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En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, «
Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) : Tenseur d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie
Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI)/Tenseur d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Tenseur d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu d'expansion tridimensionnelle finie relativement au référentiel d'espace qui lui est lié
Soit un solide
, modélisé par un milieu continu de matière d'expansion tridimensionnelle finie
,
Soit un solide
, modélisé par de masse volumique
où
est repéré par son vecteur position
,
Soit un solide
, modélisé par de masse volumique
où
étant un point fixe dans le référentiel spatial
lié au solide,
on appelle « tenseur d'inertie du solide
» dans le référentiel
dont
est un point fixe
on appelle « la somme continue [1] des tenseurs d'inertie de tous les pseudo-points
» [2] c.-à-d.
on appelle « la somme continue des «
» tenseur d'ordre
[3] contravariant [4], [5] dans lequel
on appelle « la somme continue des 
carré tensoriel [6] du tenseur d'ordre
contravariant [4], [5]
on appelle « la somme continue des 
«
est donc un tenseur d'ordre
contravariant [4], [5] » [7]
[8], [9],
on appelle « la somme continue des 
«
-espace vectoriel nonadimensionnel [10] des tenseurs d'ordre
contravariants [4], [5]
,
on appelle « la somme continue des 
carré scalaire du vecteur
[11] et
on appelle « la somme continue des 
est le tenseur contravariant [4], [5] de Kronecker [12], [13]
on appelle soit finalement le « tenseur d'ordre
contravariant [4], [5]
» [14].
Avec
la direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien représentant l'espace physique et
sa base orthonormée,
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
[9] des tenseurs d'ordre
contravariants [4], [5] ayant pour base orthonormée
[15] et
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
le tenseur d'inertie
du solide
étant un tenseur d'ordre
contravariants [4], [5] obtenu en faisant
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
le tenseur d'inertie
du solide
étant la somme continue [1] des tenseurs d'inertie
de tous les pseudo-points
[2]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, tenseur d'inertie du solide
, dans la base orthonormée
[15] de
[9]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue [1] des composantes des
, tenseurs d'inertie des pseudo-points
[2],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue des composantes des
, dans la base orthonormée de
[9]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue des composantes des
, dans
[15] avec
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes des
, tenseurs d'inertie des pseudo-points
[2],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16] d'où,
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue avec
masse du pseudo-point
[2] d'expansion
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue avec
tridimensionnelle de volume
[17]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, tenseur d'inertie du solide
, dans la base orthonormée
[15] de
[9] :
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [14],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [14],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [14],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [14],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [14],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [14],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [14],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [14] et
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [14].
Tout tenseur d'ordre
du
-espace vectoriel
nonadimensionnel pouvant être représenté, avec choix d'une base orthonormée de
, par une matrice carrée
[18] et
Tout le tenseur d'inertie du solide
étant « la somme continue [1] » des tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [2] le composant
tenseurs d'ordre
, étant lui-même un tenseur d'ordre
,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par une matrice carrée
, « somme continue [1] » des matrices carrées représentant les tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [2] du solide [19] ;
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice carrée
représentant le tenseur d'inertie
du solide
dans la base orthonormée de
est sans ambiguïté [19]
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice elle est appelée matrice d'inertie du solide
et
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice elle est notée
ou simplement
en absence d'ambiguïté
,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice elle s'écrit «
» [14], [20] ;
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients de la matrice d'inertie du solide
on distingue :
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux définissant les moments d'inertie du solide par rapport à un axe privilégié plus précisément
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux
«
[14] moment d'inertie de
par rapport à
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux
«
[14] moment d'inertie de
par rapport à
» et
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux
«
[14] moment d'inertie de
par rapport à
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux définissant les produits d'inertie du solide dans un plan privilégié plus précisément
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux
«
[14] produit d'inertie de
dans
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux
«
[14] produit d'inertie de
dans
» et
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux
«
[14] produit d'inertie de
dans
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture de la matrice d'inertie du solide
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture selon «
».
Tenseur d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu d'expansion surfacique finie relativement au référentiel d'espace qui lui est lié
Soit un solide
, modélisé par un milieu continu de matière d'expansion surfacique finie
,
Soit un solide
, modélisé par de masse surfacique
où
est repéré par son vecteur position
,
Soit un solide
, modélisé par de masse surfacique
où
étant un point fixe dans le référentiel spatial
lié au solide,
on appelle « tenseur d'inertie du solide
» dans le référentiel
dont
est un point fixe
on appelle « la somme continue [21] des tenseurs d'inertie de tous les pseudo-points
» [22] c.-à-d.
on appelle « la somme continue des «
» tenseur d'ordre
[3] contravariant [4], [5] dans lequel
on appelle « la somme continue des 
carré tensoriel [6] du tenseur d'ordre
contravariant [4], [5]
on appelle « la somme continue des 
«
est donc un tenseur d'ordre
contravariant [4], [5] » [7]
[8], [9],
on appelle « la somme continue des 
«
-espace vectoriel nonadimensionnel [10] des tenseurs d'ordre
contravariants [4], [5]
,
on appelle « la somme continue des 
carré scalaire du vecteur
[11] et
on appelle « la somme continue des 
est le tenseur contravariant [4], [5] de Kronecker [12], [13]
on appelle soit finalement le « tenseur d'ordre
contravariant [4], [5]
» [23].
Avec
la direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien représentant l'espace physique et
sa base orthonormée,
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
[9] des tenseurs d'ordre
contravariants [4], [5] ayant pour base orthonormée
[15] et
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
le tenseur d'inertie
du solide
étant un tenseur d'ordre
contravariants [4], [5] obtenu en faisant
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
le tenseur d'inertie
du solide
étant la somme continue [21] des tenseurs d'inertie
de tous les pseudo-points
[22]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, tenseur d'inertie du solide
, dans la base orthonormée
[15] de
[9]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue [21] des composantes des
, tenseurs d'inertie des pseudo-points
[22],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue des composantes des
, dans la base orthonormée de
[9]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue des composantes des
, dans
[15] avec
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes des
, tenseurs d'inertie des pseudo-points
[22],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16] d'où,
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue avec
masse du pseudo-point
[22] d'expansion
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue avec
surfacique d'aire
[24]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, tenseur d'inertie du solide
, dans la base orthonormée
[15] de
[9] :
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [23],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [23],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [23],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [23],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [23],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [23],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [23],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [23] et
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [23].
Tout tenseur d'ordre
du
-espace vectoriel
nonadimensionnel pouvant être représenté, avec choix d'une base orthonormée de
, par une matrice carrée
[18] et
Tout le tenseur d'inertie du solide
étant « la somme continue [21] » des tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [22] le composant
tenseurs d'ordre
, étant lui-même un tenseur d'ordre
,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par une matrice carrée
, « somme continue [21] » des matrices carrées représentant les tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [22] du solide [19] ;
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice carrée
représentant le tenseur d'inertie
du solide
dans la base orthonormée de
est sans ambiguïté [19]
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice elle est appelée matrice d'inertie du solide
et
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice elle est notée
ou simplement
en absence d'ambiguïté
,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice elle s'écrit «
» [23], [20] ;
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients de la matrice d'inertie du solide
on distingue :
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux définissant les moments d'inertie du solide par rapport à un axe privilégié plus précisément
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux
«
[23] moment d'inertie de
par rapport à
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux
«
[23] moment d'inertie de
par rapport à
» et
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux
«
[23] moment d'inertie de
par rapport à
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux définissant les produits d'inertie du solide dans un plan privilégié plus précisément
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux
«
[23] produit d'inertie de
dans
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux
«
[23] produit d'inertie de
dans
» et
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux
«
[23] produit d'inertie de
dans
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture de la matrice d'inertie du solide
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture selon «
».
Tenseur d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu d'expansion linéique finie relativement au référentiel d'espace qui lui est lié
Soit un solide
, modélisé par un milieu continu de matière d'expansion linéique finie
,
Soit un solide
, modélisé par de masse linéique
, où
est repéré par son vecteur position
,
Soit un solide
, modélisé par de masse linéique
où
étant un point fixe dans le référentiel spatial
lié au solide,
on appelle « tenseur d'inertie du solide
» dans le référentiel
dont
est un point fixe
on appelle « la somme continue [25] des tenseurs d'inertie de tous les pseudo-points
» [26] c.-à-d.
on appelle « la somme continue des «
» tenseur d'ordre
[3] contravariant [4], [5] dans lequel
on appelle « la somme continue des 
carré tensoriel [6] du tenseur d'ordre
contravariant [4], [5]
on appelle « la somme continue des 
«
est donc un tenseur d'ordre
contravariant [4], [5] » [7]
[8], [9],
on appelle « la somme continue des 
«
-espace vectoriel nonadimensionnel [10] des tenseurs d'ordre
contravariants [4], [5]
,
on appelle « la somme continue des 
carré scalaire du vecteur
[11] et
on appelle « la somme continue des 
est le tenseur contravariant [4], [5] de Kronecker [12], [13]
on appelle soit finalement le « tenseur d'ordre
contravariant [4], [5]
» [27].
Avec
la direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien représentant l'espace physique et
sa base orthonormée,
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
[9] des tenseurs d'ordre
contravariants [4], [5] ayant pour base orthonormée
[15] et
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
le tenseur d'inertie
du solide
étant un tenseur d'ordre
contravariants [4], [5] obtenu en faisant
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
le tenseur d'inertie
du solide
étant la somme continue [25] des tenseurs d'inertie
de tous les pseudo-points
[26]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, tenseur d'inertie du solide
, dans la base orthonormée
[15] de
[9]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue [25] des composantes des
, tenseurs d'inertie des pseudo-points
[26],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue des composantes des
, dans la base orthonormée de
[9]
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue des composantes des
, dans
[15] avec
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes des
, tenseurs d'inertie des pseudo-points
[26],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue les composantes
sur
: «
» [16] d'où,
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue avec
masse du pseudo-point
[26] d'expansion
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, s'obtiennent par somme continue avec
linéique de longueur
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
, tenseur d'inertie du solide
, dans la base orthonormée
[15] de
[9] :
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [27],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [27],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [27],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [27],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [27],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [27],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [27],
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [27] et
Av le
-espace vectoriel nonadimensionnel
les composantes de
,
sur
: «
» [27].
Tout tenseur d'ordre
du
-espace vectoriel
nonadimensionnel pouvant être représenté, avec choix d'une base orthonormée de
, par une matrice carrée
[18] et
Tout le tenseur d'inertie du solide
étant « la somme continue [25] » des tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [26] le composant
tenseurs d'ordre
, étant lui-même un tenseur d'ordre
,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par une matrice carrée
, « somme continue [25] » des matrices carrées représentant les tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [26] du solide [19] ;
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice carrée
représentant le tenseur d'inertie
du solide
dans la base orthonormée de
est sans ambiguïté [19]
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice elle est appelée matrice d'inertie du solide
et
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice elle est notée
ou simplement
en absence d'ambiguïté
,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par la matrice elle s'écrit «
» [27], [20] ;
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients de la matrice d'inertie du solide
on distingue :
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux définissant les moments d'inertie du solide par rapport à un axe privilégié plus précisément
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux
«
[27] moment d'inertie de
par rapport à
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux
«
[27] moment d'inertie de
par rapport à
» et
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
les éléments diagonaux
«
[27] moment d'inertie de
par rapport à
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux définissant les produits d'inertie du solide dans un plan privilégié plus précisément
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux
«
[27] produit d'inertie de
dans
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux
«
[27] produit d'inertie de
dans
» et
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par parmi les cœfficients
l'opposé des éléments non diagonaux
«
[27] produit d'inertie de
dans
»,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture de la matrice d'inertie du solide
Tout le tenseur d'inertie d'un solide
est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture selon «
».
Caractère « autoadjoint » de l'endomorphisme représenté par la matrice d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie, matrice autoadjointe
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Toute matrice carrée
à cœfficients réels représentant un endomorphisme [28] du
-espace vectoriel
direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien modélisant l'espace physique
,
Toute matrice carrée
à cœfficients réels représentant un endomorphisme il existe donc un endomorphisme
du
-espace vectoriel
Toute matrice carrée
à cœfficients réels représentant un endomorphisme il existe donc un endomorphisme
représenté par la matrice d'inertie
du solide
modélisé
Toute matrice carrée
à cœfficients réels représentant un endomorphisme il existe donc un endomorphisme
représenté par un milieu continu de matière d'expansion finie [29] c.-à-d.
Toute matrice carrée
à cœfficients réels représentant un endomorphisme il existe donc un endomorphisme
avec la base
choisie orthonormée
«
de
»,
Toute matrice carrée
à cœfficients réels représentant un endomorphisme il existe donc un endomorphisme
«
[30] tel que
» [31] ;
Toute la matrice d'inertie
du solide
modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie [29]
Toute la matrice d'inertie
du solide
étant « symétrique », l'endomorphisme
de
qu'elle représente dans la base
de
est « autoadjoint » [32] c.-à-d. vérifiant
Toute la matrice d'inertie
du solide
étant « symétrique », «
,
» [33] ; par extension nous dirons que
Toute la matrice d'inertie
du solide
étant « symétrique », la matrice d'inertie
du solide
modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie [29] est « autoadjointe » [34], [35].
Caractère diagonalisable de la matrice d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie
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Début d’un théorème
Théorème spectral en dimension finie pour les endomorphismes (admis)
Fin du théorème
Début d’un théorème
Théorème spectral en dimension finie pour les matrices (admis)
Fin du théorème
D'après le théorème spectral en dimension finie pour les matrices, on peut donc affirmer que la matrice d'inertie
du solide
modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie [29]
D'après le théorème spectral en dimension finie pour les matrices, on peut donc affirmer que la matrice d'inertie
du solide
est diagonalisable.
Définition des axes principaux d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie et des moments principaux d'inertie du solide
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La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie [29] relativement à un référentiel lié au solide,
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
dans la base orthonormée
du
-espace vectoriel tridimensionnel euclidien
[8]
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
le caractère diagonalisable de cette matrice carrée [42],
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir une nouvelle base orthonormée
de
[8]
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir pour que la matrice d'inertie du solide
soit transformée en
diagonale ;
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir les axes
passant par le point
et orientés par
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir les axes
sont appelés « axes principaux d'inertie du solide
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir les axes
sont appelés « issus de
point fixe de ce dernier
» ;
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir les éléments diagonaux de
à savoir
,
et
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir les éléments diagonaux de
sont appelés « moments principaux d'inertie du solide
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir les éléments diagonaux de
sont appelés « relativement aux axes respectifs
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir les éléments diagonaux de
sont appelés « relativement
»,
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir les éléments diagonaux leurs valeurs dépendent de la répartition de la masse du solide
La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie
du solide
il est donc possible de choisir les éléments diagonaux leurs valeurs dépendent autour des axes principaux d'inertie de
;
la matrice d'inertie
du solide
modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie [29] dans un référentiel
lié à
et
la matrice d'inertie
du solide
« relativement axes principaux d'inertie
de
issus du point
, point fixe de
»,
la matrice d'inertie
du solide
s'écrit, avec «
,
et
moments principaux d'inertie de
», selon «
».
Liste non exhaustive de solides homogènes modélisés par un milieu continu de matière d'expansion tridimensionnelle finie, de masse volumique
,
y figurent les axes principaux d'inertie de ces solides ainsi que leurs moments principaux d'inertie correspondants :
- « Boule [43]
, homogène, de rayon
, de centre
et de masse
» [44],
« Boule
, « tout axe
passant par son centre
est axe principal d'inertie » [45]
« Boule
, « le moment principal d'inertie correspondant étant
» [46].
- « Cylindre de révolution [47]
, homogène, de rayon
, de longueur
, de centre
et de masse
» [48],
Cylindre de révolution
,
« l'axe
passant par son centre
et confondu avec l'axe de révolution est axe principal d'inertie » [49],
Cylindre de révolution
,
« le moment principal d'inertie correspondant étant
» [50] et
Cylindre de révolution
,
« tout axe
passant par son centre
et
à l'axe de révolution est aussi axe principal d'inertie » [49],
Cylindre de révolution
,
« le moment principal d'inertie correspondant étant
» [51].
Liste non exhaustive de solides homogènes modélisés par un milieu continu de matière d'expansion surfacique finie, de masse surfacique
,
y figurent les axes principaux d'inertie de ces solides ainsi que leurs moments principaux d'inertie correspondants :
- « Sphère [43]
, homogène, de rayon
, de centre
et de masse
» [52],
« Sphère
, « tout axe
passant par son centre
est axe principal d'inertie » [53],
« Sphère
, « le moment principal d'inertie correspondant étant
» [54].
- « Tuyau cylindrique de révolution [47]
, homogène, de rayon
, de longueur
, de centre
, ouvert aux deux extrémités et de masse
» [55],
Tuyau cylindrique de révolution
,
« l'axe
passant par son centre
et confondu avec l'axe de révolution est axe principal d'inertie » [56],
Tuyau cylindrique de révolution
,
« le moment principal d'inertie correspondant étant
» [57] et
Tuyau cylindrique de révolution
,
« tout axe
passant par son centre
et
à l'axe de révolution est aussi axe principal d'inertie » [56],
Tuyau cylindrique de révolution
,
« le moment principal d'inertie correspondant étant
» [58].
- « Disque [59]
, homogène, de rayon
, de centre
et de masse
» [60],
Disque
,
« l'axe
passant par son centre
et confondu avec l'axe du disque est axe principal d'inertie » [61],
Disque
,
« le moment principal d'inertie correspondant étant
» [62] et
Disque
,
« tout axe
passant par son centre
et
à l'axe du disque
c.-à-d. tout support de diamètre
est aussi axe principal d'inertie » [61],
Disque
,
« le moment principal d'inertie correspondant étant
» [63].
Liste non exhaustive de solides homogènes modélisés par un milieu continu de matière d'expansion linéique finie, de masse linéique
,
y figurent les axes principaux d'inertie de ces solides ainsi que leurs moments principaux d'inertie correspondants :
- « Cercle [59]
, homogène, de rayon
, de centre
et de masse
»,
Cercle
,
« l'axe
passant par son centre
et confondu avec l'axe du cercle est axe principal d'inertie » [64],
Cercle
,
« le moment principal d'inertie correspondant étant
» [65] et
Cercle
,
« tout axe
passant par son centre
et
à l'axe du cercle
c.-à-d. tout support de diamètre
est aussi axe principal d'inertie » [64],
Cercle
,
« le moment principal d'inertie correspondant étant
» [66].
- Tige rectiligne
, homogène, de longueur
, de centre d'inertie
et de masse
,
Tige rectiligne
,
« l'axe
passant par son centre d'inertie
et confondu avec l'axe de la tige pourrait être considéré comme axe principal d'inertie » [67], mais
Tige rectiligne
,
« le moment principal d'inertie correspondant étant nul
» [68]
l'axe
n'est pas en pratique comptabilisé dans les axes principaux d'inertie de
et
Tige rectiligne
,
« tout axe
passant par son centre
et
à l'axe de la tige
c.-à-d. tout support de médiatrice
est axe principal d'inertie » [67],
Tige rectiligne
,
« le moment principal d'inertie correspondant étant
» [69].
Propriété : Si un solide
système continu indéformable d'expansion volumique, surfacique ou linéique finie
Propriété : Si un solide est de répartition massique identique par symétrie relativement à deux axes principaux d'inertie distincts,
Propriété : Si un solide est de répartition massique identique par symétrie ses moments principaux d'inertie relativement à ces deux axes sont égaux ;
Propriété : l'idéal est donc de trouver une identité de répartition de masse par symétrie relativement à
trois axes principaux d'inertie respectivement
et issus d'un même point [70]
Propriété : l'idéal est donc de trouver une identité de répartition de masse par symétrie relativement à 
c.-à-d. de trouver un repère principal d'inertie ayant le point pour origine
ou, à défaut,
Propriété : l'idéal est donc de trouver une identité de répartition de masse par symétrie relativement à
deux axes principaux d'inertie
, issus d'un même point [70]
moments principaux d'inertie égaux
Propriété : l'idéal est donc de trouver une identité de répartition de masse par symétrie relativement à
le moment principal d'inertie relativement au 3ème axe du repère principal d'inertie étant
.
Exemples
liste non exhaustive
:
Boule [43]
, homogène, de rayon
, de centre
et de masse
[44],
Exemples
liste non exhaustive
:
Boule
, les axes
issus de son centre
formant un repère principal d'inertie et
Exemples
liste non exhaustive
:
Boule
, la répartition de masse de
étant identique par symétrie relativement à chacun de ces axes, on en déduit
Exemples
liste non exhaustive
:
Boule
, l'égalité des moments principaux d'inertie correspondants soit
de valeur commune
ou, en les ajoutant,
Exemples
liste non exhaustive
:
Boule
, «
» [14]
Exemples
liste non exhaustive
:
Boule
, ou «
» [14] avec
, rayon polaire de
repérage sphérique de pôle
Exemples
liste non exhaustive
:
Boule
, ou, adoptant la forme semi-intégrée de l'élément de volumique
la fonction à intégrer ne dépendant pas de
[71]
Exemples
liste non exhaustive
:
Boule
, «
d'où
» et,
Exemples
liste non exhaustive
:
Boule
, en fonction de
[44], «
» [72].
Exemples
liste non exhaustive
:
Sphère [43]
, homogène, de rayon
, de centre
et de masse
[52],
Exemples
liste non exhaustive
:
Sphère
, les axes
issus de son centre
formant un repère principal d'inertie et
Exemples
liste non exhaustive
:
Sphère
, la répartition de masse de
étant identique par symétrie relativement à chacun de ces axes, on en déduit
Exemples
liste non exhaustive
:
Sphère
, l'égalité des moments principaux d'inertie correspondants soit
de valeur commune
ou, en les ajoutant,
Exemples
liste non exhaustive
:
Sphère
,
[23], [73]
Exemples
liste non exhaustive
:
Sphère
, ou «
» [23], [73]
, rayon polaire de
repérage sphérique de pôle
Exemples
liste non exhaustive
:
Sphère
,
«
[23], [73]
d'où
» et,
Exemples
liste non exhaustive
:
Sphère
, en fonction de
[52] «
» [74].
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution [47]
, homogène, de rayon
, de longueur
, de centre
, ouvert aux deux extrémités et de masse
[55],
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
, les axes
issus de son centre
formant un repère principal d'inertie et
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
, la répartition de masse de
étant identique par symétrie relativement aux axes
, on en déduit
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
, l'égalité des moments principaux d'inertie correspondants soit
de valeur commune
ou,
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
, en les ajoutant au 3ème moment d'inertie relativement à l'axe
du tuyau cylindrique, «
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
, en les ajoutant au 3ème moment d'inertie relativement à l'axe
du tuyau cylind
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
,
» [23] soit,
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
, avec
, coordonnées en repérage cylindro-polaire de pôle
et d'axe
, «
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
,
» [23] ou, en adoptant la forme semi-intégrée de l'élément d'aire
[75]
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
,
la fonction à intégrer étant indépendante de
, «
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
,
» ou,
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
, en fonction de
[55], «
» ;
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
, il reste à évaluer directement «
[23]
»
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
, «
par définition de la masse »
revoir la note « 57 » plus haut dans ce chapitre
, on en déduit
Exemples
liste non exhaustive
:
Tuyau cylindrique de révolution
, «
»
«
» [76].
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque [59]
, homogène, de rayon
, de centre
et de masse
[60],
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
, les axes
issus de son centre
formant un repère principal d'inertie et
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
, la répartition de masse de
étant identique par symétrie relativement aux axes
, on en déduit
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
, l'égalité des moments principaux d'inertie correspondants soit
de valeur commune
ou,
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
, en les ajoutant au 3ème moment d'inertie relativement à l'axe
du disque, «
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
,
» [23] soit,
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
, avec
, coordonnées en repérage cylindro-polaire de pôle
et d'axe
, «
» [23]
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
, ou, en adoptant la forme semi-intégrée de l'élément d'aire
[75]
la fonction à intégrer étant indépendante de
,
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
, «
» ou encore,
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
, en fonction de
[60], «
» ;
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
, il reste à évaluer directement «
[23]
»
revoir la note « 62 » plus haut dans ce chapitre
Exemples
liste non exhaustive
:
Disque
, «
par définition de la masse », on en déduit «
»
«
» [77].
Exemples
liste non exhaustive
:
Cercle [59]
, homogène, de rayon
, de centre
et de masse
,
Exemples
liste non exhaustive
:
Cercle
, les axes
issus de son centre
formant un repère principal d'inertie et
Exemples
liste non exhaustive
:
Cercle
, la répartition de masse de
étant identique par symétrie relativement aux axes
, on en déduit
Exemples
liste non exhaustive
:
Cercle
, l'égalité des moments principaux d'inertie correspondants soit
de valeur commune
ou,
Exemples
liste non exhaustive
:
Cercle
, en les ajoutant au 3ème moment d'inertie relativement à l'axe
du cercle, «
Exemples
liste non exhaustive
:
Cercle
,
» [27] soit,
Exemples
liste non exhaustive
:
Cercle
, avec
, coordonnées en repérage cylindro-polaire de pôle
et d'axe
, «
Exemples
liste non exhaustive
:
Cercle
,
[27]
» ou, en fonction de
, «
» ;
Exemples
liste non exhaustive
:
Cercle
, il reste à évaluer directement «
[27]
par définition de la masse », on en déduit
Exemples
liste non exhaustive
:
Cercle
, «
»
«
» [78].
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 Par intégrale volumique
voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
.
- ↑ 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 et 2,6 Un « pseudo-point »
appellation non normalisée
d'une expansion tridimensionnelle
est un élément de matière, centré en
, de volume
et de masse
dans laquelle
est la masse volumique du milieu en
, on admet que l'on peut étendre aux « pseudo-points » les notions introduites sur les points
- ↑ 3,0 3,1 et 3,2 Voir le paragraphe « construction de tenseurs d'ordre deux » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
- ↑ 4,00 4,01 4,02 4,03 4,04 4,05 4,06 4,07 4,08 4,09 4,10 4,11 4,12 4,13 4,14 4,15 4,16 4,17 4,18 4,19 4,20 4,21 4,22 et 4,23 Une grandeur est dite covariante lorsqu'elle varie comme les vecteurs de base et contravariante quand elle varie de façon contraire.
- ↑ 5,00 5,01 5,02 5,03 5,04 5,05 5,06 5,07 5,08 5,09 5,10 5,11 5,12 5,13 5,14 5,15 5,16 5,17 5,18 5,19 5,20 5,21 5,22 et 5,23 C'est une façon raccourcie pour dire que les composantes du tenseur sont contravariantes.
- ↑ 6,0 6,1 et 6,2 C.-à-d. le produit tensoriel d'un vecteur par lui-même
voir le paragraphe « définition du produit tensoriel de deux espaces vectoriels tridimensionnels (produit tensoriel de deux vecteurs) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) »
.
- ↑ 7,0 7,1 et 7,2 Voir le paragraphe « définition et propriété d'un 1er type de tenseur d'ordre deux » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
- ↑ 8,0 8,1 8,2 8,3 et 8,4
étant la direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien utilisé en physique
- ↑ 9,00 9,01 9,02 9,03 9,04 9,05 9,06 9,07 9,08 9,09 9,10 9,11 9,12 9,13 et 9,14 C.-à-d. le produit tensoriel d'un espace vectoriel par lui-même
voir le paragraphe « définition du produit tensoriel de deux espaces vectoriels tridimensionnels » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) »
.
- ↑ 10,0 10,1 et 10,2 Voir le paragraphe « les quatre produits tensoriels de deux espaces vectoriels tridimensionnels formés à partir de ces derniers ou de leurs duals (1er exemple) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
- ↑ 11,0 11,1 et 11,2 Le carré scalaire
est aussi un « crochet de dualité »
défini sur
c.-à-d. une forme bilinéaire non dégénérée construite ici à l'aide de la multiplication scalaire sur
direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien
telle qu’au vecteur
on associe le covecteur “
”
un covecteur de
, lequel est le dual de
, étant encore une forme linéaire de ce dernier
, le « crochet de dualité » entre le covecteur “
” et le vecteur
étant défini par
,
de façon plus générale le « crochet de dualité » entre un covecteur
c.-à-d. une forme linéaire de
et un vecteur
s'évalue selon
voir le paragraphe « notion d'espace bidual » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) »
soit, en « notant
le covecteur “
” associé au vecteur
», la réécriture du carré scalaire selon «
» ;
d'autre part on a défini dans le paragraphe « produit contracté de deux tenseurs » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) » le produit contracté d'un tenseur d'ordre
covariant
et d'un tenseur d'ordre
contravariant
que l'on note
le produit contracté de ces deux tenseurs d'ordre
s'obtient en formant leur produit tensoriel
l'espace des tenseurs d'ordre
monocovariant et monocontravariant
et en contractant ce tenseur d'ordre
c.-à-d. en déterminant les
composantes de ce tenseur à présenter en matrice carrée
et en en prenant la trace c.-à-d. en faisant la somme de ses éléments diagonaux
ce qui donne un tenseur d'ordre
c.-à-d. un scalaire
, soit ici
comme cela a été établi dans le 1er exemple du paragraphe « produit contracté de deux tenseurs » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) » ;
en conclusion le carré scalaire
est égal au produit contracté du covecteur
et du vecteur
soit
.
- ↑ 12,0 12,1 et 12,2 Le tenseur contravariant de Kronecker
est, comme les deux autres tenseurs de Kronecker
également notés
l'un étant covariant et l'autre “ mixte ”
c.-à-d. monocontravariant et monocovariant
, un tenseur d'ordre
,
il est défini relativement à la base orthonormée
de l'espace vectoriel
auquel il appartient
voir la note « 31 » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) »
par
, ce tenseur d'ordre
contravariant étant aussi une forme bilinéaire de
,
son application sur chaque couple
de vecteurs de base orthonormée
de
conduit à «
»
en notant «
le covecteur “
” associé au vecteur
»,
avec la multiplication scalaire définie sur
notée «
»
soit encore «
»
étant le symbole de Kronecker
et
son application sur le couple
, «
»
voir le paragraphe « définition du produit scalaire de deux vecteurs à l'aide de leurs composantes sur une base de l'espace » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
.
- ↑ 13,0 13,1 et 13,2 Leopold Kronecker (1823 - 1891) mathématicien et logicien allemand, s'est intéressé entre autres à la résolution algébrique des équations, publiant en
la démonstration de la non-résolubilité par radicaux de l'équation quintique en utilisant la théorie des groupes.
- ↑ 14,00 14,01 14,02 14,03 14,04 14,05 14,06 14,07 14,08 14,09 14,10 14,11 14,12 14,13 14,14 14,15 14,16 14,17 et 14,18 Voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ 15,00 15,01 15,02 15,03 15,04 15,05 15,06 15,07 15,08 15,09 15,10 et 15,11 Voir le paragraphe « base pour les espaces vectoriels dont les éléments sont des tenseurs d'ordre deux (1er exemple) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ainsi que la notion de produit tensoriel de deux vecteurs au paragraphe « définition du produit tensoriel de deux espaces vectoriels tridimensionnels (produit tensoriel de deux vecteurs) » du chap.
de la même leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
- ↑ 16,00 16,01 16,02 16,03 16,04 16,05 16,06 16,07 16,08 16,09 16,10 16,11 16,12 16,13 16,14 16,15 16,16 16,17 16,18 16,19 16,20 16,21 16,22 16,23 16,24 16,25 et 16,26 Les résultats obtenus dans le paragraphe « détermination des composantes du tenseur d'inertie d'un point matériel sur la base orthonormée de l'espace vectoriel des tenseurs d'ordre deux contravariants défini sur le corps des réels » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) » pour des points matériels
restent applicables pour des pseudo-points
à condition de remplacer
par
.
- ↑ Voir le paragraphe « expression en paramétrage cartésien (du volume élémentaire) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ 18,0 18,1 et 18,2 Voir le paragraphe « différence de représentativités entre les tenseurs d'ordre deux (1er exemple) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
- ↑ 19,0 19,1 19,2 19,3 19,4 et 19,5 Le numéro de ligne de la matrice carrée se détermine par le 1er indice des composantes du tenseur d'inertie
avec
,
correspond à la 1ère ligne,
à la 2ème ligne et
à la 3ème ligne
et
le numéro de colonne de la matrice carrée se détermine par le 2ème indice des composantes du tenseur d'inertie
avec
,
correspond à la 1ère colonne,
à la 2ème colonne et
à la 3ème colonne
mais
nous aurions obtenu la même matrice carrée en supposant le numéro de ligne déterminé par le 2ème indice des composantes du tenseur d'inertie
avec
,
correspondant à la 1ère ligne,
à la 2ème ligne et
à la 3ème ligne
et simultanément le numéro de colonne de la matrice carrée déterminé par le 1er indice des composantes du tenseur d'inertie
avec
,
correspondant à la 1ère colonne,
à la 2ème colonne et
à la 3ème colonne
en effet
pour
fixés, les composantes du tenseur d'inertie étant donc invariantes par permutation des indices, la matrice carrée est symétrique
.
- ↑ 20,0 20,1 et 20,2 On vérifie aisément que
est une matrice carrée symétrique c.-à-d. égale à sa propre transposée
voir le paragraphe « transposition de matrices » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) »
.
- ↑ 21,0 21,1 21,2 21,3 et 21,4 Par intégrale surfacique
voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
.
- ↑ 22,0 22,1 22,2 22,3 22,4 22,5 et 22,6 Un « pseudo-point »
appellation non normalisée
d'une expansion surfacique
est un élément de matière, centré en
, d'aire
et de masse
dans laquelle
est la masse surfacique du milieu en
, on admet que l'on peut étendre aux « pseudo-points » les notions introduites sur les points
- ↑ 23,00 23,01 23,02 23,03 23,04 23,05 23,06 23,07 23,08 23,09 23,10 23,11 23,12 23,13 23,14 23,15 23,16 23,17 23,18 23,19 23,20 23,21 23,22 23,23 23,24 et 23,25 Voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ L'aire élémentaire d'une surface
en
étant le produit des composantes du vecteur déplacement élémentaire sur les deux vecteurs de base
et
, orthogonaux entre eux dans le plan tangent à
en
, lequel est
au vecteur unitaire normal à
en
, «
»
voir le paragraphe « pratique courante (d'une aire élémentaire) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
.
- ↑ 25,0 25,1 25,2 25,3 et 25,4 Par intégrale curviligne
voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
.
- ↑ 26,0 26,1 26,2 26,3 26,4 26,5 et 26,6 Un « pseudo-point »
appellation non normalisée
d'une expansion linéique
est un élément de matière, centré en
, de longueur
et de masse
dans laquelle
est la masse linéique du milieu en
, on admet que l'on peut étendre aux « pseudo-points » les notions introduites sur les points
- ↑ 27,00 27,01 27,02 27,03 27,04 27,05 27,06 27,07 27,08 27,09 27,10 27,11 27,12 27,13 27,14 27,15 27,16 27,17 27,18 et 27,19 Voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ Voir le paragraphe « 2ème interprétation linéaire d'une matrice de dimension (ou taille) (m , n), matrice d'une application linéaire d'un espace vectoriel de dimension n de base B dans un autre espace vectoriel de dimension m de base C dans le couple de bases (B,C)
cas où les deux espaces vectoriels sont confondus avec
l'application linéaire étant alors un endomorphisme
et
» du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
- ↑ 29,0 29,1 29,2 29,3 29,4 et 29,5 Que celle-ci soit tridimensionnelle, surfacique ou linéique.
- ↑ L'ensemble des endomorphismes de
est un
-espace vectoriel noté
ou encore
mais le plus souvent on se contente de
.
- ↑ Voir les notations du paragraphe « 2ème interprétation linéaire d'une matrice de dimension (ou taille) (m , n), matrice d'une application linéaire d'un espace vectoriel de dimension n de base B dans un autre espace vectoriel de dimension m de base C dans le couple de bases (B,C) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
- ↑ Voir le paragraphe « décomposition spectrale de l'article Matrice symétrique de wikipédia » dans lequel il est précisé la propriété suivante « dans un espace euclidien, une matrice représentant un endomorphisme dans une base orthonormée est symétrique ssi l'endomorphisme est autoadjoint »,
voir la note « 33 » plus loin dans ce chapitre pour une justification de cette propriété
.
- ↑ Soit la matrice carrée
symétrique
représentant l'endomorphisme
de
dans la base
, les matrices colonnes de
étant les composantes de
sur la base
voir le paragraphe « 2ème interprétation linéaire d'une matrice de dimension (ou taille) (m , n), matrice d'une application linéaire d'un espace vectoriel de dimension n de base B dans un autre espace vectoriel de dimension m de base C dans le couple de bases (B,C) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) »
d'où
par utilisation du caractère linéaire de
ou, en multipliant scalairement
par
et
par
par distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle dans
euclidien
voir le paragraphe « autres propriétés (2ème propriété de la multiplication scalaire) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
dont on déduit
en explicitant
soit finalement
c.-à-d. le caractère « autoadjoint » de
.
- ↑ La matrice adjointe
d'une matrice
à cœfficients réels est la matrice transposée
de cette dernière
notion n'introduisant donc rien de nouveau pour une matrice à cœfficients réels
par contre la matrice adjointe
d'une matrice
à cœfficients complexes est définie comme la matrice transconjuguée
c.-à-d. transposée de la conjuguée
de cette dernière, elle se distingue de
et son introduction a un intérêt évident
;
une matrice autoadjointe à cœfficients réels étant telle que son adjointe se confond avec elle c.-à-d.
ou
est donc aussi une matrice symétrique
par contre si une matrice autoadjointe à cœfficients complexes est toujours telle que son adjointe se confond avec elle, cela s'écrit, en notant
la matrice conjuguée de
,
ou
ce qui nécessite les cœfficients diagonaux de
réels et ses cœfficients non diagonaux symétriques par rapport à la diagonale principale deux à deux complexes conjugués
.
- ↑ Plus généralement une « matrice symétrique à cœfficients réels » représentant un endomorphisme autoadjoint sera dite autoadjointe.
- ↑ Un endomorphisme
du
-espace vectoriel euclidien
direction de l'espace affine modélisant l'espace physique
est dit autoadjoint ssi «
,
».
La définition d'un endomorphisme auto-adjoint est encore valable sur un
-espace vectoriel de dimension finie quelconque à condition qu'une multiplication scalaire hermitienne y soit définissable, le
-espace vectoriel de dimension finie est alors dit hermitien :
une multiplication scalaire hermitienne définie sur un espace hermitien
est une « application
»
- telle que «
»,
- sesquilinéaire à gauche c.-à-d. semi-linéaire par rapport au 1er argument, le 2nd étant fixé «
»
étant le conjugué de
,
sesquilinéaire à gauche c.-à-d. linéaire par rapport au 2nd argument, le 1er étant fixé «
»,
- symétrique hermitienne c.-à-d. «
»,
- positive c.-à-d. «
» et
- définie c.-à-d. «
».
Charles Hermite (1822 - 1901) mathématicien français connu pour ses travaux sur la théorie des nombres, les formes quadratiques, les polynômes othogonaux, les fonctions elliptiques et les équations différentielles, il fut aussi l'un des 1ers à utiliser les matrices ; le qualificatif « hermitien » donné à certaines entités mathématiques l'a été pour lui rendre hommage.
- ↑ Le théorème spectral en dimension finie pour les endomorphismes reste applicable si ces derniers sont définis dans un espace hermitien
voir la note « 36 » plus haut dans ce chapitre
.
- ↑ Voir le paragraphe « valeurs propres, vecteurs propres et espaces propres d'un endomorphisme » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
- ↑ Voir le paragraphe « tentative de diagonalisation d'une matrice carrée de dimension (ou taille) n » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
- ↑ 40,0 et 40,1 Deux matrices carrées
et
de même dimension
sont semblables s'il existe une matrice carrée
de dimension
inversible telle que «
»
voir aussi le paragraphe « changement de bases des espaces vectoriels définition et image d'une application linéaire et conséquence sur la matrice de l'application linéaire dans le couple de bases des espaces vectoriels définition et image (cas particulier) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) »
.
- ↑ Une matrice orthogonale
est une matrice carrée
à cœfficients réels dans le cas présent
unitaire c.-à-d. telle que «
» où
est la matrice adjointe de
c.-à-d. la matrice transposée de la matrice conjuguée
ou
ou encore, pour une matrice à cœfficients réels
et par suite
une matrice orthogonale
à cœfficients réels est une matrice carrée
unitaire c.-à-d. telle que «
» ;
une matrice carrée est orthogonale ssi tous ses vecteurs colonnes sont orthogonaux entre eux et de norme unité, une matrice orthogonale représente donc une base orthonormée.
- ↑ Voir le paragraphe « caractère diagonalisable de la matrice d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie » plus haut dans ce chapitre.
- ↑ 43,0 43,1 43,2 et 43,3 On rappelle qu'une « boule » est, par définition, « pleine » alors qu'une « sphère » est, par définition, « creuse ».
- ↑ 44,0 44,1 et 44,2 Le volume d'une boule de rayon
étant
, voir le paragraphe « exemples de volume d'expansion tridimensionnelle classique (établissement du volume d'une boule de rayon R) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ En effet, choisissant
porté par
comme axe de repérage sphérique de pôle
, le point
étant alors de coordonnées sphériques
, on vérifie aisément que les produits d'inertie de
dans les plans
,
et
sont nuls
on utilise
,
,
et
voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage sphérique » du chap.
, « expression en paramétrage sphérique (de l'élément de volume) » et « méthode (de calcul d'une intégrale volumique) se ramenant au calcul de trois intégrales sur un intervalle » du même chap.
:
les bornes de variation de chaque variable étant indépendantes des
autres variables, l'intégrale volumique est le produit de
intégrales sur un intervalle
soit «
», la dernière intégrale valant
,
produit de
intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus
soit «
», la dernière intégrale valant
,
produit de
intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus
soit «
», la dernière intégrale valant
.
- ↑ En effet, choisissant
porté par
comme axe de repérage sphérique de pôle
, le point
étant alors de coordonnées sphériques
, le moment principal d'inertie relativement à
se calcule par
,
on utilise
et
voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cylindro-polaire en fonction du repérage sphérique » du chap.
et « expression en paramétrage sphérique (de l'élément de volume) » du chap.
;
la fonction à intégrer ne dépendant pas de
on peut prendre une forme semi-intégrée de l'élément de volume correspondant à l'intégration sur
de
à
voir le paragraphe « présentation (de la notion de volume élémentaire semi-intégré) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
soit
et les bornes d'intégration sur les deux intégrales restantes étant des constantes, ces intégrales simples ne sont pas emboîtées d'où
voir le paragraphe « méthode se ramenant au calcul de trois intégrales (en fait deux ici) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
avec
d'une part et d'autre part
dont on déduit
soit, en tenant compte de l'expression de la masse de la boule
, l'expression du moment principal d'inertie relativement à
,
;
étant maintenu porté par
, les moments principaux d'inertie de
relativement à
ou
sont égaux à celui relativement à
la matrice d'inertie de
s'écrit «
»
«
» étant la matrice identité
.
- ↑ 47,0 47,1 et 47,2 En mathématique un cylindre peut a priori être « plein » ou « creux », toutefois afin de faire une distinction plus aisée, je réserve la terminologie « cylindre » à l’objet plein et en appelant « tuyau cylindrique » l’objet creux.
- ↑ Le volume d'un cylindre de révolution de rayon
et de longueur
étant
, voir le paragraphe « exemples de volume d'expansion tridimensionnelle classique (établissement du volume d'un cylindre de révolution de rayon R et de hauteur H) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ 49,0 et 49,1 En effet, choisissant
porté par l'axe de révolution
comme axe de repérage cylindro-polaire de pôle
, le point
étant alors de coordonnées cylindro-polaires
on vérifie aisément que les produits d'inertie de
dans les plans
,
et
sont nuls
on utilise
,
et
voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage cylindro-polaire » du chap.
, « expression en paramétrage cylindro-polaire (de l'élément de volume) » et « méthode (de calcul d'une intégrale volumique) se ramenant au calcul de trois intégrales sur un intervalle » du même chap.
:
les bornes de variation de chaque variable étant indépendantes des
autres variables, l'intégrale volumique est le produit de
intégrales sur un intervalle
soit «
», la dernière intégrale valant
,
produit de
intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus
soit «
», la dernière intégrale valant
,
produit de
intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus
soit «
», la dernière intégrale valant
.
- ↑ En effet, choisissant
porté par l'axe de révolution
comme axe de repérage cylindro-polaire de pôle
, le point
étant alors de coordonnées cylindro-polaires
, le moment principal d'inertie relativement à
se calcule par l'intégrale volumique
,
la distance de
à
étant
,
voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », le paragraphe « expression en paramétrage cylindro-polaire (de l'élément de volume) » du chap.
;
la fonction à intégrer ne dépendant pas de
et de
on peut prendre une forme semi-intégrée de l'élément de volume correspondant à l'intégration sur
de
à
et sur
de
à
voir le paragraphe « présentation (de la notion de volume élémentaire semi-intégré, 3ème sous-paragraphe) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
soit
d'où
avec
dont on déduit
soit, en tenant compte de l'expression de la masse du cylindre
, l'expression du moment principal d'inertie relativement à
,
;
étant maintenu porté par
, les moments principaux d'inertie de
relativement à
ou
sont égaux de valeur commune
déterminée dans la note « 51 » plus bas dans ce chapitre
la matrice d'inertie de
s'écrit «
»..
- ↑ En effet, choisissant
comme axe passant par
et
à l'axe de révolution, puis utilisant a priori le repérage cartésien, le point
étant alors de coordonnées cartésiennes
, le moment principal d'inertie relativement à
se calcule par l'intégrale volumique
, la distance de
à
étant
avec
projeté orthogonal de
sur
;
on utilise la méthode d'intégration du paragraphe « méthode se ramenant au calcul de trois intégrales sur un intervalle » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
- en figeant tout d'abord
et en intégrant sur
de
à
puis
- en laissant
figé et en intégrant sur
de
à
et enfin
- en intégrant sur
de
à
soit
, l'intégration sur
se faisant par le changement de variable
d'où
, ce qui s'intègre en passant à l'angle double selon
et
en utilisant
soit
et finalement, en tenant compte de l'expression de la masse du cylindre
, l'expression du moment principal d'inertie relativement à
,
l'expression de
étant la même
;
rappel : l'expression du moment principal d'inertie relativement à l'axe
a été déterminée dans la note « 50 » plus haut dans ce chapitre et on trouve également dans cette note « 50 » la matrice d'inertie de
.
- ↑ 52,0 52,1 et 52,2 L'aire de la surface d'une sphère de rayon
étant
, voir le paragraphe « exemples d'aire de surface classique (établissement de l'aire d'une sphère de rayon R) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ En effet, choisissant
porté par
comme axe de repérage sphérique de pôle
, le point
étant alors de coordonnées sphériques
, on vérifie aisément que les produits d'inertie de
dans les plans
,
et
sont nuls
on utilise
,
,
et
voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage sphérique » du chap.
, « expressions en paramétrage sphérique (de l'aire élémentaire d'une sphère) » et « les grandes lignes de la méthode d'évaluation (d'une intégrale surfacique) » du même chap.
:
les bornes de variation de chaque variable étant indépendantes de l'autre, l'intégrale surfacique est le produit de
intégrales sur un intervalle
soit «
», la dernière intégrale valant
,
produit de
intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus
soit «
», la dernière intégrale valant
,
produit de
intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus
soit «
», la dernière intégrale valant
.
- ↑ En effet, choisissant
porté par
comme axe de repérage sphérique de pôle
, le point
étant alors de coordonnées sphériques
, le moment principal d'inertie relativement à
se calcule par
,
on utilise
et
voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cylindro-polaire en fonction du repérage sphérique » du chap.
et « expressions en paramétrage sphérique (de l'aire élémentaire d'une sphère) » du chap.
;
la fonction à intégrer ne dépendant pas de la longitude
on peut prendre une forme semi-intégrée de l'élément de surface correspondant à l'intégration sur
de
à
soit
voir le paragraphe « notion de surface élémentaire semi-intégrée (1er sous paragraphe) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
, d'où
dans laquelle
soit, en tenant compte de l'expression de la masse de la sphère
, l'expression du moment principal d'inertie relativement à
,
;
étant maintenu porté par
, les moments principaux d'inertie de
relativement à
ou
sont égaux à celui relativement à
la matrice d'inertie de
s'écrit «
»
«
» étant la matrice identité
..
- ↑ 55,0 55,1 et 55,2 L'aire de la surface latérale d'un tuyau cylindrique de révolution de rayon
et de longueur
étant
, voir le paragraphe « exemples d'aire de surface classique (établissement de l'aire de la surface latérale d'un tuyau cylindrique de rayon R et de hauteur H) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ 56,0 et 56,1 En effet, choisissant
porté par l'axe de révolution
comme axe de repérage cylindro-polaire de pôle
, le point
étant alors de coordonnées cylindro-polaires
on vérifie aisément que les produits d'inertie de
dans les plans
,
et
sont nuls
on utilise
,
et
voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage cylindro-polaire » du chap.
, « expressions en paramétrage cylindro-polaire (de l'aire élémentaire de la surface d'un tuyau cylindrique) » et « les grandes lignes de la méthode d'évaluation (d'une intégrale surfacique) » du même chap.
:
les bornes de variation de chaque variable étant indépendantes de l'autre, l'intégrale surfacique est le produit de
intégrales sur un intervalle
soit «
», la dernière intégrale valant
,
produit de
intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus
soit «
», la dernière intégrale valant
,
produit de
intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus
soit «
», la dernière intégrale valant
.
- ↑ En effet, chaque pseudo-point
c.-à-d. chaque élément de matière, centré en
, d'aire
et de masse
étant à la même distance
de l'axe
, le moment principal d'inertie de
relativement à
défini selon
se réécrit
;
étant maintenu porté par
, les moments principaux d'inertie de
relativement à
ou
sont égaux de valeur commune
déterminée dans la note « 58 » plus bas dans ce chapitre
la matrice d'inertie de
s'écrit «
»..
- ↑ En effet, choisissant
comme axe passant par
et
à l'axe de révolution, puis utilisant a priori le repérage cylindro-polaire de pôle
et d'axe
, le point
étant alors de coordonnées cylindro-polaires
, le moment principal d'inertie relativement à
se calcule par l'intégrale surfacique
la distance de
à
étant
avec
projeté orthogonal de
sur
et
ensuite,
par la méthode d'intégration exposée dans le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », on évalue l'intégrale surfacique
- en figeant tout d'abord
et en intégrant sur
de
à
puis
- en intégrant sur
de
à
soit
dans laquelle
s'intègre en passant à l'angle double selon
soit
et finalement, en tenant compte de l'expression de la masse du tuyau cylindrique
, l'expression du moment principal d'inertie relativement à
,
;
rappel : l'expression du moment principal d'inertie relativement à l'axe
a été déterminée dans la note « 57 » plus haut dans ce chapitre et on trouve également dans cette note « 57 » la matrice d'inertie de
.
- ↑ 59,0 59,1 59,2 et 59,3 On rappelle qu'un « disque » est, par définition, « plein » alors qu'un « cercle » est, par définition, le « contour » du disque.
- ↑ 60,0 60,1 et 60,2 L'aire de la surface d'un disque de rayon
étant
, voir le paragraphe « exemples d'aire de surface classique (établissement de l'aire d'un disque de rayon R) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ 61,0 et 61,1 En effet, choisissant
porté par l'axe de révolution
comme axe de repérage cylindro-polaire de pôle
, le point
étant alors de coordonnées cylindro-polaires
on vérifie aisément que les produits d'inertie de
dans les plans
,
et
sont nuls
on utilise
,
et
voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage cylindro-polaire » du chap.
, « expressions en paramétrage cylindro-polaire (de l'aire élémentaire d'un disque) » et « les grandes lignes de la méthode d'évaluation (d'une intégrale surfacique) » du même chap.
:
les bornes de variation de chaque variable étant indépendantes de l'autre, l'intégrale surfacique est le produit de
intégrales sur un intervalle
soit «
», la dernière intégrale valant
,
- «
» car
,
- «
» car
.
- ↑ En effet, choisissant le repérage polaire des points du disque, chaque pseudo-point
c.-à-d. chaque élément de matière, centré en
, d'aire
et de masse
étant à la distance
rayon polaire de
de l'axe
, le moment principal d'inertie de
relativement à
défini selon
se réécrit, avec
, selon
car les bornes d'intégration étant des constantes, les intégrales simples ne sont pas emboîtées
voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
soit, en tenant compte de l'expression de la masse du disque
, l'expression du moment principal d'inertie relativement à
,
;
étant maintenu porté par
, les moments principaux d'inertie de
relativement à
ou
sont égaux de valeur commune
déterminée dans la note « 63 » plus bas dans ce chapitre
la matrice d'inertie de
s'écrit «
»..
- ↑ En effet, choisissant
comme axe passant par
et
à l'axe du disque, puis utilisant a priori le repérage polaire de pôle
et d'axe polaire
, le point
étant alors de coordonnées polaires
, le moment principal d'inertie relativement à
se calcule par l'intégrale surfacique
dans laquelle la distance de
à
est
, le contenu du 2ème crochet étant l'aire élémentaire
;
on utilise la méthode d'intégration exposée dans le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
- en figeant tout d'abord
et en intégrant sur
de
à
puis
- en intégrant sur
de
à
soit
car les bornes d'intégration étant des constantes, les intégrales simples ne sont pas emboîtées
voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
dans laquelle
s'intègre en passant à l'angle double selon
soit, en tenant compte de l'expression de la masse du disque
, l'expression du moment principal d'inertie relativement à
,
;
rappel : l'expression du moment principal d'inertie relativement à l'axe
a été déterminée dans la note « 62 » plus haut dans ce chapitre et on trouve également dans cette note « 62 » la matrice d'inertie de
.
- ↑ 64,0 et 64,1 En effet, choisissant
porté par l'axe
du cercle comme axe de repérage cylindro-polaire de pôle
, le point
étant alors de coordonnées cylindro-polaires
on vérifie aisément que les produits d'inertie de
dans les plans
,
et
sont nuls
on utilise
,
et
voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage cylindro-polaire » du chap.
et « méthode de calcul d'une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue » du chap.
:
soit finalement «
»,
- «
», car
,
- «
», car
.
- ↑ En effet, chaque pseudo-point
c.-à-d. chaque élément de matière, centré en
, de longueur
et de masse
étant à la même distance
de l'axe
, le moment principal d'inertie de
relativement à
défini selon
se réécrit
;
étant maintenu porté par
, les moments principaux d'inertie de
relativement à
ou
sont égaux de valeur commune
déterminée dans la note « 66 » plus bas dans ce chapitre
la matrice d'inertie de
s'écrit «
»..
- ↑ En effet, choisissant
comme axe passant par
et
à l'axe du cercle, puis utilisant a priori le repérage polaire de pôle
et d'axe polaire
, le point
étant alors de coordonnées polaires
, le moment principal d'inertie relativement à
se calcule par l'intégrale curviligne
dans laquelle la distance de
à
est
, le contenu du 2ème crochet étant la longueur élémentaire
;
la méthode d'évaluation d'une intégrale curviligne consistant à paramétrer la courbe
voir le paragraphe « méthode de calcul d'une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
et le paramétrage en
étant déjà fait, il reste à préciser les bornes d'intégration sur
à savoir de
à
soit
dans laquelle
s'intègre en passant à l'angle double selon
soit, en tenant compte de l'expression de la masse du cercle
, l'expression du moment principal d'inertie relativement à
,
;
rappel : l'expression du moment principal d'inertie relativement à l'axe
a été déterminée dans la note « 65 » plus haut dans ce chapitre et on trouve également dans cette note « 65 » la matrice d'inertie de
.
- ↑ 67,0 et 67,1 En effet, choisissant
porté par le support de la tige comme axe de repérage cartésien d'origine
, le point
étant alors de coordonnées cartésiennes
on vérifie aisément que les produits d'inertie de
dans les plans
,
et
sont nuls :
» car
,
- «
», car
,
- «
», car
.
- ↑ En effet, chaque pseudo-point
c.-à-d. chaque élément de matière, centré en
, de longueur
et de masse
étant à la même distance nulle de l'axe
, le calcul du moment principal d'inertie de
relativement à
donne
- ↑ En effet, choisissant
comme axe passant par
et
à l'axe de la tige, puis utilisant a priori le repérage cartésien d'origine
, le point
étant alors de cote
, le moment principal d'inertie relativement à
se calcule par l'intégrale curviligne
, la distance de
à
étant
et
s'identifiant à
;
la méthode d'évaluation d'une intégrale curviligne consistant à paramétrer la courbe
voir le paragraphe « méthode de calcul d'une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
et le paramétrage en
étant déjà fait, il reste à préciser les bornes d'intégration sur
de
à
ce qui donne ici
soit, avec l'expression de la masse de la tige rectiligne
, le moment principal d'inertie relativement à
, «
» ;
compte-tenu du fait que la valeur nulle du moment d'inertie de la tige rectiligne relativement à son support
a été déterminée dans la note « 68 » plus haut dans ce chapitre, on en déduit l'expression de la matrice d'inertie de
selon «
».
- ↑ 70,0 et 70,1 En général ce point est le centre d'inertie du solide.
- ↑ Voir le paragraphe « présentation (de la notion de volume élémentaire semi-intégré, 1er sous-paragraphe) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ On retrouve ainsi, de façon plus rapide, le résultat établi dans la note « 46 » plus haut dans ce chapitre.
- ↑ 73,0 73,1 et 73,2 La surface d'intégration étant fermée et l'intégration se faisant sur la surface complète, on note l'intégrale surfacique en ajoutant un
sur l'intégrale double «
»
la notation est identique pour une intégrale curviligne sur une courbe fermée «
»
.
- ↑ On retrouve ainsi, de façon plus rapide, le résultat établi dans la note « 54 » plus haut dans ce chapitre.
- ↑ 75,0 et 75,1 Voir le paragraphe « notion de surface élémentaire semi-intégrée (3ème sous-paragraphe) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ On retrouve ainsi, de façon plus rapide, le résultat établi dans la note « 58 » plus haut dans ce chapitre.
- ↑ On retrouve ainsi, de façon plus rapide, le résultat établi dans la note « 63 » plus haut dans ce chapitre.
- ↑ On retrouve ainsi, de façon plus rapide, le résultat établi dans la note « 66 » plus haut dans ce chapitre.