Analyse des Logiques Subjectives/La notion de Série - les Atomes
Rappel de la définition
[modifier | modifier le wikicode]Les deux Séries décrites par l'A.L.S.sont deux listes d’adjectifs simples opposés (les linguistes disent "antonymes"): ouvert/fermé, nouveau/ancien), etc.
- La Série "A" concerne l’extérieur, le changement, le désordre, la destruction de l’ancien.
- Elle se compose d’adjectifs simples, concrets ou abstraits, comme : ouvert, souple, léger, varié, mobile, instable, fragile, éphémère, nouveau, libre, amusant, fou, etc. (désormais toujours notés en italique) ;
- La Série "B" concerne au contraire l’intérieur, le non-changement, l’ordre, la conservation.
- Elle se compose d’adjectifs simples, concrets ou abstraits, comme : fermé, rigide, lourd, monotone, immobile, stable, solide, durable, ancien, occupé, sérieux, sage, etc. (désormais toujours notés en gras).
*** L'astuce mnémotechnique:
• 'A' est une voyelle, on OUVRE la bouche. La Série "A" est celle de l'OUVERTURE, et de ce qui entre en résonance avec : l’extérieur, le changement, la dispersion, la destruction de l’ancien. Mettre en tête de liste l'adjectif simple "ouvert".
• 'B' est une consonne, on FERME la bouche. La Série "B" est celle de la FERMETURE, et de ce qui entre en résonance avec : l’intérieur, la stabilité, la concentration, la conservation de l’ancien. Mettre en tête de liste l'adjectif simple "fermé".
Ces adjectifs simples listés dans les deux Séries, l'A.L.S. les nomme "Atomes".
Prolongeant cette analogie physique, elle nomme "Molécules" les autres mots "pleins" qu'elle retient pour son analyse : adjectifs complexes, noms, verbes et adverbes (alors que la "poussière grammaticale", les "mot-outils" détaillés dans le chapitre suivant, ne sont pas pertinents pour cette analyse). On verra comment une procédure précise permet de rattacher "au sens large" ces Molécules aux deux Séries qui, insistons là-dessus, ne contiennent au sens strict que ces Atomes que sont les adjectifs simples.
Les linguistes, pour désigner les "atomes de signification", utilisent le mot "sème"[1], mais il ne faut pas se dépêcher de faire coïncider les Atomes 'A' et 'B' que l'A.L.S. extrait des énoncés en "mode subjectif" avec les sèmes linguistiques qui au départ (voir Bernard Pottier[2]) seraient plutôt extraits des énoncés en "mode cognitif".
Quatre remarques importantes
[modifier | modifier le wikicode]- Les Atomes 'A' et 'B' sont pris dans leur sens propre, qui est le plus souvent le sens concret : ouvert au sens de porte ouverte, et non de personne ouverte, ou encore libre au sens de non-prisonnier, et non au sens de la "Liberté majuscule" de la devise républicaine... ce qui n'empêchera pas, loin de là, leurs emplois figurés, métaphoriques notamment, comme on le verra par la suite. Procéder ainsi présente un avantage : celui d'éviter les doublons (en mettant un même adjectif d'une part dans la liste des atomes concrets et d'autre part dans la liste des atomes abstraits.
- Le mode de constitution binaire des Séries exclut (cette remarque s'appuie sur un constat empirique) les "éventails" de plus de deux adjectifs (qui ne s’opposent donc pas strictement deux à deux). Elle les réduit, les simplifie, les schématise :
- ainsi retiendra-t-on l’opposition coloré (Série 'A') / non_coloré (Série 'B') au lieu de la gamme des couleurs (de l’arc-en-ciel ou autres). Nous verrons qu'en "mode subjectif" (celui sur lequel travaille l'A.L.S.), contrairement au "mode cognitif" de la connaissance courante, le noir, le blanc et le gris sont des "non_couleurs" (à côté de l'incolore proprement dit), et viennent se placer dans la Série 'B'...
- et les oppositions inconsistant (Série 'A') / consistant (Série 'B') et fluide / non_fluide au lieu des multiples états de la matière (solide / visqueux / pulvérulent / liquide / gazeux). Fluide regroupe pulvérulent / liquide / gazeux tandis que non_fluide regroupe solide et visqueux.
- troisième exemple : l’opposition debout (Série 'A') / non_debout (Série 'B') vient simplifier l'éventail debout / accroupi / à genoux / assis / couché. Ainsi non_debout regroupe accroupi, à_genoux, assis et couché.
- Une explication possible de ce phénomène sera proposée dans le chapitre sur les "Points-de-vue".
- On observe parfois au sein d'une même série des Atomes en contradiction du point de vue cognitif (voir en annexe la liste des atomes A et B) : joli et laid, inodore et puant, insipide et sucré, petit et moyen… Ceci s’expliquera plus loin.
- Plus généralement, hormis ce cas extrême de "contradiction cognitive", on constate déjà que les adjectifs composant les Séries ne sont pas "synonymes cognitifs", et que la parenté, l'air de famille qu'on leur trouve, est lié à des résonances présentes en chacun de nous, comme si — à la manière de Monsieur Jourdain — nous faisions de l'A.L.S. sans le savoir ! Les sujets interrogés, quel que soit leur niveau d'études, associent sans peine l'ouvert au libre, au mobile, au souple et au chaud, voire au flou et au dispersé, alors que ces adjectifs nomment des propriétés bien différentes ("non synonymes") et ne coexistant pas forcément dans la réalité : un objet souple peut très bien être froid, et un objet rigide peut très bien être chaud… Bien sûr l'A.L.S. reviendra très souvent sur le contraste entre le "mode subjectif" à l'œuvre dans les Séries et le "mode cognitif" à l'œuvre dans les descriptions "objectives". Nous verrons plus loin que les Séries, loin d'être des listes de synonymes "objectifs", sont des listes de pseudo-synonymes subjectifs. potentiellement substituables les uns aux autres (puisque entrant en résonance, compatibles, apparentés dans leur "couleur" — comme un camaïeu) dans les contextes figurés propres aux énoncés subjectifs (les logiciens diraient qu'ils constituent une "classe d'équivalence"[3]).
Précisions sur la remarque n°2
Il est intéressant de constater que finalement trois angles peuvent se présenter quant à la désignation des couleurs dans le langage :
- " En physique, un corps noir est un corps capable d'absorber complètement toutes les radiations électromagnétiques incidentes sur sa surface. " (Futura-Sciences). Il n'émet aucune des longueurs d'onde du spectre visible des couleurs. Le blanc au contraire réfléchit toutes les radiations et n'en absorbe aucune ; de ce fait la lumière blanche contient toutes les couleurs comme le montre sa décomposition par le prisme qui a fait le succès d'une pochette de Pink Floyd. Noir et blanc sont ainsi des contraires absolus.
- En "mode subjectif", le noir et le blanc (ainsi que le gris) sont considérés comme non-couleurs, comme l'attestent d'une part l'opposition verbale "film en noir et blanc / film en couleurs", et d'autre part des slogans comme celui d'une marque de porto : "Porto, pays où le noir est couleur", qui présuppose qu'habituellement le noir n'est pas une couleur. C'est également le cas pour blanc/noir/gris dans les expressions métaphoriques du discours courant (ex: la grisaille du quotidien").
- Et enfin, en "mode cognitif", dans la connaissance courante, le noir, le blanc, et le gris sont bel et bien des couleurs parmi d'autres, puisqu'on peut entrer dans un magasin de vêtements pour acheter une veste de couleur noire, une chemise de couleur blanche, et un pantalon de couleur grise.
Ces considérations presque amusantes auront un écho dans les analyses de textes pratiquées par l'A.L.S.
Les Séries d'Atomes 'A' et 'B' sont donc, en conclusion provisoire, des listes de traits sémantiques minimaux (pour les linguistes : des "sèmes") opposés terme à terme. La dichotomie n'existe qu'au niveau de ces traits élémentaires (les Atomes), et non des mots complexes qui les contiennent (les Molécules), et qui peuvent être de composition mixte.
La notion de Série aborde la sémantique d’un texte parlé ou écrit non pas sous l’angle "macroscopique", macro-sémantique, de son contenu cognitif, de sa thématique (du ou des sujets dont il traite), mais sous un angle "microscopique", micro-sémantique, qui consiste — comme on le verra mieux au chapitre suivant — en la décomposition de son lexique en éléments minimaux de sens, "infra-thématiques", les fameux Atomes. C'est cete démarche qui va permettre de comparer (rapprocher ou opposer) plusieurs textes d'un même auteur ou d'auteurs différents, en dépassant ce dont ils parlent pour dégager les lignes de force DU "dialecte subjectif" qui les réunit, ou bien DES dialectes qui au contraire les distinguent voire les opposent, alimentant une variété particulière de "dialogues de sourds".
Le tableau des atomes 'A' et 'B' concrets et abstraits
[modifier | modifier le wikicode]Nous en avons donné un aperçu au bas de la page précédente. Il sera présenté intégralement dans une des leçons ultérieures.
Penchons-nous aujourd'hui sur la manière dont sont listés les adjectifs simples opposés 'A' et 'B'.
- Dans la partie droite, on peut remarquer que le début du "Tableau des Atomes de sens A et B concrets" présente des adjectifs en rapport avec la perception visuelle, la vision, et dans le tableau complet la présentation suivra les cinq sens : VISION, AUDITION, TOUCHER, GOÛT ET NUTRITION, ODORAT. Ce classement en cinq “domaines perceptifs” n'a qu'une valeur de repérage pratique, c'est simplement un moyen commode pour ne pas oublier de lister certains atomes opposés lors de la constitution du tableau, mais il n'y a dans ces listes ni hiérarchie ni ordre prioritaire, elles sont linéaires et leurs éléments auraient pu être affichés dans un ordre aléatoire.
- Au bas de chacun des cinq domaines figureront deux adjectifs opposés (ou une périphrase équivalente) notés en gras-italique, qui qualifient l'augmentation / la diminution (voire la suppression) de chaque sensation: éclairant / aveuglant ; stimulant_l'audition / assourdissant ; stimulant_le_toucher / anesthésiant ; appétissant / dégoûtant ; stimulant_l'odorat / inhibant_l'odorat... dont on verra l'importance dans les exemples à analyser.
- Dans la partie gauche, au début du "Tableau des Atomes de sens A et B abstraits", les adjectifs relatifs à des notions abstraites sont classés, faute de mieux, par ordre alphabétique : il y a trop de domaines sémantiques différents. Cette liste n'est ni exhaustive, ni encore résumée à de véritables “Atomes de sens abstraits” (difficulté, voire impossibilité − bien connue des sémanticiens − à analyser les composants du sens d'un mot abstrait, alors que pour les mots concrets on peut suivre des classifications soit "naïves", soit plus scientifiques).
Ci-dessous, à peine modifié, le haut de ce TABLEAU DES ATOMES A ET B CONCRETS ET ABSTRAITS.
Tableau des
sens 'A' et 'B' |
atomes de
concrets |
Tableau des
sens 'A' et 'B' |
atomes de
abstraits | |
---|---|---|---|---|
Série A | Série B | Série A | Série B | |
...........VISION........... | ...........VISION........... | ................ORDRE AL | PHABÉTIQUE | |
ouvert | fermé | acquis | inné | |
grand | petit | actif | passif | |
large | étroit | agité | calme | |
haut | bas | ami, accueillant | hostile, ennemi | |
lointain | proche | amusant | sérieux | |
antérieur (espace) | postérieur (espace) | anormal | normal | |
périphérique, latéral | central, médian | autre, différent | même, identique | |
non_limité | limité | concret | abstrait | |
discontinu | continu | courageux | prudent | |
flou | net | cruel | non_cruel | |
diffus | concentré | désordonné | ordonné | |
dispersé | compact | éphémère | durable | |
déplié | replié | étranger | familier | |
mobile | immobile, fixe | éveillé | endormi | |
multiple | unique | facile, simple | difficile, complexe | |
mince | épais | facultatif | obligatoire | |
fin | gros | fécond | stérile | |
long1 (espace) | court | fertile | aride | |
en_relief | plat | fort | faible | |
transparent | opaque | fou, insensé | raisonnable, sensé | |
exposé | caché | gai | triste | |
découvert | couvert | généreux/dépensier | avare/économe | |
externe | interne | guerrier, belliqueux | pacifique, paisible | |
superficiel | profond | humain1 (sens moral) | inhumain | |
vide | plein | imprécis | précis | |
concave, creux | convexe | imprévu | prévu | |
... | ... | impudique | pudique | |
éclairant | aveuglant | impur | pur | |
___________________ | ___________________ | inconnu | connu | |
.........AUDITION............ | .........AUDITION............ | indépendant | épendant | |
sonore | silencieux | indiscret | discret | |
... | ... | ... | ... | |
............Tableau en cours | de remplissage | |||
..................Revenez voir | de temps à autre |
***** Haut du tableau des Atomes A.L.S. concrets et abstraits *****
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Quelques exemples
[modifier | modifier le wikicode]Les Séries d'Atomes ne sortent pas de nulle part. Elles ont quatre sources principales :
- L'observation empirique. Celle-ci constate que dans les textes auxquels s'intéresse l'A.L.S, qui sont ceux où s'exprime une opinion en "mode subjectif" (et non les comptes-rendus "objectifs" en "mode cognitif" commun ou scientifique), des adjectifs que nous placerons dans une même série apparaissent de façon corrélée ("en co-occurrence", diraient les linguistes), soit dispersés, soit sous forme de petites énumérations.
- L'examen des expressions figées recensées dans les dictionnaires généraux ou spécialisés, où là aussi certains adjectifs apparaissent de façon corrélée.
- Les résonances présentes en soi-même comme en tout un chacun (cf "Monsieur Jourdain" plus haut). Certains écrivains, journalistes, et chercheurs détectent, au delà des sujets abordés dans le discours, ce partage "transversal" des qualificatifs, indépendant du thème proprement dit de l''énoncé.
- Enfin, last but not least, l'hypothèse (par ailleurs corroborée) que fait l'A.L.S. sur l'origine de ce partage des antonymes dans les énoncés subjectifs, et qui ne sera présentée qu'à la fin du cours (une fois que l'apprenant aura bien touché du doigt la réalité empirique de l'existence de cette répartition). Elle apporte un complément logique, déductif, qui permet d'affiner la description des Séries et de trancher dans les cas d'hésitation et d'indécision qui persisteraient en dépit du recours au trois premières sources.
Les exemples (comme ils vont être réutilisés avec d'autres pour illustrer d'autres notions, nous donnerons alors leurs références exactes dans une mini-bibliographie). Les adjectifs simples tels que nous les recensons dans nos Séries (Atomes 'A' en italique, Atomes 'B' en gras) apparaissent soit directement, soit sous forme d'adjectifs substantivés ("le X, le Y"), soit dans une formule comme "ce qui est X, Y, Z"), soit enfin par le substantif tiré de l'adjectif ("rigidité" pour "rigide") :
- Florence Pire :
« Par le ludique, l’humour, le décalé, l’inattendu et le léger, l’impro[visation] crée une rupture dans les habitudes, sort des approches classiques de la communication et de "toujours plus de la même chose". »
- Fabrice Pliskin :
« Le normal n’était pas fréquentable. C’était l’ennemi du minoritaire, du différent, du multiple, du contradictoire, du suicidé de la société. Pourquoi [F. Hollande] a-t-il conquis et séduit la gauche intellectuelle, infusée à l’infernale anormalité de Rimbaud, Artaud ou Sade, éperdument amoureuse de tout ce qui est marginal, vagabond, sans patrie, dérangeant, insoumis, indécidable, inassignable, irréductible ? » - Guy Hocquenghem :
« Assommés, assourdis, abrutis ; cernés, pris dans la glu, gavés, martelés ... »
« Cernés par le réalisme, le BCBG, le clean, le rétro, le tiède, le commode, le gominé, le retour à soi, le raisonnable... »
« Engoncés de cravates hi-tech, de BD, de figuratif, de claviers et de statistiques ; notre destin scellé par le fıni, l’achevé, l’adéquat, le déjà vu, le déjà fait... » - Friedrich Nietzsche :
« C'était là une façon de penser noble, peut-être parmi des hommes qui jouissaient de sens plus vigoureux et plus exigeants que n'en ont nos contemporains, mais qui savaient trouver un triomphe supérieur en gardant la maîtrise de ces sens : et cela, grâce à des filets tissés de concepts pâles, froids, gris qu'ils jetaient par-dessus le tourbillon multicolore des sens — la tourbe des sens, comme disait Platon. » - R. Carpentier : exemple parlant tiré du texte "Le système et les personnes, essai d'analyse d'un malentendu" (1979), d'un informaticien observateur perspicace, qui nomme directement plusieurs oppositions d'adjectifs simples (Atomes) figurant dans nos Séries :
« [Dans l'esprit d'un grand public hostile] La perception des impôts, l'ordinateur du service du personnel, le financement des déséquilibres agricoles dans la C.E.E, c'est raide, mort, mécanique, métallique. »
« [Dans l'esprit du grand public] Ainsi, par sa rigidité, par sa force coercitive, par son inhumanité, par son imperméabilité, le "système" tend à nous contraindre, à nous obliger à faire ce que nous ne voudrions pas faire. »
« [Dans l'esprit du grand public], le "système" par son pouvoir porte atteinte à notre liberté. Autant elle est ouverte sur le varié, sur l'inconnu, l'imprévisible, autant elle est du domaine du souple, de l'élastique, du tiède, du tendre, autant il est anguleux, géométrique, dur. Contre la vie, contre nous, contre notre cœur, contre l'ouverture de l'esprit, voilà bien des défauts pour le "système", et justifiée l'hostilité à son égard. »
[Au passage, que peut-on penser, lecteur, de l'adjectif "tiède", que l'A.L.S. considère comme un Atome 'A' chez Carpentier et un Atome 'B' chez Hocquenghem ?]
- Natacha Polony, autre observatrice perspicace de la différence entre "mode subjectif" et "mode cognitif", dans un éditorial :
« À chaque fois qu’un débat surgit, il est immédiatement réglé par quelques mots-clé: « repli », « souverainisme », « xénophobie », « racisme » … et, en général, le binôme "ouverture" / "fermeture" qui permet de régler assez vite les choses. Qu’on parle de la directive sur les travailleurs détachés, qu’on parle du made in France, de la relocalisation de la production, qu’on parle d’à peu près tout, finalement ce sont ces mots-là qui surgissent pour éviter d’aller plus loin dans la discussion. - Terminons "en beauté" ces exemples en citant l'également perspicace Baudelaire, à la première phrase de Mon cœur mis à nu (1864) :
« De la vaporisation et de la centralisation du Moi. Tout est là. »
Quelques exercices
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Ils seront proposés bientôt.
Notes et références
[modifier | modifier le wikicode]- ↑ « Sème », dans Wikipédia, (lire en ligne)
- ↑ « Bernard Pottier », dans Wikipédia, (lire en ligne)
- ↑ « Relation d'équivalence », dans Wikipédia, (lire en ligne)