Clivage gauche-droite/Les indicateurs du déclin

Leçons de niveau 16
Une page de Wikiversité, la communauté pédagogique libre.
Début de la boite de navigation du chapitre
Les indicateurs du déclin
Icône de la faculté
Chapitre no 2
Leçon : Clivage gauche-droite
Chap. préc. :Repérage
Chap. suiv. :Les facteurs du déclin
fin de la boite de navigation du chapitre
En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Clivage gauche-droite : Les indicateurs du déclin
Clivage gauche-droite/Les indicateurs du déclin
 », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.

Les enquêtes d'opinion[modifier | modifier le wikicode]

La part des monismes augmente (moins de 40%) : en 2006, 37 % ne se sentent ni de gauche ni de droite ; en 2007, ils sont 61 %.

L'indécision[modifier | modifier le wikicode]

De plus en plus de personnes sont indécises sur leur intention de vote (en 2002, 14% se décident dans l'isoloir ; en 2007, 22% hésitent jusqu'à la dernière semaine de campagne ; en 2012, 3 semaines avant l'élection, 46% n'avaient pas encore choisi le candidat pour qui elles allaient voter).

La volatilité électorale[modifier | modifier le wikicode]

Un tiers des personnes changent de parti d'un vote à l'autre et 12% changent de camp.

L'abstention[modifier | modifier le wikicode]

Elle augmente, dans le jeu politique et hors du jeu politique, c’est stable. Hausse de 13 points pour les élections présidentielles depuis 1970, 17 points pour les législatives, 19 points pour les élection européenne ; en 2002, l'abstention atteint 27,5 % au premier tour et pour les législatives de 2012, elle atteint 43%. En 2007, le centre ne se place ni à gauche, ni à droite.