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soldat au 28{{e}} RI, mort le 19 septembre 1914 (blessures, à Pévy, Marne)


==== Albert François Henry ROBIDA ====
==== Albert François Henry ROBIDA ====

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Morts 14-18

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Le but du travail de recherche : découvrir à travers quelques exemples pris au hasard le vécu d'un militaire lors de la Grande Guerre. Ici, un fantassin de la territoriale (âgé de 35 à 41 ans) dessiné par Cyrus Leroy Baldridge en 1917.


« Quelle connerie la guerre ! »[1]

À l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale, il semble pertinent de consacrer dans les lycées français un peu plus de temps scolaire que d'habitude à l'étude de ce conflit.

L'idée ici est de prendre quelques noms de militaires morts pendant cette guerre, et d'essayer de retracer leur parcours individuel.

Pages connexes : wikiprojet au lycée Alain du Vésinet ; retours d'expériences.

Intérêt

Le programme d'histoire de la classe de première générale en France consacre quelques heures à la Première Guerre mondiale, à travers « l'expérience combattante dans une guerre totale » (qui n'est qu'une des études du thème « la guerre au XXe siècle », lui-même un des cinq thèmes d'histoire de l'année)[2]. Dans le cadre des commémorations du centenaire, la Mission centenaire[3], le ministère de l'Éducation[4],[5] comme les différentes académies[6] encouragent vivement les professeurs à monter des projets pédagogiques.

Cette « expérience combattante » est le plus souvent étudiée à travers les mémoires rédigées par les combattants. L'idée ici est de compléter cette approche en faisant chercher par chaque élève quelles furent les conditions du décès d'un militaire pris au hasard : à raison de 32 à 35 élèves par classe, les cas devraient être assez nombreux. L'apprenti-chercheur (ils ont environ 16 ans en première) doit utiliser internet (les programmes encouragent l'usage des TIC) pour trouver les informations sur le décès, le localiser dans le temps (contexte) et l'espace (précisément), trouver dans quelles unités vivait cet homme (type et numéro de régiment, division et corps d'armée, avec leurs lieux de casernement et de recrutement).

Des développements ultérieurs sont menés avec les élèves, comprenant l'analyse des résultats (on pré-suppose une grande diversité de parcours), une sortie scolaire annuelle (Verdun, Vauquois et Fermont en février 2013 ; Verdun, Metz et Hackenberg en mars 2014), des débats sur le nationalisme ainsi que sur l'idée européenne, et une étude de quelques extraits des mémoires du fantassin Pierre Perrin[7] qu'on compare au journal des marches et des opérations[8] de son régiment (le 27e RI de Dijon, du 8e CA) ou à l'historique régimentaire[9], pour voir les différences entre ce qui a été vécu par cet individu et la version officielle.

Sources

Il est uniquement fait usage des sources en ligne. Pour faciliter l'accès aux ressources, on se limite à celles francophones (ce qui est dommage, car on tombe dans le franco-centrisme).

Listes

Avec environ 1 400 000 militaires français morts pendant le conflit, on ne manque pas d'exemples. Pour limiter un peu, on peut prendre l'échelle locale, c'est-à-dire les communes de l'aire de recrutement du lycée. Pour le lycée Alain, il s'agit du Vésinet, de Chatou et de Croissy-sur-Seine. Comme il s'agit de trois communes de la banlieue parisienne, les affectations des mobilisés sont beaucoup plus diversifiées (infanterie coloniale, chasseurs à pied, canonniers, dragons, fusiliers-marins, matelots, tirailleurs, etc.)[10] qu'en province (où la majorité est versée dans le même régiment).

Le monument aux morts du cimetière de Chatou (rue du Lieutenant Ricard) fournit 311 noms[11], tandis que la plaque du porche de l'église Notre-Dame en donne 258[12]). Le monument de Croissy (6 avenue de Verdun) donne 178 noms[13]. Quant au monument du cimetière du Vésinet, il donne 352 noms[14], tandis que la plaque de la cours de l'hôtel de Ville en donne 327[15]. Les états récapitulatifs sont établis par croisement des différentes sources, mais ces listes concernent plusieurs conflits (Première, Seconde, Algérie, etc.) : 597 noms pour Chatou[16], 178 noms pour Croissy[17] et 663 noms pour Le Vésinet[18].

Cette répartition des morts entre les trois communes s'explique par la petite taille de Croissy par rapport à ses deux voisines : la population selon le « dénombrement » (recensement) de 1911 était de 6 532 habitants à Chatou[19], 2 239 à Croissy[20] et 6 353 au Vésinet[21].

SHD

Le service historique de la Défense, installé dans le château de Vincennes, met en ligne sur son site Mémoire des hommes de plus en plus d'images numérisées, notamment celle des fiches des militaires « mort pour la France » durant la Première Guerre mondiale.

Tous les militaires morts pendant la Première Guerre mondiale n'ont donc pas eu la mention « mort pour la France » : il manque les suicidés, les fusillés, les déserteurs, etc.


Chaque régiment devait tenir à jour tout au long de la guerre son journal des marches et des opérations (JMO), fournissant jour par jour la position, les missions et l'action de l'unité. Il s'agit d'un récit officiel, assez froid, fournissant parfois l'état des pertes. Pour la localisation précise, on peut s'appuyer sur les sites géoportail, OpenStreetMap ou Google Maps.

AD78

Les archives départementales des Yvelines, installées à Montigny-le-Bretonneux, fournissent deux sources en ligne qui nous intéressent. La première est le recensement de la population 1911 (les précédents furent 1906 et 1901 ; le suivant fut celui de 1921), c'est-à-dire pour chaque commune des listes des habitants avec leur âge et leur profession.


La seconde est le registre d'incorporation, c'est-à-dire la liste des hommes mobilisables, établie chaque année lors de la levée des conscrits pour le service militaire l'année suivant leurs 20 ans (leur « classe » désigne l'année de leur incorporation) pour l'ensemble du département de la Seine-et-Oise.

Exemple

En guise d'exemple, l'interrogation de la base « mort pour la France » donne sept domiciliés à Chatou, dont le plus jeune est un certain Fernand André Boileau. Son nom figure sur le monument aux morts de la commune et sur la plaque de l'église. Qui est-il ?

Petite recherche sur les fusiliers-marins

Dès août 1914, une brigade de fusiliers-marins (dépôt basé à Lorient) est envoyée maintenir l'ordre dans Paris, puis à l'automne sur le front des Flandres (autour de Dixmude) ; l'effectif est réduit en 1915 de six à un seul bataillon. En août 1918, il est affecté au 1er CA pour attaquer une hauteur sur la commune de Laffaux (à proximité du chemin des Dames), perdant le 14 septembre 448 hommes (soit plus de la moitié de l'effectif). Un monument aux fusiliers-marins est actuellement visible au bord de la RN 2.

Recensement 1911

Cote 9 M 450/3, f. 23 et 24. Il y a plusieurs familles Boileau à Chatou. Au n° 30 de la rue des Beaunes (juste à côté du cimetière), habitent Victor BOILEAU (°1861 à Louveciennes), un maçon, et ses trois jeunes enfants, Eugénie (°1895 à Chatou), Fernand (°1898 à Chatou) et Raymonde (°1903 à Chatou).

Incorporation

1898 + 20 = classe 1918. Une possibilité aurait été que Fernand se soit porté volontaire avant l'appel. Sa classe a été incorporée en avance, en avril 1917 (l'armée française manquait de jeunes soldats), au lieu de l'automne 1918. Dans la table alphabétique des matricules de la classe 1918 (1R/RM 570, f. 8), on trouve Fernand Boileau, numéro matricule 2487, volume 5.

Il est mort un mois avant d'avoir 19 ans.

Recherches

Le travail se fait sur six années scolaires, de 2014 à 2019, correspondant chacune à une des années de 1914 à 1919.

Début d’un principe
Fin du principe


2013-2014

Tableau montrant une charge de fantassins français mettant en fuite des Allemands, un d'entre-eux au premier plan se faisant éventrer par une baïonnette.
La bataille de Morhange vue par la propagande française en 1915[23] ; en réalité les pertes furent exclusivement dues aux obus et aux balles, et finalement ce sont les Français qui s'enfuirent. Morhange se trouve en Moselle, alors territoire allemand.

Les séances de l'année scolaire 2013-2014 sont consacrées à la période d'août et de septembre 1914 seulement (les journées de combat de la bataille des Frontières ont été les plus meurtrières de toute la guerre).

Articles connexes à utiliser : mobilisation française de 1914, ordre de bataille de l'armée française en août 1914, bataille des Frontières et bataille de la Marne.

Georges BLEMER

chasseur au 17e BCP, mort le 20 août 1914 (à Saint-Léon, Vosges)

Jacques MIMEREL

sous-lieutenant au 61e RI, mort le 20 août 1914 (à Dieuze, Moselle)ARNAUD

Jules Léon THUREAU

5e RI, mort le 22 août 1914 (à Charleroi, Belgique)

Louis Émilien Célestin ANDRÉ

marsouin au 21e RIC, mort le 22 août 1914 (à Neufchâteau)

Georges BONNEAU

lucas

marsouin au 21e RIC, mort le 22 août 1914 (à Neufchâteau)

Louis Armand Henri BISSOLATI

soldat au 31e RIC (erreur à vérifier, peut-être le 21e RIC), mort le 22 août 1914 (à Neufchâteau)

Jean-Marie Robert JAUFFRET

sous-lieutenant au 302e RI, mort le 24 août 1914 (à Gouraincourt, Meuse)

Eugène BONNEAU

chasseur au 17e BCP, mort le 25 août 1914 (à Anglemont, Vosges)

Toussaint François BOURDONNAIS

soldat au 271e RI, mort le 26 août 1914 (à Donchery, Ardennes) ( détenu par Idris 1ère ES 2 )

Jules BENOIS

clara

28e RIT, mort le 26 août 1914 (à Estrun, Nord)

Auguste Jean Joseph ANDRIEU

marsouin au 8e RIC, disparu le 27 août 1914 (bois de Jaulnay à Pouilly-sur-Meuse)

André Émile BIRMANN

sous-lieutenant au 11e BCA, mort le 27 août 1914 (à Saint-Dié, Vosges) Evan

Émile Louis Georges BOUTEILLER

pris

chasseur au 17e BCP, mort le 30 août 1914 (à l'hôpital d'Épinal)

Jean MIMEREL

sous-lieutenant, 159e RI, mort le 1er septembre 1914 (à Saint-Benoît, Vosges)

Georges Henri GIRARD

2e classe au 5e RI, mort le 4 septembre 1914 (à l'hôpital de Vernon, Eure)

Marius PINÇON

94e RI, tué le 5 septembre 1914 (à Mareuil-sur-Ay, Marne)

Arsène Alphonse COCHARD

21e RIC, mort le 5 septembre (à Ponthion, Marne)

Émile BRETEAU

soldat au 76e RI, mort le 6 septembre 1914 (à Vaubécourt, Meuse)

Louis BILIAUT

soldat au 224e RI, mort le 7 septembre 1914 (à Louan-Villegruis-Fontaine, Seine-et-Marne)

Jean BLOUIN

soldat au 247e RI, mort le 8 septembre 1914 (à Sommesous, Marne)

==== Georges THORIGNY ==== Sandra et Valentine 2e zouaves, mort le 10 septembre 1914 (à Monthyon, Seine-et-Marne)

Gustave oiknine

2e classe au 41e RIC, mort le 12 septembre 1914 (à Réméréville, Meurthe-et-Moselle)

Eugène Émile BAUDOIN

Vincent

2e classe au 319e RI, mort le 15 septembre 1914

Robert SCHOTT

27e dragons, mort le 16 septembre 1914 (à Loivre, Marne); Antoine

Diane

Albert François Henry ROBIDA

sous-lieutenant 29e BCP, mort le 22 septembre 1914 (aux Éparges, Meuse) philippe

Albert HÉBERT

Philippe

356e RI, mort le 23 septembre 1914 (à Sérouville, Meurthe-et-Moselle)

Charles BESSIN

soldat au 16e RI, mort le 26 septembre (à Confrécourt, Aisne)

Adolphe Paul Albert LESSERÉ

lieutenant au 6e génie, mort le 26 septembre 1914 (à Baconnes, Marne)

Charles Gaston Ernest Émile TRITSCH

Marine.C

caporal au 205e RI, mort le 27 septembre 1914 (à l'hôpital de Casteljaloux, Lot-et-Garonne)

René ENGELHARD

21e RIC, mort le 27 septembre 1914 (à Monplaisir, Marne)

==== Charles Gaston Ernest Émile TRITSCH Marine.C

caporal au 205e RI, mort le 27 septembre 1914 (à l'hôpital de Casteljaloux, Lot-et-Garonne)

2014-2015

Tombes dans un des cimetières de Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais) : 44 833 Allemands y sont enterrés.

Les séances de l'année scolaire 2014-2015 sont consacrées à la période de début octobre 1914 à fin août 1915.

Article connexe à utiliser : bataille d'Artois.

  • Jules Isidore AMESLANT, mort le 3 octobre 1914 (à Courcelle-le-Comté, Pas-de-Calais)
  • Henri Joseph BERNIER, 2e classe au 21e RIC, mort le 14 octobre 1914 (à Braux-Saint-Cohiere, Marne)
  • Charles Adolphe FOUCARD, sergent au 42e RI, mort le 23 octobre 1914
  • Eugène BOURLOT, soldat au 117e RI, mort le 30 octobre 1914 (au Quesnoy-en-Santerre, Somme)
  • Alphonse BABION, soldat au 37e RI, mort le 12 novembre 1914 (à Bixschoote en Belgique)
  • Émile Théodore Louis DABONCOURT, matelot de 3e classe au 3e régiment de marins, mort le 13 novembre 1914
  • Gustave Émile BEAUCHERON, caporal au 298e RI, mort le 13 novembre 1914 (à Nouvron-Vingré, Aisne)
  • Frédéric BEYER, chasseur au 29e BCP, mort le 17 novembre 1914 (à Maizey, Meuse)
  • Louis ANSART, caporal au 205e RI, mort le 20 novembre 1914 (à Mametz, Somme)
  • René BUISSOT, sergent-major au 269e RI, mort le 14 décembre 1914 (à Thann)
  • Barthélémy Armand Cécile BORIOS, soldat au 142e RI, mort le 2 février 1915 (blessures, à Ypres)
  • Alphonse Émile Georges Marcel PALLU, lieutenant au 3e dragons, mort le 13 février 1915 (de maladie)
  • Eugène Marcel BOYER, chasseur au 8e BCP, mort le 7 mars 1915 (à Notre-Dame-de-Lorette)
  • Éloi BOURGANELLE, soldat au 66e RI, mort le 8 mars 1915 (à Veldok en Belgique)
  • Albert TRICHEUX, 2e classe au 368e RI, mort le 31 mars 1915
  • Joseph Marie Pierre Jean BONNEFOY, soldat au 164e RI, mort le 25 avril 1915 (à Mouilly, Meuse)
  • Maurice Pierre Paul BÉGNEZ, soldat au 152e RI, mort le 9 mai 1915 (blessures, à Remiremont)
  • René Louis MORISE, 2e classe au 19e BCP, mort le 14 mai 1915
  • Edmond Adolphe LOUIS, 2e classe au 21e BCP, mort le 20 mai 1915 (prisonnier)
  • Marcel Auguste Denis AUREAU, sergent au 228e RI, mort le 23 mai 1915 (à Neuville-Saint-Vaast)
  • Ernest Henri GRUET, 2e classe au 167e RI, mort le 27 mai 1915
  • Alexandre BONNEAU, caporal au 36e RI, mort le 1er juin 1915 (à Neuville-Saint-Vaast)
  • André Adolphe Gustave AUREAU, soldat, mort le 7 juin 1915 (à Neuville-Saint-Vaast)
  • Georges Albert ANCELLE, soldat au 94e RI, mort le 14 juillet 1915 (La Haragée, Marne)
  • Victor JUE, sous-lieutenant au 297e RI, mort le 25 juillet 1915
  • Edouard Léon Martial BEAUDEMONT, soldat au 18e RIT, mort le 9 août 1915 (maladie, à Vitry-le-François)

2015-2016

Alignements de tombes de la nécropole de Douaumont, lors de la sortie scolaire de février 2013 à Verdun (Meuse).

Les séances de l'année scolaire 2015-2016 sont consacrées à la période de début septembre 1915 à fin août 1916.

Articles connexes à utiliser : bataille de Champagne, bataille de Verdun et bataille de la Somme.

  • Alexandre Désiré BOUTET, soldat au 290e RI, mort le 19 septembre 1915 (à Rivière, Pas-de-Calais)
  • Jacques BERNAUER, soldat au 346e RI, mort le 23 septembre 1915 (à Lironville, Meurthe-et-Moselle)
  • Georges Honoré RAY, 101e RI, mort le 25 septembre 1915
  • Adrien Jules MASSON, 2e classe au 23e RIC, mort le 25 septembre 1915
  • Maurice BLANCHARD, caporal fourrier au 21e RIC, mort le 25 septembre 1915 (à Massiges, Marne)
  • Louis Charles BISSOLATI, soldat au 21e RIC, mort le 25 septembre 1915 (à Massiges, Marnes)
  • Adrien BONNET, chasseur au 60e BCP, mort le 28 septembre 1915 (à Givenchy-en-Gohelle)
  • René Hubert BOUDVILLAIN, soldat au 282e RI, mort le 29 septembre 1915 (à Souchez, Pas-de-Calais)
  • Léon Alexandre BERSON, caporal au 43e RIC, mort le 3 octobre 1915 (à Givenchy-en-Gohelle)
  • André Georges KNODERER, canonnier au 17e RA, mort le 7 octobre 1915 (mer Ionienne sur le vapeur Amiral Hamelin)
  • Hippolyte Augustin BÉHURET, caporal au 21e RIC, mort le 8 octobre 1915 (à Virginy, Marne)
  • Edmond DUVAL, 2e classe au 82e RI, mort le 26 octobre 1915
  • Alexandre LEVANNEUR, sergent au 18e RIT, mort le 13 novembre 1915
  • Paul Louis BONLEU, sergent au 22e RIC, mort le 11 février 1916 (à Éclusier, Somme)
  • Henri Marie Théodore BESNARD, soldat au 24e RI, mort le 22 février 1916 (blessures, peut-être gazé, à Hangest-en-Santerre, Somme)
  • André Pierre Pascal BAUJARD, soldat au 164e RI, mort le 22 février 1916 (Meuse)
  • Jean DUEGOU, 2e classe au 61e BCP, mort le 16 mars 1916 (à Verdun)
  • Henri-Julien-Joseph FELPIN, sous-lieutenant au 74e RI, mort le 11 avril 1916[24]
  • Lucien Étienne BISSOLATI, soldat au 418e RI, mort le 20 avril 1916 (au bois d'Avocourt, Meuse)
  • Maurice SENOYER, caporal au 41e RIC, mort le 23 avril 1916 (nécropole de Douaumont)
  • Eugène RATEAU, caporal au 5e RI, mort le 1er juin 1916 (nécropole de Douaumont)
  • Émile Louis BRUNET, soldat au 39e RI, mort le 14 juin 1916 (à Verdun)
  • Alexandre BOUILLET, marsouin au 23e RIC, mort le 2 juillet 1916 (à Dompierre-Becquincourt, Somme)
  • Louis Georges Théodore BURON, caporal au 17e BCP, mort le 26 août 1916 (blessures, à Flaucourt, Somme)

2016-2017

Les séances de l'année scolaire 2016-2017 sont consacrées à la période de début septembre 1916 à fin août 1917.

Article connexe à utiliser : bataille du Chemin des Dames.

  • Gaston Théophile MICHAUD, soldat au 1er bataillon d'infanterie légère d'Afrique, mort le 14 septembre 1916
  • Marcel Charles BROGARD, caporal au 82e RI, mort le 4 novembre 1916 (nécropole de Douaumont)
  • Adolphe Louis RIMELIN, soldat au 45e RI, mort le 10 février 1917
  • Léon Sylvestre FOUCARD, sergent au 371e RI, mort le 18 mars 1917 (près de Monastir, Serbie)
  • Philippe THOMAS, 2e classe au 74e RI, mort le 19 mars 1917 (prisonnier)
  • Pierre BOOGNAERT, sous-lieutenant au 68e BTS, mort le 16 avril 1917 (à Ailles, Aisnes)
  • Albert Alfred Émile BAZEILLE, conducteur au 4e escadron du train, mort le 3 mai 1917 (à Baconnes, Marne)
  • Octavien Marie Alphonse ANGELI, sous-lieutenant au 107e RALH, mort le 4 août 1917
  • Auguste Thibaud BRENDLIN, soldat au 26e RIT, mort le 31 août 1917 (à Monchy-aux-Bois, Pas-de-Calais)

2017-2018

Les séances de l'année scolaire 2017-2018 sont consacrées à la période de début septembre 1917 à fin août 1918.

Article connexe à utiliser : offensive du printemps.

  • Louis, Jean, Fernand ARCHEVÊQUE, 2e canonnier servant au 32e RAC, mort le 18 septembre 1917 (blessures)
  • Gustave Émile BEAUVERY, soldat au 21e RIC, mort le 1er novembre 1917 (blessures, à Romain, Marne)
  • Jean Lambert Alphonse COLIN, général de brigade à la 30e DI, mort le 30 décembre 1917 (à Holeven, Serbie)
  • Maurice Joseph Pierre AMOUDRY, soldat, mort le 27 février 1918 (maladie)
  • Jean AMISSE, chasseur au 2e RCA, mort le 5 mai 1918 (maladie à Marseille)
  • Eugène Léon LEPEINTEUR, sergent au 75e BTS, mort le 30 juin 1918
  • Eugène AMISSE, matelot de l'école des ballons captifs, mort le 31 août 1918 (maladie, à Toulon)

2018-2019

Les séances de l'année scolaire 2018-2019 sont consacrées à la période de début septembre 1918 à l'été 1919 (les militaires ne sont pas démobilisés à l'armistice et la guerre ne se termine qu'à la signature des traités de paix).

Article connexe à utiliser : offensive des Cent-Jours.

  • Fernand André BOILEAU, matelot de 2e classe au fusiliers-marins, mort le 14 septembre 1918
  • Pierre Émile Louis BRULEZ, sergent, mort le 14 septembre 1918 (blessures, Le Quesnel, Somme)
  • Louis Marie Robert LUMIERE, lieutenant au 328e RI, mort le 20 septembre 1918
  • Victorin Augustin Léon BONNET, maréchal des logis au 222e RAC, mort le 24 septembre 1918 (à Cuperly, Marne)
  • René BRUYÈRE, lieutenant au 28e BGénie, mort le 28 septembre 1918 (de maladie)
  • Léon CHEVALIER, matelot aux fusiliers-marins, mort le 29 septembre 1918
  • Georges Charles AMOUDRY, 2e classe au 56e BCP, mort le 14 octobre 1918 (à Hooglède en Belgique)
  • Louis Étienne BOUCHARD, sergent, mort le 21 octobre 1918 (blessures, à Roulers en Belgique)
  • Alfred AUGER, adjudant au 101e RI, mort le 16 novembre 1918 (camp de Meschede en Prusse)
  • Marcel Georges SÉNÉ, caporal au 2e tirailleurs, mort le 19 juillet 1919 (de maladie au Maroc)

Notes et références

  1. Général Paul Diez (préf. général André Bach), « Quelle connerie la guerre ! » : d'après son journal, 1914-1918, Paris, Riveneuve éditions, 2013, 165 p. (ISBN 978-2-36013-185-3) .
  2. « Programmes d'histoire et de géographie en classe de première générale », arrêté ministériel du 21 juillet 2010, publié au BO spécial n° 9 du 30 septembre 2010.
  3. « Mission centenaire 14-18 », sur http://centenaire.org/.
  4. « Note de service n° 2013-094 du 7 juin 2013, « 2014 : Les commémorations du Centenaire de la Première Guerre mondiale » », sur http://www.education.gouv.fr/.
  5. « Commémoration du Centenaire de la Première Guerre mondiale : dimensions pédagogiques, programmes, actions éducatives et coordination », sur http://eduscol.education.fr/.
  6. « Commémoration du centenaire de la première guerre mondiale », sur http://www.ac-versailles.fr/.
  7. Pierre Perrin (préf. Gilles Laurendon), Un guerrier d'occasion : journal du fantassin Pierre Perrin, 1914-1918, Rennes, Éd. Ouest-France, coll. « Témoignages Histoire », 2012, 373 p. (ISBN 978-2-7373-5763-3) .
  8. « JMO du 27e RI », sur http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/.
  9. « Historique du 27e RI », sur http://gallica.bnf.fr/.
  10. Exemples d'affectations variées trouvées lors d'un petit échantillonnage de 31 militaires, dont 15 de Chatou, 11 du Vésinet et 5 de Croissy.
  11. « Relevé du monument aux morts de Chatou », sur http://www.memorial-genweb.org/.
  12. « Relevé de la plaque commémorative 1914-1918 de l'église Notre-Dame de Chatou », sur http://www.memorial-genweb.org/.
  13. « Relevé du monument aux morts de Croissy-sur-Seine », sur http://www.memorial-genweb.org/.
  14. « Relevé du monument aux morts du Vésinet », sur http://www.memorial-genweb.org/.
  15. « Relevé de la plaque de l'hôtel de Ville », sur http://www.memorial-genweb.org/.
  16. « État récapitulatif des fiches de la commune de Chatou », sur http://www.memorial-genweb.org/.
  17. « État récapitulatif des fiches de la commune de Croissy-sur-Seine », sur http://www.memorial-genweb.org/.
  18. « État récapitulatif des fiches de la commune du Vésinet », sur http://www.memorial-genweb.org/.
  19. « Chatou, notice communale », sur http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/.
  20. « Croissy-sur-Seine, notice communale », sur http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/.
  21. « Le Vésinet, notice communale », sur http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/.
  22. Loi du 2 juillet 1915, modifiée par celle du 22 février 1922, donnant les articles L488 à L492 du Code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre.
  23. Panorama de la guerre de 1914, Paris, Tallandier (no 33), mai 1915 (ISSN 2024-9195) (notice BnF no FRBNF32831762c) [lire en ligne], p. 32 .
  24. « Citation publiée par le conseil municipal du Vésinet », sur http://www.histoire-vesinet.org/.