accusation, pour des motifs divers : obéissance aux ordres de l'ennemi, collaboration aux mesures de déportation, menaces, confection de listes, regroupement des Juifs, extorsion de fonds[H 29]. ». Qui plus est, en 1965, « la publication par Betty Garfinkels, l'épouse de Grigorijs Garfinkels, d'un ouvrage sur la persécution raciale ouvre une controverse qui ne contribue pas à apaiser les tensions[H 28]. »

Problème : le traitement dans cet article à propos de l'UJB s'appuie sur des références étonnantes à l'ouvrage collectif dirigé par Schreiber et Doorslaer, où une apparence de propos est extrait de son contexte et de l'analyse dans laquelle il s'inscrit. C'est loin d’être innocent puisque l'une de démonstration de cet ouvrage est que, justement, le concept de « collaboration juive » est inopérant dans ce cas. Mais de cela, on ne dit rien. Le livre a-t-il tout simplement été lu ?

4. Amalgames

Amalgames de cas individuels où les sources sont caricaturées

L'article, de manière très désordonnée, établit un amalgame de différents cas individuels à propos desquels la littérature de référence est en outre déformée, aboutissant à une liste proprement caricaturale. Quelques exemples les plus criants :

Rumkowski

Article :

Cette attitude lui a valu la condamnation unanime d'Hannah Arendt, Raul Hilberg et Primo Levi[H 18].

Problèmes :

  • aucune analyse ni contextualisation de la position de Hilberg n'est apportée ; un ouvrage d'ailleurs essentiel pour ce article devrait être au moins mentionné, et de préférence exploité au moins sur ce point : Adam Brown, Judging "privileged" Jews: Holocaust Ethics, Representation, and the "Grey Zone", Berghahn Books, 2013.
  • la position de Levi est, elle, carrément caricaturée. Là encore, l'ouvrage ci-dessus (et la présentation de la notion-clé de « zone grise » définie par Levi et reprises par différents historiens) seraient indispensables. L'absence de toute référence à Primo Levi, I sommersi e i salvati témoigne en fait de l'improvisation complète de cette « recherche ».

Accessoirement :

  • la phrase de l’article citée ci-dessus est en réalité un simple copié collé de la présentation de l'ouvrage d'Étienne Jaudel sur Rumkowski dans googlebook, ce qui en dit long sur le sérieux du travail bibliographique et de fond réalisé dans ce paragraphe.
  • Étienne Jaudel tient un discours très nuancé sur Rumkowski, à l'opposé de ce qu'on lui fait appuyer ici.
  • Jaudel, personnalité de la société civile éminemment respectable, n'est cependant pas ce qu'on appelle une source académique et n'est certainement pas la première référence sur laquelle un exposé ou une recherche à prétention universitaire sur le sujet devrait s'appuyer. La littérature à son propos est abondante et récente, et nécessiterait une lecture attentive avant la moindre publication improvisée à ce propos. --109.10.254.175 2 février 2014 à 07:35 (UTC)Répondre
Fritz Scherwitz

Article:

Dans un article en polonais publié en 2007 dans la revue scientifique Glaukopis sous l'intitulé « Lonek Skosowski : la fin des collaborateurs juifs de la Gestapo[H 19] », Wojciech Jerzy Muszyński et l'historien Marek Jan Chodakiewicz écrivent :

« Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Hitler et les membre du Parti national-socialiste œuvrèrent en chœur pour conduire les Juifs à la mort. Ceux-ci, harassés, persécutés, ne virent d'autres alternatives que d'user de toutes sortes de stratagèmes pour survivre sans pour autant pouvoir s'assurer la moindre garantie de succès en retour. Contraints de se cacher, certains d'entre eux eurent même recours à des mesures extrêmes. L'un des cas les plus controversés est celui d'Elke Sirewiza. Après avoir reçu de faux papiers affublés du nom de Fritz Scherwitz[H 20], il s'affilia au Parti nazi. Servant les SS en qualité de « Obersturmführer », il fut nommé commandant en chef du camp de concentration « Lenta » à Riga en Lettonie. Il supervisa et cautionna l'assassinat de Juifs et le viol de femmes juives[H 21]. »

Problème : présenté seulement à travers une citation rapide et sans utilisation des sources de référence, ce personnage effectivement connu pour sa complexité est également caricaturé :

  • L'ouvrage journalistique mais reconnu d'Anita Kugler, Scherwitz, der jüdische SS-Offizier, Köln, 2004 n'est évoqué qu’à travers une recension manifestement partiellement lue (uniquement la partie en libre accès). Or, Kugler en dresse un portait beaucoup plus nuancé et prudent, insistant en particulier sur les multiples incertitudes à son propos, y compris sur sa judéité. Certes, l'ouvrage en allemand n'a pas été traduit, mais que penser d'une recherche qui ne s'appuie que sur un accès partiel à un article sur un ouvrage et non sur la lecture de celui-ci ?
  • Surtout, un ouvrage de référence immédiat dans ce cas, Andrej Angrick, Peter Klein, The "final Solution" in Riga: Exploitation and Annihilation, 1941-1944, Berghahn Books, 2009, n’est pas exploité ni mentionné, bien qu'on y trouve un chapitre de synthèse sur ce cas, lui aussi beaucoup plus nuancé et prudent. --109.10.254.175 2 février 2014 à 08:43 (UTC)Répondre

S'il te plait

Si tu veux que tes remarques soient prises au sérieux, commence par les présenter à partir d'une connexion bien identifiable et permettant un véritable dialogue. En l'état actuel des choses, elles resteront en réserves ici, à disposition de celles et ceux qui souhaitent creuser un peu plus la question. Les précisions apportées en leur temps par des personnes toujours bien identifiables en historique de l’article conservent sur Wikipédia toute leur légitimité eu égard à tes contestions sous anonymat. Je ne prends par parti : je préserve un patrimoine où une simple IP - apparemment compétente certes - devrait s'exprimer de façon plus lisible sur Wikipédia. Après - et après seulement - on peut "creuser" ou "modérer". Cordialement et bon dimanche.--Claude PIARD (discussion) 2 février 2014 à 11:30 (UTC)Répondre