Recherche:Le pouvoir psychiatrique

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Les psychiatres sont des analystes qui n'ont pas bien analysé leur propre vie car malgré tous les chefs de psychiatrie qu'ils ont, ils ne peuvent combler leur souffrance du manque de désir de vivre et de se réaliser qu'ils ont du fait de la folie de leur métier. Ils fréquentent des gens qui ont des problèmes psychiques, enchaînent rendez vous sur rendez vous, analyse après l'analyse d'un autre homme, autrement dit ils s’entremêlent dans leurs analyses, deviennent des gens exaspérés qui croient avoir du pouvoir sur les hommes mais le seul pouvoir qu'ils ont c'est celui de se taire tellement ils sont fous dans leur inaction face à la sauvegarde de la société humaine. En psychiatrie il existe des "chambres de torture psychiatriques", certains psychiatres font encore usage d’électrochoc car ils ne savent point utiliser les médicaments qu'ils ont à leur disposition pour soigner réellement les patients qui sont devenus fous car ils ont enduré la pire des souffrance, la perte d'un être cher ou l'abandon par la société de sa personne ou des violences de quelque type que ce soit . Lors de maladies chroniques, la psychiatrie est nécessaire, mais dans un état normal de non alcoolisation et non endroguement par produits toxiques, il n'existe que des personnes blessées qui ont besoin de parler à quelqu'un ou des gens déprimés qui ont besoin de se changer les idées. Je suis contre toute forme de torture psychiatrique, malgré tout il y en a en France. Faite le tour des hôpitaux psychiatrique et vous verrez l'indignité et la honte de traiter des êtres humains de cette façon. On ne parle pas de ces hôpitaux, à l’intérieur les jeunes se droguent, s'alcoolisent et tentent de se débattre face au pouvoir que le psychiatre veut avoir sur eux. Un homme vaut un homme, un homme malade se doit d’être soigner dans la dignité de l’être humain et non dans l'indignité de certaines méthodes psychiatriques. Que l'on ne me parle pas d'excuses budgétaires, la santé d'un être humain n'a pas de prix si ce n'est celui de la libération de ses maux lorsqu'il est guéri. Après, il faut tout oublier, recommencer sa vie à zéro.

Recommencer sa vie à zéro ne veut pas dire oublier la psychiatrie, mais simplement ne plus la placer au centre de sa vie et placer sa vie sous l'égidie de l'évolution et de la création. Nous sommes tous des créateurs et l'on existe lorsque l'on crée, or notre droit fondamental est d'exister donc de créer sans diffamer les gens que nous fréquentons, ni les blesser ni les heurter, mais simplement les respecter au regard des droits de l'homme issue de La Déclaration Des Droits de l'Homme et du citoyen du 26 août 1789 . Nous avons tous des troubles du à notre génétique, notre enfance, notre évolution de vie et les gens que l'on y rencontre, et les événements quotidiens. Réduire au maximum la folie de la société permet de nous protéger des désirs des autres sur notre personne et de vivre heureux et libre. Que les Droits de l'Homme règnent. On ne doit pas mettre le prix d'une vie et de la joie de vivre sur les droits de l'homme, on ne doit pas lorsque l'on est praticien abuser des droits de l'homme ni non plus les codes déontologiques qui règnent sur le médecin comme l'assistance aux personnes en danger de maladie, ni sur la déontologie du système policier en infligeant violences et abus psychiatriques. L'homme a des droits, que l'on les respecte,il a des devoirs, qu'il les honorent et en fasse le centre de sa vie. A chaque personne correspond un niveau déontologique de droits et devoirs dans la société, mais tout cela est trôné et légiféré par les Droits de l'homme et du citoyen sous les instances juridiques adéquates. On ne peut prendre des décisions empressées sans légiférer dans le respect de la constitution. Police et psychiatres n'ont pas tous les droits, ils se doivent de se référer aux lois constitutionnelles, car les lois qui les dirigent font oeuvre de paix et de pouvoir sur leurs législation. Ces hommes de paix que sont les personnes qui nous encadrent sont sous le pouvoir de l'état et au final sous les ordres des hommes d'état choisi par la Présidence et le Conseil Constitutionnel. Nos hommes d'état sont des hommes bons et généreux, je leur fait confiance.