Utilisateur:Ambre Troizat/Deuxième partie avec Michaël Jackson/Michaël Jackson et les beaux-arts
Michaël Jackson et les beaux-arts
[modifier | modifier le wikicode]Michaël Jackson et les beaux-arts
Michaël Jackson commanditaire
[modifier | modifier le wikicode]{{YouTube||}} ; {{Lien web |langue= |auteur= |titre= |url= |date= |site= |consulté le= mai 2022}}, Laurent Lempereur
* Beauxarts, « Michael Jackson, une icône qui fascine les artistes », sur beauxarts.com, (consulté le 21 novembre 2021) ** 1985 - Matthew Rolston, Michael Jackson, King, Los Angeles détail de la série » Hollywood Royale » où comment Michaël Jackson est devenu King of Pop, © 1985 ** 1998 - David LaChapelle.- An Illuminating Path, 1998. ** 2005 - Candice Breitz, King. Un portrait de Michael Jackson idole matérialisée par la seule vénération de ses fans, © 2005
Michaël Jackson, portraits posthumes
[modifier | modifier le wikicode]* Beauxarts, « Michael Jackson, une icône qui fascine les artistes », sur beauxarts.com, (consulté le 21 novembre 2021) ** 2009 - David LaChapelle a réalisé en 2009 un triptyque d’inspiration biblique représentant Michaël Jackson en martyr des temps modernes. ** 2009 - Appau Junior Boakye-Yiadom.- Mocassins noirs, rubans blancs, ballons latex, Installation inspiré par P.Y.T. (Pretty Young Thing) de l’album Thriller, © 2009
« Cette installation, qui emprunte son titre à la chanson « P.Y.T. (Pretty Young Thing) », de l’album Thriller, évoque un pas emblématique de Michael Jackson, le freeze, équilibre éphémère où le danseur, défiant les lois de la pesanteur, s’immobilise sur la pointe des pieds. L’œuvre se veut aussi le symbole du travail et de l’effort continu de la star pour préserver son statut. »
— Beauxarts, « Michael Jackson, une icône qui fascine les artistes », sur beauxarts.com, (consulté le 21 novembre 2021).
Cette oeuvre prend sa source directement dans le travail de l'artiste Michaël Jackson en tant que musicien et danseur et nous suggère que l'être humain qui a produit la musique et la danse est dans un équilibre fragile.
** 2010 - Kehinde Wiley.- Portrait équestre de Michael Jackson. Ici, Kehinde Wiley détourne le portrait équestre du roi d'Espagne Philippe II, (1527-1598) par Pierre Paul Rubens, (1577–1640), © 2010. Selon Wiley, Michaël Jackson voyait dans l’armure un symbole à la fois de communication et de protection.
La puissance de l’oeuvre nous renvoie non seulement au bras de fer entre Philippe II et la mer Méditerranée, tel que décrit dans La Méditerranée et le Monde méditerranéen à l'époque de Philippe II mais aussi au douloureux enfantement du Nouveau Monde puis des Mondes atlantiques que nous retrouvons dans Serge Gruzinski, Carmen Bernand.- Histoire du Nouveau Monde[1] ** 2012 - Catherine Opie, Untitled #13, ElizabethTaylors Closet : souvenirs de Michaël Jackson chez ElizabethTaylors, © 2012 ** 2014 - Todd Gray.- Exquisite Terriblness In The Mangrove, © 2014. Todd Gray a été photographe officiel de Michael Jackson de 1979 à 1988. "We worked quietly together, capturing glimpses of both his inner-life and the immense psycho/emotional burden resting on his shoulders"[2]. L'oeuvre est une interrogation sur la construction raciale et sociale de l’identité africaine-américaine. ** 2017 - Yan Pei-Ming.- In Memory of Michael Jackson 29.08.1958 – 25.06.2009, créature mythique, symbole de liberté, © 2017.
- ↑ 1991 - Serge Gruzinski et Carmen Bernand, Histoire du Nouveau Monde T.1 : De la découverte à la conquête, une expérience européenne (1492-1550), Librairie Arthème Fayard (ISBN 2-213-02764-1, notice BnF no FRBNF35463172)
1993 - Serge Gruzinski et Carmen Bernand, Histoire du Nouveau Monde T.2 : Les métissages (1550-1640), Librairie Arthème Fayard (ISBN 2-213-02965-2, notice BnF no FRBNF35609887) - ↑ (en) National Portrait Gallery, « Todd Gray: Michael Jackson's official photographer », sur npg.org.uk, (consulté le 21 novembre 2021)
Todd Gray.- Michael avant Jackson, https://www.verlhaceditions.com/mjtoddgray.html