Recherche:Les abolitions des traites et des esclavages/Migrations & esprit de conquête
Migrations
[modifier | modifier le wikicode]Occuper la Planète
[modifier | modifier le wikicode]-
Migrant.
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Répartition des populations humaines de nos jours.
L'esprit de conquête selon les pères de l’église
[modifier | modifier le wikicode]Saint Augustin.- De la cité de Dieu
[modifier | modifier le wikicode]- Perception d'un monde duel : affrontement entre les deux Cités, celle de Dieu et celle des hommes
- Economie du salut
Lectures de "La Cité de Dieu"
[modifier | modifier le wikicode]- Jean-Louis Lesort, (1805-1878), est le fondateur de Librairie liturgique catholique, Atelier de reliures de L. Lesort
« Jean-Louis Lesort, né à Paris en 1805, d'abord marchand de papier avant de se lancer dans l'édition religieuse. Il obtient alors un brevet de libraire, en septembre 1844 et ouvre la Librairie liturgique catholique, Atelier de reliures de L. Lesort, au 3, rue de Grenelle Saint-Germain (Paris) »
— Art & métiers du livre[1].
- La Cité de Dieu + saint Augustin + conquête
- La Cité de Dieu + saint Augustin + esclavage
- La Cité de Dieu + saint Augustin + liberté
- Jacques Chevalier.- De saint Augustin à saint Thomas d'Aquin: Histoire de la pensée
- La Cité de Dieu + saint Augustin + Afrique
- La Cité de Dieu + saint Augustin + économie
« C'est Saint Augustin (354-430) dans la Cité de Dieu (liv. XIX, ch. 15) qui écrit que nous sortons tous d'une même couche, de sorte que nous ne faisons qu'une race et qu'un sang. »
— Étienne Antonelli.- Études d'économie humaniste[2]
Mathieu Maxime Gorce.- La France au-dessus des races: Origines et formation de la nation, 1934
Bibliographie Saint Augustin.- De la cité de Dieu
[modifier | modifier le wikicode]- 1375 - Augustin d’Hippone, De civitate Dei contra paganos, La Cité de Dieu, Lire en ligne sur Gallica, (notice BnF no FRBNF41905391b)
- 1486 - Augustin d’Hippone (trad. Raoul de Presles), La Cité de Dieu, de saint Augustin, traduction de Raoul de Presles, Abbeville, Pierre Gérard et Jean Du Pré (notice BnF no FRBNF30038860)
- 1584 - Augustin d’Hippone, Jean Louis Vivès (dir.) et François de Belleforest (dir.) (trad. Gentien Hervet), De la cité de Dieu : contenant le commencement et progrez d'icelle cité, avec une déffence de la religion chrestienne, contre les erreurs et mesdisances des gentils, hérétiques, & autres ennemis de l'Eglise de Dieu, Troisiesme édition revue. & corrigée de nouveau & augmentée, Illustrée des commentaires de Jean Loys Vives, de Valence. Le tout faict françois par Gentian Hervet d'Orléans, et enrichi de plusieurs annotations & observations en marge, servans à la conférence et intelligence des histoires anciennes et modernes, par François de Belleforest comingeois et Augmentee du "Traicté de l'unité de l'eglise contre Petilian evesque Donatiste", & des epistres XLVIII & L du mesme autheur, Avec l'épître dédicatoire à Henri VIII, la préface et le texte "Quelles gens estoient les Goths et comment ils prindrent Rome", Paris, Michel Sonnius, 814 p. (notice BnF no FRBNF30038863)
- 1693 & 1736 - Augustin d’Hippone (trad. Pierre Lombert), La Cité de Dieu de saint Augustin : traduite en françois et revue sur plusieurs anciens manuscrits, précédée par une "Vie de M. Lombert", Paris, Jacques Rollin (notice BnF no FRBNF30038869)
- 1846 - Augustin d’Hippone (trad. Louis Ignace Moreau), La Cité de Dieu de Saint Augustin : édition avec le texte latin, Volume premier, L. Lesort, 537 p.
- 1846 - Augustin d’Hippone (trad. Louis Ignace Moreau), La Cité de Dieu de Saint Augustin : édition avec le texte latin, Volume second, L. Lesort, 584 p.
- 1846 - Augustin d’Hippone (trad. Louis Ignace Moreau), La Cité de Dieu : édition avec le texte latin, Volume troisième, L. Lesort, 592 p.
- 1855 - Augustin d’Hippone (trad. Émile Saisset), La Cité de Dieu de saint Augustin : traduction nouvelle avec une introduction et des notes, Paris, Éditions Charpentier (notice BnF no FRBNF30038877)
Envahir un territoire occupé
[modifier | modifier le wikicode]- Une invasion est une action militaire qui menace l'autonomie politique d'un pays ou territoire.
- construction d'ouvrages militaires fortifications, barrières & murailles pour se défendre contre l'envahisseur.
- Dans le même temps, les murs d'enceinte des résidences et des lotissements protègent les propriétaires contre les révoltes des prolétaires, serviteurs & esclaves.
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Tracé des murailles de protection des territoires de la dynastie Qin en 210 av. J.-C., à la mort du Premier Empereur.
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Tracé de la Grande Muraille de Chine
Dès le Ve siècle de notre ère, les royaumes Quin, Zhao et Yao de l'empire entreprennent la construction de barrières fortifiées pour se protéger des invasions de populations nomades venues du nord. La construction de la Grande Muraille de Chine, entre le IIIe siècle avant notre ère et le XVIIe siècle, vient unifier l'ouvrage militaire tout ou long de la frontière nord de la Chine et fixer le territoire de l'Empire.
La Chine connut sa première dynastie attestée au XXIème siècle avant J.C. avec les Xia en entrant dans " l'ère esclavagiste ". Tout autant pour se protéger des révoltes d'esclaves que d'agresseurs extérieurs, les propriétaires dotèrent leurs lieux de résidence de remparts. Ainsi naquirent en Chine les premières villes (les premières villes construites en Turquie ou en Mésopotamie sont sensiblement plus anciennes, autour des XXXVIIIème - XXXVème siècles avant J.C.). De la fortification, « La Grande Muraille de Chine », Sabreteam.free.fr. Consulté le 2015-05-14
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Tracé du limes romain
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Mur d'Hadrien en Grande-Bretagne
- À la fin de la période historique dite "Antique", Invasions barbares sur l'actuel territoire de l'Europe
- Grande Muraille de Chine, construite entre le IIIe siècle av. J.-C. et le XVIIe siècle de notre ère. (A propos de Abraham Hanibal, citer Dieudonné Gnammankou. Great Wall of China
- Limes romain, frontière de l’Empire romain à son apogée au IIe siècle apr. J.-C. Limes Germanicus ; Frontières de l’Empire romain ; Nouvelle necropole des Grandes migrations de Singidunum, Belgrade[3]
- Dans l'espace européen, les Invasions barbares
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Les invasions dites "barbares" entre 150 et 500 de notre ère.
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Migrations dites "invasions barbares" au Ve siècle européen.
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Migrations des peuples Vandales au Ve siècle européen.
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Migrations des populations slaves entre les 5e & le 10e siècles de notre ère.
Coloniser
[modifier | modifier le wikicode]Wikiversité, « Colonisation et travail forcé aux XV-XVIème siècles : Catégorie:Leçons du jour du département Histoire moderne », , Wikiversité, Paris, 19 avril 2015 en littérature, p. 1 [[Colonisation et travail forcé aux XV-XVIème siècles texte intégral] (page consultée le 17 juillet 2015)]
La page Colonisation et travail forcé aux XV-XVIème siècles ne cite pas ses références ce qui la met au-dessous des exigences de Wikipédia et facilite des affirmations comme "Les Indiens refusaient de travailler donc les conquistadores contraignirent les doux et paisibles Arawaks au travail". Une telle affirmation sous-tend que les Améridiens ne pouvaient que se soumettre et surtout pas mener une guerre d'opposition aux Européens : plus d'un siècle d'histoire de la "rencontre entre les Européens et les Amérindiens est alors effacée.
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"Mayflower dans le port de Plymouth" par William Halsall, 1882
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1620-1642 Emigration à partir de l'Angleterre
Depuis le XIVe siècle : migrer sous contrainte économique
[modifier | modifier le wikicode]Emigrant, migrant, Immigrant
[modifier | modifier le wikicode]L'émigration considère la migration du point de départ. Celui qui part de son lieu de naissance, de son territoire national et, plus généralement de son lieu de vie quotidien, est un migrant.
La notion de personne humaine et ses qualificatifs
[modifier | modifier le wikicode]- esclave émigré, exilé, proscrit, réfugiés (exilés politiques), sans état/État, sans droit, apatride. Menacés de mort, paria, victime. nés -et pour toujours dans la mauvaise catégorie de race et de classe, rescapé, migrant, indésirable, assignation. De l’être dégradée à l'être surhumain. Lire A. Knüfer : Apatrides, réfugiés et exploitation
- Arendt Hannah
- Hannah Arendt.- Nous autres réfugiés, 1941
- Hannah Arendt.- série de conférences sur la pensée et le vouloir
« le crime contre l’humanité de l’esclavage + institution + Hannah Arendt + L'impérialisme. »
— Hannah ARENDT, L’Impérialisme, 1982, op. cit., p. 272.
- 2016 - Alexis Cukier et Centre de recherches interdisciplinaires en sciences humaines et sociales, Exploitation, marxisme et droit du travail, Montpellier (lire en ligne), lectures marxistes
Changer de pays de résidence
[modifier | modifier le wikicode]L'immigration considère la migration du point de vue du lieu d'arrivée. Celui qui arrive dans un espace politique différent de celui de celui de sa nationalité est un immigrant.
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Country of birth of Persons resident in France in 1999 who are foreigners or naturalised French citizens. Persons identified as born in states since dissolved are enumerated in the largest successor state.
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Foreign born naturalised Portuguese citizens in Portugal in 2001 by country
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Naturalised foreign-born resident US citizens enumerated in the 2000 Census
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Migrants arrivant au Canada
Les grandes découvertes suivies de l'établissement de nouvelles relations commerciales, de la colonisation des Amériques et de la destruction des populations amérindiennes et de leurs civilisations
- Du Portugal vers l’Asie en contournant le continent Africain
- Des Pays-Bas vers l’Asie
- De l'Espagne vers les Caraïbes et l'Amérique centrale
- Du Portugal vers le Brésil
- De la France vers les Caraïbes, le Canada et la Louisiane
- De l'Angleterre vers les Caraïbes et les Treize colonies. Streams of Emigration from England, 1620 to 1642
Les étrangers en France sous l’ancien régime
[modifier | modifier le wikicode]- Jules Michel Henry Mathorez, (1873-1923), Les étrangers en France sous l’ancien régime : Histoire de la formation de la population française, vol. 1/2, Edouard Champion, 1819 (OCLC 5954998) (DNB 34018462q) [lire en ligne] [présentation en ligne].
Tome Ier. Les causes de la pénétration des étrangers en France. Les orientaux et les extra-européens dans la population française.
Tome II. Les allemands, les hollandais, les scandinaves, (notice BnF no FRBNF34018462q)
- François-Joseph Gossec, (1734-1829 ), Compositeur.- Offrande à la Liberté, musique manuscrite, No 9, Entrée des peuples français et étrangers ; No 10, Chœur à la Liberté ; No 11, Les nègres, ou Air pour les nègres ; No 12, Les savoyards, ou Air pour les savoisiens ; No 13, Anglaise, gigue ; No 14, Offrande à la Liberté, (notice BnF no FRBNF41123149j)
Nomadisme & Migrations pendulaires
[modifier | modifier le wikicode]Le nomadisme consiste en des changements de localisation géographique. Ces mouvements dans l'espace sont corrélés à une économie de longue jachère, un habitat adapté et un genre de vie très proche de la nature.
Les groupes humains, australopithèques, Homo habilis, Homo erectus, Homo heidelbergensis, Homo neandertalensis et Homo sapiens à la fin de la période, ont été nomades durant tout le Paléolithique. Ils devienent semi-nomade à l'époque mésolithique et commencent à se sédentariser durant le Néolithique. Dans nos sociétés contemporaines, les nomades occupent, au cours de leurs parcours, des espaces en milieux arides dont ils savent tirer parti pour leur économie et leur survie. Des nomades vivent aussi en milieux urbanisés, dans des intertices peu viabilisés.
Les migrations pendulaires sont des déplacements bidirectionnelles d'un lieu géographique vers un autre, dans une même unité de temps. Les migrants se déplaçent dans deux directions opposées afin de revenir à leur point de départ dans l'unité de temps. Les migrations des oies cendrées, représentées sur la carte ci-contre, illustrent bien ces mouvements aller et retour entre deux espaces de la Planète.
On compte parmi cette forme de migration les déplacement entre le lieu de résidence principale et le lieu de travail, les allers & retours entre la résidence principale et la résidence secondaire, les migrations vers les espaces de vacances puis le retour vers le domicile principal.
On peut dire que l'absentéisme des colons, qui s'éleve aux environs des deux tiers à Saint-Domingue, colonie du Royaume de France[4], ou celui des propriétaires ruraux qui s'installent et vivent à la ville, relèvent de ce type de migrations. Le retour dans le pays d'origine après l'indépendance des colonies peut aussi être analysé en termes de migrations pendulaires, surtout si le migrant revient très régulièrement dans la métropole pour assurer sa promotion sociale soit dans l'armée, soit dans l'administration. Ainsi, beaucoup de colons reviennent en France durant la Révolution à Saint-Domingue ou après l'indépendance de Haïti. Nous retrouvons le même processus avec la guerre d'indépendance de l'Algérie et le retour des populations Pieds-Noirs.
Solde migratoire (en guise de conclusion)
[modifier | modifier le wikicode]Le Solde migratoire est la différence entre le nombre de personnes qui sont entrées dans un espace politique, un territoire national, et le nombre de personnes qui en sont sorties au cours de la même année. Ce concept est lié aux États modernes et se développe avec la science démographique. Dans le solde migratoire, on devrait compter les captifs, les esclaves et les morts des guerres de colonisation.
Bibliographie : Les migrations dans l'histoire de l'Humanité
[modifier | modifier le wikicode]1719 - Robinson Crusoé de Daniel Defoe
[modifier | modifier le wikicode]- 1719 - Robinson Crusoé, Daniel Defoe, The life, and strange surprizing adventures of Robinson Crusoe, of York, mariner: who lived eight and twenty years all alone in an un-inhabited island on the coast of America, near the mouth of the great river Oroonoque; having been cast on shore by shipwreck, wherein all the men perished but himself. With an account how he was at last as strangely [!] deliver'd by pyrates. Written by himself., W. Taylor, Londres,
- 1720 - Daniel Defoe (trad. Justus van Effen et Thémiseul de Saint-Hyacinthe), La vie et les avantures surprenantes de Robinson Crusoe, Volume 2 : Contenant entre autres événements, le séjour qu'il a fait pendant vingt-huit ans dans une isle déserte située sur la côte de l'Amérique, près de la grande Rivière Oronoque, Le tout écrit par lui-même, Amsterdam, François L'Honoré, Zacharias Chatelain et Jean-Baptiste Machuel (notice BnF no FRBNF35836214, lire en ligne)
- 1765 - Daniel Defoe (trad. Thémiseul de Saint-Hyacinthe et Justus van Effen), La vie et les aventures de Robinson Crusoe, contenant sa naissance, son évasion de chez ses pere & mere les voyages qu'il fit sur mer, & son séjour dans le Bresil. Traduit de l'anglois, Amsterdam (OCLC 13529078, lire en ligne)
- 1850 - Daniel Defoe (trad. inconnu), La vie et les aventures de Robinson Crusoé, Paris, Ange-Louis Janet, 254 et 335 p. (notice BnF no FRBNF44483093)
- 2014 - Marc Bernardot, Altérité et colonialité. Cadres et vecteurs de la perception française de l’étranger (lire en ligne)
- 2017 - (en) Jason Pearl, Defoe and the Distance to Utopia (lire en ligne), Voir site dédié aux études à propos de l'œuvre
1884-1889 - Justin Winsor, Narrative and critical history of America
[modifier | modifier le wikicode]- 1884-1889 - Justin Winsor, Narrative and critical history of America, Boston et New York, Houghton Mifflin Harcourt (lire en ligne), 8 volumes, Google Livres ; Goodreads
- https://archive.org/details/narrativecritica01wins
- https://archive.org/details/narrativecritica02wins
- https://archive.org/details/narrativecritica03wins
- https://archive.org/details/narrativecritica04wins
- https://archive.org/details/narrativecritica05wins
- https://archive.org/details/narrativecritica06wins
- https://archive.org/details/narrativecritica07wins
- https://archive.org/details/narrativecritica08wins
Notes & Références
[modifier | modifier le wikicode]- ↑ Art & métiers du livre, (extraits), numéros 217 à 220, Page 29, 2000.
- ↑ Étienne Antonelli.- Études d'économie humaniste, Volume 1, 1958, Page 28
- ↑ Ivanišević Vujadin & Kazanski Michel, « Nouvelle necropole des Grandes migrations de Singidunum », Europeana. Consulté le 2015-05-14
- ↑ Les traites et les esclavages: perspectives historiques et contemporaines, publié par Myriam Cottias, Elisabeth Cunin, António de Almeida Mendes,
- ↑ Overbeek Hans. Un démographe prémalthusien au XVIIIe siècle : Giammaria Ortes. In: Population, 25e année, n°3, 1970 pp. 563-572. Consulté le 09 mai 2015.
Combien d’humains sont nés sur Terre depuis les origines ?