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Recherche:Morts 14-18/2018-2019

Leçons de niveau 13
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Morts 14-18

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Recherche de niveau 13.


Morts de septembre 1918 à juillet 1919


« Quelle connerie la guerre ! » : 2013-14 ; 2014-15 ; 2015-16 ; 2016-17 ; 2017-18 ; 2018-19

Les séances de l'année scolaire 2018-2019 sont consacrées à la période de début septembre 1918 à l'été 1919 (les militaires ne sont pas démobilisés à l'armistice et la guerre ne se termine qu’à la signature des traités de paix ; officiellement la cessation des hostilités a été fixée au 24 octobre 1919[1]).

→ Article connexe à utiliser : offensive des Cent-Jours.

Travail à faire

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Début d’un principe
Fin du principe


D'abord, pensez à réserver votre militaire en apposant la ligne de code suivant :
{{Cadre simple|contenu=Recherches réalisées par ??? (1{{re}} ES 2) en novembre 2018|couleurbord=red|couleurfond=#FF8080|padding=0}}


Ce qui donne le bandeau suivant :

Recherches réalisées par ??? (1re ES 2) en novembre 2018


Première étape : la base des « morts pour la France » permet de trouver le nom complet (avec le deuxième voir troisième prénoms pour éviter les homonymes), la fiche fournissant la date et le lieu de naissance, la classe (année des 20 ans, année du recensement avant de faire son service militaire), le numéro matricule lors du recrutement, le grade, l'unité, ainsi que la date et le lieu de décès.

Deuxième étape : à partir de la classe et du numéro matricule, les registres de matricules de Versailles (s'il est du département, sinon il faut consulter les archives d'un autre département, en espérant qu’elles soient en ligne...) fournissent les identités des parents, une description physique, le métier et un récit des affectations.

Troisième étape : avec les noms de l'unité d'affectation (régiment ou bataillon), une recherche sur Wikipédia donne le lieu de casernement et les différents opérations (on peut consulter aussi le journal de marche de l'unité sur le site mémoire des hommes).

Pour d'autres sources (par exemple le recensement), cf. Recherche:Morts 14-18#Sources.

Éléments à rechercher (si possible) :

  • nom complet (pour éviter les homonymes), date et lieu de naissance ;
  • lieu de domicile (si possible la rue), membres de la famille, travail dans le civil ;
  • dates d'incorporation (début du service militaire) et/ou de mobilisation, classe (année des 20 ans) ;
  • régiment, lieu(x) de casernement, corps d'armée d'affectation, grade, opérations pendant la guerre ;
  • date et lieu de décès, type de décès, lors de quelle bataille, âge au décès et lieu de sépulture.

Pour les sources, cf. Recherche:Morts 14-18#Sources.

Fernand BOILEAU

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Recherches réalisées par Victor & Nathan (1re ES 2) en novembre 2018

Fernand André BOILEAU, fils d'un certain Victor et d'Eugénie Olivia Gallet est né le 15 octobre 1898 à Chatou (78 - Yvelines, France) et est "mort pour la France" le 14 septembre 1918 à 19 ans sur l'attaque du moulin de Laffaux, dans l'Aisne (02). Il vécut au 34 rue de Beaumet et n'eut jamais de femme. Il était blond aux yeux bleus, avait un visage large et un menton en fossette. Il avait un front assez petit et un dos droit. Enfin, il mesurait 1,64 m. Il savait dans une certaine mesure lire et écrire (degré d'instruction : 3) et fut garçon boucher. Durant la Première Guerre mondiale, il fut engagé comme militaire dans la marine en tant que matelot de seconde classe dans le bataillon de fusiliers-marins (dit BFM), dépôt des équipages de la flotte (numéro de matricule : 45074) à compter du 16 avril 1917 et arriva le lendemain dans son dépôt. Moulin de Laffaux Le bataillon de fusiliers marins a combattu au moulin de Laffaux le 14 septembre 1918. Celui-ci combattit jusqu'à Laon, au tout début d'octobre, perdant les trois quarts de ses officiers (18 tués) et plus de la moitié de ses effectifs (430 tués) dont notre cher Fernand Boileau. Érigée par la Fédération des Associations de Marins et d’Anciens Combattants, la stèle a été inaugurée le 13 novembre 1938 par le capitaine de frégate Huon de Kermadec. Anciennement situé au lieudit "carrière de Fruty" non loin de Laffaux, le monument a été déplacé en 2007 lors de la construction de la nouvelle Nationale 2. La stèle est actuellement au bord de l’ancienne RN 2, 100 mètres plus bas. Elle a été orientée de manière à ce qu’elle soit visible de la route venant de Paris, mais aussi de manière à ce qu’elle soit tournée vers son emplacement originel (carrière de Fruty, lieu où les fusiliers marins ont fait reculer l’ennemi).

Recherches réalisées par Zoé M. (1re ES 2) en novembre 2018

Pierre Émile Louis BRULEZ, sergent, mort le 14 septembre 1918 (blessures, Le Quesnel, Somme)

Pierre Emile Louis BRULEZ est né le 19 mai 1893 à Fère-en-Tavernois dans la région de l'Aisnes. Il résidais autrefois dans la commune de Nogent-sur- Marne, département de la Seine. Pierre BRULEZ avait les cheveux noirs, un visage rond d'un teint coloré avec des yeux marron, un nez convexe et des petites lèvres minces. Sa taille était d'1,57 mcm. Il était livreur. Fils de BRULEZ George et HUMBLEZ Marie Marguerite domiciliés à Chatou en Seine et Oise. Il est inscrit sous le n°60 de la liste du canton de Saint-Germain-en-laye. Il est classé dans la 1ère partie de la liste en 1913 soit incorporé le 27 novembre 1913. Pierre BRULEZ arrive a corps le 28 novembre 1913, il est nommé caporal le 17 décembre 1914. Anecdote : Il avait un furoncle à l'anus.

Fiche matricule : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d920443b87b/53d92048dcd83

Louis Marie Robert LUMIERE est né le 20 juin 1887 au Vésinet, fils de Louis Georges LUMIERE et de Marie Thérèse Berthe CHEVRIER, habitants Le Vésinet au 44 de l'avenue Princesse (acte de naissance n° 97, page 49/360 : http://www.archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d67ad422715/53d67ad447a93). Il faisait un mètre 73, avait des cheveux blonds et des yeux bleus. Il a obtenu son bac en lettres (degré d'instruction 5).

De la classe 1907, il porte le matricule n° 2680 lors de son recrutement à Versailles. Il est incorporé le 7 octobre 1908 au sein du 109e régiment d'infanterie comme soldat de seconde classe. Il passe caporal le 25 septembre 1908, avec la fonction de secrétaire du trésorier du régiment. Il passe dans la réserve le 1er octobre 1910 et rendu à la vie civile. Il s'installe en novembre 1911 à Souday (près de Blois), puis part six mois en Angleterre de mars à août 1912 (Wisteria Road à Lewisham dans l'agglomération londonienne). Revenu en septembre 1912, il s'installe à Villebont (toujours près de Blois).

Rappelé au service par la mobilisation générale, il arrive le 3 août 1914 au 113e régiment d'infanterie. Il est promu sous-lieutenant de réserve le 5 juillet 1916 et passe au 95e régiment d'infanterie, puis au 61e RI. Sa bonne attitude en décembre 1916 devant Verdun lui vaut une citation à l'ordre de la brigade. Idem en janvier 1917, puis en mai 1917 avec une citation à l'ordre de l'armée. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur le 17 avril 1917 (http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH134/PG/FRDAFAN83_OL1675051v001.htm), recevant aussi la croix de guerre avec palme et deux étoiles de bronze. Affecté au 328e RI le 6 septembre 1917, il est nommé lieutenant le 5 juillet 1918 (http://www.archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053cf4f0e52fcd/53cf4f0ff1610).

Il est mort le 20 septembre 1918 des suites de blessures de guerre à l'ambulance 16/3 à Quincy-sous-le-Mont dans l'Aisne (http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m00523ac3f9e2b56).

Victorin BONNET

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Victorin Augustin Léon BONNET, maréchal des logis au 222e RAC, mort le 24 septembre 1918 dans une ambulance à la suite de blessures de guerres (à Cuperly, Marne). Il est né à Croissy-sur-Seine le 19 décembre 1884.

Fiche matricule : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d7b6f3b9527/53d7b6f555c87

René Auguste Marie BRUYÈRE

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Recherches réalisées par Madjid et Adrien (1re ES 2) en novembre 2018

René Auguste Marie BRUYÈRE, est un lieutenant au 28em Bataillon du génie, il est née le 14 avril 1895 dans le 9em arrondissement de Paris. Il est mort pour la France le 28 septembre 1918 d'une maladie infectable en service à l'hôpital de Caen. Son numéro de matricule de recrutement est 426. Bruyère est au degré d'instruction niveau 5, notamment élève de la prestigieuse école d'ingénieur L'École Centrale. Il est le fils de Jean Auguste et de Claire Augustine. Arrivé au corps le 8 septembre 1914 et élu Caporal le 8 novembre 1914. Il a été promu Lieutenant à titre définitif le 4 septembre 1918. René Bruyère a les yeux gris, il mesure 1,78 m, il a les cheveux de couleur châtain et a le nez court avec la tête ovale et son front est de taille moyenne. Aucun antécédents judiciaires ni condamnations signalés et ni aucune blessures signalés. Il a fait la guerre contre l'Allemagne du 5 septembre 1914 au 28 septembre 1918.

Léon CHEVALIER

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Léon CHEVALIER, fusilier-marin d'un bataillon de marine, mort le 29 septembre 1918 au passage de l'Ailette (Aisne).

Fiche matricule : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ce608c6c6f6/53ce608f66b12

Georges AMOUDRY

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Recherches réalisées par Bryan (1re ES 2) en novembre 2018

Georges Charles AMOUDRY, 2e classe au 56e BCP, mort le 14 octobre 1918 (à Hooglède en Belgique).

Fiche MpF : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239d5b4c6a5e/5242bad6bb8f9

Louis BOUCHARD

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Recherches réalisées en avril 2015 à la demande d'une élève de cette famille.

Louis Étienne BOUCHARD est né le 17 juillet 1891 au Vésinet (dans le département de la Seine-et-Oise) et habitait la commune voisine de Chatou, au 57 de la rue des Landes. Il est le fils de Célestin BOUCHARD et d'Amélie Léonie LEMOINE. Louis fait un mètre 62, il a des cheveux marrons et des yeux gris-bleu ; il est comptable.


Membre de la classe 1911 (ce qui veut dire qu’il avait 20 ans en 1911, l'année de son recensement militaire), avec comme numéro matricule le 2889 au recrutement à Versailles. Il bénéficie d'un report d'incorporation pour terminer ses études (sa classe est incorporée en octobre 1912, avec congé théorique en novembre 1914), commençant son service militaire (alors d'une durée de trois ans) à partir du 8 octobre 1913, comme soldat de deuxième classe. Étant de la banlieue ouest parisienne, qui fait partie de la 3e région militaire (qui couvre la Normandie), il est affecté au 74e régiment d'infanterie, caserné à Rouen. Le 74e RI fait partie de la 5e division d'infanterie, elle-même partie du 3e corps d'armée.

Sous les drapeaux au moment de la mobilisation de 1914, Louis fait donc partie de l'armée d'active, la fraction la plus jeune et la mieux entraînée de l'armée française, destinée aux offensives et envoyée immédiatement sur les frontières orientales (l’armée de réserve, plus âgée, doit boucher les trous, tandis que l’armée territoriale, encore plus âgée, doit servir aux garnisons). Son régiment est complété par l'arrivée de plusieurs centaines de réservistes (les plus jeunes d'entre-eux) les 3 et 4 août. L'effectif passe alors d'environ 2 200 hommes à 3 347. Son unité quitte son casernement dès le 5 août 1914, comme prévu par le plan de concentration. Le régiment embarque dans trois trains (à raison de 40 hommes par wagon) en gare de Rouen-Saint-Sever (Rouen-Rive Gauche), puis fait route en train vers l'est, via Mantes, Pontoise, Creil, Compiègne, Soissons, Laon et Reims, pour finalement débarquer le 6 août dans la gare d'Amagne - Lucquy (dans les Ardennes). La première mission est de surveiller la frontière franco-belge, pendant que le reste de l'armée termine de se déployer.

Au sein de son régiment, Louis participe à presque toutes les grandes batailles du front occidental : Charleroi et Guise en août 1914, la Marne en septembre 1914, l’Artois en octobre 1915, Verdun en avril-mai 1916, le Chemin des Dames en 1917 et l’Aisne en juillet 1918. Nommé soldat de première classe le 14 septembre 1914, il devient téléphoniste le 15 octobre 1914. Il passe au grade de caporal le 11 mai 1916, puis de sergent le 16 août 1918.


À l'automne 1918, la guerre de tranchées laisse la place à une guerre de mouvement, les armées alliées enfonçant le front allemand un peu partout. Le 74e RI est alors en Flandre belge, sur la rive gauche de la Lys, progressant lentement mais régulièrement vers l'est dans les jours d'octobre. Les transmissions entre les PC du colonel et ceux des commandants de bataillon sont alors difficile à maintenir, d'où l'importance des téléphonistes qui doivent tous les jours enterrer leurs lignes. Louis est d'ailleurs cité à l’ordre du régiment le 20 octobre 1918 « sous-officier énergique et dévoué, donnant constamment à ses hommes l'exemple de la bravoure et du sang froid. S'est dépensé sans compter malgré les tirs intenses d'artillerie pour assurer la liaison téléphonique ».

Louis est blessé le 21 octobre 1918 à Gottem : une plaie compliquée au coude gauche due à un éclat d'obus. « À 4 h 30 un obus toxique de gros calibre éclate sur le PC du 2e bataillon, tue le capitaine Carré, blesse grièvement le capitaine Raffenne, le lieutenant Sabathé, et met hors de combat une partie de la liaison du bataillon. » Louis meurt le même jour des suites de ses blessures, à l'ambulance 1-72 stationnée à Roulers (20 km en arrière du front). Il est de nouveau cité à l’ordre de son régiment le 1er novembre 1918, mais à titre posthume : « A fait preuve en toutes circonstances d'un très grand courage pendant les combats du 14 au 23 octobre 1918. S'est une fois de plus distingué en maintenant la liaison téléphonique fréquemment rompue par les bombardements ennemis. À été blessé en accomplissant son devoir. » Il a été décoré de la croix de guerre avec deux étoiles de bronze (les étoiles correspondent au nombre de citations obtenues).

Sources :

Recherches réalisées par Bryan (1re ES 2) en décembre 2018

René Georges Gautrin, bat'd'Af, mort le 25 octobre 1918 à Gadès (Tunisie). né le 6 février 1898 à Chatou, il résidait dans cette même ville dans le département Seine-et-Oise. Fils de Blaize et de Jeaunau Letavie, sa profession était emballeur. Appelé à l'activité en raisons de ses antécédents judiciaires le 14 avril 1917 pour rejoindre le cinquième bataillon d'infanterie légère d'Afrique, il est placé dans les délais, retenu dans de multiples prisons et établissements pénitentiaires: - Placé dans la prison de la santé le 4 mai 1917 - transféré à la prison de Versaille le 21 avril 1917 - Prison de convergeries à Paris le 23 juin 1917 - Maison centrale de Poissy le 28 août 1917 Il sera finalement admit au bénéfice de la libération conditionnelle et dirigé le 4 février 1918 dans le quatrième bataillon d'infanterie légère d'Afrique, il arrivera au corps le 12 février. Il passera au cinquième régiment le 25 septembre 1918 comme chasseur de deuxième classe. La raison de son décès est inconnu.

Fiche matricule : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053e2e46222681/53e2e462be6e8

Henri CRASSOUS

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Henri Eugène Marie CRASSOUS, sergent au 27e RI,Né(e) le 02-09-1895 à Montpellier (34 - Hérault, France) et mort le 25 octobre 1918 à Château-Porcien (Ardennes), tué par l'ennemi, à 23 ans.

Fiche matricule : http://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTgtMTEtMjkiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6MTc7czo0OiJyZWYyIjtpOjE3NDE4NzA7czoxNjoidmlzaW9ubmV1c2VfaHRtbCI7YjoxO3M6MjE6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWxfbW9kZSI7czo0OiJwcm9kIjt9#uielem_move=0%2C0&uielem_islocked=0&uielem_zoom=30&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F

Alexandre ALBERT

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Recherches réalisées par Louise (1re ES 2) en novembre 2018

Alexandre Joseph ALBERT, 2e classe au 156e RI, mort le 27 octobre 1918 (de maladie, à l'ambulance de Lignières, Meuse)

Alexandre Joseph Albert est né le 8 avril 1894, dans le 10e arrondissement de Paris ( département de la Seine, canton de Saint-Germain). Il avait pour profession employé de bureau. Le nom de ses parents n'est pas connu cependant son tuteur était domicilié au Vésinet, au 31 rue Ernest André (département de la Seine-et-Oise, canton de Saint-Germain).

Alexandre Joseph ALBERT mesurait 1,78 m, avait les cheveux châtains clairs, les yeux gris vert, un front large, un nez relevé, des lèvres épaisses, un menton à fossettes et un visage ovale. Il avait pour marque particulière une légère cicatrice au front.

Il a été incorporé le 10 septembre 1914 en soldat de 2° classe. Le 15 décembre 1915, il est passé au 37ème régiment D'Infanterie. Puis le 27 décembre 1915 au 156e régiment d'Infanterie. Parti aux armées le 9 décembre 1914 et évacué blessé par balle au front le 28 mars 1915.Puis, parti en renfort le 2 décembre 1915. Alexandre Joseph ALBERT est qualifié de très bon soldat, qui a fait preuve de bravoure en toutes circonstances. Citation : " Croix de Guerre étoile de bronze".

Alexandre Joseph ALBERT est décédé le 27 octobre 1918 à 10h30 du matin dans une ambulance à Lignière (Meuse), pour cause de maladie. Il sera par la suite rayé des contrôles le 18 octobre 1918.

Maurice BERRIER

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Recherches réalisées par Maxime & Augustin (1re ES 2) en novembre 2018

Maurice Ernest Marcel BERRIER, fils de Adrien Louis et de Hussette Marie-Delphine fut peintre en bâtiments puis soldat de deuxième classe au 94e RI, est né le 12 février 1897 et mort pour la France le 1er novembre 1918 à Chestres (Ardennes).Maurice avait les cheveux chatins, les yeux bleus, une petite bouche, une cicatrice à droite du cou. Le haut de son crane culminait à un mètre 57.

Il fut recruté à Versailles. Il eut 20 ans en 1917 et parti en campagne du 12 février 1916 au 1er novembre 1918. Son numéro de matricule était le 5736. Il résidait 6 place de l'Église au Vésinet. Il faisait partie du canton de Saint-Germain-en-Laye. Il est décrit comme un soldat très courageux avec un grand sang-froid et « s'est distingué particulièrement lors de l'opération du 16 septembre 1918». Il a reçu la croix de guerre, l'étoile de bronze.

Georges Léon LEMITRE

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Recherches réalisées par Clémence.C (1re ES 2) en novembre 2018

Georges Léon LEMITRE est né le 23 octobre 1897 à Chatou (dans le département de la Seine-et-Oise) et habitait la commune voisine de Montesson, au 33 route de Saint Germain. Il est le fils de Emile Pierre LEMITRE et Gauthier Marie Emilie LEMITRE. Il fait un mètre 68, il a des cheveux châtains, des yeux marron clair et une brûlure à la tempe gauche ; il est mécanicien auto.

Membre de la classe 1917 (ce qui veut dire qu’il avait 20 ans en 1917, l'année de son recensement militaire), avec comme numéro matricule le 5969 au recrutement à Versailles. Incorporé à compter du 11 janvier 1916 comme soldat de 2e classe au 82e régiment d'infanterie. Etant de la banlieue ouest parisienne, qui fait partie de la 3e région militaire (qui couvre la Normandie), il est affecté au 113e régiment d'infanterie comme soldat de seconde classe le 6 novembre 1916. Il est ensuite transféré au 3e régiment de chars lourds.

Cité à l'ordre du régiment n°409 comme jeune soldat très courageux et très crâne, s'est toujours distingué par son sang froid, son courage et sa bonne volonté. Il s'est fait particulièrement remarquer par sa belle attitude pendant la période du 18 décembre 1917 au 14 janvier 1918.

Il est fait prisonnier le 9 juin 1918 à Bermonttoise et décède le 16 novembre 1918 au lazaret de la forteresse à Coblentz de maladie.

Alfred AUGER, adjudant au 101e RI, mort le 16 novembre 1918 (camp de Meschede en Prusse)

Fiche matricule : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053e29a2f1a91c/53e29a36ace55

Recherches réalisées par Inès et Hélène (1re ES 2) en novembre 2018


Marcel Georges SÉNÉ, étais domicilié au Pecq, avenue D'oligne dans le département de Seine & Oise, actuelle Yvelines. Il fut recruté en août 1916 sous le matricule 6091 au bureau de recrutement militaire de Versailles, comme caporal au 2ème régiment de tirailleurs. Il est né le 14 novembre 1897 au Vésinet. Et meurt le 19 juillet 1919 au Maroc, d'une maladie contractée en service.

Il est le fils de Eloi-Désiré et Renouf Augustine Louise et n'avais pas d'enfant ni de compagne.

Il était brun, avait les yeux clairs, le visage plein, le front moyen, le nez rectiligne, des lèvres minces et mesurait un mètre 68.

Fiche matricule : https://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053e0fdcc4afb6/53e0fdcce0db2

Notes et références

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  1. Loi du 23 octobre 1919 sur la cessation des hostilités, publiée au JORF du 24 octobre 1919.