Utilisateur:Ambre Troizat/Légion franche à cheval des Américains et du midi

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Légion franche à cheval des Américains et du midi

Légion franche à cheval des Américains et du midi[modifier | modifier le wikicode]

Décret de la Convention abolissant la Royauté, 21 septembre 1792
Légion franche à cheval des Américains et du Midi, Joseph Bologne de Saint-George, w:ColonelColonel
Historique du 13e régiment de hussards, page de titre, 1900
Officier du 13e régiment de hussards, 1814

L'histoire de la Légion franche à cheval des Américains et du midi, ou 13e régiment de hussards, couvre plus d'un siècle, de 1792 à 1899.

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Il me semble que Heurist offre la possibilité de vraiment structurer mes données en base de données pour la recherche en histoire. Ce qui est assez difficile avec Wikidata et qui rend le chercheur novice en matière de développement informatique.

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* Premier tutorial : <https://heuristnetwork.org/tutorial-5-design-menu/>.
* Déterminer la structure de la base de données

Structure de la base de données[modifier | modifier le wikicode]

Champs communs
  1. Titre de la base : Légion franche à cheval des Américains et du midi (Q109604536)
  2. Décret : Convention nationale, Décret n° 223 de la Convention nationale du 6 décembre 1792, l'an premier la république Françoise. Organisation de la légion franche des Américains (notice BnF no FRBNF33761232, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
  3. Image (Q478798) : ?
Champs individuels
  1. Image (Q478798) : ?
  2. Nom de famille : exclusivement, pour commencer, les membres de l'état-major : nom de famille (Q101352)
  3. Prénom (prénom masculin) (Q12308941)
  4. Date de naissance (Q2389905)
  5. Lieu de naissance (Q1322263)
  6. Date d'arrivée sur le territoire métropolitain
  7. grade militaire (Q56019)
  8. Lieu de résidence : résidence (Q4632675)
  9. Service dans l'armée : service militaire (Q209572)

Structure modifiée de la base de données "Légion franche à cheval des Américains et du midi"[modifier | modifier le wikicode]

Champs communs[modifier | modifier le wikicode]

Créer une première base qui contiendra :

* Le titre de la base
* Les textes sources concernant la création et l'historique de cette légion qui est bien documentée
* Une image pour chaque texte
Légion franche à cheval des Américains et du midi
Texte de l’en-tête Item Heurist Libellé Correspondance Wikidata/Wikimedia
SGBDR titre du SGBDR Légion franche à cheval des Américains et du midi Nature de l'élément Q109604536 : régiment, légion[1], régiment de cavalerie, régiment de chasseurs à cheval,
Base de données 1 Législation Ordonnances, Décrets & textes législatifs qui organisent la légion franche des Américains Q118247321
Décret organisant la légion franche des Américains
Base de données 2 Officiers Etat-major de la Légion franche à cheval des Américains et du midi 7 septembre 1792 - Légion franche des Américains et du Midi, Saint-Georges (Joseph-Bologne de) colonel
Base de données 3 Débats & textes citoyens ?? 1790 - Joseph Bologne de Saint-George, Nous sommes donc trois ? ou le Provincial à Paris : Signé : Saint-Georges, soldat citoyen de la ville de***, 1790, Paris (OCLC 458867481, notice BnF no FRBNF36303655, lire sur Wikisource)Voir et modifier les données sur Wikidata
Q478798
Lettre de Saint-George. Archives des maîtres-d'armes de Paris
Base de données 4 Image Exemple Q478798
Donnée unique
  1. Titre du : lien vers Wikidata
Base de données en relation
  1. Textes fondateurs : Débats législatifs, décrets organisant l'armée révolutionnaire républicaine
  2. Etat-major de la Légion franche à cheval des Américains et du midi
  3. Débats & textes citoyens : Intervention des Gens de couleur, liens vers Wikidata & Wikisource
  4. Image : lien vers Wikimedia Commons
Premiers éléments à saisir
* Légion franche à cheval des Américains et du midi Q109604536
* Décret qui organise la légion franche des Américains Convention nationale, Décret n° 223 de la Convention nationale du 6 décembre 1792, l'an premier la république Françoise. Organisation de la légion franche des Américains (notice BnF no FRBNF33761232, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
* Image : Décret organisant la légion franche des Américains

Etat-major de la Légion franche à cheval des Américains et du midi[modifier | modifier le wikicode]

Titre : Etat-major de la Légion franche à cheval des Américains et du midi

  1. Image (Q478798) (ou un alias) pour chaque officier.
  2. Nom de famille : exclusivement, pour commencer, les membres de l'état-major : nom de famille (Q101352)
  3. Prénom (prénom masculin) (Q12308941)
  4. Date de naissance (Q2389905)
  5. Lieu de naissance (Q1322263)
  6. Date d'arrivée sur le territoire métropolitain
  7. grade militaire (Q56019)
  8. Lieu de résidence : résidence (Q4632675)
  9. Service dans l'armée : service militaire (Q209572)

Etat-major de la Légion franche à cheval des Américains et du midi[modifier | modifier le wikicode]

1 Colonel[modifier | modifier le wikicode]

* Joseph-Bologne de Saint-Georges, Colonel
** Joseph-Bologne de Saint-Georges, Colonel

2 Lieutenant-Colonel[modifier | modifier le wikicode]

* François-Jacques La Roche-Champreux, Lieutenant-Colonel
* Thomas-Alexandre Davy de La Pailleterie Dumas, Lieutenant-Colonel

1 Quartier-maître-Trésorier[modifier | modifier le wikicode]

* Pierre-Nicolas-Joseph Aveneaux, Quartier-maître-Trésorier

6 Capitaines[modifier | modifier le wikicode]

Louis Barrier, Capitaine Jean-Michel Josset-Saint-Ange, Capitaine Jacques-Henry-Alexandre Frogère, Capitaine Bissardon Jacques Michel, dit, Capitaine Pierre Col, Capitaine Jean-Louis Manset, Capitaine


7 lieutenants[modifier | modifier le wikicode]

Claude-Antoine Collin, Lieutenant Nicolas Dhamel, Lieutenant Jacques-Laurent Fourneau, Lieutenant Jacques-Michel Pouchain, Lieutenant Nicolas-Adrien Verbecq, Lieutenant Claude Ferréol Servan, Lieutenant Jean-Joseph Lavitte, Lieutenant


6 Sous-Lieutenants[modifier | modifier le wikicode]

Jean Auger, Sous-Lieutenant Jean-Baptiste Laurin, Sous-Lieutenant Jean-Baptiste Roberjot, Sous-Lieutenant Charles-Pierre Mutel, Sous-Lieutenant Jean-Baptiste Gaybler, Sous-Lieutenant François Elie Dautigny, Sous-Lieutenant François -Nicolas Prévost, Sous-Lieutenant

Autres membres de la légion[modifier | modifier le wikicode]

J. Labuissonnière. Narcisse, lieutenant des hussards américains. Hellot, idem Saint-George Milscent, marechal-des-logis. Lapais, idem. Ferant, adjudant. Alexandre Vantu, brigadier-fourrier. Apollon. Dominique. Claid-Hurfulle. Louis Dubara. Jean-Pierre Alexandre. Bazille. Gainatis. Lubin. Téméraire. Etienne. Mondor. Paris, le 17 mai 1793, l'an deuxième de la république française. Approuvé par tous les braves Republicains.

Saint-George rencontre Robespierre à Arras en 1786[modifier | modifier le wikicode]

Carte de la Flandre française avant 1789
Arras, géo-localisation.

Louis Jacob signale la présence de Saint-George à Arras[2] en 1786. Mais, l'auteur ignore l'activité de ce "bizarre personnage" dans la capitale des Flandres.

«  En 1786, il assiste à une séance de l'Académie, à la suite de laquelle il consacre quelques vers à vanter les mérites littéraires de Robespierre, membre de cette Société et ceux de Dubois de Fosseux, secrétaire perpétuel[3] »
Jacob Louis et Alexandre de Saint-Léger (dir.), Saint-Georges et la “Légion Noire" de Lille en 1793 (ISSN 0035-2624 et 2271-7005, DOI 10.3406/RNORD.1951.2008)Voir et modifier les données sur Wikidata page 6.

Nous savons que le Docteur Alexis Pujol prononce un discours de réception dans une des séances de l'Académie des Belles Lettres d'Arras en 1786 à l'Académie des Belles-Lettres d'Arras, publié dans ses Oeuvres diverses de médecine pratique[4]. Mais nous ignorons si les deux événements ont eu lieu le même jour.

Bibliographie Saint-George / Robespierre[modifier | modifier le wikicode]

  • Voir les vidéos de Henri Guillemin à propos de Robespierre et la Révolution française. [https://www.youtube.com/watch?v=XiM74n8I2Gc Henri Guillemin explique Robespierre et la révolution française (1/2)] :
  • 1801 - Roch-Ambroise Cucurron Sicard, Antoine Sérieys et Jean Chas, La mort de Robespierre : tragédie en trois actes et en vers : avec des notes où se trouvent des particularités inconnues, relatives aux journées de septembre et au régime intérieur des prisons, notamment une relation complète de l'abbé Sicard, et des anecdotes concernant Gandolphe, secrétaire de M. Montmorin, Madame Beauharnais, Chatrie, Béhourt, et un soldat suisse qui, pour échapper à la mort, le 10 août, s'étoit caché dans une des cheminées du château, et beaucoup d'autres et ouvrage précédé du poème l'Anarchie en 1791 et 92, et suivi de quatorze dialogues entre les personnages les plus célèbres dans la révolution, par leurs vertus ou par leurs crimes.Voir et modifier les données sur Wikidata
  • * 1950 - Paul Eluard.- Légion, publié dans Paul Éluard, Hommages, Namur, 23  p. (notice BnF no FRBNF35285161)Voir et modifier les données sur Wikidata HOMMAGES, Les Cahiers de la poésie nouvelle n° 7-8, Namur, 1950

1792-1793 : Légion franche des Américains et du Midi[modifier | modifier le wikicode]

Vendredi 17 mai 1793, les soldats de la Légion des Américains publient une Adresse à la Convention, à tous les Clubs et sociétés patriotiques pour les nègres détenus en esclavage dans les colonies françaises. Une note à la fin du fascicule précise la date de l'adresse et le nom des rédacteurs : “Paris, le 17 mai 1793, l'an deuxième de la République Française. J. Labuissonniere. Narcisse, lieutenant des hussards américains. Hellot, idem. Saint-George Milscent, né à Grande Rivière, Saint Domingue, maréchal-des-logis. Lapais, idem. Ferant, adjudant [et al.] Approuvé par tous les braves républicains”[5]

Joseph Bologne de Saint-George est alors sous le coup d'une arrestation. Ce texte est un véritable manifeste en faveur de l'abolition immédiate de l'esclavage dans les colonies et propose un projet de société[6].

Le contexte géopolitique[modifier | modifier le wikicode]

1910 - L'Affaire des «Belges et Liégeois unis», (1792-1793) (ISSN 0035-2624 et 2271-7005, DOI 10.3406/RNORD.1910.1171)Voir et modifier les données sur Wikidata

La monarchie est abolie le 21 septembre 1792[7].

La Patrie en danger[modifier | modifier le wikicode]

Création des légions[modifier | modifier le wikicode]

« Saint-Georges, né à la Guadeloupe le 25 décembre 1745, avait organisé à ses frais, mais avec subvention du gouvernement, en vertu de la loi du 7 septembre 1792 »

Mortimer Ternaux, affirmant l'état civil de Saint-George, nous présente la création de la Légion franche des Américainset du Midi comme l'opération d'un Saint-George investisseur capitaliste, capable de mobiliser des subventions d'État pour une cause militaire.

"À la date du 15 septembre 1792, nous trouvons la création « d'une légion franche de cavalerie des Américains et du Midi, en vertu de la loi du 7 septembre 1792, dans Jacob Louis et Alexandre de Saint-Léger (dir.), Saint-Georges et la “Légion Noire" de Lille en 1793 (ISSN 0035-2624 et 2271-7005, DOI 10.3406/RNORD.1951.2008)Voir et modifier les données sur Wikidata, 1951.

« Au lendemain des massacres de Septembre, l'an 1er de la République, la Légion franche des Américains du Midi, qui devint bientôt le 13e chasseurs. Il s'en fit naturellement nommer colonel. »
Mortimer Ternaux[8].

Saint-George imite-t-il alors l'entreprise de la guerre d'indépendance des États-Unis ? Utilise-t-il le modèle des milices formées de gens de couleur usuel dans les colonies ? La formation et le commandement de cette légion est-elle le pendant de sa candidature à la direction de l'Opéra — et qui va tourner tout aussi mal ? Plusieurs légions se sont formées dans la même période et Saint-George semble bénéficier de l'aide de Julien Raimond en sus des subventions du gouvernement.

Après la Journée du 10 août 1792|Révolution du 10 août 1792 et le renversement de la monarchie constitutionnelle, Julien Raimond vint à l'assemblée avec une députation de citoyens de couleur le 7 septembre 1792[9]. La députation demandait l'abolition de l'esclavage mais aussi la formation d'une légion de soldats composée de gens de couleur pour défendre la révolution dans la métropole[10].

Par décret de la Convention Nationale en date du 6 décembre 1792, an 1er de la République Française[11], est organisée la Légion franche des Américains. Saint-George devient colonel de cette Légion Franche des Américains et du Midi qui est devenue de nos jours le 13e régiment de chasseurs à cheval[12]. Moins pour ses qualités d’escrimeur que parce qu’il a fait une carrière militaire, acquis des compétences de gestionnaire et surtout par patriotisme. L'Africain Louis Ferrand, né à Gorée est à leur côté ainsi que Georges Milscent, né à Saint-Domingue[13]. L’un des officiers sous ses ordres se nomme Alexandre Dumas, futur général de la Révolution[14] et père de l’auteur des Trois Mousquetaires.

« C'était le moment des enrôlements volontaires, et la France présentait au monde un spectacle qui pouvait passer pour un exemple. […] La France sentit la main de la Mort qui s'étendait sur elle, et, par une puissante et terrible contraction, déjà les pieds dans son linceul, elle s'élança hors de son tombeau. […] Jamais nation n'avait été si près de sa perte que l'était la France de 1792, […] Saint-Georges avait été nommé colonel de la légion franche de cavalerie des Américains du Midi. »
Alexandre Dumas[15].

La Légion est formée à Laon avant de rejoindre Lille — où le colonel Saint-George est bien connu de la bourgeoisie[16] et l’armée du Nord sous la nouvelle désignation de [[w:13e régiment de chasseurs à cheval|Modèle:13e de chasseurs à cheval]]. La légion est envoyée au feu contre les Autrichiens.

Citation — Lasource : Je demande la permission de déroger à la règle que s'est prescrite la Convention, de ne pas entendre de lettres particulières : celle que je présente n'a que trois lignes.

Je vous annonce, mon cher concitoyen, que je reçois à l'instant la nouvelle que nos troupes ont repris Saint-Amand et le camp de Maulde, et que ce camp va être rétabli. Votre ami et concitoyen, Saint-George. Convention nationale, 20 septembre 1792[17].

Elle sera à Liège le 11 novembre 1792[13] et sera sous le commandement de Dumouriez au moment du contrôle des commissaires de la Convention. Après l'affaire Dumouriez, en avril 1793, alors que Julien Raimond et la Société des citoyens de couleur demandent un décret abolissant l'esclavage et que le mouvement révolutionnaire s'accélère à Saint-Domingue, la légion des Américains reçoit l’ordre de se dissoudre

« Lille, le 6 brumaire. — Le thermomètre de l'esprit public est ici au plus haut degré d'élévation. Il ne manquait à cette ville qu'une armée révolutionnaire, qui vient d'être organisée par les soins des patriotes. Il y a d'autant plus à compter sur son zèle et la fermeté de ses principes, que les officiers qui la commandent, sont de vrais Jacobins.
Le corps dit de Saint-Georges, 18e des chasseurs, était le seul dont la composition pût ne pas inspirer toute confiance. Il n'a pas échappé à la surveillance du ministre de la guerre, qui vient de lui donner pour chef un vrai sans-culotte. »
Gazette nationale ou Le Moniteur universel no 52. Duodi, 3e décade de Brumaire, l'an 2. (mardi 12 novembre 1793, vieux style.) Léonard-Charles-André-Gustave Gallois, Réimpression de l'ancien Moniteur, seule histoire authentique et inaltérée de la Révolution française, depuis la réunion des États-Généraux jusqu'au Consulat : (mai 1789 : novembre 1799) : XVIIIe siècle : 1789-1799, Paris, Plon, 1860 [présentation en ligne] . (notice BnF no FRBNF304776465)</ref>.

« SERRE, jeudi 16 mai 1793, au nom du comité de la guerre — Citoyens, vers les premiers jours de septembre dernier, 1792, il fut créé une légion dite légion des Américains ; la première compagnie de ce corps fut réellement composée d’hommes de couleur. Cette compagnie intéressante pour tous les vrais amis de l’humanité et de l’égalité, a fait la guerre dans la Belgique avec un courage et une discipline au-dessus de tout éloge ; elle a reçu l’ordre de s’embarquer pour les colonies ; elle, vous en demande la révocation, et se fonde sur ce que la plupart de ces citoyens ont encore leurs maîtres ou leurs agents dans les colonies. Ils craignent que leur dévouement au maintien de la liberté, à la défense de leur patrie adoptive, n’ait servi qu’à les replonger dans les fers. « Car, disent-ils, nous n’avons à opposer aux réclamations de nos ci-devant maîtres que la déclaration des droits de l’homme, et malheureusement dans les colonies la déclaration des droits de l’homme n’est point faite pour nous. Votre comité de la guerre vous propose le décret suivant : Sur le rapport de son comité de la guerre, la Convention nationale décrète :
Que le ministre de la guerre emploiera ailleurs que dans les colonies la première compagnie des chasseurs de la légion dite des Américains du Midi. En conséquence, l’ordre que le ministre a donné pour le transport de cette compagnie dans l’île de Saint-Domingue, demeure révoqué. »
— D’après Alexandre Ray & Léonard-Charles-André-Gustave Gallois[18]

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Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]

* {{bibliographie|}} <!-- -->

  • 1757 - Maurice de Saxe, Mémoires sur l'art de la guerre : Nouvelle édition conforme à l'original et augmentée du Traité des légions, ainsi que de quelques lettres de cet illustre capitaine sur ses opérations militaires, Dresde, George Conrad Walther, 499  p. (OCLC 433671721, notice BnF no FRBNF32607109)Voir et modifier les données sur Wikidata
  • 1900 - Louis Pierre Amour Marie Henri de Bouillé, Historique du 13e régiment de hussards, 1792-1899, d'après les documents officiels puisés aux archives du ministère de la guerre et aux Archives nationales. Illustré par le Cte R. de Bouillé, M. le colonel Titeux, M. le sous-lieutenant Eckenfelder, MM. de Gouyon, Ch. Crespin et l'auteur. Avec des reproductions photographiques des portraits des colonels, Paris, Erwan Personne, 221  p. (notice BnF no FRBNF34076084)Voir et modifier les données sur Wikidata. L'ouvrage est dédicacé en hommage à : M. le Colonel comte de Brécey, MM. les Officiers supérieurs, aux camarades du 13e Hussards[19].
  • 1919 - ministère de la Guerre, 10e corps d'armée - 13e régiment de hussards, Historique sommaire du régiment : campagne 1914-1918 : Exécution des Prescriptions de la note du G. Q. G n° 26483, en date du 16 Avril 1919, Dinan, 30  p. (notice BnF no FRBNF42717218)Voir et modifier les données sur Wikidata
  • 1980 - Eugène Louis Bucquoy, La Cavalerie légère : les hussards, les chasseurs à cheval, Paris, Jacques Grancher, 189  p. (notice BnF no FRBNF34678108)Voir et modifier les données sur Wikidata
  • 1988 - Yves Barjaud (ill. Daniel Lordey), Les Hussards : trois siècles de cavalerie légère en France (notice BnF no FRBNF34992800)Voir et modifier les données sur Wikidata

Notes & Références[modifier | modifier le wikicode]

  1. Sous la Révolution française, et pour les besoins des guerres révolutionnaires, une légion est un corps d'armée organisé à partir d'étrangers, émigrés en France, partisans de la Révolution.
    Les Francs-tireurs et partisans - Main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI) fondé en avril 1942, sous la direction de Joseph Epstein & Simon Cukier sont un exemple contemporain d'organisation militaire qui enrôle des étrangers favorables à la cause française.
  2. "A vrai dire, c'est à Arras que nous le rencontrons pour la première fois.…nous ignorons ce qui l'a amené dans cette ville… Le numéro 1492 des manuscrits de la bibliothèque municipale de Lille pourra satisfaire en partie, nous l'espérons, la curiosité des lecteurs de notre Revue", ajoute Louis Jacob
  3. Durand son service comme écuyer de Louis XV, Dubois de Fosseux devient un proche de Beaumarchais. Cf. : 1969 - Léon-Noël Berthe, Dubois de Fosseux, secrétaire de l'Académie d'Arras, 1785-1792 et son bureau de correspondance, Arras, l'auteur, 459  p. (notice BnF no FRBNF32920473)Voir et modifier les données sur Wikidata, alors que celui-ci a une liaison avec avec Pauline LE BRETON, jeune créole de Saint-Domingue, qui finira par épouser en 1766, le chevalier de Séguirand (LOMENIE, p. 160 à 162 ; L. THOMAS, p. 65 ; R. POMEAU, Beaumarchais, l'homme et l’œuvre
  4. Alexis Pujol, Discours de réception prononcé dans une des séances de l'Académie des Belles Lettres d'Arras en 1786Voir et modifier les données sur Wikidata
  5. 17 mai 1793 - Julien Labuissonniere, Narcisse, Hellot, Saint-George Milscent, Lapais et Ferant, Adresse à la Convention nationale, à tous les clubs et sociétés patriotique. Pour les nègres détenus en esclavage dans les colonies franc̜aises de l'Amérique, sous le régime de la République, Paris, Guglielmo Francesco Galletti (notice BnF no FRBNF36120181, lire sur Wikisource, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
  6. Laënnec Hurbon, L'insurrection des esclaves de Saint-Domingue : 22-23 août 1791 : Modèle:Sp- : 1793-2000, Paris, Khartala, 2000 [présentation en ligne] . (notice BnF no FRBNF371860985)
  7. La Convention nationale décrète que la royauté est abolie en France.
  8. Louis Mortimer Ternaux, Histoire de la terreur, 1792-1794, d'après des documents authentiques et inédits, vol. 6 : 1792-1794, Paris, Michel Lévy frères, 1867 [présentation en ligne] . (notice BnF no FRBNF37309503f).
  9. Laënnec Hurbon, L'insurrection des esclaves de Saint-Domingue : 22-23 août 1791 : Modèle:Sp- : 1791-2000, Paris, Karthala, 2000 [présentation en ligne] . (notice BnF no FRBNF371860985).
  10. Marcel Dorigny et Association pour l'étude de la colonisation européenne, Les abolitions de l'esclavage : de L.F. Sonthonax à V. Schœlcher, 1793, 1794, 1848. Actes du colloque international tenu à l'Université de Paris VIII les 3, 4 et 5 février 1994 : Modèle:Sp- : 1650-1995, Paris, Presses universitaires de Vincennes et Editions UNESCO, 1995 [présentation en ligne] . (notice BnF no FRBNF357888420).
  11. 6 décembre 1792 : Publication du décret relatif à l'organisation de la légion franche des Américains (L. XII, 322.— B. XXVI.21). France Conseil d'Etat, Générales des lois, arrêtés, décrets, ordonnances du roi, arrêts et avis du conseil d'état et réglemens d'administration publiés depuis 1789, vol. 1 : Modèle:Sp- : 1789-1824, Paris, Ménard et Desenne fils, 1824 [présentation en ligne] .
    Jean-Baptiste Duvergier, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlemens avis du Conseil d'état, ordonnances du roi, arrêts et avis du conseil d'état et réglemens d'administration publiés depuis 1789, vol. 1 : Modèle:Sp- : 1788-1824, Paris, A. Guyot et Scribe, 1834 [présentation en ligne] . Notice Bnf n° FRBNF30391495
  12. Légion du Midi ou des Américains
    « De retour à Paris, il organisa un corps de chasseurs à cheval, dont il fut le colonel, et qu'il conduisit à l'armée du Nord. Il s'y distingua par sa bravoure. » Dans François-Joseph Fétis, Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique, vol. 8 : Modèle:Sp- : 1835-1877, Paris, Firmin-Didot et C°, 1877 [présentation en ligne] . (notice BnF no FRBNF38779780q). Les ouvrages de Fétis sur Wikidata.
    Le titre exact de cette légion est Pierre-Henri-Marie Lebrun Tondu, DominiqueJoseph Garat, Convention nationale et Légion franche des Américains :, Décret de la Convention nationale, du 6 décembre 1792, l’an premier de la République françoise : Organisation de la legion franche des Américains. « Signé Lebrun. Contresigné Garat. » : XVIIIe siècle : 1792, France, Imprimerie nationale du Louvre, Publié par l’Imprimerie nationale exécutive du Louvre, 1792 [présentation en ligne]  ;(2).
  13. 13,0 et 13,1 Pierre Bardin, Joseph, sieur de Saint-George : le chevalier noir : Modèle:Sp- : 1739-2006, Paris, Guenegaud,, 2006 [présentation en ligne] . (notice BnF no FRBNF40973268c).
  14. John G. Gallaher, General Alexandre Dumas : soldier of the French Revolution : Modèle:Sp- : 1762-1997, Carbondale, Illinois, Usa, Southern Illinois University (SIU Press), 1997 [présentation en ligne] . (notice BnF no FRBNF388119959)
  15. Alexandre Dumas, fils.
  16. Pierre Legrand, Le Bourgeois de Lille : esquisses locales : Modèle:Sp- : 1745-1851, Paris, Beghin, 1851 [présentation en ligne] . (notice BnF no FRBNF{{{1}}})
  17. A. Ray, Réimpression de l'ancien Moniteur : depuis la réunion des États-généraux jusqu'au Consulat (mai 1789 : novembre 1799) vol. 14 : Modèle:Sp- : 1650-1840, Paris, Au Bureau central, 1840 [présentation en ligne] .
  18. Publié dans la Gazette Nationale ou Le Moniteur Universel, jeudi 16 mai 1793. Léonard-Charles-André-Gustave Gallois et Alexandre Ray,, Réimpression de l’ancien Moniteur. Seule histoire authentique et inaltérée de la révolution française depuis la réunion des Etats-généraux jusqu’au consulat (mai 1789-novembre 1799) : XVIIIe siècle : 1793, Paris, Au Bureau Central, Quai Malaquais, 13, 1840 [présentation en ligne] . Notes explicatives et édition scientifique de Gustave Gallois ; Tables et édition scientifique de Alexandre Ray. Tome seizième du Lundi 1er avril 1793 au 30 juin 1793 (An 2 de la République Française). (notice BnF no FRBNF311819153).
  19. Demande d'upload.
    2 exemplaires à la la BSHAT - Bibliothèque du Service historique de la Défense de Vincennes.