Utilisateur:Ambre Troizat/Famille Mirabeau Riqueti
Mirabeau Riqueti (Famille)
[modifier | modifier le wikicode]- Généalogie
- Victor Riqueti de Mirabeau, l’Ami des hommes, économiste & philosophe, 1715-1789
- Jean-Antoine Riqueti de Mirabeau, chevalier de Malte, 1717-1794. Gouverneur de la Guadeloupe de 1753 à 1757
- Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, révolutionnaire, ainsi qu’un écrivain, diplomate, franc-maçon, journaliste et homme politique, 1749-1791. Cf Le Courrier de Provence.
- André Boniface Louis Riqueti, vicomte de Mirabeau, dit "Mirabeau-Tonneau" puis « Mirabeau-Cravates », 1754-1792
- Fonds Mirabeau
- Los señores & marqueses de Mirabeau. Genealogia de los Riqueti de Mirabeau
-
Victor Riqueti de Mirabeau (1715-1789) dit Mirabeau l'aîné, père de Mirabeau, chevalier de Malte en 1716.
-
Honoré-Gabriel Riqueti, (9 mars 1749-2 avril 1791), marquis de Mirabeau, dit Mirabeau (-Tonnerre).
-
André Boniface Louis Riqueti, vicomte de Mirabeau, (1754-1792), dit "Mirabeau-Tonneau" puis « Mirabeau-Cravates », frère du précédent, chevalier de Malte le 5 juillet 1755
-
Sibylle Gabrielle Riquetti de Mirabeau, dite Gyp (1849 - 1932)
-
Jean-Antoine Joseph Charles Elzéar, (1717-1794), dit le Balli de Riqueti de Mirabeau, frère du premier, oncle des deux ci-dessus, gouverneur de la Guadeloupe de 1752 à 1755. Il devient chevalier de Malte le 31 juillet 1720 et depuis Commandeur et Bailli
-
L'Ile de la Guadeloupe au XVIIe siècle, (notice BnF no FRBNF40618775g)
Les deux frères, l'oncle et le père sont chevaliers de Malte. Jean-Antoine Joseph Charles Elzéar deviendra bailli, d'où son nom précédé du terme[1]. Marin habile, est préssenti pour le ministère de la Marine. Ses ambitions sont déçus. Il achète la charge de général des galères et sera gouverneur de la Guadeloupe de 1752 à 1755. Son neveu, André Boniface Louis, sera également chevalier de Malte.
- Anne de Ferrière de Saulvebœuf, marquise de Vassan
- 2846. VASSAN (Anne de Ferrière de Saulvebœuf, marquise de), grand mère maternelle de Mirabeau. 1689-1770. 1° L. aut., a M. de Saint-George. 3 gr. p. in-4.
Ma fason de pancer monsieur et mon amitié pour monsieur de Mirabeau « ce confirme de ionr en ionr, celle que vous aues pour luy mauoit preueneu en « sa faveur auaut de le connaître il la mérité par le parfait attachement qu’il a « pour vous, madame la marquise de Saint-leorgc et tout ce qui vous est cher, « ie ne scauroit trop vous marquer monsieur, ma uiue reconnessance de manoir procuré un iandre ou pour mieux dire un fils ausy aimable dont le caractaire démontre beaucoup desprit et de probité... ». Catalogue de la collection de lettres autographes manuscrits du comte de Mirabeau, documents historiques sur la Ligue, la Fronde, la Révolution, etc. de feu M. Lucas de Montigny: dont la vente aura lieu le mercredi 30 avril 1860 et jours suivants a 7 heurs du soir rue des Bons-enfants, 28, Maison Silvestre salle, Numéro 4.
Victor Riqueti de Mirabeau (1715-1789)
[modifier | modifier le wikicode]- Victor Riqueti de Mirabeau, l’Ami des hommes, économiste & philosophe, 1715-1789
« Riqueti : Victor, Marqu. de Mirabeau & de Biran, Comte de Beaumont, premier Baron du Limoſin, Vicomte de S. Mathieu, né 4 octobre 1715. fils aîné de feu Jean-Antoine, mort en 1737. & de Françoise de Caſtellane-Norante, née en 1686, vivante en 1761. marié 11 avril 1743 à Marie Geneviève de Vassan, née en décembre 1725 dont
- Honoré-Gabriel, né 9 mars 1749
- André Boniface-Louis, né 30 novembre 1754
- Marie-Anne-Jeanne[2], née 10 juillet 1745
- Caroline-Eliſabeth[3], née 5 septembre 1747
- Marie-Louiſe[4], née 4 septembre 1752
Fère : Jean-Antoine Joſeph-Charles-Elzear de Riqueti, né 8 oct. 1717, Chevalier de Malte, Capitaine de Vaiſſeau du Roi, nommé Général des Glères de Malte.
Belle-ſœur : Julienne-Dorothée-Sylvie, née Comtesse de Kunſberg, veuve en juillet 1761. d'Alexandre -Louis de Riqueti, grand Chambellan du Margrave de Brandebourg Bareith »
— François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois, Calendrier des princes et de la noblesse : contenant l'état actuel des maisons souveraines, princes et seigneurs de l'Europe, et de la noblesse de France, par ordre alphabétique ; extrait du "Dictionnaire généalogique"... Avec des additions, changements et augmentations, pour l'année 1762, Nicolas-Bonaventure Duchesne (notice BnF no FRBNF36336245)[5]
- Françoise de Castellane-Norante
Jean-Antoine Joseph Charles Elzéar, dit le Balli de Riqueti de Mirabeau (1717-1794)
[modifier | modifier le wikicode]- Jean-Antoine Riqueti de Mirabeau, (1717-1794), gouverneur de la Guadeloupe de 1752 à 1755
- Généalogie sur Généanet
André Boniface Louis Riquetti de Mirabeau
[modifier | modifier le wikicode]André Boniface Louis Riquetti de Mirabeau, vicomte de Mirabeau, dit « Mirabeau-Tonneau » puis « Mirabeau-Cravates », né à Paris, le 30 novembre 1754, mort à Fribourg-en-Brisgau, Allemagne, le 15 septembre 1792, est le fils de Victor Riqueti de Mirabeau, marquis de Mirabeau et de Marie-Geneviève de Vassan, frère cadet d'Honoré Gabriel Riquetti de Mirabeau.
Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau (1749-1791)
[modifier | modifier le wikicode]« Honoré Gabriel de Riqueti comte de Mirabeau capitaine au régiment des dragons de Penthièvre, petit fils du précédent était le second fils des dix enfants qu'eut de son mariage avec Marie Geneviève de Vassan veuve de Jean François de Ferrières chevalier marquis de Sauvebæuf grand sénéchal d 'Auvergne et Victor de Riqueti marquis de Mirabeau de Sauvebeuf et de Biran comte de Beaumont baron de Pierre Buffiere et en cette qualité premier baron du Limousin seigneur de Roquelaure de Négreaux etc etc ancien capitaine au régiment de Duras auparavant Mirabeau chevalier de Malte et de Saint Louis »
— Internet Archive, pp. 187.
« Jean de Beaumont, dernier comte de Beaumont, était à la droite du roi de France, Philippe Auguste en 1214 à la bataille de Bouvines. Mort sans postérité en 1223, le comté rejoignit l'apanage des rois de France et fut transmis de siècle en siècle à des membres de la famille royale dont le plus connu est sans doute Charles Ier d'Orléans... Au XVIIIe siècle, le comté est vendu à François-Louis de Bourbon, prince de Conti[6]. Malgré le mauvais état du pont, le comte de Conti décida de ne procéder qu’à une reconstruction de trois arches en ruine ; les travaux furent exécutés en 1735. Le comte de Provence, qui deviendra Louis XVIII[7], en est le dernier seigneur. »
- Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, révolutionnaire, ainsi qu’un écrivain, diplomate, franc-maçon, journaliste et homme politique, 1749-1791
Honoré Gabriel Riqueti, marquis puis comte de Mirabeau, appelé Mirabeau, surnommé « La Torche de la Provence » et « L’Orateur du Peuple ».
- Le Bignon-Mirabeau (Loiret) 9 mars 1749 – Paris 2 avril 1791.
- Victor Hugo le dit « d’une laideur grandiose et fulgurante ».
- Orateur. Politique. Révolutionnaire.Franc-maçon.
- participe à la campagne de Corse en 1768 à1769
- 1788 - Mirabeau fonde de la Société des Amis des Noirs avec Brissot, Clavière et Condorcet. La société milite pour l’abolition immédiate de la traite des Noirs et, plus largement, celle de l’esclavage dans les colonies. Cf. bibliographie[8].
Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau.- Le Courrier de Provence
[modifier | modifier le wikicode]Auteur : Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau Description : Publication de Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau Alias : Lettres du comte de Mirabeau à ses commettans
- 1789 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Courier de Provence, 1789, , IA ; Google Livres
- 1789 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Courier de Provence, 1789, Tome I, , IA ; Google Livres
- 1790 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Courier de Provence, Tome VI, 1790, , IA ; Google Livres
- 1790 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Courier de Provence, Tome VIII, 1790, , nos. 136-155, IA ; Google Livres
- 1791 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Courier de Provence, Tome IX, 1791, , IA ; Google Livres
- 1791 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Courier de Provence, Tome X, 1791, , IA ; Google Livres
- 1791 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Courier de Provence, Tome XI, 1791, , IA ; Google Livres
- 1791 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Courier de Provence, Tome XII, , IA ; Google Livres
Textes publiés dans Le Courrier de Provence
[modifier | modifier le wikicode]- 1791 - Lettre à tous les hommes de couleur libres, dans Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Étienne Dumont, Jacques Duroveray, Courier de Provence, Lettre (dix-neuvième lettre) du comte de Mirabeau, à ses commettans, Imprimerie du Patriote français, Paris,
- 1791 - Étienne Clavière, Société des Amis des Noirs et des colonies, Adresse de la Société des Amis des Noirs, à l'Assemblée nationale, à toutes les villes de commerce, à toutes les manufactures, aux colonies, à toutes les sociétés des amis de la Constitution : adresse dans laquelle on approfondit les relations politiques et commerciales entre la métropole et les colonies, Le Patriote français, , Google Livres ; Google livres2 ; Gallica ; IA ; IA2 ; Adresse de la Société des amis des noirs, à l'assemblée nationale
Journal de la maladie et de la mort d'Honoré-Gabriel-Victor Riquetti Mirabeau
[modifier | modifier le wikicode]In Pierre-Jean-Georges Cabanis.- Du degré de certitude de la Médecine[9], 1803, page 231
André Boniface Louis Riqueti, vicomte de Mirabeau, dit "Mirabeau-Tonneau"
[modifier | modifier le wikicode]Saint-George cite André Boniface Louis Riqueti, vicomte de Mirabeau, dit "Mirabeau-Tonneau" puis « Mirabeau-Cravates », 1754-1792, frère cadet d'Honoré Gabriel Riquetti de Mirabeau, parmi les "traîneurs obstinés des deux soi-disant ordres renversés"
« J’ai vu, et je ne crois pas m’être trompé, que parmi les pères de la patrie, il y a trois partis bien formés, bien aisés à distinguer.
Les deux principaux sont assez connus. L’un, et celui-là mérite bien l’avantage de paroître le premier, est composé des traîneurs obstinés des deux soi-disant ordres renversés. Un abbé Maury, un Cazalès, un vicomte de Mirabeau, se montrent à sa tête, et conduisent ceux qui ne valent pas la peine d’être nommés. »
— Joseph Bologne de Saint-George.- Nous sommes donc trois ? ou le Provincial à Paris, 1790[10]
« Anglais : Caricature of Louis Joseph de Bourbon (1736-1818) and André Boniface Louis Riquetti de Mirabeau (Mirabeau-Tonneau) (1754-1795).
Library of Congress description : "Print shows the Prince de Condé as Don Quixote on a white horse and vicomte de Mirabeau (Mirabeau Tonneau) as Sancho Panza riding on a barrel-shaped ass on wheels, surrounded by a ragged group of counterrevolutionaries forming Condé's army, riding to the defence of the mill of abuse, a windmill situated in the center background, topped with a bust of Louis XVI. The mill is propelled by gusts of flatulence issuing from an allegorical Fame without trumpet, dressed as a jester." Caption: "Marche du Dom Quichotte moderne pour la deffence du Moulin des Abus." ("Don Quixote's modern march in defence of the windmill of abuses.")[11]
Français : Caricature de Louis Joseph de Bourbon (1736-1818) et André Boniface Louis Riquetti de Mirabeau (Mirabeau-Tonneau) (1754-1795)
Description de la Bibliothèque du Congrès : L'estampe montre le Prince de Condé en Don Quichote sur un cheval blanc et le vicomte de Mirabeau (Mirabeau Tonneau) en Sancho Panza chevauchant un cheval de bois sur roulette en forme de tonneau, entourés par d'enragés contre-révolutionnaire formant l'armée de Condé se portant à la défense du moulin des abuse, un moulin à vent situé au centre du deuxième plan, avec au sommet un buste de Louis XVI en guise de girouette. »
Jean-Marie-Nicolas Lucas de Montigny (1782-1852)
[modifier | modifier le wikicode]Jean-Marie-Nicolas LUCAS DE MONTIGNY, né à Paris le 44 février 1782, conseiller de préfecture, était le fils naturel de Mirabeau, premier éditeur du Discours de Mirabeau contre la traite des Noirs[12]. Un "fragment" du manuscrit est conservé à la Bibliothèque de Genève.
Sibylle Gabrielle Riquetti de Mirabeau, dite Gyp, 1849 - 1932
[modifier | modifier le wikicode]- Sibylle Gabrielle Riquetti de Mirabeau, dite Gyp (1849 - 1932), fille de Joseph-Arundel de Riquetti et de son épouse Marie Le Harivel de Gonneville. Son roman Une Élection à Tigre-sur-mer (1890) est basé sur l'expérience de Gyp au soutien d'un candidat boulangiste,
« Notice sur la Maison de Riqueti Mirabeau
Une erreur grave s'est glissée dans la Biographie universelle, Tomee XXIX, et dans lHistoire généalogique des pairs de France, de M. de Courcelles, Torne IV, et dans lAnnuaire de la noblesse de 1845. Selon ces ouvrages, le vicomte de Mirabeau serait mort sans avoir été marié, vers la fin de 1792. C'est à tort; le vicomte de Mirabeau, colonel de la légion de Touraine, frère du comte de Mirabeau l'orateur, et par conséquent fils du marquis de Mirabeau, l'Ami des hommes[13], épousa en 1788, dans la commune d'Argentilly en Touraine, la comtesse de Robien, native du diocèse de Hennés. De ce mariage naquit, en 1789, paroisse de Sainl-Sulpice, à Paris, Victor-Claude Dymas de Riqueti de Mirabeau, qui perdit son père pendant l'émigration, à Fribourg en Brisgau. Il hérita du titre de colonel ; mais étant trop jeune pour commander la légion de son père, il fut remplacé par le marquis de la Féronnière. Au retour de Louis XVIII, il reçut un brevet de colonel de cavalerie. Il épousa en 1817 Éléonore-Louise Danthon, fille d'un chirurgien-major mort en Espagne, et décéda à Vannes en 1831, à l'âge de quarante-deux ans. De ce mariage sont issus :
- MarieAntoinette de Riqueti de Mirabeau, née en 1818, mariée le 19 avril 1836 au comte Treouret de Kerstrat ;
- Gabriel-Vielor Claude de Riqueti de Mirabeau, né le 18 octobre 1819, aujourd'hui chef de la famille, qui a épousé en 1841 Ernestine-Xavierine, fille de Charles-Philippe-Auguste duc d'Esclignac, lieutenant-colonel des lanciers de la garde en 1830, et de Georgine-Louise de Talleyrand-Périgord, fille du comte de Talleyrand-Périgord, gouverneur de Saint-Germain ;
- Arundel-Joseph de Riqueti de Mirabeau[14] ;
- Edouard-Albert de Riqueti de Mirabeau.
Les armes sont: dazur, à une bande d'or, accompagnée en chef d'une demi-peur de lis fleuronnée du même, el en pointe de trois roses d'argent en orle. Tenants : deux anges: couronne de marquis. Devise : Jurât pielas. ( Planche XXVI.) »
— André Borel d'Hauterive, Revue historique de la noblesse,, Bureau de la publication, Paris, [15]
Lucas de Montigny
Bibliographie
[modifier | modifier le wikicode]- Internet Archive : Sur Mirabeau]
- 1879-1891 - Louis de Loménie, Charles de Loménie, Les Mirabeau : nouvelles études sur la société française au XVIIIe siècle
- 1879 - Louis de Loménie, Les Mirabeau : nouvelles études sur la société française au XVIIIe siècle, Tome premier, Dentu (notice BnF no FRBNF34211475), Le Bailli gouverneur à la Guadeloupe Gallica, pp. 190
11-1789/3-1790 - 1834-1999 : Les bières flottantes des négriers
[modifier | modifier le wikicode]- 1834 - Victor Hugo, Étude sur Mirabeau (Honoré-Gabriel de Riqueti, Cte de), 1834, A. Guyot et Scribe, Paris,
- 1834-1835 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Victor Riquetti de Mirabeau, Jean-Antoine Riqueti de Mirabeau et Jean-Marie-Nicolas Lucas de Montigny (dir.), Mémoires biographiques, littéraires et politiques de Mirabeau écrits par lui-même, par son père, son oncle et son fils adoptif, Tome 7 (notice BnF no FRBNF30842595), Publication d'une version des "Les bières flottantes des négriers Bières flottantes des négriers" dans le volume 7.
- 1999 - Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau, Marcel Dorigny (dir.), Victor Hugo (dir.) et Société française d'étude du XVIIIe siècle (dir.), Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau.- Les Bières flottantes des négriers, un discours non prononcé sur l'abolition de la traite des Noirs, novembre 1789 - mars 1790. Contient aussi deux lettres à Mirabeau dont une de Bacon et une étude sur Mirabeau par Victor Hugo, Saint-Étienne, université Jean-Monnet-Saint-Étienne (ISBN 978-2-86272-184-2, OCLC 43984275, notice BnF no FRBNF37100970)
- 2001 - Serge Bianchi, Les Bières flottantes des négriers, un discours non prononcé sur l’abolition de la traite des Noirs (ISSN 0003-4436 et 1952-403X, DOI 10.4000/AHRF.1134, lire en ligne), juillet 2001
Notes & Références
[modifier | modifier le wikicode]- ↑ Nicolas Viton de Saint-Allais, L'Ordre de Malte, ses grands maîtres et ses chevaliers, l'auteur, Paris, 1839, p. 320.
- ↑ Marie-Anne-Jeanne Riquetti de Mirabeau
- ↑ Caroline-Eliſabeth Riquetti de Mirabeau
- ↑ Marie-Louiſe Riquetti de Mirabeau
- ↑ François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois, Calendrier des princes et de la noblesse : contenant l'état actuel des maisons souveraines, princes et seigneurs de l'Europe, et de la noblesse de France, par ordre alphabétique ; extrait du "Dictionnaire généalogique"... Avec des additions, changements et augmentations, pour l'année 1762, Nicolas-Bonaventure Duchesne (notice BnF no FRBNF36336245), page 329
- ↑ Élu roi de Pologne malgré lui (1696-1697), Voir également Louis-Armand de Bourbon-Conti (1695-1727)
- ↑ Quatrième fils du dauphin Louis et frère cadet de Louis XVI, il est appelé « Monsieur » quand ce dernier devient roi.
- ↑ Provence 7, Mirabeau en Provence A Vivre, A Voir, A Visiter, A Connaître
- ↑ Pierre-Jean-Georges Cabanis.- Du degré de certitude de la Médecine, 1803, page 231
- ↑ * 1790 - Joseph Bologne de Saint-George, Nous sommes donc trois ? ou le Provincial à Paris : Signé : Saint-Georges, soldat citoyen de la ville de***, 1790, Paris (OCLC 458867481, notice BnF no FRBNF36303655, lire sur Wikisource)
- ↑ Description : Louis Joseph de Bourbon-Condé cartoon 1791.jpg
- ↑ Anja Bandau, Marcel Dorigny et Rebekka v. Mallinckrodt, Les mondes coloniaux à Paris au XVIIIe siècle : circulation et enchevêtrement des savoirs, Paris, Karthala (ISBN 978-2-8111-0380-4, notice BnF no FRBNF42234718), 2010
- ↑ Victor Riqueti de Mirabeau, l’Ami des hommes, économiste & philosophe, 1715-1789
- ↑ Arundel-Joseph de Riqueti de Mirabeau est le père de Sibylle Gabrielle Riquetti de Mirabeau, dite Gyp (1849 - 1932)
- ↑ André Borel d'Hauterive, Revue historique de la noblesse,, Bureau de la publication, Paris, , page 408