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Analytique 2/Assemblage

Leçons de niveau 18
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Assemblage
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Chapitre no 7
Leçon : Analytique 2
Chap. préc. :Opéra fonda
Chap. suiv. :Tableaux de sens
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Analytique 2/Assemblage
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Assemblage de roues de nombres

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    Il est amusant de constater qu’en assemblant deux roues de nombres par un segment géométrique on peut compter jusqu’à 10 puissance10 –1. Par exemple 6.610.549.528 peut être exprimé par un groupe de neuf nombres à deux chiffres, le deuxième chiffre désignant les puissances de 10 et le premier les unités de ces puissances (ainsi 93 vaut 9000) (17 vaut 10.000.000). 
    Ces nombres n’ont pas besoin d’être rangés, mais si on les range à nouveau sur une roue on voit réapparaître notre nombre initial 6 (9). 6 (8). 1(7). 5(5). 4(4). 9(3). 5(2). 2 (1). 8, avec une troisième roue on peut compter jusqu’à 10 puissance19 –1. Comme il y a 31,5.10 puissance15 secondes dans un milliard d’années que 10 puisance19/31,5.10 puissance15 = 317,5 ces trois petites roues pourraient compter toutes les secondes pendant 317 milliards d’années. Ce qui donne un ordre de grandeur de la puissance de l’analytique compte tenu qu’il peut créer dans ses espaces virtuels autant de roues dont il a besoin et que sa durée d’opération dans son aspatialité pourrait être très proche du mur des 10 puissance-43 secondes.

Equivalence des grilles et des tableaux ou rosaces de cases

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Grille de formes élémentaires
    Dans mes figures j’utilise par commodité des grilles de points, des tableaux ou rosaces de cases selon la nature de ce que j’ai à représenter et les contraintes du papier bien que dans l’espace virtuel de la mémoire il n’y ait qu’un seul type d’architecture dont chaque sommet est un contenant potentiel susceptible d’accueillir par association tous types de contenu, groupe de sens G(w), grilles, espaces indéfinis ou fermés. La nature de ce contenant n’est pas distincte de celle du contenant de la mémoire ou de la conscience. La seule limite est une limite pratique d’efficacité, car s’il y a trop de volume non structuré ce contenant devient stérile comme le GGC et demande à être subdivisé.
    Toujours par commodité, je nomme arbitrairement (7d/) ces contenants : cases ou pétales.

Création de tableaux, de rosaces par 2/

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Assemblage de rosaces et de tableaux
    Par 2/Du, 2/Ae l’analytique assemble des rosaces à partir des éléments prélevés dans sa grille de formes.
    Par 2/Du, 2/Ae l’analytique assemble des tableaux à partir des concepts de nombres prélevés dans sa grille de nombres et des cases prélevées dans sa grille de formes.
    Le sens formel d’un pétale, d’une case est sa localisation spatiale dans sa rosace ou son tableau.
    Du fait de l’assemblage, il résulte que chaque case d’un tableau est associée aux concepts de deux nombres, un nombre horizontal et un nombre vertical. C’est un couple de deux nombres, en mathématiques on appelle cela un nombre complexe et il apparaît que chaque case est dans un tableau associée à un couple différent de nombres, et que ce couple définit aussi sa localisation spatiale dans le tableau, son sens formel. Il en résulte que le concept de ce nombre vient en surabondance du sens formel de la case et que si on la détache de son tableau elle ne perd pas son sens formel, elle le conserve.