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Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI)/Tenseur d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie

Leçons de niveau 14
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Tenseur d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie
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Chapitre no 10
Leçon : Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI)
Chap. préc. :Tenseur d'inertie d'un solide composé d'un nombre fini de points matériels
Chap. suiv. :Notion d'angle solide
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Tenseur d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu d'expansion tridimensionnelle finie

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Définition du tenseur d'inertie d'un solide (système continu de matière indéformable)

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Détermination des composantes du tenseur d'inertie d'un solide (système continu de matière indéformable) sur la base orthonormée de l'espace vectoriel des tenseurs d'ordre deux contravariants défini sur le corps des réels

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     Avec la direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien représentant l'espace physique et sa base orthonormée,
     Av le -espace vectoriel nonadimensionnel [9] des tenseurs d'ordre contravariants [4], [5] ayant pour base orthonormée [15] et
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel le tenseur d'inertie du solide étant un tenseur d'ordre contravariants [4], [5] obtenu en faisant
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel le tenseur d'inertie du solide étant la somme continue [1] des tenseurs d'inertie de tous les pseudo-points [2]
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , tenseur d'inertie du solide , dans la base orthonormée [15] de [9]
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue [1] des composantes des , tenseurs d'inertie des pseudo-points [2],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue des composantes des , dans la base orthonormée de [9]
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue des composantes des , dans [15] avec
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes des , tenseurs d'inertie des pseudo-points [2],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16] d'où,
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue avec masse du pseudo-point [2] d'expansion
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue avec tridimensionnelle de volume [17]
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , tenseur d'inertie du solide , dans la base orthonormée [15] de [9] :
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [14],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [14],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [14],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [14],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [14],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [14],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [14],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [14] et
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [14].

Matrice d'inertie d'un solide (système continu de matière indéformable) ainsi que les moments et produits d'inertie de ce dernier

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     Tout tenseur d'ordre du -espace vectoriel nonadimensionnel pouvant être représenté, avec choix d'une base orthonormée de , par une matrice carrée [18] et
 Tout le tenseur d'inertie du solide étant « la somme continue [1] » des tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [2] le composant tenseurs d'ordre , étant lui-même un tenseur d'ordre ,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par une matrice carrée , « somme continue [1] » des matrices carrées représentant les tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [2] du solide [19] ;
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice carrée représentant le tenseur d'inertie du solide dans la base orthonormée de est sans ambiguïté [19]
        Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice elle est appelée matrice d'inertie du solide et
        Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice elle est notée ou simplement en absence d'ambiguïté,
        Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice elle s'écrit «» [14], [20] ;
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients de la matrice d'inertie du solide on distingue :
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux définissant les moments d'inertie du solide par rapport à un axe privilégié plus précisément
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux «[14] moment d'inertie de par rapport à »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux «[14] moment d'inertie de par rapport à » et
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux «[14] moment d'inertie de par rapport à »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux définissant les produits d'inertie du solide dans un plan privilégié plus précisément
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux «[14] produit d'inertie de dans »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux «[14] produit d'inertie de dans » et
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux «[14] produit d'inertie de dans »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture de la matrice d'inertie du solide
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture selon «».

Tenseur d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu d'expansion surfacique finie

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Définition du tenseur d'inertie d'un solide (système continu de matière indéformable)

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Détermination des composantes du tenseur d'inertie d'un solide (système continu de matière indéformable) sur la base orthonormée de l'espace vectoriel des tenseurs d'ordre deux contravariants défini sur le corps des réels

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     Avec la direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien représentant l'espace physique et sa base orthonormée,
     Av le -espace vectoriel nonadimensionnel [9] des tenseurs d'ordre contravariants [4], [5] ayant pour base orthonormée [15] et
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel le tenseur d'inertie du solide étant un tenseur d'ordre contravariants [4], [5] obtenu en faisant
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel le tenseur d'inertie du solide étant la somme continue [21] des tenseurs d'inertie de tous les pseudo-points [22]
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , tenseur d'inertie du solide , dans la base orthonormée [15] de [9]
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue [21] des composantes des , tenseurs d'inertie des pseudo-points [22],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue des composantes des , dans la base orthonormée de [9]
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue des composantes des , dans [15] avec
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes des , tenseurs d'inertie des pseudo-points [22],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16] d'où,
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue avec masse du pseudo-point [22] d'expansion
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue avec surfacique d'aire [24]
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , tenseur d'inertie du solide , dans la base orthonormée [15] de [9] :
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [23],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [23],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [23],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [23],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [23],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [23],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [23],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [23] et
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [23].

Matrice d'inertie d'un solide (système continu de matière indéformable) ainsi que les moments et produits d'inertie de ce dernier

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     Tout tenseur d'ordre du -espace vectoriel nonadimensionnel pouvant être représenté, avec choix d'une base orthonormée de , par une matrice carrée [18] et
 Tout le tenseur d'inertie du solide étant « la somme continue [21] » des tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [22] le composant tenseurs d'ordre , étant lui-même un tenseur d'ordre ,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par une matrice carrée , « somme continue [21] » des matrices carrées représentant les tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [22] du solide [19] ;
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice carrée représentant le tenseur d'inertie du solide dans la base orthonormée de est sans ambiguïté [19]
        Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice elle est appelée matrice d'inertie du solide et
        Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice elle est notée ou simplement en absence d'ambiguïté,
        Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice elle s'écrit «» [23], [20] ;
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients de la matrice d'inertie du solide on distingue :
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux définissant les moments d'inertie du solide par rapport à un axe privilégié plus précisément
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux «[23] moment d'inertie de par rapport à »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux «[23] moment d'inertie de par rapport à » et
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux «[23] moment d'inertie de par rapport à »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux définissant les produits d'inertie du solide dans un plan privilégié plus précisément
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux «[23] produit d'inertie de dans »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux «[23] produit d'inertie de dans » et
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux «[23] produit d'inertie de dans »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture de la matrice d'inertie du solide
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture selon «».

Tenseur d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu d'expansion linéique finie

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Définition du tenseur d'inertie d'un solide (système continu de matière indéformable)

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Détermination des composantes du tenseur d'inertie d'un solide (système continu de matière indéformable) sur la base orthonormée de l'espace vectoriel des tenseurs d'ordre deux contravariants défini sur le corps des réels

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     Avec la direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien représentant l'espace physique et sa base orthonormée,
     Av le -espace vectoriel nonadimensionnel [9] des tenseurs d'ordre contravariants [4], [5] ayant pour base orthonormée [15] et
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel le tenseur d'inertie du solide étant un tenseur d'ordre contravariants [4], [5] obtenu en faisant
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel le tenseur d'inertie du solide étant la somme continue [25] des tenseurs d'inertie de tous les pseudo-points [26]
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , tenseur d'inertie du solide , dans la base orthonormée [15] de [9]
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue [25] des composantes des , tenseurs d'inertie des pseudo-points [26],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue des composantes des , dans la base orthonormée de [9]
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue des composantes des , dans [15] avec
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes des , tenseurs d'inertie des pseudo-points [26],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16],
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue les composantes sur  : «» [16] d'où,
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue avec masse du pseudo-point [26] d'expansion
            Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , s'obtiennent par somme continue avec linéique de longueur
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , tenseur d'inertie du solide , dans la base orthonormée [15] de [9] :
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [27],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [27],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [27],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [27],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [27],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [27],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [27],
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [27] et
        Av le -espace vectoriel nonadimensionnel les composantes de , sur  : «» [27].

Matrice d'inertie d'un solide (système continu de matière indéformable) ainsi que les moments et produits d'inertie de ce dernier

[modifier | modifier le wikicode]

     Tout tenseur d'ordre du -espace vectoriel nonadimensionnel pouvant être représenté, avec choix d'une base orthonormée de , par une matrice carrée [18] et
 Tout le tenseur d'inertie du solide étant « la somme continue [25] » des tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [26] le composant tenseurs d'ordre , étant lui-même un tenseur d'ordre ,
Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par une matrice carrée , « somme continue [25] » des matrices carrées représentant les tenseurs d'inertie des « pseudo-points » [26] du solide [19] ;
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice carrée représentant le tenseur d'inertie du solide dans la base orthonormée de est sans ambiguïté [19]
        Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice elle est appelée matrice d'inertie du solide et
        Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice elle est notée ou simplement en absence d'ambiguïté,
        Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par la matrice elle s'écrit «» [27], [20] ;
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients de la matrice d'inertie du solide on distingue :
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux définissant les moments d'inertie du solide par rapport à un axe privilégié plus précisément
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux «[27] moment d'inertie de par rapport à »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux «[27] moment d'inertie de par rapport à » et
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients les éléments diagonaux «[27] moment d'inertie de par rapport à »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux définissant les produits d'inertie du solide dans un plan privilégié plus précisément
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux «[27] produit d'inertie de dans »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux «[27] produit d'inertie de dans » et
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par parmi les cœfficients l'opposé des éléments non diagonaux «[27] produit d'inertie de dans »,
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture de la matrice d'inertie du solide
   Tout le tenseur d'inertie d'un solide est représenté par soit, avec l'introduction de ces nouvelles grandeurs, la réécriture selon «».

Axes principaux d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu d'expansion spatiale finie

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Caractère « autoadjoint » de l'endomorphisme représenté par la matrice d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie, matrice autoadjointe

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     Toute matrice carrée à cœfficients réels représentant un endomorphisme [28] du -espace vectoriel direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien modélisant l'espace physique,
           Toute matrice carrée à cœfficients réels représentant un endomorphisme il existe donc un endomorphisme du -espace vectoriel
           Toute matrice carrée à cœfficients réels représentant un endomorphisme il existe donc un endomorphisme représenté par la matrice d'inertie du solide modélisé
           Toute matrice carrée à cœfficients réels représentant un endomorphisme il existe donc un endomorphisme représenté par un milieu continu de matière d'expansion finie [29] c.-à-d.
           Toute matrice carrée à cœfficients réels représentant un endomorphisme il existe donc un endomorphisme avec la base choisie orthonormée « de »,
           Toute matrice carrée à cœfficients réels représentant un endomorphisme il existe donc un endomorphisme «[30] tel que » [31] ;
 Toute la matrice d'inertie du solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie [29]
 Toute la matrice d'inertie du solide étant « symétrique », l'endomorphisme de qu'elle représente dans la base de est « autoadjoint » [32] c.-à-d. vérifiant
 Toute la matrice d'inertie du solide étant « symétrique », «, » [33] ; par extension nous dirons que
 Toute la matrice d'inertie du solide étant « symétrique », la matrice d'inertie du solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie [29] est « autoadjointe » [34], [35].

Caractère diagonalisable de la matrice d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie

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Début d’un théorème
Fin du théorème
Début d’un théorème
Fin du théorème

     D'après le théorème spectral en dimension finie pour les matrices, on peut donc affirmer que la matrice d'inertie du solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie [29]
     D'après le théorème spectral en dimension finie pour les matrices, on peut donc affirmer que la matrice d'inertie du solide est diagonalisable.

Définition des axes principaux d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie et des moments principaux d'inertie du solide

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     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie [29] relativement à un référentiel lié au solide,
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide dans la base orthonormée du -espace vectoriel tridimensionnel euclidien [8]
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide le caractère diagonalisable de cette matrice carrée [42],
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir une nouvelle base orthonormée de [8]
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir pour que la matrice d'inertie du solide soit transformée en diagonale ;
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir les axes passant par le point et orientés par
            La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir les axes sont appelés « axes principaux d'inertie du solide
            La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir les axes sont appelés « issus de point fixe de ce dernier» ;
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir les éléments diagonaux de à savoir , et
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir les éléments diagonaux de sont appelés « moments principaux d'inertie du solide
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir les éléments diagonaux de sont appelés « relativement aux axes respectifs
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir les éléments diagonaux de sont appelés « relativement »,
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir les éléments diagonaux leurs valeurs dépendent de la répartition de la masse du solide
     La nature « réelle symétrique » de la matrice d'inertie du solide il est donc possible de choisir les éléments diagonaux leurs valeurs dépendent autour des axes principaux d'inertie de  ;

     la matrice d'inertie du solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie [29] dans un référentiel lié à et
     la matrice d'inertie du solide « relativement axes principaux d'inertie de issus du point , point fixe de »,
     la matrice d'inertie du solide s'écrit, avec «, et moments principaux d'inertie de », selon «».

Exemples de solides homogènes modélisés par un milieu continu d'expansion spatiale finie

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Exemples de solides homogènes modélisés par un milieu continu d'expansion tridimensionnelle finie

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Liste non exhaustive de solides homogènes modélisés par un milieu continu de matière d'expansion tridimensionnelle finie, de masse volumique ,
y figurent les axes principaux d'inertie de ces solides ainsi que leurs moments principaux d'inertie correspondants :
  • « Boule [43] , homogène, de rayon , de centre et de masse » [44],
         « Boule , « tout axe passant par son centre est axe principal d'inertie » [45]
         « Boule , « le moment principal d'inertie correspondant étant » [46].
  • « Cylindre de révolution [47] , homogène, de rayon , de longueur , de centre et de masse » [48],
           Cylindre de révolution , « l'axe passant par son centre et confondu avec l'axe de révolution est axe principal d'inertie » [49],
           Cylindre de révolution , « le moment principal d'inertie correspondant étant » [50] et
           Cylindre de révolution , « tout axe passant par son centre et à l'axe de révolution est aussi axe principal d'inertie » [49],
           Cylindre de révolution , « le moment principal d'inertie correspondant étant » [51].

Exemples de solides homogènes modélisés par un milieu continu d'expansion surfacique finie

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Liste non exhaustive de solides homogènes modélisés par un milieu continu de matière d'expansion surfacique finie, de masse surfacique ,
y figurent les axes principaux d'inertie de ces solides ainsi que leurs moments principaux d'inertie correspondants :
  • « Sphère [43] , homogène, de rayon , de centre et de masse » [52],
         « Sphère , « tout axe passant par son centre est axe principal d'inertie » [53],
         « Sphère , « le moment principal d'inertie correspondant étant » [54].
  • « Tuyau cylindrique de révolution [47] , homogène, de rayon , de longueur , de centre , ouvert aux deux extrémités et de masse » [55],
           Tuyau cylindrique de révolution , « l'axe passant par son centre et confondu avec l'axe de révolution est axe principal d'inertie » [56],
           Tuyau cylindrique de révolution , « le moment principal d'inertie correspondant étant » [57] et
           Tuyau cylindrique de révolution , « tout axe passant par son centre et à l'axe de révolution est aussi axe principal d'inertie » [56],
           Tuyau cylindrique de révolution , « le moment principal d'inertie correspondant étant » [58].
  • « Disque [59] , homogène, de rayon , de centre et de masse » [60],
           Disque , « l'axe passant par son centre et confondu avec l'axe du disque est axe principal d'inertie » [61],
           Disque , « le moment principal d'inertie correspondant étant » [62] et
           Disque , « tout axe passant par son centre et à l'axe du disque c.-à-d. tout support de diamètre est aussi axe principal d'inertie » [61],
           Disque , « le moment principal d'inertie correspondant étant » [63].

Exemples de solides homogènes modélisés par un milieu continu d'expansion linéique finie

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Liste non exhaustive de solides homogènes modélisés par un milieu continu de matière d'expansion linéique finie, de masse linéique ,
y figurent les axes principaux d'inertie de ces solides ainsi que leurs moments principaux d'inertie correspondants :
  • « Cercle [59] , homogène, de rayon , de centre et de masse »,
           Cercle , « l'axe passant par son centre et confondu avec l'axe du cercle est axe principal d'inertie » [64],
           Cercle , « le moment principal d'inertie correspondant étant » [65] et
           Cercle , « tout axe passant par son centre et à l'axe du cercle c.-à-d. tout support de diamètre est aussi axe principal d'inertie » [64],
           Cercle , « le moment principal d'inertie correspondant étant » [66].
  • Tige rectiligne , homogène, de longueur , de centre d'inertie et de masse ,
    Tige rectiligne,« l'axe passant par son centre d'inertie et confondu avec l'axe de la tige pourrait être considéré comme axe principal d'inertie » [67], mais
    Tige rectiligne,« le moment principal d'inertie correspondant étant nul » [68] l'axe n'est pas en pratique comptabilisé dans les axes principaux d'inertie de et
    Tige rectiligne,« tout axe passant par son centre et à l'axe de la tige c.-à-d. tout support de médiatrice est axe principal d'inertie » [67],
    Tige rectiligne,« le moment principal d'inertie correspondant étant » [69].

Méthode d'évaluation de moments principaux d'inertie d'un solide (système continu indéformable d'expansion spatiale finie) utilisant les éléments de symétrie de la répartition massique de ce dernier

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     Propriété : Si un solide système continu indéformable d'expansion volumique, surfacique ou linéique finie
      Propriété : Si un solide est de répartition massique identique par symétrie relativement à deux axes principaux d'inertie distincts,
      Propriété : Si un solide est de répartition massique identique par symétrie ses moments principaux d'inertie relativement à ces deux axes sont égaux ;
     Propriété : l'idéal est donc de trouver une identité de répartition de masse par symétrie relativement à trois axes principaux d'inertie respectivement et issus d'un même point [70]
     Propriété : l'idéal est donc de trouver une identité de répartition de masse par symétrie relativement à c.-à-d. de trouver un repère principal d'inertie ayant le point pour origine ou, à défaut,
     Propriété : l'idéal est donc de trouver une identité de répartition de masse par symétrie relativement à deux axes principaux d'inertie , issus d'un même point [70] moments principaux d'inertie égaux
     Propriété : l'idéal est donc de trouver une identité de répartition de masse par symétrie relativement à le moment principal d'inertie relativement au 3ème axe du repère principal d'inertie étant .

     Exemples liste non exhaustive : Boule [43] , homogène, de rayon , de centre et de masse [44],
           Exemples liste non exhaustive : Boule , les axes issus de son centre formant un repère principal d'inertie et
           Exemples liste non exhaustive : Boule , la répartition de masse de étant identique par symétrie relativement à chacun de ces axes, on en déduit
           Exemples liste non exhaustive : Boule , l'égalité des moments principaux d'inertie correspondants soit de valeur commune ou, en les ajoutant,
           Exemples liste non exhaustive : Boule , «» [14]
           Exemples liste non exhaustive : Boule , ou « » [14] avec , rayon polaire de repérage sphérique de pôle
           Exemples liste non exhaustive : Boule , ou, adoptant la forme semi-intégrée de l'élément de volumique la fonction à intégrer ne dépendant pas de [71]
           Exemples liste non exhaustive : Boule , « d'où » et,
           Exemples liste non exhaustive : Boule , en fonction de [44], «» [72].
     Exemples liste non exhaustive : Sphère [43] , homogène, de rayon , de centre et de masse [52],
           Exemples liste non exhaustive : Sphère , les axes issus de son centre formant un repère principal d'inertie et
           Exemples liste non exhaustive : Sphère , la répartition de masse de étant identique par symétrie relativement à chacun de ces axes, on en déduit
           Exemples liste non exhaustive : Sphère , l'égalité des moments principaux d'inertie correspondants soit de valeur commune ou, en les ajoutant,
           Exemples liste non exhaustive : Sphère , [23], [73]
           Exemples liste non exhaustive : Sphère , ou «» [23], [73] , rayon polaire de repérage sphérique de pôle
           Exemples liste non exhaustive : Sphère , «[23], [73] d'où » et,
           Exemples liste non exhaustive : Sphère , en fonction de [52] «» [74].
     Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution [47] , homogène, de rayon , de longueur , de centre , ouvert aux deux extrémités et de masse [55],
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , les axes issus de son centre formant un repère principal d'inertie et
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , la répartition de masse de étant identique par symétrie relativement aux axes , on en déduit
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , l'égalité des moments principaux d'inertie correspondants soit de valeur commune ou,
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , en les ajoutant au 3ème moment d'inertie relativement à l'axe du tuyau cylindrique, «
            Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , en les ajoutant au 3ème moment d'inertie relativement à l'axe du tuyau cylind
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , » [23] soit,
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , avec , coordonnées en repérage cylindro-polaire de pôle et d'axe , «
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , » [23] ou, en adoptant la forme semi-intégrée de l'élément d'aire [75]
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , la fonction à intégrer étant indépendante de , «
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , » ou,
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , en fonction de [55], «» ;
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , il reste à évaluer directement «[23] »
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , « par définition de la masse » revoir la note « 57 » plus haut dans ce chapitre, on en déduit
           Exemples liste non exhaustive : Tuyau cylindrique de révolution , «» «» [76].
     Exemples liste non exhaustive : Disque [59] , homogène, de rayon , de centre et de masse [60],
           Exemples liste non exhaustive : Disque , les axes issus de son centre formant un repère principal d'inertie et
           Exemples liste non exhaustive : Disque , la répartition de masse de étant identique par symétrie relativement aux axes , on en déduit
           Exemples liste non exhaustive : Disque , l'égalité des moments principaux d'inertie correspondants soit de valeur commune ou,
           Exemples liste non exhaustive : Disque , en les ajoutant au 3ème moment d'inertie relativement à l'axe du disque, «
           Exemples liste non exhaustive : Disque , » [23] soit,
           Exemples liste non exhaustive : Disque , avec , coordonnées en repérage cylindro-polaire de pôle et d'axe , «» [23]
           Exemples liste non exhaustive : Disque , ou, en adoptant la forme semi-intégrée de l'élément d'aire [75] la fonction à intégrer étant indépendante de ,
           Exemples liste non exhaustive : Disque , «» ou encore,
           Exemples liste non exhaustive : Disque , en fonction de [60], «» ;
           Exemples liste non exhaustive : Disque , il reste à évaluer directement «[23] » revoir la note « 62 » plus haut dans ce chapitre
           Exemples liste non exhaustive : Disque , « par définition de la masse », on en déduit «» «» [77].
     Exemples liste non exhaustive : Cercle [59] , homogène, de rayon , de centre et de masse ,
           Exemples liste non exhaustive : Cercle , les axes issus de son centre formant un repère principal d'inertie et
           Exemples liste non exhaustive : Cercle , la répartition de masse de étant identique par symétrie relativement aux axes , on en déduit
           Exemples liste non exhaustive : Cercle , l'égalité des moments principaux d'inertie correspondants soit de valeur commune ou,
           Exemples liste non exhaustive : Cercle , en les ajoutant au 3ème moment d'inertie relativement à l'axe du cercle, «
           Exemples liste non exhaustive : Cercle , » [27] soit,
           Exemples liste non exhaustive : Cercle , avec , coordonnées en repérage cylindro-polaire de pôle et d'axe , «
           Exemples liste non exhaustive : Cercle , [27] » ou, en fonction de , «» ;
           Exemples liste non exhaustive : Cercle , il reste à évaluer directement «[27] par définition de la masse », on en déduit
           Exemples liste non exhaustive : Cercle , «» «» [78].

Notes et références

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  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 Par intégrale volumique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 et 2,6 Un « pseudo-point » appellation non normalisée d'une expansion tridimensionnelle est un élément de matière, centré en , de volume et de masse dans laquelle est la masse volumique du milieu en , on admet que l'on peut étendre aux « pseudo-points » les notions introduites sur les points
  3. 3,0 3,1 et 3,2 Voir le paragraphe « construction de tenseurs d'ordre deux » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  4. 4,00 4,01 4,02 4,03 4,04 4,05 4,06 4,07 4,08 4,09 4,10 4,11 4,12 4,13 4,14 4,15 4,16 4,17 4,18 4,19 4,20 4,21 4,22 et 4,23 Une grandeur est dite covariante lorsqu'elle varie comme les vecteurs de base et contravariante quand elle varie de façon contraire.
  5. 5,00 5,01 5,02 5,03 5,04 5,05 5,06 5,07 5,08 5,09 5,10 5,11 5,12 5,13 5,14 5,15 5,16 5,17 5,18 5,19 5,20 5,21 5,22 et 5,23 C'est une façon raccourcie pour dire que les composantes du tenseur sont contravariantes.
  6. 6,0 6,1 et 6,2 C.-à-d. le produit tensoriel d'un vecteur par lui-même voir le paragraphe « définition du produit tensoriel de deux espaces vectoriels tridimensionnels (produit tensoriel de deux vecteurs) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  7. 7,0 7,1 et 7,2 Voir le paragraphe « définition et propriété d'un 1er type de tenseur d'ordre deux » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  8. 8,0 8,1 8,2 8,3 et 8,4 étant la direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien utilisé en physique
  9. 9,00 9,01 9,02 9,03 9,04 9,05 9,06 9,07 9,08 9,09 9,10 9,11 9,12 9,13 et 9,14 C.-à-d. le produit tensoriel d'un espace vectoriel par lui-même voir le paragraphe « définition du produit tensoriel de deux espaces vectoriels tridimensionnels » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  10. 10,0 10,1 et 10,2 Voir le paragraphe « les quatre produits tensoriels de deux espaces vectoriels tridimensionnels formés à partir de ces derniers ou de leurs duals (1er exemple) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  11. 11,0 11,1 et 11,2 Le carré scalaire est aussi un « crochet de dualité » défini sur c.-à-d. une forme bilinéaire non dégénérée construite ici à l'aide de la multiplication scalaire sur direction de l'espace affine tridimensionnel euclidien telle qu’au vecteur on associe le covecteurun covecteur de , lequel est le dual de , étant encore une forme linéaire de ce dernier, le « crochet de dualité » entre le covecteur” et le vecteur étant défini par , de façon plus générale le « crochet de dualité » entre un covecteur c.-à-d. une forme linéaire de et un vecteur s'évalue selon voir le paragraphe « notion d'espace bidual » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) » soit, en « notant le covecteur” associé au vecteur », la réécriture du carré scalaire selon « » ;
       d'autre part on a défini dans le paragraphe « produit contracté de deux tenseurs » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) » le produit contracté d'un tenseur d'ordre covariant et d'un tenseur d'ordre contravariant que l'on note le produit contracté de ces deux tenseurs d'ordre s'obtient en formant leur produit tensoriel l'espace des tenseurs d'ordre monocovariant et monocontravariant et en contractant ce tenseur d'ordre c.-à-d. en déterminant les composantes de ce tenseur à présenter en matrice carrée et en en prenant la trace c.-à-d. en faisant la somme de ses éléments diagonaux ce qui donne un tenseur d'ordre c.-à-d. un scalaire, soit ici comme cela a été établi dans le 1er exemple du paragraphe « produit contracté de deux tenseurs » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) » ;
       en conclusion le carré scalaire est égal au produit contracté du covecteur et du vecteur soit .
  12. 12,0 12,1 et 12,2 Le tenseur contravariant de Kronecker est, comme les deux autres tenseurs de Kronecker également notés l'un étant covariant et l'autre “ mixte ” c.-à-d. monocontravariant et monocovariant, un tenseur d'ordre ,
       il est défini relativement à la base orthonormée de l'espace vectoriel auquel il appartient voir la note « 31 » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) » par , ce tenseur d'ordre contravariant étant aussi une forme bilinéaire de ,
       son application sur chaque couple de vecteurs de base orthonormée de conduit à « » en notant « le covecteur” associé au vecteur », avec la multiplication scalaire définie sur notée «» soit encore « » étant le symbole de Kronecker et
       son application sur le couple , « » voir le paragraphe « définition du produit scalaire de deux vecteurs à l'aide de leurs composantes sur une base de l'espace » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  13. 13,0 13,1 et 13,2 Leopold Kronecker (1823 - 1891) mathématicien et logicien allemand, s'est intéressé entre autres à la résolution algébrique des équations, publiant en la démonstration de la non-résolubilité par radicaux de l'équation quintique en utilisant la théorie des groupes.
  14. 14,00 14,01 14,02 14,03 14,04 14,05 14,06 14,07 14,08 14,09 14,10 14,11 14,12 14,13 14,14 14,15 14,16 14,17 et 14,18 Voir le paragraphe « les deux types d'intégrales volumiques » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  15. 15,00 15,01 15,02 15,03 15,04 15,05 15,06 15,07 15,08 15,09 15,10 et 15,11 Voir le paragraphe « base pour les espaces vectoriels dont les éléments sont des tenseurs d'ordre deux (1er exemple) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ainsi que la notion de produit tensoriel de deux vecteurs au paragraphe « définition du produit tensoriel de deux espaces vectoriels tridimensionnels (produit tensoriel de deux vecteurs) » du chap. de la même leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  16. 16,00 16,01 16,02 16,03 16,04 16,05 16,06 16,07 16,08 16,09 16,10 16,11 16,12 16,13 16,14 16,15 16,16 16,17 16,18 16,19 16,20 16,21 16,22 16,23 16,24 16,25 et 16,26 Les résultats obtenus dans le paragraphe « détermination des composantes du tenseur d'inertie d'un point matériel sur la base orthonormée de l'espace vectoriel des tenseurs d'ordre deux contravariants défini sur le corps des réels » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) » pour des points matériels restent applicables pour des pseudo-points à condition de remplacer par .
  17. Voir le paragraphe « expression en paramétrage cartésien (du volume élémentaire) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  18. 18,0 18,1 et 18,2 Voir le paragraphe « différence de représentativités entre les tenseurs d'ordre deux (1er exemple) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  19. 19,0 19,1 19,2 19,3 19,4 et 19,5 Le numéro de ligne de la matrice carrée se détermine par le 1er indice des composantes du tenseur d'inertie avec , correspond à la 1ère ligne, à la 2ème ligne et à la 3ème ligne et
       le numéro de colonne de la matrice carrée se détermine par le 2ème indice des composantes du tenseur d'inertie avec , correspond à la 1ère colonne, à la 2ème colonne et à la 3ème colonne mais
       nous aurions obtenu la même matrice carrée en supposant le numéro de ligne déterminé par le 2ème indice des composantes du tenseur d'inertie avec , correspondant à la 1ère ligne, à la 2ème ligne et à la 3ème ligne et simultanément le numéro de colonne de la matrice carrée déterminé par le 1er indice des composantes du tenseur d'inertie avec , correspondant à la 1ère colonne, à la 2ème colonne et à la 3ème colonne en effet pour fixés, les composantes du tenseur d'inertie étant donc invariantes par permutation des indices, la matrice carrée est symétrique.
  20. 20,0 20,1 et 20,2 On vérifie aisément que est une matrice carrée symétrique c.-à-d. égale à sa propre transposée voir le paragraphe « transposition de matrices » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  21. 21,0 21,1 21,2 21,3 et 21,4 Par intégrale surfacique voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  22. 22,0 22,1 22,2 22,3 22,4 22,5 et 22,6 Un « pseudo-point » appellation non normalisée d'une expansion surfacique est un élément de matière, centré en , d'aire et de masse dans laquelle est la masse surfacique du milieu en , on admet que l'on peut étendre aux « pseudo-points » les notions introduites sur les points
  23. 23,00 23,01 23,02 23,03 23,04 23,05 23,06 23,07 23,08 23,09 23,10 23,11 23,12 23,13 23,14 23,15 23,16 23,17 23,18 23,19 23,20 23,21 23,22 23,23 23,24 et 23,25 Voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  24. L'aire élémentaire d'une surface en étant le produit des composantes du vecteur déplacement élémentaire sur les deux vecteurs de base et , orthogonaux entre eux dans le plan tangent à en , lequel est au vecteur unitaire normal à en , «» voir le paragraphe « pratique courante (d'une aire élémentaire) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  25. 25,0 25,1 25,2 25,3 et 25,4 Par intégrale curviligne voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  26. 26,0 26,1 26,2 26,3 26,4 26,5 et 26,6 Un « pseudo-point » appellation non normalisée d'une expansion linéique est un élément de matière, centré en , de longueur et de masse dans laquelle est la masse linéique du milieu en , on admet que l'on peut étendre aux « pseudo-points » les notions introduites sur les points
  27. 27,00 27,01 27,02 27,03 27,04 27,05 27,06 27,07 27,08 27,09 27,10 27,11 27,12 27,13 27,14 27,15 27,16 27,17 27,18 et 27,19 Voir le paragraphe «  les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  28. Voir le paragraphe « 2ème interprétation linéaire d'une matrice de dimension (ou taille) (m , n), matrice d'une application linéaire d'un espace vectoriel de dimension n de base B dans un autre espace vectoriel de dimension m de base C dans le couple de bases (B,C) cas où les deux espaces vectoriels sont confondus avec l'application linéaire étant alors un endomorphisme et » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  29. 29,0 29,1 29,2 29,3 29,4 et 29,5 Que celle-ci soit tridimensionnelle, surfacique ou linéique.
  30. L'ensemble des endomorphismes de est un -espace vectoriel noté ou encore mais le plus souvent on se contente de .
  31. Voir les notations du paragraphe « 2ème interprétation linéaire d'une matrice de dimension (ou taille) (m , n), matrice d'une application linéaire d'un espace vectoriel de dimension n de base B dans un autre espace vectoriel de dimension m de base C dans le couple de bases (B,C) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  32. Voir le paragraphe « décomposition spectrale de l'article Matrice symétrique de wikipédia » dans lequel il est précisé la propriété suivante « dans un espace euclidien, une matrice représentant un endomorphisme dans une base orthonormée est symétrique ssi l'endomorphisme est autoadjoint », voir la note « 33 » plus loin dans ce chapitre pour une justification de cette propriété.
  33. Soit la matrice carrée symétrique représentant l'endomorphisme de dans la base , les matrices colonnes de étant les composantes de sur la base voir le paragraphe « 2ème interprétation linéaire d'une matrice de dimension (ou taille) (m , n), matrice d'une application linéaire d'un espace vectoriel de dimension n de base B dans un autre espace vectoriel de dimension m de base C dans le couple de bases (B,C) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) » d'où par utilisation du caractère linéaire de ou, en multipliant scalairement par et par par distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle dans euclidien voir le paragraphe « autres propriétés (2ème propriété de la multiplication scalaire) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dont on déduit en explicitant soit finalement c.-à-d. le caractère « autoadjoint » de .
  34. La matrice adjointe d'une matrice à cœfficients réels est la matrice transposée de cette dernière notion n'introduisant donc rien de nouveau pour une matrice à cœfficients réels
       par contre la matrice adjointe d'une matrice à cœfficients complexes est définie comme la matrice transconjuguée c.-à-d. transposée de la conjuguée de cette dernière, elle se distingue de et son introduction a un intérêt évident ;
       une matrice autoadjointe à cœfficients réels étant telle que son adjointe se confond avec elle c.-à-d. ou est donc aussi une matrice symétrique
       par contre si une matrice autoadjointe à cœfficients complexes est toujours telle que son adjointe se confond avec elle, cela s'écrit, en notant la matrice conjuguée de , ou ce qui nécessite les cœfficients diagonaux de réels et ses cœfficients non diagonaux symétriques par rapport à la diagonale principale deux à deux complexes conjugués.
  35. Plus généralement une « matrice symétrique à cœfficients réels » représentant un endomorphisme autoadjoint sera dite autoadjointe.
  36. Un endomorphisme du -espace vectoriel euclidien direction de l'espace affine modélisant l'espace physique est dit autoadjoint ssi «, ».
       La définition d'un endomorphisme auto-adjoint est encore valable sur un -espace vectoriel de dimension finie quelconque à condition qu'une multiplication scalaire hermitienne y soit définissable, le -espace vectoriel de dimension finie est alors dit hermitien :
       une multiplication scalaire hermitienne définie sur un espace hermitien est une « application »
    • telle que «»,
    • sesquilinéaire à gauche c.-à-d. semi-linéaire par rapport au 1er argument, le 2nd étant fixé «» étant le conjugué de ,
      sesquilinéaire à gauche c.-à-d. linéaire par rapport au 2nd argument, le 1er étant fixé «»,
    • symétrique hermitienne c.-à-d. «»,
    • positive c.-à-d. «» et
    • définie c.-à-d. «».
       Charles Hermite (1822 - 1901) mathématicien français connu pour ses travaux sur la théorie des nombres, les formes quadratiques, les polynômes othogonaux, les fonctions elliptiques et les équations différentielles, il fut aussi l'un des 1ers à utiliser les matrices ; le qualificatif « hermitien » donné à certaines entités mathématiques l'a été pour lui rendre hommage.
  37. Le théorème spectral en dimension finie pour les endomorphismes reste applicable si ces derniers sont définis dans un espace hermitien voir la note « 36 » plus haut dans ce chapitre.
  38. Voir le paragraphe « valeurs propres, vecteurs propres et espaces propres d'un endomorphisme » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  39. Voir le paragraphe « tentative de diagonalisation d'une matrice carrée de dimension (ou taille) n » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  40. 40,0 et 40,1 Deux matrices carrées et de même dimension sont semblables s'il existe une matrice carrée de dimension inversible telle que «» voir aussi le paragraphe « changement de bases des espaces vectoriels définition et image d'une application linéaire et conséquence sur la matrice de l'application linéaire dans le couple de bases des espaces vectoriels définition et image (cas particulier) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique - bis (PCSI) ».
  41. Une matrice orthogonale est une matrice carrée à cœfficients réels dans le cas présent unitaire c.-à-d. telle que « » où est la matrice adjointe de c.-à-d. la matrice transposée de la matrice conjuguée ou ou encore, pour une matrice à cœfficients réels et par suite
       une matrice orthogonale à cœfficients réels est une matrice carrée unitaire c.-à-d. telle que «» ;
       une matrice carrée est orthogonale ssi tous ses vecteurs colonnes sont orthogonaux entre eux et de norme unité, une matrice orthogonale représente donc une base orthonormée.
  42. Voir le paragraphe « caractère diagonalisable de la matrice d'inertie d'un solide modélisé par un milieu continu de matière d'expansion finie » plus haut dans ce chapitre.
  43. 43,0 43,1 43,2 et 43,3 On rappelle qu'une « boule » est, par définition, « pleine » alors qu'une « sphère » est, par définition, « creuse ».
  44. 44,0 44,1 et 44,2 Le volume d'une boule de rayon étant , voir le paragraphe « exemples de volume d'expansion tridimensionnelle classique (établissement du volume d'une boule de rayon R) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  45. En effet, choisissant porté par comme axe de repérage sphérique de pôle , le point étant alors de coordonnées sphériques , on vérifie aisément que les produits d'inertie de dans les plans , et sont nuls on utilise , , et voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage sphérique » du chap., « expression en paramétrage sphérique (de l'élément de volume) » et « méthode (de calcul d'une intégrale volumique) se ramenant au calcul de trois intégrales sur un intervalle » du même chap. :
    • les bornes de variation de chaque variable étant indépendantes des autres variables, l'intégrale volumique est le produit de intégrales sur un intervalle soit «», la dernière intégrale valant ,
    • produit de intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus soit «», la dernière intégrale valant ,
    • produit de intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus soit «», la dernière intégrale valant .
  46. En effet, choisissant porté par comme axe de repérage sphérique de pôle , le point étant alors de coordonnées sphériques , le moment principal d'inertie relativement à se calcule par , on utilise et voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cylindro-polaire en fonction du repérage sphérique » du chap. et « expression en paramétrage sphérique (de l'élément de volume) » du chap. ;
       la fonction à intégrer ne dépendant pas de on peut prendre une forme semi-intégrée de l'élément de volume correspondant à l'intégration sur de à voir le paragraphe « présentation (de la notion de volume élémentaire semi-intégré) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » soit et les bornes d'intégration sur les deux intégrales restantes étant des constantes, ces intégrales simples ne sont pas emboîtées d'où voir le paragraphe « méthode se ramenant au calcul de trois intégrales (en fait deux ici) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » avec d'une part et d'autre part dont on déduit soit, en tenant compte de l'expression de la masse de la boule , l'expression du moment principal d'inertie relativement à ,  ;
        étant maintenu porté par , les moments principaux d'inertie de relativement à ou sont égaux à celui relativement à la matrice d'inertie de s'écrit
    «» «» étant la matrice identité.
  47. 47,0 47,1 et 47,2 En mathématique un cylindre peut a priori être « plein » ou « creux », toutefois afin de faire une distinction plus aisée, je réserve la terminologie « cylindre » à l’objet plein et en appelant « tuyau cylindrique » l’objet creux.
  48. Le volume d'un cylindre de révolution de rayon et de longueur étant , voir le paragraphe « exemples de volume d'expansion tridimensionnelle classique (établissement du volume d'un cylindre de révolution de rayon R et de hauteur H) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  49. 49,0 et 49,1 En effet, choisissant porté par l'axe de révolution comme axe de repérage cylindro-polaire de pôle , le point étant alors de coordonnées cylindro-polaires on vérifie aisément que les produits d'inertie de dans les plans , et sont nuls on utilise , et voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage cylindro-polaire » du chap., « expression en paramétrage cylindro-polaire (de l'élément de volume) » et « méthode (de calcul d'une intégrale volumique) se ramenant au calcul de trois intégrales sur un intervalle » du même chap. :
    • les bornes de variation de chaque variable étant indépendantes des autres variables, l'intégrale volumique est le produit de intégrales sur un intervalle soit «», la dernière intégrale valant ,
    • produit de intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus soit « », la dernière intégrale valant ,
    • produit de intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus soit «», la dernière intégrale valant .
  50. En effet, choisissant porté par l'axe de révolution comme axe de repérage cylindro-polaire de pôle , le point étant alors de coordonnées cylindro-polaires , le moment principal d'inertie relativement à se calcule par l'intégrale volumique , la distance de à étant , voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », le paragraphe « expression en paramétrage cylindro-polaire (de l'élément de volume) » du chap. ;
       la fonction à intégrer ne dépendant pas de et de on peut prendre une forme semi-intégrée de l'élément de volume correspondant à l'intégration sur de à et sur de à voir le paragraphe « présentation (de la notion de volume élémentaire semi-intégré, 3ème sous-paragraphe) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » soit d'où avec dont on déduit soit, en tenant compte de l'expression de la masse du cylindre , l'expression du moment principal d'inertie relativement à ,  ;
        étant maintenu porté par , les moments principaux d'inertie de relativement à ou sont égaux de valeur commune déterminée dans la note « 51 » plus bas dans ce chapitre la matrice d'inertie de s'écrit
    «».
    .
  51. En effet, choisissant comme axe passant par et à l'axe de révolution, puis utilisant a priori le repérage cartésien, le point étant alors de coordonnées cartésiennes , le moment principal d'inertie relativement à se calcule par l'intégrale volumique , la distance de à étant avec projeté orthogonal de sur  ;
       on utilise la méthode d'intégration du paragraphe « méthode se ramenant au calcul de trois intégrales sur un intervalle » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
    • en figeant tout d'abord et en intégrant sur de à puis
    • en laissant figé et en intégrant sur de à et enfin
    • en intégrant sur de à soit
       , l'intégration sur se faisant par le changement de variable d'où , ce qui s'intègre en passant à l'angle double selon et en utilisant soit et finalement, en tenant compte de l'expression de la masse du cylindre , l'expression du moment principal d'inertie relativement à , l'expression de étant la même ;
       rappel : l'expression du moment principal d'inertie relativement à l'axe a été déterminée dans la note « 50 » plus haut dans ce chapitre et on trouve également dans cette note « 50 » la matrice d'inertie de .
  52. 52,0 52,1 et 52,2 L'aire de la surface d'une sphère de rayon étant , voir le paragraphe « exemples d'aire de surface classique (établissement de l'aire d'une sphère de rayon R) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  53. En effet, choisissant porté par comme axe de repérage sphérique de pôle , le point étant alors de coordonnées sphériques , on vérifie aisément que les produits d'inertie de dans les plans , et sont nuls on utilise , , et voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage sphérique » du chap., « expressions en paramétrage sphérique (de l'aire élémentaire d'une sphère) » et « les grandes lignes de la méthode d'évaluation (d'une intégrale surfacique) » du même chap. :
    • les bornes de variation de chaque variable étant indépendantes de l'autre, l'intégrale surfacique est le produit de intégrales sur un intervalle soit «», la dernière intégrale valant ,
    • produit de intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus soit «», la dernière intégrale valant ,
    • produit de intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus soit «», la dernière intégrale valant .
  54. En effet, choisissant porté par comme axe de repérage sphérique de pôle , le point étant alors de coordonnées sphériques , le moment principal d'inertie relativement à se calcule par , on utilise et voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cylindro-polaire en fonction du repérage sphérique » du chap. et « expressions en paramétrage sphérique (de l'aire élémentaire d'une sphère) » du chap. ;
       la fonction à intégrer ne dépendant pas de la longitude on peut prendre une forme semi-intégrée de l'élément de surface correspondant à l'intégration sur de à soit voir le paragraphe « notion de surface élémentaire semi-intégrée (1er sous paragraphe) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », d'où dans laquelle soit, en tenant compte de l'expression de la masse de la sphère , l'expression du moment principal d'inertie relativement à ,  ;
        étant maintenu porté par , les moments principaux d'inertie de relativement à ou sont égaux à celui relativement à la matrice d'inertie de s'écrit
    «» «» étant la matrice identité.
    .
  55. 55,0 55,1 et 55,2 L'aire de la surface latérale d'un tuyau cylindrique de révolution de rayon et de longueur étant , voir le paragraphe « exemples d'aire de surface classique (établissement de l'aire de la surface latérale d'un tuyau cylindrique de rayon R et de hauteur H) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  56. 56,0 et 56,1 En effet, choisissant porté par l'axe de révolution comme axe de repérage cylindro-polaire de pôle , le point étant alors de coordonnées cylindro-polaires on vérifie aisément que les produits d'inertie de dans les plans , et sont nuls on utilise , et voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage cylindro-polaire » du chap., « expressions en paramétrage cylindro-polaire (de l'aire élémentaire de la surface d'un tuyau cylindrique) » et « les grandes lignes de la méthode d'évaluation (d'une intégrale surfacique) » du même chap. :
    • les bornes de variation de chaque variable étant indépendantes de l'autre, l'intégrale surfacique est le produit de intégrales sur un intervalle soit «», la dernière intégrale valant ,
    • produit de intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus soit « », la dernière intégrale valant ,
    • produit de intégrales sur un intervalle pour les mêmes raisons que ci-dessus soit «», la dernière intégrale valant .
  57. En effet, chaque pseudo-point c.-à-d. chaque élément de matière, centré en , d'aire et de masse étant à la même distance de l'axe , le moment principal d'inertie de relativement à défini selon se réécrit  ;
        étant maintenu porté par , les moments principaux d'inertie de relativement à ou sont égaux de valeur commune déterminée dans la note « 58 » plus bas dans ce chapitre la matrice d'inertie de s'écrit
    «».
    .
  58. En effet, choisissant comme axe passant par et à l'axe de révolution, puis utilisant a priori le repérage cylindro-polaire de pôle et d'axe , le point étant alors de coordonnées cylindro-polaires , le moment principal d'inertie relativement à se calcule par l'intégrale surfacique la distance de à étant avec projeté orthogonal de sur et ensuite,
       par la méthode d'intégration exposée dans le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », on évalue l'intégrale surfacique
    • en figeant tout d'abord et en intégrant sur de à puis
    • en intégrant sur de à soit
        dans laquelle s'intègre en passant à l'angle double selon soit et finalement, en tenant compte de l'expression de la masse du tuyau cylindrique , l'expression du moment principal d'inertie relativement à ,  ;
       rappel : l'expression du moment principal d'inertie relativement à l'axe a été déterminée dans la note « 57 » plus haut dans ce chapitre et on trouve également dans cette note « 57 » la matrice d'inertie de .
  59. 59,0 59,1 59,2 et 59,3 On rappelle qu'un « disque » est, par définition, « plein » alors qu'un « cercle » est, par définition, le « contour » du disque.
  60. 60,0 60,1 et 60,2 L'aire de la surface d'un disque de rayon étant , voir le paragraphe « exemples d'aire de surface classique (établissement de l'aire d'un disque de rayon R) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  61. 61,0 et 61,1 En effet, choisissant porté par l'axe de révolution comme axe de repérage cylindro-polaire de pôle , le point étant alors de coordonnées cylindro-polaires on vérifie aisément que les produits d'inertie de dans les plans , et sont nuls on utilise , et voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage cylindro-polaire » du chap., « expressions en paramétrage cylindro-polaire (de l'aire élémentaire d'un disque) » et « les grandes lignes de la méthode d'évaluation (d'une intégrale surfacique) » du même chap. :
    • les bornes de variation de chaque variable étant indépendantes de l'autre, l'intégrale surfacique est le produit de intégrales sur un intervalle soit «», la dernière intégrale valant ,
    • «» car ,
    • «» car .
  62. En effet, choisissant le repérage polaire des points du disque, chaque pseudo-point c.-à-d. chaque élément de matière, centré en , d'aire et de masse étant à la distance rayon polaire de de l'axe , le moment principal d'inertie de relativement à défini selon se réécrit, avec , selon car les bornes d'intégration étant des constantes, les intégrales simples ne sont pas emboîtées voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » soit, en tenant compte de l'expression de la masse du disque , l'expression du moment principal d'inertie relativement à ,  ;
        étant maintenu porté par , les moments principaux d'inertie de relativement à ou sont égaux de valeur commune déterminée dans la note « 63 » plus bas dans ce chapitre la matrice d'inertie de s'écrit
    «».
    .
  63. En effet, choisissant comme axe passant par et à l'axe du disque, puis utilisant a priori le repérage polaire de pôle et d'axe polaire , le point étant alors de coordonnées polaires , le moment principal d'inertie relativement à se calcule par l'intégrale surfacique dans laquelle la distance de à est , le contenu du 2ème crochet étant l'aire élémentaire  ;
       on utilise la méthode d'intégration exposée dans le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
    • en figeant tout d'abord et en intégrant sur de à puis
    • en intégrant sur de à soit
        car les bornes d'intégration étant des constantes, les intégrales simples ne sont pas emboîtées voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » dans laquelle s'intègre en passant à l'angle double selon soit, en tenant compte de l'expression de la masse du disque , l'expression du moment principal d'inertie relativement à ,  ;
       rappel : l'expression du moment principal d'inertie relativement à l'axe a été déterminée dans la note « 62 » plus haut dans ce chapitre et on trouve également dans cette note « 62 » la matrice d'inertie de .
  64. 64,0 et 64,1 En effet, choisissant porté par l'axe du cercle comme axe de repérage cylindro-polaire de pôle , le point étant alors de coordonnées cylindro-polaires on vérifie aisément que les produits d'inertie de dans les plans , et sont nuls on utilise , et voir, dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les paragraphes « repérage cartésien en fonction du repérage cylindro-polaire » du chap. et « méthode de calcul d'une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue » du chap. :
    • soit finalement «»,
    • «», car ,
    • «», car .
  65. En effet, chaque pseudo-point c.-à-d. chaque élément de matière, centré en , de longueur et de masse étant à la même distance de l'axe , le moment principal d'inertie de relativement à défini selon se réécrit  ;
        étant maintenu porté par , les moments principaux d'inertie de relativement à ou sont égaux de valeur commune déterminée dans la note « 66 » plus bas dans ce chapitre la matrice d'inertie de s'écrit
    «».
    .
  66. En effet, choisissant comme axe passant par et à l'axe du cercle, puis utilisant a priori le repérage polaire de pôle et d'axe polaire , le point étant alors de coordonnées polaires , le moment principal d'inertie relativement à se calcule par l'intégrale curviligne dans laquelle la distance de à est , le contenu du 2ème crochet étant la longueur élémentaire  ;
       la méthode d'évaluation d'une intégrale curviligne consistant à paramétrer la courbe voir le paragraphe « méthode de calcul d'une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » et le paramétrage en étant déjà fait, il reste à préciser les bornes d'intégration sur à savoir de à soit dans laquelle s'intègre en passant à l'angle double selon soit, en tenant compte de l'expression de la masse du cercle , l'expression du moment principal d'inertie relativement à ,  ;
       rappel : l'expression du moment principal d'inertie relativement à l'axe a été déterminée dans la note « 65 » plus haut dans ce chapitre et on trouve également dans cette note « 65 » la matrice d'inertie de .
  67. 67,0 et 67,1 En effet, choisissant porté par le support de la tige comme axe de repérage cartésien d'origine , le point étant alors de coordonnées cartésiennes on vérifie aisément que les produits d'inertie de dans les plans , et sont nuls :
    • » car ,
    • «», car ,
    • «», car .
  68. En effet, chaque pseudo-point c.-à-d. chaque élément de matière, centré en , de longueur et de masse étant à la même distance nulle de l'axe , le calcul du moment principal d'inertie de relativement à donne
  69. En effet, choisissant comme axe passant par et à l'axe de la tige, puis utilisant a priori le repérage cartésien d'origine , le point étant alors de cote , le moment principal d'inertie relativement à se calcule par l'intégrale curviligne , la distance de à étant et s'identifiant à  ;
       la méthode d'évaluation d'une intégrale curviligne consistant à paramétrer la courbe voir le paragraphe « méthode de calcul d'une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » et le paramétrage en étant déjà fait, il reste à préciser les bornes d'intégration sur de à ce qui donne ici soit, avec l'expression de la masse de la tige rectiligne , le moment principal d'inertie relativement à , «» ;
       compte-tenu du fait que la valeur nulle du moment d'inertie de la tige rectiligne relativement à son support a été déterminée dans la note « 68 » plus haut dans ce chapitre, on en déduit l'expression de la matrice d'inertie de selon «».
  70. 70,0 et 70,1 En général ce point est le centre d'inertie du solide.
  71. Voir le paragraphe « présentation (de la notion de volume élémentaire semi-intégré, 1er sous-paragraphe) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  72. On retrouve ainsi, de façon plus rapide, le résultat établi dans la note « 46 » plus haut dans ce chapitre.
  73. 73,0 73,1 et 73,2 La surface d'intégration étant fermée et l'intégration se faisant sur la surface complète, on note l'intégrale surfacique en ajoutant un sur l'intégrale double «» la notation est identique pour une intégrale curviligne sur une courbe fermée «».
  74. On retrouve ainsi, de façon plus rapide, le résultat établi dans la note « 54 » plus haut dans ce chapitre.
  75. 75,0 et 75,1 Voir le paragraphe « notion de surface élémentaire semi-intégrée (3ème sous-paragraphe) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  76. On retrouve ainsi, de façon plus rapide, le résultat établi dans la note « 58 » plus haut dans ce chapitre.
  77. On retrouve ainsi, de façon plus rapide, le résultat établi dans la note « 63 » plus haut dans ce chapitre.
  78. On retrouve ainsi, de façon plus rapide, le résultat établi dans la note « 66 » plus haut dans ce chapitre.