Logique analytique/Dans le monde
Apparence
Dans le monde extérieur
[modifier | modifier le wikicode](au sein de la représentation par 2STRU/ du monde) A est toujours une projection (subjectivation) du soi sur mon propre opérateur (je) ou sur l’autre (Socrate), (le mur), (l’oiseau), voire sur un objet logique (cette équation). Si comme opérateur je reste concentré dans mon monde mental, cette projection illusoire (X) peut disparaître. L’autre n’est qu’un objet subjectivé par la projection du soi sur lui (P). Ainsi : (P Socrate) (choisit) (ce gâteau), dans ce cas il y a toujours un contexte mental (C) masqué par la proposition, une fonction mentale (F), à l’œuvre qui a tendance à oublier sa propre subjectivation : ((X) (F)) (P Socrate) (choisit) (ce gâteau) ((X) (F)) (P ma huppe) (se nourrit) (dans mon jardin) C A R B Quand je suis l’opérateur de l’action, ((X) (F)) prend les places de A et R et je n’ai plus que : (X) (F choisir) (ce gâteau) A R B qui peut se réduire à : (F choisir (7d)) (ce gâteau) R B Trois types de propositions sont donc possibles : • C A R B si A est l’autre, toujours ((X) F) (PA) R B, jamais A R B • (X) R B toujours (X) F B • R B toujours F B ARB est impossible car ce serait un fait non structuré par 2/ du monde extérieur et encore moins (PA) R B car (PA) n’est possible que si je suis conscient 5/ (PA) R B. Aristote comme Wittgenstein et la plupart des logiciens font abstraction de ce contexte mental. Wittgenstein va jusqu’à nier expressément ce contexte, tant il aspire à la représentation par la logique d’un monde extra personnel, une représentation qui se suffirait à elle-même et n’aurait pas besoin de lui pour l’exprimer : « la logique n’est pas une théorie mais une image réfléchie du monde » (W. T. 6.13), il se considère comme un fait (W.T.1.1)