Utilisateur:Ambre Troizat/Mon cabinet d'histoire/Louis XV "le Bien-Aimé", 15 février 1710 – 10 mai 1774

Une page de Wikiversité, la communauté pédagogique libre.
Louis XV "le Bien-Aimé", 15 février 1710 – 10 mai 1774

Louis XV "le Bien-Aimé", 15 février 1710 – 10 mai 1774[modifier | modifier le wikicode]

Madeleine Mercier, nourrice de Louis XV

Généalogie de Louis XV[modifier | modifier le wikicode]

Ascendants

Père, Louis de France (1682-1712), dauphin de France après la Grand Dauphin Mère, Marie-Anne de Bavière (1660-1690)

Descendants


4. Le Dauphin : Louis de France (1729-1765), aîné des fils du roi Louis XV de France et de Navarre, et de son épouse Marie Leszczynska.

Réformes fiscales et crises politiques dans la France de Louis XV[modifier | modifier le wikicode]

* 2008 - Antonella Alimento, Réformes fiscales et crises politiques dans la France de Louis XV : de la taille tarifée au cadastre général, 402  p. (notice BnF no FRBNF42039022)Voir et modifier les données sur Wikidata 

XVIIIe siècle (1715-1792) : Louis XV & Louis XVI[modifier | modifier le wikicode]

Louis XV et Louis XVI occupent le XVIIIe siècle
Monarchie Française (France et Navarre), Bourbons (1589-1792)

Le septennat de Philippe d'Orléans, Régent de France[modifier | modifier le wikicode]

* Philippe d'Orléans (1674-1723)
* Principal ministre d'État du 10 août au 2 décembre 1723 soit 3 mois et 22 jours
* Régent du Royaume de France du 1er septembre 1715 – 15 février 1723 soit 7 ans, 5 mois et 14 jours

Le systeme bancaire de Law et sa banqueroute 1720[modifier | modifier le wikicode]

Compagnie des Indes Orientales
Banqueroute de 1720

La bulle des mers du Sud et le Krach de 1720[modifier | modifier le wikicode]

Krach de 1720

La banque de Saint George[modifier | modifier le wikicode]

« La banque de Saint George qui était la fois la banque de l'état et une caisse de dépôts et consignations possédait des biens considérables et un revenu de plus de 1o millions de Administrée par huit protecteurs elle une juridiction indépendante sur les fonctionnnaires qui relevaient d'elle. Mais l'état ayant toujours recours à elle dans les moments de détresse, elle perdit de plus en plus de son crédit. Lors de la réunion de la république à la France, la banque de Saint George fut supprimée, les rentes de 3,400 000 livres génoises qu'elle devait payer à ses créanciers furent inscrite sur le grand livre de la dette française »
— Encyclopédie des gens du monde: réperatoire universel des ..., Volume 12[1].

Bibliographie (Le Régent : Philippe d'Orléans)[modifier | modifier le wikicode]

  • 1985 - Jean Meyer, Le Régent, Ramsay, Paris, 1985 (ISBN 978-2-8595-6404-9).
  • 2011 - Alexandre Dupilet, La Régence absolue : Philippe d'Orléans et la polysynodie, (1715-1718), suivi d'un Dictionnaire de la polysynodie : Le régent et ses conseils : la polysynodie, institutions et gouvernement à l'aube des Lumières, Seyssel, Champ Vallon (notice BnF no FRBNF42371996)Voir et modifier les données sur Wikidata
  • 2020 - Alexandre Dupilet, Le Régent : Philippe d'Orléans, l'héritier du Roi-Soleil, Paris, Éditions Tallandier (notice BnF no FRBNF46638187)Voir et modifier les données sur Wikidata

Bibliographie (Louis XV)[modifier | modifier le wikicode]

  • Louis XV et la société du XVIIIe siècle : Recherche Bnf
  • Louis XV et la société du XVIIIe siècle, Volume 3 : Google, 1842

Louis XV (1710-1774), roi de France et de Navarre (1710-1774)[modifier | modifier le wikicode]

* Louis XV (1710-1774), roi de France et de Navarre (1710-1774). Il règne sur le royaume de France du {{Date|1er|septembre|1715}} au {{Date|10|mai|1774}}. Son cousin, Philippe, duc d’Orléans (1674-1723), est proclamé "régent du Royaume" le {{date|2|septembre|1715}}, jusqu'au {{date|15|février|1723}}, date de l’entrée du jeune roi dans sa treizième année, où il prend officiellement la direction du gouvernement.

Les finances et le commerce au début du XVIIIe siècle[modifier | modifier le wikicode]

  • 1738 - Nicolas Dutot, Réflexions politiques sur les finances et le commerce, La Haye, 1738, deux volumes in-12.
  • 1928 - w:Paul Harsin, Les Doctrines monétaires et financières en France du Modèle:Sp-, F. Alcan, Paris, 1928.
  • 2011 - Christian Chavagneux, Brève Histoire des crises financières : des tulipes aux subprimes, Paris, La Découverte, 2011, (ISBN 978-2-7071-6969-3).
  • 2012 - Marc Cheynet de Beaupré, Joseph Pâris-Duverney, financier d'État (1684-1770) - Les sentiers du pouvoir (1684-1720), Honoré Champion, 2012, (ISBN 978-2-7453-2411-5).

Réformes fiscales et crises politiques dans la France de Louis XV[modifier | modifier le wikicode]

Géopolitique sous Louis XV[modifier | modifier le wikicode]

  1. Géopolitique sous Louis XV, 1745-1774
Actes d'Union de 1707, colonisation de l'Écosse par l'Angleterre ou Naissance de la Grande-Bretagne, 1er mai 1707[2]

Jacques Fitzjames Stuart, duc de Berwick, Maréchal de France[modifier | modifier le wikicode]

1734 - Siege de Philipsburg et mort du maréchal de Berwick
Un héritage de Louis XIV
    1. 1670-1734 - Jacques Fitzjames Stuart, duc de Berwick, Maréchal de France sous Louis XIV & sous Louis XV, né le 21 août 1670 prétendument à Moulins, dans le Bourbonnais, est un militaire français des XVIIe et XVIIIe siècles. Il eu la tête emportée par un boulet le 12 juin 1734 au siège de Philippsburg, . Fils naturel du roi Jacques II Stuart, mort le 16 septembre 1701 à Saint-Germain-en-Laye (France), il est fait maréchal de France en 1706

« Le traité ou bill d'union du 1er mai 1707 venait d'attacher l'Écosse à l'Angleterre comme les lois féodales attachaient un serf à la glèbe le vassal au seigneur le faible au puissant.
Tous les habitants de l'Écosse appelaient de leurs vœux la restauration de Jacques II mais ce prince offrait par lui même peu de chances de succès les Ecossais n'avaient parmi eux aucun chef distingué par de grands talents militaires et Louis XIV qui avait accordé au roi proscrit un généreux asile ne voulut ou ne put donner à son fils des secours suffisants pour le rétablir sur le trône. Si le roi France avait fait passer en Écosse une de ces armées qu'il envoyait en Italie en Allemagne en Espagne sous les ordres d'un général habile en qui les soldats eussent une confiance méritée, Berwick[3], Vendôme[4], Villars[5], on ne peut douter que l'héritier des Stuarts ne fût remonté sur le trône d'Écosse peut être même sur celui de la Grande-Bretagne et il se serait délivré lui-même de l'intervention des Anglais sur le continent
. »

Fondation de l’Empire russe, 1721-1917[modifier | modifier le wikicode]

    1. 1721 - Fondation de l’Empire russe, 1721-1917. L'Empire russe, ou empire de Russie est l'entité politique de la Russie de 1721, sous le règne de Pierre Ier, au 14 septembre 1917, jour de la proclamation de la République russe. Sa capitale est Saint-Pétersbourg.

Les questions religieuses sous Louis XV[modifier | modifier le wikicode]

* Déclaration du 15 janvier 1731 sur les curés primitifs et les vicaires perpétuels assurant la subsistance à cette classe d ecclésiastiques

Maurice de Saxe, protestant & Maréchal général des camps et armées du roi[modifier | modifier le wikicode]

  1. Maurice de Saxe, protestant & Maréchal général des camps et armées du roi — ses projets de colonisation — Son tombeau.
  2. Maurice de Saxe, sous Louis XV (Maurice de Saxe)

Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]

  • 1756 - Maurice de Saxe et Zacharie de Pazzi de Bonneville (dir.), Les Rêveries, ou Mémoires sur l'art de la guerre, dédiés à Messieurs les officiers généraux - Réflexions sur la propagation de l'espèce humaine, La Haye, Pierre Gosse (notice BnF no FRBNF31306953, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata

L'esclavage et son inscription dans le droit sous Louis XV[modifier | modifier le wikicode]

Sous le Régent[modifier | modifier le wikicode]

* Édit royal d'octobre 1716 concernant les esclaves nègres des colonies
** 1716 -  Louis XV et Philippe d'Orléans, Édit concernant les esclaves des colonies du mois d'octobre 1716 : Regiſtré au greffe du conſeil supérieur du Cap, le 3 Février 1717 (lire sur Wikisource)Voir et modifier les données sur Wikidata Religion catholique, migration vers la métropole. A compléter sur Wikidata 
** 1716 -  EDIT Concernant les Enclaves des Colonies du mois d’octobre 1716.
** 1716 - Édit royal d'octobre 1716 concernant les esclaves nègres des colonies
* 1738 - 1738 - DECLARATION DU ROI, Concernant les Nègres esclaves des Colonies.
Donnée à Versailles, le 15 décembre 1738. Regiflrée au Parlement de Provence.
Non corrigé

Joseph Bologne de Saint-George sous Louis XV, 1745-1774[modifier | modifier le wikicode]

Joseph Bologne de Saint-George sous Louis XV, 1745-1774

Le déclin de l'empire colonial sous Louis XV[modifier | modifier le wikicode]

Vers un nouveau monde atlantique[modifier | modifier le wikicode]

« À l’article 4 du traité signé à Paris le 10 février 1763 entre la Grande-Bretagne et la France, on peut lire que « Sa Majesté Très Chrétienne cède et garantit à sadite Majesté britannique, en toute propriété, le Canada avec toutes ses dépendances ».  »
— 2016 - Laurent Veyssière (dir.), Philippe Joutard (dir.) et Didier Poton (dir.), Vers un nouveau monde atlantique : Les traités de Paris, 1763-1783. Actes du colloque, La Courneuve, Paris, Pierrefitte-sur-Seine, 20-23 novembre 2013, Nouvelle édition, Rennes, Presses universitaires de Rennes (ISBN 978-2-7535-4955-5, ISSN 1255-2364, notice BnF no FRBNF45074136)Voir et modifier les données sur Wikidata, Françoise Janin.- La fabrique du traité de Paris (1763)[6]

La Guerre de Sept Ans et le traité de Paris de 1763[modifier | modifier le wikicode]

  • 1763 - Louis XV, France, Royaume-Uni, Empire espagnol, Portugal, Étienne François de Choiseul, José de Grimaldo, Richard Wall, George III et Luís da Cunha, Traité de paix entre le Roi, le roi d'Espagne et le roi de la Grande-Bretagne, conclu à Paris le 10 février 1763. Avec l'accession du roi de Portugal, Paris (notice BnF no FRBNF35946907)Voir et modifier les données sur Wikidata
  • 2016 - Laurent Veyssière (dir.), Philippe Joutard (dir.) et Didier Poton (dir.), Vers un nouveau monde atlantique : Les traités de Paris, 1763-1783. Actes du colloque, La Courneuve, Paris, Pierrefitte-sur-Seine, 20-23 novembre 2013, Nouvelle édition, Rennes, Presses universitaires de Rennes (ISBN 978-2-7535-4955-5, ISSN 1255-2364, notice BnF no FRBNF45074136)Voir et modifier les données sur Wikidata

Les Maisons d'Orléans et de Penthièvre au XVIIIe siècle[modifier | modifier le wikicode]

  1. Les Maisons d'Orléans et de Penthièvre au XVIIIe siècle

Les de La Boëssière sous Louis XV[modifier | modifier le wikicode]

« 1735-1739. — Procès-verbaux de ventes par Isidore Secrétain, huissier, des meubles et effets : — du sieur Jean-Baptiste Bouettin, écuyer, seigneur de La Boëssière, vivant lieutenant d'artillerie au département de Mézières, inspecteur pour le Roi de la manufacture d'armes de Charleville ;. »
— Ardennes (France) B. 563. (Portefeuille.) — 40 pièces, papier[7].

Louis, Joseph, Jean-Baptiste de Chambors de la Boessière (1756-1840)[modifier | modifier le wikicode]

Tenues de domestiques exposées au Petit Trianon en novembre 2008
Louis, Joseph, Jean-Baptiste de Chambors de la Boessière (1756-1840), Biographie wikimonde

« CHAMBORS De La BOESSIERE (Louis-joseph-jean-baptiste, comte De), fils posthume de Yves-Jean-Baptiste, marquis de Cbambors, qui mourut le ai août 1755, des suites d'une blessure qu’il avait reçue à la chasse, de la main An Dauphin , fils de Louis XV, naquit le 3l janvier 1756. Les circonstances de la mort de son père lui valurent l'honneur d’avoir pour parrain et pour marraine le Dauphin et la Dauphine. D'abord connu sous le nom de marquis de Chambors, il prit le titre de comte, après la mort de son aïeul, et fut gentilhomme de Monsieur, comte d'Artois, par brevet du 19 janvier 1777. En mai 1786, le Roi a érigé pour lui et ses descendants la terre de Chambors en comté. À l'époque de la révolution, M. de Chambors, qui était maréchal-de-camp et chevalier de Saint-Louis, possédait une fortune considérable, qu’il tenait en partie des bienfaits de la famille royale. Il émigra en 1791, et fit plusieurs campagnes en qualité d'aide-de-camp de Monsieur. Quand les circonstances eurent forcé les princes à licencier leur armée, il passa en Portugal, où il prit du service , et obtint le grade de brigadier, et ensuite celui de maréchal-de-camp. Il se trouvait dans ce pays, lors de l'invasion qu'y fit l'armée que commandait Junot ; et près d’être victime de la fureur du peuple, qui s'attaquait à tous les Français indistinctement, il n'y échappa qu'en se réfugiant dans l'état-major de l'armée française, où il servit d'interprète. Le comte de Chambors se hâta de rentrer en France lorsque le Roi y revint en 1814; et il reçut de S. M. la continuation d'une partie des bienfaits que lui avait accordé» Louis XVI. Monsieur, comte d'Artois, lui rendit l'emploi de gentilhomme d'honneur auprès de sa personne. D. »
— Biographie des hommes vivants[8].

* Cf. De La BOESSIERE ; Yves-Jean-Baptiste marquis de Chambors de La BOESSIERE, Illustrations européennes... Livre d'or de la Noblesse - Page 140 : Un jour qu’il était à la chasse avec le Dauphin, ce prince le blessa par accident d'un coup de fusil, dont il mourut quelques jours après, le 21 août 1755, au moment où sa haute capacité lui préparait la plus brillante carrière.
Récit plus conséquent : Nobiliaire universel de France, ou, Recueil général des ..., Volume 7. * Voir texte de la lettre patente de 1756, page 442 par Louis XV, Roi de France et de Navarre (1er septembre 1715 – 10 mai 1774). * N 14 862, page 318- Ordonnance du Roi portant que la Pension perpétuelle de six mille francs accordée à la famille de Chambors sera inscrite au nom de M la Comtesse de Polignac née o de la Boissière de Chambors... Au palais de Saint-Cloud, le 19 septembre 1840, Louis-Philippe, Roi des Français ;
Vu les lettres patentes en date du 1er mars 1757, qui avaient accordé une pension de six mille livres à la veuve du sieur Yves Jean-Baptiste de la Boissière de Chambors, au fils né de leur mariage et à sa postérité ;
Vu la loi du 22 août 1790, dont l'article 20, titre III, porte que la pension ainsi accordée à la famille de Chambors sera conservée en son entier ; * BoEssIÈRE (Louis-Joseph-Jean-Baptiste, comte de CHAMBoRs DE LA), page 361, général français, arrière-petit-fils du précédent, né à Paris le 31 janvier 1756. Son père avait été tué par maladresse, à la chasse, par le grand Dauphin, fils de Louis XV. Le roi, et plus tard Louis XVI et Louis XVIII, prirent soin de son avancement. Il fut nommésous-lieutenantde dragons à seizeans; en 1776, il entra dans la domesticité du comte d'Artois comme gentilhomme d'honneur. Il fut nomané, en 1780, mestre de camp en second dans le régiment d'infanterie du maréchal de Turenne, puis maréchal de camp, en vertu d'un décret de l'assemblée nationale, en 1791. Il émigra cette même année. Il fit la campagne de 1792 en qualité d'aide de camp du comte d'Artois, fut nommé major d'un corps d'infanterie à la solde de l'Angleterre, fit partie de l'expédition de Quiberon, et accompagna le comte d'Artois à celle de l'Ile-Dieu (1795). Il entra au service du Portugal en 1797. Après deux campagnes contre l'Espagne, il fut chargé de l'inspection de l'infanterie et des places fortes du Portugal, puis de l'inspection générale des frontières de ce royaume (1802-1804 ). Il obtint, en 1807, le grade de maréchal de camp, et le commandement d'un régiment-modèle. Lors de l'occupation de l'Espagne par l'armée française, de la Bœssière entra dans le corps de l'état-major du duc d'Abrantès. Il rentra en France à la suite de ce général. Il y fut retenu quelque temps comme émigré, puis il accompagna Junot au siége de Saragosse. Il servit, de 1809 à 1813, sous les maréchaux Soult et Marmont. Rentré en France avec le traitement de son activité, il fut fait lieutenant général en 1820. De Courcelles, Dictionnaire des Généraux français.
Mandats à l'Assemblée nationale ou à la Chambre des députés
Régime politique : Révolution 
Législature : Assemblée nationale constituante 
Mandat : Du 28 mai 1789 au 30 septembre 1791 
Baillage : Couserans (Type : Vicomté) 
Groupe : Tiers-Etat

Théâtre, Musique & peinture sous Louis XV & Louis XVI[modifier | modifier le wikicode]

Charles-Nicolas Cochin (dessin), Bonaventure-Louis Prévost (gravure).- Frontispiece l'Encyclopédie Diderot et d'Alembert, 1772.
Charles André van Loo - Mlle Clairon en Médée de Corneille.

La musique dans l'Encyclopédie Diderot & d'Alembert, est une imitation de la nature[9].

« IMITATION, s. f. (Gramm. & Philosoph.) c'est la représentation artificielle d'un objet. La nature aveugle n'imite point ; c'est l'art qui imite. Si l'art imite par des voix articulées, l'imitation s'appelle discours, & le discours est oratoire ou poétique. Voyez Eloquence & Poésie. S'il imite par des sons, l'imitation s'appelle musique. Voyez l'article Musique. S'il imite par des couleurs, l'imitation s'appelle peinture. Voyez l'article Peinture. S'il imite avec le bois, la pierre, le marbre, ou quelque autre matiere semblable, l'imitation s'appelle sculpture. Voyez l'article Sculpture. »
— Diderot.- Article IMITATION de l'Encyclopédie[10].

« Une mythologie moderne, la théâtralité au quotidien, souligne les liens entre peinture et théâtre. Ces deux arts ont pour objectif de raconter par l’image, qu’elle soit statique ou en mouvement. Sous l’Ancien Régime, les scènes représentées sont avant tout mythologiques, bibliques ou historiques. Petit à petit, le drame familial et la scène de village apparaissent.
Petit à petit, le drame familial et la scène de village apparaissent. »
— Cf. Martine Kahane[11]

* Drame bourgeois
* La tragédie, la mort tenue à l'écart.
* Mademoiselle Clairon, Grande 
* Se tenir en vie, destin de Louis XV, Louis XVI & SG (voir le début du NSDT).

Jean-Baptiste Greuze : étude[modifier | modifier le wikicode]

Bibliographie Louis XV à organiser[modifier | modifier le wikicode]

Voltaire, 1694-1778
  • Voltaire, Œuvres complètes, (notice BnF no FRBNF31602455d).
  • Voltaire.- Recherche : Précis du siècle de Louis XV,
  • Voltaire (1694-1778).- Précis du siècle de Louis XV [Texte imprimé], pour servir de supplément à l’Essai sur l'Histoire générale en 8 vol. et faisant le t. IX, À Genève [i. e. Avignon], 1771. (notice BnF no FRBNF31604835c). Note(s) : Texte en 42 chap., par suite de l’addition des 3 chap. insérés par Voltaire, dans l'édition in-4° de la "Collection complette des Œuvres", t. XII, 1769 [n° 141 (XII)]. Le chap. XL sur la Corse a été inspiré à Voltaire par l’ouvrage de James Boswell, publié en 1768 : "An Account of Corsica... and Memoirs of Pascal Paoli"... [8-Lk⁽4-169, ouvrage traduit en français en 1769 (notice BnF no FRBNF33986933w). L'édition de l'"Essai sur l'Histoire générale" en 8 vol. est celle donnée par Cramer de 1761 à 1763 [n° 3071]. Référence(s) : Bengesco, n° 1238, (notice BnF no FRBNF31604835c).
  • 1738 - (en) Guillaume Plantavit de La Pause, The Life of James Fitz-James, Duke of Berwick. Containing an Account of His Birth, Education, and Military Exploits in Ireland. The Whole Interspersed with Military and Political Reflections, and the Characters of Eminent Men, Robert ReillyVoir et modifier les données sur Wikidata
  • 1830 - Athanase Jean Léger Jourdan, Decrusy[12], François André Isambert, Alphonse Honoré Taillandier.- 1er septembre 1715 - 1er Janvier 1737, Volume 21 de Recueil Général des Anciennes Lois Françaises, depuis l’An 420 jusqu'à la Révolution de 1789 : contenant la notice des principaux monumens des Mérovingiens, des Carlovingiens et des Capétiens, et le texte des ordonnances, édits, déclarations, lettres-patentes, réglemens, arrêts du conseil etc., Belin-Leprieur, 1830, Google Livres.
* 1845 - Auguste Ducoin.- Études révolutionnaires : Philippe d'Orléans-Égalité, 1845
  1. Encyclopédie des gens du monde: réperatoire universel des ..., Volume 12.
  2. Grande-Bretagne, « Traité pour l'Union de l'Angleterre & de l'Écosse conclu & signé par les Seigneurs Commissaires des deux Royaumes, à Londres, le 22 juillet / 2 août 1706. », sur mjp.univ-perp.fr, (consulté le 27 février 2022)
    (en) United Kingdom, « Acts of the Old Scottish Parliament. Union with England Act 1707 », sur legislation.gov.uk, (consulté le 27 février 2022)
  3. Jacques Fitzjames Stuart, duc de Berwick, Maréchal de France
  4. Louis-Joseph de Vendôme, comte de Penthièvre en 1669, homosexuel, est arrière-petit-fils de Henri IV et de Gabrielle d'Estrées par son père César de Vendôme, lui-même fils légitimé de Henri IV, roi de France.
  5. Claude Louis Hector de Villars, né dans une famille de notables et négociants lyonnais anoblie en 1586, devint maréchal de France en 1702 sous Louis XIV et maréchal général des camps et armées du roi en 1733, sous Louis XV.
  6. 2016 - JANIN, Françoise. La fabrique du traité de Paris (1763) In : Vers un nouveau monde atlantique : Les traités de Paris, 1763-1783. Rennes : Presses universitaires de Rennes, p. 67-74. DOI : Lire en ligne.
  7. Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790 ... Par Ardennes (France). Archives, Edmond Sénemaud, Jean Paul Laurent]
  8. Biographie des hommes vivants, 1817
  9. Ne pas confondre avec l'Imitation en musique qui est un procédé de composition où un thème ou un motif passe de voix en voix, utilisé notamment dans la fugue.
  10. Diderot, IMITATION , Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, etc., eds. Denis Diderot and Jean le Rond d'Alembert. University of Chicago: ARTFL Encyclopédie Project (Autumn 2022 Edition), Robert Morrissey and Glenn Roe (eds): page 8:567, Accessed on 5 December, 2022
  11. Martine Kahane.- Le spectacle à la croisée des arts, Le Louvre (https://api-www.louvre.fr/sites/default/files/2021-12/141106_CONF_KAHANE-BAT.pdf). In Éloge de la sensibilité : une histoire illustrée du XVIIIème siècle
  12. Le Quérard : archives d'histoire littéraire, de biographie et de bibliographie françaises : complément périodique de la France littéraire (Volume 1) : DECRUSY (Nicolas), avocat, d’abord maître des requêtes au conseil d'État, et directeur de la comptabilité et... (Mantes (Seiné-et-Oise), Yvelines, France - 1787)
    Bibliographie de la France - 1814/01/07 à 1814/12
    .../Decrusy et Taillandier. Tome XXU. janvier 1757-1~ mai i774_) feuilles ifa. Impr. de Fournier, ... (Paris, Paris, France - 1757)
    Le Quérard. Archives d'histoire littéraire, de biographie et de bibliographie françaises. Complément périodique de la France littéraire. Par l’auteur de la France littéraire.... 1855 : de première, instance de Paris. M. Decrusy était né à Mantes (Seine-et-Oise), en 1787, il est mort à Paris, le... (Mantes (Seine-et-Oise), Yvelines, France - 1787)
    Le tribunal et la cour de Cassation : notices sur le personnel (1791-1879) / recueillis et publiées... par les soins du parquet de la...etc. sera édité avec M. Decrusy les tomes XVII et XXII du Recueil des anciennes lois françaises (règnes de... (Paris, Paris, France - 1834)
    Decrusy (Augustin), ancien garde d'honneur, ancien commandant de garde nationale, 9 ans de services militaires (1813... (France - 1813).
    Histoire physique, civile et morale de Paris (Volume 2) : des anciennes lois françaises, par MM. Isamberi et Decrusy, t. XU, p. 257, les Lettres qu’il adressa de Madrid au... (Paris, Paris, France - 1525)
    Gazette des tribunaux : journal de jurisprudence et des débats judiciaires - 1844-06-17 : main-levée duconse'l judiciaire nommé 4 Alphonse DECRUSY, employé au ministère de la justice, demeurant à Paris, rue SI Andrédes-Arts, es, ... (Paris, Paris, France - 1844)
    1825 - Recueil des arrêts du Conseil d’État] - 1828 : faite à son insu, le sieur Decrusy a fait assigner le sieur Lapy, maire de Bouvancoùrt, à comparaître devant le... (Bouvancoùrt, Marne, France - 1825)
    1813 - Journal officiel de la République française. Lois et décrets - 1873/10/19 (Année 5, N°287) :Decrusy (Augustin), ancien garde d'honneur, ancien commandant de garde nationale, 9 ans de services militaires (1813... (France - 1813)
    Consulter : Pierre Louis Auguste de Crusy de Marcillac.- Nouveau voyage en Espagne & Aperçus sur la Biscaye, les Asturies et la Galice. Précis de la Défense des Frontières du Guipuscoa et de la Navarre; par le Général Don Ventura Caro, en 1793 et en 1794; et Campagne du Général Don Antonio Ricardos dans le Roussillon, en 1793 & Souvenirs de l'émigration ou mémoires du marquis de Marcillac.