Lettres persanes/Lettre C, Rica à Rhédi, commentaire no 1

Une page de Wikiversité, la communauté pédagogique libre.
Début de la boite de navigation du chapitre
Lettre C, « Rica à Rhédi », commentaire no 1
Icône de la faculté
Chapitre no 3
Leçon : Lettres persanes
Chap. préc. :Lettre XXX, « Rica au même », commentaire no 1
fin de la boite de navigation du chapitre
En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Lettres persanes : Lettre C, « Rica à Rhédi », commentaire no 1
Lettres persanes/Lettre C, Rica à Rhédi, commentaire no 1
 », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.

Voir l'extrait et le plan du commentaire.

Introduction[modifier | modifier le wikicode]

En 1721, le philosophe et écrivain français des Lumières Montesquieu publie anonymement le roman épistolaire Lettres persanes. L'auteur, connu pour ses conceptions politiques comme la séparations des pouvoirs de l'Etat, critique, dans cette œuvre, la société française de son époque. L'extrait qu'on intéresse est la centième lettre de l'œuvre nommé « Rica à Rhédi » ce qui critique la mode parisienne.

Questions possibles[modifier | modifier le wikicode]

  • Quels sont les objectifs recherchés par Montesquieu dans cette évocation des caprices de la mode ?

Un regard moqueur porté sur la vie parisienne[modifier | modifier le wikicode]

Un sujet léger évoqué avec humour[modifier | modifier le wikicode]

Une caricature propre à susciter le rire[modifier | modifier le wikicode]

Une pantomime grotesque[modifier | modifier le wikicode]

Une critique inquiétante des mœurs françaises[modifier | modifier le wikicode]

La primauté de l'artifice et de l'éphémère[modifier | modifier le wikicode]

Le désordre social[modifier | modifier le wikicode]

L'asservissement politique[modifier | modifier le wikicode]

Conclusion[modifier | modifier le wikicode]